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Scarification

#39  2057

Manon
Membre d'honneur
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Re: Scarification

Bonjour Leeloup,

Vous n’êtes pas la première personne qui l’écrit ou qui me dit ne pas osez dire a son psy que vous vous mutilé, j’aimerais comprendre pourquoi cette peur, cette honte d’en parler a vos psy ?

Manon

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#40  2058

Petus
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Re: Scarification

Bonjour Leeloup,

Oui en effet , il semblerait que nous ayons beaucoup de similitudes dans nos réactions, normale pour des personnes en dépressions. ( Il me semblais bien aussi que vu ce que vous écriviez , cela ne pouvait être autre qu'une dépression, car on ne s'automutile pas pour le plaisir de se faire des cicatrices)
Certes notre mal être nous fais perdre le contrôle de nous même d'où la scarification , lorsque nous perdons tous moyens de récupérer ce contrôle, car n'y arrivant pas, nous nous en voulons à nous même et par de là il nous reste qu'une solution, s'auto punir par la scarification.


Manon,

Pourquoi cette honte de dire à son psy que l'on se mutile ????? Je pense tout simplement,  parce que nous avons honte ! Honte de ce que nous avons fait, honte de n'avoir pu se contrôler, honte et peur du jugement à notre égard, ce n'est pas facile de se scarifier et de dire à son ou sa psy " bonjour, aujourd'hui , je me suis scarifiée !!!!" Non , ça ne marche pas comme ça, il faut un temps d'adaptation , le temps de prendre confiance en sa ou son psy. Pour ma part , cela est fait et j'arrive à dire à ma psy lorsque cela m'arrive de me scarifier, à en discuter et voir le pourquoi, chercher ce qui à pu me pousser à faire ce geste.........
Maintenant , (pour le moment, j'espère que ça va durer) je ne me scarifie plus, je n'en éprouve plus le besoin, et n'ai même plus l'impulse de le faire.

Bien à vous deux et bonne journée.

Petus .

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#41  2070

leeloup
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Re: Scarification

bonjour Manon
j ai honte de ce que je fais,peur du jugement aussi.Derriere un ecran c est plus facile,personne ne nous voit,on est protége du regard des autres,en parlé avec la psy j aurais du mal.Ce serait avouer la souffrance dans laquelle je me trouve actuellement, elle sait bien dans quel etat d esprit je me trouve mais j aurais l impression de passer litteralement "pour une folle".Je suis quelqu un qui a de grandes difficultees a parler et pour moi lui dire ça est inconcevable.

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#42  2074

Petus
Membre
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Re: Scarification

Bonjour Leeloup,

je comprends que vous n'arriviez pas à parler à votre psy de votre souffrance et encore moins de vos automutilations. Au début c'est toujours difficile, mais après cela vient doucement, et vous arriverez a parler de cette souffrance qui vous ronge.

J'ai été comme vous au début de ma thérapie, je ne parlais pas de ma souffrance, je parlais des autres , de la souffrance qu'enduraient mon mari, mes enfants, et ma psy m'a dit : " Et vous ? vous n'avez pas de souffrance ?" Je me suis retrouvée bête et lui ai répondu , je ne sais pas, car je n'ai jamais eu l'habitude de parler de mes souffrance, du à mon passé, et du coup je prenais toutes les souffrances des autres, certainement pour ne pas m'occuper des miennes, mais il a bien fallu que je m'y fasse et que j'en parle si je voulais m'en sortir..............
Alors je pense que vous aussi vous y arriverez, pas demain, ni après demain, mais doucement, c'est un travail comportemental à faire au début, car lorsque nous n'avons pas l'habitude de parler, de se taire tout le temps, ce travail est nécessaire pour pouvoir avancer, mais n'ayez crainte, vous vous en appercevez même pas, moi je l'ai su après, ma psy me l'a dit bien après qu'elle avez fait un travail comportemental avec moi , pour pouvoir mieux travailler sur ce qui était urgent .

Pour cette peur de dire à votre psy que vous vous automutilez, vous y arriverez lorsque vous aurez installé une confiance et complicité (ce que l'on appelle aussi transfère, mais moi j'aime pas ce mot, donc j'en emploie d'autres.....) entre vous et votre psy, ce qui est nécessaire pour pouvoir travailler correctement, mais il faut un peu de temps .
Mais vous savez le dire à votre psy, ce n'est que pour vous aider, il ou elle n'est pas là pour vous juger , mais pour vous guider, vous aider à mieux comprendre certaines choses . Votre psy n'est pas votre ennemi, bien au contraire , il faut apprendre à parler de sois lorsque nous n'en avons pas l'habitude et je sais par expérience que cela est très difficile . Je vous souhaite bon courage , et je sais que vous y arriverez.

Bien à vous

Petus .

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#43  2075

Manon
Membre d'honneur
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Re: Scarification

Je comprend votre sentiment de honte Leeloup, mais en même temps c’est un cercle vicieux car votre honte vous empêche de parler a votre psy et c’est cette même parole qui vous guérirais de votre honte vous déculpabiliserai aussi.

Vous écrivez ; » j aurais l impression de passer litteralement "pour une folle" », si toutes les personnes qui un jour dans leur vie ce son scarifiée devrais êtres folle, il y aurait beaucoup plus de fou en liberté que dans les établissement psy lolllll

Et je sais de quoi je parle car la lame d’un cutter j’ai connu cela aussi a une période de ma vie, mais après en avoir parlé avec des psys j’ai compris une chose qui est mon vécu ( au psy de ce forum de dire si cela peut être une généralité), moi j’ai compris que j’avais au fond de moi une telle pulsion de vie que la lame me servais de « garde fou » c'est-à-dire j’avais a certain moment des envies de suicide de par un ras le bol de souffrances morale et physique mais comme en même temps mon envie consciente et inconsciente de vie de survie était très forte, la lame ma très souvent permise de ne pas passé a l’acte suicidaire.

Bonne  journée
Manon

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#44  2076

Re: Scarification

Souvent, lorsqu'une victime subit un traumatisme , elle parle de retrait, de tétanie, comme si pendant le traumatisme, elle avait quitté son corps pour ne pas ressentir cette douleur, psychique et physique, c'est une réaction de protection , et de défense mais elle n'est pas sans conséquences.

Lorsqu'une victime a vécu ce genre de protection, alors, non seulement elle culpabilise de n'avoir pas pu "répondre" puisque...absente, mais culpabilise également de ne pas avoir souffert, puisque...absente...toujours.

C'est ainsi, que beaucoup plus tard, lorsque le refoulement pèse et vient se "re-pointer" par des rappels de la vie quotidienne, la douleur est insupportable car éteinte et non ressentie, c'est ce manque que l'on travaille alors, en analyse.

Car la douleur au quotidien se traduit par un désir de retrouver sa souffrance, cette souffrance qui manque puisqu'elle a bel et bien été vécue mais pas éprouvée.

Bon courage à vous.


Cabinet de psychothérapie et de Psychanalyse de Christelle Moreau, MAISON de la SANTE, 7 avenue Alfred Mortier, 06000 NICE CENTRE, Arrêt de TRAM Lycée Masséna, Cathédrale Vieille Ville, pour rendez-vous, merci de me joindre au 06 41 18 52 56, à bientôt.
M'appeler avec Skype : christelle.moreau

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#45  2077

Re: Scarification

Manon a écrit:

moi j’ai compris que j’avais au fond de moi une telle pulsion de vie que la lame me servais de « garde fou » c'est-à-dire j’avais a certain moment des envies de suicide de par un ras le bol de souffrances morale et physique mais comme en même temps mon envie consciente et inconsciente de vie de survie était très forte, la lame ma très souvent permise de ne pas passé a l’acte suicidaire.

Cela ne peut être une généralité, mais effectivement, se faire souffrir sans se donner la mort, et cela intentionnellement, est en effet un appel à la vie, puisque c'est à la fois un appel au secours ( même si il reste secret ) et une réponse à un besoin de décompression. ( l'évacuation du trop plein, le bouchon de la cocotte minute...)
Rappelez vous Manon, la loi du Talion...lorsque l'on s'en veut à soi-même, elle est également valable.


Cabinet de psychothérapie et de Psychanalyse de Christelle Moreau, MAISON de la SANTE, 7 avenue Alfred Mortier, 06000 NICE CENTRE, Arrêt de TRAM Lycée Masséna, Cathédrale Vieille Ville, pour rendez-vous, merci de me joindre au 06 41 18 52 56, à bientôt.
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#46  2080

Petus
Membre
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Re: Scarification

Bonjour Mme Moreau,

Votre réponse m'interpelle beaucoup à ce sujet, et me donne des explications en plus de ce que j'avais, car pour ma part ce fut mon cas .

Christelle Moreau a écrit:

Souvent, lorsqu'une victime subit un traumatisme , elle parle de retrait, de tétanie, comme si pendant le traumatisme, elle avait quitté son corps pour ne pas ressentir cette douleur, psychique et physique, c'est une réaction de protection , et de défense mais elle n'est pas sans conséquences.

En effet c'est ce qui m'est arrivée, à ce moment bien précis, et comme je l'ai expliqué à ma psy, car pour moi je trouvais cela étrange et me demandait si c'était bien réel ou si j'allucinais, et elle m'a dit la même chose que vous, sauf qu'il y a aussi une différence, lorsque j'ai travaillé ceci avec ma psy, je lui ai dit avoir été à la fois actrice , et spectatrice, car je lui ai dit avoir vu la scène d'en haut, donc me voyant complètement innerte, sans même bouger le petit doigt et sans même un souffle pour crier, mais une chose qui me reste toujours sans réponses, est : Bien que je n'ai pas eu mal, et rien senti, pourquoi ai je ressenti tout de même ressenti ce que l'on appelle "le plaisir" bien que je déteste ce mot pour qualifié cette horreur, et bien que je sache que c'est mécanique malgré le refus absolu ????? Et malgré ce retrait de son propre corps ?


Christelle Moreau a écrit:

C'est ainsi, que beaucoup plus tard, lorsque le refoulement pèse et vient se "re-pointer" par des rappels de la vie quotidienne, la douleur est insupportable car éteinte et non ressentie, c'est ce manque que l'on travaille alors, en analyse.

En effet , une douleur insuportable , mais celle ci spychologique, car comme vous le dites, des rappels reviennent dans la vie quotidienne, odeurs, paroles, visions ect.........  ce qui fait que tout un amas de flash s'accumule, sans trop savoir le pourquoi, jusqu'à ce que l'on se rappelle de l'évenement, là c'est la chutte libre ...........


Christelle Moreau a écrit:

Car la douleur au quotidien se traduit par un désir de retrouver sa souffrance, cette souffrance qui manque puisqu'elle a bel et bien été vécue mais pas éprouvée.

Alors si je comprends bien , et si mes souvenirs sont bons, Mr Georges N, parlait pour la scarification, de chercher une douleur que nous aurions subi , et que nous n'aurions pas ressenti, ce qui voudrait dire que par nos scrification, nous recherchons cette souffrance vécue, non ressenti d'où ce geste compulsif par la culpabilité, et que lors des scarifications nous ne ressentons rien, ni mal, ni peur !!!!!

Je vous remerci pour votre réponse qui m'en apprends beaucoup aujourd'hui, et avec laquelle je vais pouvoir travailler certaines petites choses que j'ai dû passer à côté .
Merci pour cette explication, ce qui devient un peu plus clair.

Bien a vous

Petus

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#47  2088

leeloup
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Re: Scarification

merci petus,c est tout nouveau le psy pour moi ,la confiance s installe doucement ,il faut du temps et beaucoup de patience avec moi.La parole n est pas encore liberatrice mais plutot supplice pour l instant.C est tres douloureux a chaque seance.
Manon,j aurais un peu cette tendance ,a me mutiler quand j ai des envies suicidaires.Je l ai fais souvent face au vide ,je n avais qu un pas a faire mais j ai sorti ma lame.Quand la soupape deborde,les brulures les coupures me rappellent peut etre tout simplement que je suis encore en vie.alternative,avant autre chose?je ne sais pas

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#48  2097

Re: Scarification

"nous recherchons cette souffrance vécue, non ressenti d'où ce geste compulsif par la culpabilité,"...
votre phrase est bizarre grammaticalement, Petus, et je ne la comprends pas mais de toute façon, dans ce mécanisme, la culpabilité n'intervient pas.
Je reprends très sommairement: l'intensité d'un traumatisme peut faire qu'il n'est pas assimilable par le moi. Pour survivre, le moi s'absente de la scène, décide en qq sorte de "laisser le corps se débrouiller"(c'est une formule!). Il n'éprouve donc rien, ne ressent rien: puisqu'il n'y a pas de connexion "perception-conscience", le moi enregistre la scène sans avoir ressenti la douleur ou l'effroi. Mais la trace mnésique, le souvenir font retour:et de fa


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#49  2098

Re: Scarification

...suite (envoi intempestif!)...:et de façon compulsive, obsessionnelle, le Moi tente de revivre et de revivre encore l'équivalant symbolique du trauma initial afin de pouvoir enfin l'éprouver. Cette "compulsion de répétition" n'est pas exactement du masochisme mais une tentative du moi pour s'approprier un affect, pour le faire sien, faire que cette scène première soit et vécue et éprouvée. Enfin.


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#50  2101

Petus
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Re: Scarification

Bonjour Mr Georges N.
Vous dites : "votre phrase est bizarre grammaticalement, Petus, et je ne la comprends pas mais de toute façon, dans ce mécanisme, la culpabilité n'intervient pas."

A chacun son décoldeur ........... mdr !!!!!

Pour ma part je pense que la culpabilité y est pour quelque chose tout de même , dans ces gestes de scarifications, car lorsque je me scarifiais , c'était toujours pour une culpabilité quelconque que j'éprouvais et donc m'en prenais à moi même .

Bien a vous

petus .

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#51  2102

Re: Scarification

vous voulez dire que vous vous punissiez de qq chose, donc?Vous étiez "la méchante fille"... Savez-vous, avez-vous bien fait le tour de CE POURQUOI vous vous punissiez ? Est-ce très clair? Etait-ce toujours le même motif ?


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#52  2103

Petus
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Re: Scarification

Mr Georges N,

Oui en effet je me punissais pour quelque chose.
Mais chaque fois que je l'ai fait c'était en effet parce que je m'en voulais, soit de ne pas avoir pu contrôlé quelque chose, soit par déception et là la cupablilité en faisait partie car je me disait que c'était ma faute, et à n'importe quelles raisons que ce soit, j'ai toujours trouver le prétexte que c'était ma faute, alors oui, je m'auto punissais, pour cela .
Vous dites : Vous étiez "la méchante fille"... Savez-vous, avez-vous bien fait le tour de CE POURQUOI vous vous punissiez ? Est-ce très clair? Etait-ce toujours le même motif ?

Oui je suis la méchante en quelque sorte, si je sais pourquoi ??? Ai je fait le tour de ce pourquoi  je me punissais ???? Là , j'avoue que vous me posez une colle .
J'ai toujours ressenti d'être la méchante petite fille...... et ce certainement dû à mon enfance, j'en ai tellement entendu que oui, pour moi je me suis toujours  considérée comme la méchante, exemple, mon géniteur déjà, lui ne voulais prendre que ma soeur et mon fère aînés, et moi il ne me voulais pas , le peu qu'il les prenez, et celà il la bien dit à ma mère en 1978, et je m'en souviens comme si c'était hier et je peux vous dire mots pour mots ce qu'il a dit . Ma mère lui avait dit , qu'il pouvait prendre quand même ses enfants (donc trois pour lui à l'époque, car remarié) et il à répondu :
" Je veux bien prendre les deux autres , mais elle (en parlant de moi......) j'en veux pas , c'est pas ma fille !
Cela je lui ai dit en mars 2006 à mon géniteur, et il m'a confirmé en me disant oui, je n'aurait pas du le dire !!!!!

Mais il était trop tard, dans ma tête de petite fille de 8 ans, j'étais déjà rejetée par mon propre "père" . Et après d'autre évenements sont survenus qui on fait qu'emplifier ce sentiment, l'image du petit canard noir que l'on ne veux pas, que l'on rejette , qui n'est pas comme les autres ...................

Je ne sais pas si j'ai réellement fait le tour de cette question, mais aujourd'hui je me fiche de ce que pense la famille, ou les autres gens, je suis aujourd'hui une femme qui s'est contruite presque seule, si je puis dire ............  et je suis comme je suis , moi tout simplement ,  égale à moi même , mais sans hypocrisie et mensonge , car j'ai grandi dans un tissu de mensonge et d'hypocrisie, alors aujourd'hui, je ne le supporte plus, et une chose certainement important pour vous, pour les questions que vous me posez, un abandon quelqu'il soit chez moi provoque une réactivité très néfaste et frustrante,  je pense qui me replonge dans mon enfance .
Voilà en espérant avoir été assez implicite cette fois ci .

Bien à vous

Petus .

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