comment me "positionner"?

Freud a résolu la question de ses pulsions homosexuelles à près de 50 ans: ça vous laisse du temps !
Plus sérieusement: NOUS AVONS TOUS, HOMMES, FEMMES? UNE PART MASCULINE ET UNE PART FÉMININE. C'est généralement peu admis et difficile à "avaler" (voyez: même Freud...) et ce d'autant plus qu'on est dans l'adolescence (c'est encore bien votre cas) et que la question majeure de l'adolescence est: QUI SUIS-JE ?

ouh là là!... c'est trop d'un coup. Je reviens répondre plus tard!
mais juste, à mâcher, en attendant il y a TOUJOURS de L'AUTRE

c'est de la fumisterie de prétendre interpréter ainsi, mais un idée me vient: et si ces deux jumeaux n'étaient autres que

Merci pour votre réponse. Pouquoi je n'ai pas vu dans le reve "mon jumeaux" pourquoi c'est encore et toujours l'autre et pas moi ?
Je vous demande ceci, n'on pas parceque je ne crois pas à ce que vous me dites, mais c'est que j'ai l'impression qu'il y a quelque chose qui cloche, comme si je n'existais pas par le moi, mais plutot par l'autre.
Et ceci à cause d'un état assez pitoyable ou j'ai pu être à moment donné, c'est à dire sous une dépendance total. On m'aurait dis saute du toit, j'aurais sauter du toit, et c'est vrai que retrospectivement c'est quelque chose qui fait peur. Comme si l'on était aspiré par l'autre, comme si l'on existait pour et par l'autre, comme pris dans une secte alors que la personne n'a rien demandé. 
Bref je vous remercie car vous m'avez permis de voir que par moment l'autre et trop présent, peut etre plus que le moi, mais bon peut etre que c'est un moyen de ne pas se prendre des vérités dans la figure, ce dire que c'est l'autre etc... ca a peut être des avantages au fond.
Merci

Bonjour. C'était vis à vis d'une personne, durant ces vacances. Le "pire" dans tout cela c'est que  la personne je la connaissais depuis 1 moi.

Oui c'est ca, enfin adulte...il avait 22 ans. Donc bon, je me pose quand meme pas mal de questions me concernant car quand on est sous la dépendance d'un "homme" alors que l'on pense être hetero, il y a de quoi faire reflechir, d'autant plus que c'est venu d'un coup. Et j'ai l'impression que ce qui c'est passé ces vacances me reviens en pleine figure avec l'autre type. Comme si tout ceci n'était que symptomatologique et qu'à force de refouler je ne sais quoi, tout me reviens en pleine figure (mais bon, 1 moi avant les examens, ce n'est peut etre pas le moment! ^^). Aussi la chose qu'ils ont en communs est que je n'arrive pas à les "cerner". D'habitude je me fais une idée (apres qu'elle soit juste ou non...je ne suis pas "devin"), mais la avec ces deux personnes je n'ai jamais reussit à me positionner et à les positionner. Exemple avec ce qui me tracasse en ce moment. On a fait la fete pour feter les bons resultats de chacun. Bref en tout cas on a pas mal bu et comme un débile je lui ai dis ce que je pensais de lui, à savoir un grand respect et en meme temps je "sentais" bcp de souffrance (je le percois comme la sonate au clair de lune de beethoven si vous voyez) etc... comme une sorte de non positionnement. Et la il me dis que j'ai raison et me dis que ce sera mon "chalenge". Et maintenant comme un abruti je n'arrete pas de penser non pas à ce que je pense mais j'essaie de savoir qui il est et ce qu'il pense. Je me rends compte de la situation pathetique, j'ai vachement honte de ce côté "jeune collegienne sans cervelle" etc... mais je ne peux rien y faire. Je ne sais meme pas si c'est une attirance physique ou si c'est plus le coté mysterieux qui "m'attire".
Quand vous me demandez si c'est un homme adulte vous pensez qu'il y a un rapport avec l'image du père?