Christelle-Moreau PSY — 14-04-2008 23:05 |
Entre mère et fils, une histoire d'amour et de désir par Virginie Megglé
Elle voudrait le voir réussir loin d'elle mais tremble de le perdre. Il voudrait rester tout pour elle mais rêve de s'en détacher. les sentiments entre mère et fils sont plus complexes et plus ambivalents qu'il n'y paraît... du côté de la mère, comment autoriser son fils à exister hors de soi ? comment se passer de lui ? du côté du fils, comment trouver la force de voler de ses propres ailes ? comment se séparer de sa mère pour s'engager vraiment auprès d'un autre amour ? ce livre passe en revue les moments forts qui marquent la relation mère / fils : le désir d'enfant avant même que la femme soit mère, la naissance du fils, les premières séparations, le premier amour, l'adolescence, le mariage du fils...
A travers des témoignages de mères ou de fils, l'auteur éclaire chacune de ces grandes étapes d'un point de vue psychanalytique et fournit des clés pour inviter à les vivre avec le plus de bonheur possible.
-> Entre mère et fils, une histoire d'amour et de désir
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Profile-supprimé — 01-01-2010 11:39 |
Femme enterre
Il y a des femmes Qui prêchent dans le désert, On leur donne un nom Pour mieux la faire taire, Elle se met en danger Pour se faire entendre, Mais ça ne sert à rien Claque la boîte se referme Un pseudo dedans Qui n’est pas son nom. L’anonyme fera Pour sa profession, Seuls les mâles Peuvent garder Leur nom. NoN ! Si !
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Profile-supprimé — 01-01-2010 11:41 |
Il y a des silences
Il y a des silences de femme Tels les kyrielles de chats, A la Nuit de Saint Jean.
Des silences de femmes place de mai, Qui appellent, en vain, leurs enfants, Lasses, de larmes acidulées et âcres, Dépouillées, du canevas de leur chair.
Des silences, oh, femmes ef/fables ! Parce que vous êtes nées femmes, Lynchées, excisées, violées, a côté, Derrière, jamais à la droite du père. Votre sensualité et désir amoindris.
Oh, femmes nubiles ! Dont le sang exaspère les religions, Les cheveux, visage, impures et sales, Que dissimule et camoufle en paix le châle. Tentatrice de tous les pêchés du monde.
Si, vous êtes créatrice ! Enceintes, maléfiques jusqu’aux relevailles, Responsables de faire tourner beurre et lait. Destinée à laisser à la moindre envie, Une tâche sur la peau de leur petit.
Oh, femmes, coupables ! Interdites de franchir la porte principale, Lavent-elles le linge dans la rivière, Maléfiques, en chassent le poisson. Participant à la préparation du blé, Funestes, elles attirent la rouille.
Oh, femmes, hors gravidité ! Blâmables par nature de ne pas creer, Vous avez le cœur sec et austère de don. Inévitablement, jalouses, envieuses, cupides, De celles qui portent le fruit, tant convoitise Telle, une maladie contagieuse ou épidémie.
Oh, femmes, meurtries ! Abandonnant leur corps, méprisables et infâmes, Prix du pain, à céder pour sustenter leurs petits, Félin à dents de sabre, parfois pour les protéger. Qui en tant de guerre faites si bon office !
Oh, femmes !
Il y a des silences Comme des silences de chats, A la Nuit de Saint Jean.
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Profile-supprimé — 01-01-2010 11:43 |
Langue maternelle 2
Oh ! Que je l’aurais aimée, Précieuse et souple, Lueur, douce et languée.
Eclair agile et harmonieux, De ce bel oiseau émaillé.
Elle serait, tantôt lagune, Joyeuse, suave et gaie,
Ornée de tendre bleu marine, Tantôt paisible étang côtier.
Oh ! Que je l’aurais aimée.
profil-supprime Ehret
Langue maternelle
A la fois,
La cible et la source, Au propre et au figuré. Un tantinet agglutinante Au propre et au figuré. Contesté de tous les côtés Au propre et au figuré.
Anamorphose Métamorphose Anachronique aussi Antédiluvien Préhistorique Swakopmund.
Un point c’est tout. Qui puis-je….. ?
La langue paternelle ….
Trouvez la vous-même !..
La machine n’est …..point……programmée…..point
profil-supprime Ehret
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Profile-supprimé — 01-01-2010 11:45 |
Lilith
Il y a beaucoup de monde Qui se promène vers la mer, C’est à cause du soleil, Ils ont le cœur en fête.
Les gemmipares se baladent la nuit, Dans les cratères de sable scuries. Ils dansent avec leur triangle isocèle, Ils se regardent et puis se sourient.
Sous l’arc en ciel, éperdus de connivence, Les pas de nos orteils nous ensanglantent. L’angoisse rauque de Pallas, soudain retentit, Son ombre passe, comme une tâche grise.
À l’horizon, Lilith s’enfuit, hulule d’épouvante, Poursuivie par les anges, elle hante nos nuits. Cœur de nos très birbes et solitaires vaisseaux, De nos aortes et nos cœurs maures paniques. Ainsi va, la faible torche de nos tourments, Puisque dans mes nuits, je flambe atrocement.
À l’aube Il y a beaucoup de monde Qui voyage vers la mer, C’est à cause du soleil, Ils ont le cœur en fête.
Ils sourient à leurs pressentiments. Ils se regardent et sont de connivence.
Chaque darde de lumière, Dans nos mains, déposée, Est un rayon de miel Qui fourmille de baisers. Il y a beaucoup de monde Qui se regarde dans la mer, C’est à cause du soleil, Ils ont le cœur en fête.
1 – 21 août 2008
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Profile-supprimé — 01-01-2010 11:46 |
Mémoire De Mères
Entre, la mer méditterreannée , il y a la Cyclope mycéenne Egée,
Dans, la mer Méditerranée, Il y a la Rouge gomme Arabique,
Parmi, la mer méditerrannée, Il y a le Pont-Noire Euxine.
Depuis, la médit.taire à nez, Il y a la caïque peslage Osée.
5 sept 2008
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Profile-supprimé — 01-01-2010 11:48 |
Le phénix
Ah ! Phénix de ces bois,
Où te caches-tu donc ?
Je t’ai entr ‘aperçu courant à Bois Colombe,
Je t’ai vu aller au bois de Vainscène,
Ah ! Phénix de ces bois,
Tu as tourné au bois de Bouelogne
Ah te voilà, phénix de ces bois,
Pourquoi t’es là, pensif ,
Comme, un pauvre hère,
Assis là, au finfon des bois ?
Que fais-tu donc
Dis moi !
-Je ne sais pas
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Profile-supprimé — 01-01-2010 11:50 |
Le volcan
Je suis partie pour voir le centre de la Terre. — Et après… ? — et après…… ?
Je suis allée au bord du cratère de feu. — Et après… ? — et après… ?
J’ai tourné, tourné, retourné tellement. — Et après… ? — et après… ?
Je suis tombée dans le lac d’Evian.
— Non ? — Si !
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Profile-supprimé — 01-01-2010 11:52 |
L’enfant écorché
L’enfant va à s’éprendre et rompre, Son œil souple, ardent et tendre, Sent qu’il ne déplace pas les ombres, Ses lourds fardeaux au fond, déposa là. Tapit limpide, ici dans la rosée, Murmure là au soleil ses espoirs Gazouille au vent mille pensées Dit à la terre connaitre Orphée. Frêle, confie là céans au rivage cruel, Tous ses chagrins et ses conquêtes, Qui lui enserrent et glace le cœur, Mais aussi qui souvent le désaltèrent. Préssent au loin comme une vague, Agile et preste en extrait une lueur. Son audace insolente fredonne Aux rives de ces lointaines berges : Regarde-moi : J’ai même pas peur ! Pauvre enfant, perfide , trompeur, félon d’ocre et de cramoisi lueurs, Rebel éclat, flamboyant et indigne Cruelle butée, douce écorce, splendide, Brame à tue-tête, maitrisant sa frayeur, Va, encourageant tendrement son cœur. Ainsi, va l’enfant Opiniâtre et fourbe. Ainsi, va l’enfant Ecorché de son piédestral Ainsi va, l’enfant, Rompu de tant de liberté.
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Profile-supprimé — 01-01-2010 11:53 |
La louve,
Filet de pêche qui tend la main,
Entre deux entrées opposées, serein,
Vil animal et frêle humain,
L’entrée du monde profonde et sombre,
Orée de vie, automne aussi.
Non, ne pleures pas, petite
Allez viens, tends moi la main !
Filets de pêches qui sont des baignes,
Avant d’y percevoir ombre et lumière,
Portelone chétive en vis-à-vis,
Sèches tes larmes, je t’en supplie,
Allez petite,….donnes moi la main.
Filets de pêches prémices du rire,
Qui sur la toile esquisse et gifle,
Arrime les déchirures et lisse,
Ordonnée sans raison et passion.
Allez petite…lâche moi la main !
Vas, ne t’arrime jamais à rien,
Allez petite n’ oublie pas ,
Que je suis là et t’ai tendu la main.
profil-supprime Ehret
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Profile-supprimé — 01-01-2010 11:56 |
JE TAGE PARTOUT OU JE PEUX PUISQUE VOUS ETES A MA PAGE HEIN
LACAN APELLE CA LE GRAND " JE "PARLANT ! ah ! ah ! ah !
La liberté des mots !!!!!!!
Mon inconscient m’a dit
-Ecoute-moi, pour une fois Prends ta boite couleur pondéra, Sous le bras, elle est là, avec toi, Refais, le chemin à l’envers, Attends le mois de mai, allez, va !
-Quoi ? Comment ? Qu’est-ce ? J’ai fait la sourde oreille, inquiète, Que dis-tu dit ? Quand ? Oui ? Ai froncé les sourcils, espiègle, Un peu braque et paresseuse aussi.. Même, que s’il existait un autre point D’interrogation, je l’aurai volontiers, mis là.
-Cherche, tu sais ! m’a-t-il répondu. Jamais il ne fait de baratin, lui. Ni de Bécassine en Amérique, Ni de Tintin au Tibet, non ! Clin d’œil et sourire aussi . Sub/séquent, lui ! au suivant !
-Oh , nenni, je te vois venir ! Plus on travaille, plus c’est galère. J’ai fais déjà plusieurs fois Le tour de la place, sirène hurlante, Au rond-point du feu follet. J’ai vu la tête de Gödel dépassant, De l’ambulance de Fernand Raynaud ! Horreur ! Non, mais ! Halte-là !
-Débrouille-toi toute seule, Ma petite psychanalyste ! Rétorqua mon inconscient.
Ah ! Comment voulez-vous refuser, Une injonction au travail, Dite si gentiment, impossible !
-Comme il me connaît bien me dit deux mots en passant : Arrêtes de révolutionner, tais-toi, Tu sais très bien, que cela ne sert à rien. J’ai cru là entendre la voix , Du père Lacan tout craché !
Alors, j’ai fermé les yeux, délicatement, J’ai ouvert mon livre d’images, Je repris le chemin d’où ça parle, Où ça parle vraiment !
L’herbe verte lisse sous mes pas, Se plissa au souffle léger du vent, J’ai repris le chemin du sommet, Une douce odeur de lavande et muguet, Vint me saluer tendrement en passant.
J’y ai retrouvé ma cabane, Avec mon symbolique à qui parle, Lui aussi, vraiment et oui ! Même que c’est tout un cirque, Dans ces gélivures et criques, Mais il est là gravé en ma mémoire. Tranquille, me suis dit, rien ne presse, J’ai vu quelqu’un aller au deux puis un, puis Un au deux, puis trois qui ne répond pas, Puis un et trois allant vers deux, ……. Vous ne comprendriez pas. Je me suis allongée et assoupie.
Dors sereine tu as le temps Pour le reste mai n’est pas Encore de retour, attends.
profil-supprime Ehret
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Profile-supprimé — 01-01-2010 12:00 |
le cirque
Les escarpon noirs S’enfoncent dans le sable Sur la piste dérisoire Ton visage est si pâle
Tendu vers le chapiteau Les yeux levés bien haut Ton corps aux aguets Enveloppé d’un châle S’appui contre une caisse
Ici le cloxn dort Son vernis rouge inquiète L’enfant vétu de blanc Reçoit le cirque de son enfance Nos amitiés en partance Dans ces instants de retenus
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Profile-supprimé — 01-01-2010 12:02 |
Je vous écris
Je vous écris d’une terre bien embrumée Où s’écoule un ruisseau acide d’eau nacrée Au cœur spirale toujours à quatre centres Où aber et ria disent le parfum des landes .
Je te vois de nulle part d’ici ou d’ailleurs Une lettre d’acier cousue ô, de rumeurs Antée ensorcelé du haut de son nuage Où les oiseaux perdus y font naufrage
Gaïa attend au sommet de son rocher Dans la pluie qui gèle ici même en été. Pensive sous l’ondée qui nous parfume Son amour monocorde dans ses brumes
Naufrager indompté d’un pôle inexistant Où pour lui scintille encore le soleil blanc Elle le voit là de la proue d’un bateau Où se jette l’ancre au fond des eaux
Elle songe d’un train à deux vapeurs Ces secondes sans lui sont un leurre Elle l’attend comme un roi du Tibet Des entrelacs de son pauvre alphabet
Regardez ses mots sans liaison Ses voyelles et consonnes en jupon Elle pense un je t’aime au pluriel Et lui pleure entre chaque voyelle
Elle écrit sur une petite feuille au vent Des éclats de chagrin et de tourment Tandis que sur un pauvre lit de verre brisé Dors son cœur qu’on a laissé sombrer
Elle aussi écrit d’une plume ébréchée Que son âme n’est plus qu’une orchidée Et soudain sort d’une clairière en feu Qui ressemble au brasier de ses yeux
Moi aussi je vous dis à l’ombre du passé Restez là même si je ne faisais que passer
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Profile-supprimé — 01-01-2010 12:03 |
Je vous écris
Je vous écris d’une terre bien embrumée Où s’écoule un ruisseau acide d’eau nacrée Au cœur spirale toujours à quatre centres Où aber et ria disent le parfum des landes .
Je te vois de nulle part d’ici ou d’ailleurs Une lettre d’acier cousue ô, de rumeurs Antée ensorcelé du haut de son nuage Où les oiseaux perdus y font naufrage
Gaïa attend au sommet de son rocher Dans la pluie qui gèle ici même en été. Pensive sous l’ondée qui nous parfume Son amour monocorde dans ses brumes
Naufrager indompté d’un pôle inexistant Où pour lui scintille encore le soleil blanc Elle le voit là de la proue d’un bateau Où se jette l’ancre au fond des eaux
Elle songe d’un train à deux vapeurs Ces secondes sans lui sont un leurre Elle l’attend comme un roi du Tibet Des entrelacs de son pauvre alphabet
Regardez ses mots sans liaison Ses voyelles et consonnes en jupon Elle pense un je t’aime au pluriel Et lui pleure entre chaque voyelle
Elle écrit sur une petite feuille au vent Des éclats de chagrin et de tourment Tandis que sur un pauvre lit de verre brisé Dors son cœur qu’on a laissé sombrer
Elle aussi écrit d’une plume ébréchée Que son âme n’est plus qu’une orchidée Et soudain sort d’une clairière en feu Qui ressemble au brasier de ses yeux
Moi aussi je vous dis à l’ombre du passé Restez là même si je ne faisais que passer
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Profile-supprimé — 01-01-2010 12:06 |
L'audition
Touches blanches et noires Sous mes mains tremblantes Concerto sous les yeux Le cœur au bord des lèvres Devant moi, ils attendent Assis sur leurs chaises Les oreilles aux aguets Prêts à laisser tomber le couperet A la moindre faute Au moindre écart par rapport à la partition Un roman de notes Ponctué de soupirs De pauses plus ou moins longues De rondes, blanches ou noires Comme les touches de mon piano
Respiration, Concentration, Inspiration, Exécution...
Mes mains se posent Sous la dictée posthume de l'auteur Plus rien n'a d'importance Je ne vois plus rien autour de moi Si ce n'est ces lignes ponctuées de symboles Un récit que je connais par cœur Un texte qui m'a pris des heures de ma vie Une connaissance de chaque respiration Chaque intonation, chaque ponctuation L'émotion grandit sous mes gestes mécaniques Ne pas sombrer Rester à la lisière Respirer... Seulement jouer, Comme si c'était la dernière fois Encore une fois...
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Profile-supprimé — 01-01-2010 12:07 |
L'anorexie
Certain de mes actes des appels de détresses, J'ai trop souvent besoin de tendresse D'autres des envies de vouloir en finir, Des envies folles de vouloir mourir.
Et malgré ton soleil qui illumine ma vie Je me sens couler vers cette maladie Pas à pas vers ma nouvelle amie l'anorexie, J'aime cette nouvelle amie invisible, Avec elle je me sens forte et invincible
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Profile-supprimé — 01-01-2010 12:10 |
Pierrotte
Ce n’est plus le rêveur lunaire du vieil air Qui riait aux aïeux dans les dessus de porte Sa gaité, comme sa chandelle, hélas ! est morte, Et son spectre aujourd’hui nous hante, mince et clair/
Et voici que parmi l’effroi d’un long éclair Sa pâle blouse a l’air, au vent froid qui l’emporte, D’un linceul, et sa bouche est béante, de sorte Qu’il semble hurler sous les morsures du ver.
Avec le bruit d’un vol d’oiseaux de nuit qui passe, Ses manches blanches font vaguement par l’espace Des signes fous auxquels personne ne répond.
Ses yeux sont deux grands trous où rampe du phosphore Et la farine rend plus effroyable encore Sa face exsangue au nez pointu de moribond.
• En 2000 • L’hôtel familial de Sète s’appelait le phosphore
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Profile-supprimé — 01-01-2010 12:16 |
ça alors IL A RAISON LACAN IL FAUT TAGUER LES MURS !
Paroles de poilus
Ils partirent la fleur au fusil dit-on, Ils crevèrent de faim bouffer par les rats Ceux qui se révoltèrent on les fusilla
Ils partirent la fleur au fusil dit-on, Ils se firent gazés et chair à canon Ceux qui rentrèrent on ne les reconnu pas
Ils partirent la fleur au fusil dit-on, Ils s’embrochèrent mutuellement L’un en face de l’autre dans ma génération
Ils partirent la fleur au fusil dit-on, Ils ont chanté : pas pour longtemps Bien vite on reviendra.
Ils partirent la fleur au fusil dit-on, Braves petits soldats de plomb Mais tout dépend ou certains auront mis le « pas ».
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Profile-supprimé — 01-01-2010 12:19 |
Kakéudisciope
Dans une rue, au cœur d’une ville de rêve, Ce sera comme quand on a déjà vécu : Un instant à la fois très vague et très aigu.. Oh ce soleil parmi la brume qui se lève !
Oh ce cri sur la mer , cette voix dans les bois ! Ce sera comme quand on ignore des causes : Un lent réveil après bien, des métempsycoses : Les choses seront plus les mêmes qu’autrefois.
Dans cette rue, au cœur de la ville magique Où des orgues moudront des gigues dans les soirs, Où les cafés auront des chats sur les dressoirs, Et que traverseront des landes de musique
Ce sera si fatal qu’on en croira mourir : Des larmes ruisselant douves le long des joues, Des rires sanglotés dans le fracas des roues Des invocation à la mort de venir,
Des mots ancien comme un buquet de fleurs fanées ! Les bruits aigres des bals publics arriveront, Et des veuves avec du cuivre après leur front, Paysannes, fendront l a foule des trainées
Qui flanent là, causant avec d’affreux moutards Et des vieux sans sourcils que la dartre enfarine, Cependant qu’à deux pas, dans des senteurs d’urine, Quelque fête publique enverra des pétards.
Ce sera comme quand on rêve et qu’on s’éveille ! Et que l’on se rendort et que l’on rêve encore De la même féerie et du même décor, L’été, dans l’herbe, au bruit moirée d’un vol d’abeille.
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Profile-supprimé — 01-01-2010 12:21 |
Petite souris
Trotte, trotte, petite souris, Parmi les champs et les jonquilles, Trotte, trotte petite souris, Dans le grenier il y a du mil, Dans la cave il y a des gâteaux, Et un bon lit pour petites souris. Attention à Mimi, le chat de la maison, Il connaît une vilaine chanson, Il dort d’un œil, et fait semblant, Ses babines tremblent en dormant, Attention à lui, attention. Trotte, trotte, petite souris, Parmi les champs et les joncsquilles, Trotte, trotte, petite souris, Sur les routes de Paris, Sur les routes de France aussi. Trotte, trotte, trotte gaiement.
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Profile-supprimé — 01-01-2010 12:23 |
Ut
J'ai le DO pour chanter Ma mère me l'a donné
Le RE à la guitare Mes frères m'accompagnaient
Puis le MI qui suivait Le plus petit sifflait
Dans la maison le FA c'était l'harmonica Et ma soeur en dansant, des pieds, marquait le SOL
Le refrain pour nous tous Avec le LA primait
Ensuite avec le SI Nous restions tous unis
Epuisés par la gamme Mais le bonheur dans l'âme
Ma mère applaudissait En versant quelques larmes.
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Profile-supprimé — 01-01-2010 12:24 |
Laisse faire,
Laisse faire, laisse faire ta mémoire Elle te dessine ces quelques mots Et te renvoies vers les écluses des flots D’effusions tendres ou de rancœurs posthumes, virevolte, pointille, pirouette, joue la plume Qui enjolive les cœurs amoureux, le soir
A la recherche d’autres horizons D’avenirs certains bien moins sûrs A la conquête de pâles unissons Au coquet qui devinera dans mes pages Comme des mosaïques d’un mur Ces traces laissées au sable d’une plage.
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Profile-supprimé — 01-01-2010 12:26 |
Tu m’as donné, non point à tort Mais certe avec juste raison Ce surnom d’Infernal, c’est fort Bien : n’as t-u pas toujours raison ?
En effet , malgré la sincère, Plus que sincère , entière amour Que je te voue et tout entière Sincère que soit cette amour,
Mon caractère diabolique Parfois ne sait pas abaisser Un orgueil vraiment babélique Qui, lui , ne vuet pas s’abaisser.
Ah ! Courbe-le, mon caractre, Piétine-le donc sous le tien : Mon cœur t’est là pour partenaire, Mon âme est là pour ton soutien.
Mon cœur qui t’a donné ma vie, Mon âme dont tu tiens les sceaux ! Pardon pour mes péchés d’envie, De colère, et tous crimes sots.
D’ailleurs je les expie assez Toutes ces mes infractions Loin de toi, sauff en laps préssés, Par de telles privations !
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Profile-supprimé — 01-01-2010 12:28 |
C 'EST DROLEMENT AMUSANT CA ! ça ! ça !
Ombilic des limbes
galope dans la nuit, Comme va l’âme, de jour et de nuit Seuls des mots sortent et se distinguent galopent et suintent jour et nuit Quant aux autres on les laisse glisser là, doucement Ils sont ma Vérité dite avec acharnement, Selon les lieux ou bien le moment, Se heurtent de temps en temps, n’importe comment. Parfois ils se bousculent et chutent dénués, ou vont à cloche-pied, Mais ils ont la douceur de cette liberté Que sans lui, je ne l’aurais espéré. Tantôt explosent là, devant mes yeux, Avant même les avoir déchiffrés, Un chant qui surgirait d’ailleurs, Soudain du fond des profondeurs. N’ont même pas la beauté calculée, Ils sortent dans la fureur aussi dans la ferveur, Des choses du dedans qui ne sont pas encore dites, s’élisent parfois se contredisent en lyse. Et va dire aussi ma sottise. Tu sais que toi aussi, tu y as mis du tien De cette colère inconsciemment aiguisée, Ne serait-ce que pour montrer, enfin Que jamais tu ne seras jamais aimée. Tu sais, la raison de cet épouvantable combat Qu’avec lui, ce fut la guerre des nerfs, Que bien qu’oppositions abondent, Beaucoup d’autres t’auraient virés, Depuis bien longtemps. Ces mots n’ont point de grâce, et n’en cherchent pas Aucune rigueur corruptrice, ici n’est de mise, ils coulent, disent et hurlent au vent ma bêtise, guéridon, guéridon, voit ta table est mise. Je l’ai aimé, oui, comme aime une enfant. Le coup de pied dans le désir, la corbeille en papier, Tu le savais déjà, sans le savoir voilà. Tu as vu ton pied, jeté là dans ton sac. Devant sa porte, voilà. Il a fallu bien des détours Pour qu’aujourd’hui tu voies. Ce qui était au fond de toi. Écrire pour moi est une galère, qui n’a pas Volonté, Écrire pour moi est une galère, je ne peux assembler. Parfois j’ai dans les yeux,mais je ne vois pas claire Ces mots le Bien appellent, le Mal me poursuivait, ils portent en eux leurs plaies, Qui aujourd’hui renaissent. Trop de choses se bousculent qu’on appelle création, Les écrits me font peurs, car ils sont trop parlants Cependant, c’est la seule façon d’écrire en chantant. Écrire en se perdant est ma seule solution. Sans la supervision je laisserai tout dedans, Oh, non pas par paresse, Oh, non pas par envie, C’est qu’un lien me relie à lui. Tournée vers l’orient, où à deux pas de lui, Je pense certainement Que je pourrai écrire ! Et créer en même temps. Mes écrits me font peur, ils marquent ma stupeur, D’un enfant qui ne veut pas grandir, et n’aime pas l’occident, Cette lente décadence, de tous nos sentiments, Qui serait confluente, à ces écrits pareillement. Écrire est une chose , les faire lire autre chose, Imprimer diffère d’une autre, pour lui certainement. Je peux aussi être claire et distincte, Sans travestissement et abandon. Ces mots s’entrepêchent et ne s’annulent nullement. Je vous prie, laissez-moi le temps. l’angoisse n’est pas support de ces simples mots là, Au contraire, ils s’affolent, du temps au pas encore. Ne voyez-vous pas que ces mots-là s’appellent ? Ça coule de source pourtant, Mais, laissez-moi le temps. Je vous promets en retour, quelques jolies paroles, Rien que pour vous remercier tous, Et surtout vous, Qui en avez subi beaucoup. Pardonnez à la vieille, la crème et la bâtarde. S’il vous plaît.
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Profile-supprimé — 01-01-2010 12:30 |
Sur les chemins
Sur les chemins du temps Infiniment grands, Immensément dolents, Va notre vie crépusculaire, Doucement, lentement va, A petits pas, Lentement, Silencieusement, va, Ainsi que nos premiers pas.
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Profile-supprimé — 01-01-2010 12:31 |
La Bâtarde, la Crème et la Vieille
Oh ! Bâtarde étrangère infortunée, malhabile, Tu maraudes, Gitane dans les champs les vergers, Mais puisque tu as faim que tu pars en exil, Rustre et entêtée, tu ne sais jamais dire, merci. Barbare elle pleure, veuillez lui pardonner. Oh ! La Crème confesse, de vol de ces fruits, Et boit aussi son doux miel, jusqu’à la Lie De ses errances éclairées et parsemées ; Mais ce n’est point la partance en l’exil, Que ce jour, je suis venue vous demander. Inique si dans vos mains, remets ce que j’ai volé. Oh ! La Vieille si pauvre, comme Aphrodite tu es, Et si docile sur ces chemins, belle naufragère, Les sages eux, font des gestes socratiques, Laisse-les donc parler, de croisées platoniques, Ils parlent d’amour, mais sans savoir y faire. Pardonne leur Bâtarde, Crème et la Vieille. Et toi ! Tzigane errante dans ses chemins futés, Allume les cheminées de feu pour y festoyer. Admire intensément le soleil, se lever, se coucher, Dans sa roulotte vagabonde, rouée et rusée, Tout y était couché, depuis bien des années. L’écume du jour, l’aurore y étaient apprêtées. Va ainsi, la Bâtarde, la Crème et la Vieille. Va ainsi, La Bâtarde Va ainsi, La Crème Va ainsi, La Vieille.
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Profile-supprimé — 01-01-2010 12:34 |
Un oiseau m’a dit
Un oiseau m’a dit au petit matin, Regarde par la fenêtre Ce temps merveilleux ! Laisse ces vains écrits Où ton âme se mire, Dehors scintille la vie. Laisse là ton chagrin Ça ira mieux demain ! Ferme ces vieux livres Où ton esprit s’enlise Dehors la nature rit. Dépose là ton manque Et tes idées navrantes ! Éteins cette musique Où ton coeur s’engourdit Dehors les enfants crient. Jette là cette mélancolie, Et reviendra l’envie ! Mets ta plus légère tenue Flâne dans les rues, Plante- là ta solitude, Tu ne te sentiras plus Inexistante et nue ! Tourne la clé, en ce jour Va saluer le Louvre, Ou le Luxembourg. Oublie là ton ennui Tu renaîtras ainsi ! Alors ? … Non ? …
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Profile-supprimé — 01-01-2010 12:36 |
L’enfant et l’orage 1 Elle court, vole, saute là, Parmi les ronces les potentilles Son petit corps menu frétille, La bise siffle et lui murmure, Qu’il est temps de quitter son pré d’azur, Mais, elle rit aux éclats ! Elle exhale, ici, étalée, L’effluve soufré qui monte de la Terre. Des nuées noires courent dans le ciel, Vite, le tonnerre mugit à ses oreilles, Mais cette petite est téméraire. Dit, pourquoi t’es fâché, là-bas ? Elle palpe et goûte là, Cette ondée qui sur ses joues ruisselle. Dans ses yeux d’onyx, la joie étincelle, Son minois rosi de plaisir s’éclaire, Sa toison, au vent mêlée, reflète l’éclair. Elle scrute l’éclat, et reste là. Et un, et deux, et trois… Son doigt pointé sur la voûte peinte, Compte les lueurs de cette aquarelle, Suppute pour l’atteindre, fait les pointes, Tout à coup vacilla, les jambes trop frêles. Et vlan ! Patatras ! Va-vite ! Écoute ! Les cloches te somment de rentrer. Prend son élan, tout essoufflée, Puis, ses deux petons joints, sautille Dans cette fantastique flaque d’eau. Oh ! Que c’est rigolo ! Le chaton mouillé rentra, Soudain, une grosse voix gronda, C’est là, une tornade qui s’annonça. Elle baisse la tête en guise de dépit, Hausse les épaules, se dit tant pis. Moi, j’aime bien ça ! C’était un jour de fête Pour cette enfant-là. Elle avait l’âme d’un poète En ce temps-là. 14 – Déb. Déc. 2003
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Profile-supprimé — 01-01-2010 12:38 |
Un oiseau m’a dit
Un oiseau m’a dit au petit matin, Regarde par la fenêtre Ce temps merveilleux ! Laisses ces vains écrits Où ton âme se mire, Dehors scintille la vie. Laisses là ton chagrin Ça ira mieux demain ! Fermes ces vieux livres Où ton esprit s’enlise Dehors la nature rie. Déposes là ton manque Et tes idées navrantes ! Eteins cette musique Où ton coeur s’engourdit Dehors les enfants crient. Jettes là cette mélancolie, Et reviendra l’envie ! Mets ta plus légère tenue Flânes dans les rues, Plantes là ta solitude, Tu ne te sentiras plus Inexistante et nue ! Tournes la clé, en ce jour Vas saluer le Louvre, Ou le Luxembourg. Oublies là ton ennui Tu renaîtras ainsi ! Alors ? ……Non ? …… Mon œil rageur s’abattit sur l’oiseau Qui d’un bond s’envola bien haut. Et rien ne m’inspire Je n’ai le goût à rien, Le cœur drapé de noir, Je reste enfermé jusqu’au soir.
9 – Sept 2003
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Profile-supprimé — 01-01-2010 12:40 |
Christiane,
Oh, Ma sœur si tu savais comme je t’aime ! De cet élan pur, puissant, frais, éthéré. Te serrer dans mes bras chaleur fraternelle, Jamais un jour je n’aurai osé l’espérer. Tel l’enfant errant qui revient au bercail, Après quarante années, selon sa destinée, Retrouve ce lien immaculé, sans faille, Avec un peu de son identité réincarnée. Mon cœur ému n’est plus seul au monde. Mon être blême auprès de toi a existé, Tu es ma fleur vermeille voguant sur mon onde, Dans mes yeux perle une goutte de rosée. Que de craintes d’affronter ce retour douloureux ! Si nos yeux s’étaient croisés au hasard d’une rue, Avec l’abîme du temps je ne t’aurai reconnue, Nos souvenirs d’antan ont triomphé des dieux. Je t’ai cherchée comme une preuve sans voile Moi qui pansais les tristes plaies de mon oubli, Sentir ton cœur battre contre moi, je revis. Cette lueur précieuse scintille telle une étoile. Nous reliant nos vies, refaisant connaissance. D’amour et d’éclats de joie ta vie s’est nourrie Malgré le deuil de ta chair, épineuses souffrances Aux voies de ton destin tu t’es épanouie. Devant ma vie ratée tu es pleine d’indulgence, Car la petite que j’étais n’a jamais su grandir Perdue sur ses sentiers d’amour, haine, violence, Un jour de grande solitude, a préféré périr. Tu cherches des photos de ces vieux qu’on adore Nos rires, nos peines d’enfant affleurent à tout va, Et puis nos turpitudes bien innocentes, d’alors, Cette gorgée de souvenance est douce amère à la fois. Quand nous fûmes séparées j’étais bien trop petite, Pas trop encore viciée par le mal et le doute, Je ressens auprès de toi cette transparence naïve, Me demandant sur quels écueils a échoué ma route L’enfance a tant de vérités profondes ! Son regard est plus pur que les grands. De liens de sang différents en ce monde Nos âmes inaltérées malgré les flux des ans. Je t’aime, tu es heureuse et cela me ravie Tu m’aimes, contente de t’avoir retrouvée, Nous ne rattraperons pas le temps évanoui Plus rien maintenant ne pourra nous éloigner. Amour que devons à nos parents nourriciers Qui nous ont donné bonté, respect, égalité, Nous qui étions tous des enfants abandonnés Ils seraient heureux de nous savoir rassemblés. Demain nous irons les saluer, avec Romain, Lui aussi déchiré, mais que j’ai retrouvé, Et nous irons tous trois main dans la main, Tirer un distingué pied de nez à notre destinée. Et puis chacun reprendra son chemin pas à pas La petite vous dira, en vous serrant bien fort, Vous êtes ma seule famille, je ne suis plus hors, Maintenant que je vous ai réuni ne me quittez pas. Christiane ma sœur je t’aime.
les liens du coeur sont les meilleurs
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Profile-supprimé — 01-01-2010 12:41 |
Ah ! Prométhée
Tu dérobas le feu du ciel pour le transmettre aux hommes On se moque bien de toi, isolé tu seras puni pour ce vol Condamné à l’horizon infini sans, rédemption à le payer Zeus ou le birbe le premier te fera pour toujours enchaîner.
Le Caucase n’étant pas assez froid, le paysage gelé Un aigle subtil te rongera le foie qui sans cesse repoussera Sous le regard de Saturne le trois qui riait aux éclats, Tel le supplice chinois d’une cruauté toute raffinée
Ta souffrance imposée par l’ordre public sera aiguisée Ton angoisse ne s’éteindra qu’avec ton firmament Ton désir est l’assassiné afin d’en être soulagé Rassemblées toutes les plaies répétées ton chaland.
Torton, et rues croisées d’angoisses sont ton Éole Dieu romain des semailles, Cronos, Soleil ou bien Titan Une bestialité grossière toute soignée sera à ton école. Tu danseras mortfil sur le sabre à double tranchant.
Tu dérobas le feu du ciel pour le transmettre aux hommes On se raille bien de toi, éloigné tu seras puni pour ce vol Sous le regard de la marée et l’écume moussante de la mer Les arbres pleurent dans la forêt, sous leurs masques d’ébène.
4 décembre 2008
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Profile-supprimé — 01-01-2010 12:42 |
L’enfant écorché
L’enfant va à s’éprendre et rompre, Son œil souple, ardent et tendre, Sent qu’il ne déplace pas les ombres, Ses lourds fardeaux au fond, déposa là. Tapit limpide, ici dans la rosée, Murmure là au soleil ses espoirs Gazouille au vent mille pensées Dit à la terre connaitre Orphée. Frêle, confie là céans au rivage cruel, Tous ses chagrins et ses conquêtes, Qui lui enserrent et glace le cœur, Mais aussi qui souvent le désaltèrent. Préssent au loin comme une vague, Agile et preste en extrait une lueur. Son audace insolente fredonne Aux rives de ces lointaines berges : Regarde-moi : J’ai même pas peur ! Pauvre enfant, perfide , trompeur, félon d’ocre et de cramoisi lueurs, Rebel éclat, flamboyant et indigne Cruelle butée, douce écorce, splendide, Brame à tue-tête, maitrisant sa frayeur, Va, encourageant tendrement son cœur. Ainsi, va l’enfant Opiniâtre et fourbe. Ainsi, va l’enfant Ecorché de son piédestral Ainsi va, l’enfant, Rompu de tant de liberté.
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Profile-supprimé — 01-01-2010 12:44 |
Un/connu, tasse à lier
J’ai esquissé un faux ami Qui s’apelle Tasse Ignie, Robin des bois Dé Oh ! Psy ! Sur le Post no-made lande Où germe / n/analyse Et son monde utilise. L’Identique est sa librairie, De mauvaise a/n/alyse. J’ai trouvé cela très triste, L’infiltration nef passante. Rétension de mauvaise a/loi. Grand bien lui fasse ! Qu’il casse les tasses, Et les débris, amasse. Je sais que la sureté de sa loi Un pair revers le brisera ! Abolition a/vocat/ion, Versera heo de sa fonction. En attendant, il me fait honte Passionnée de cette profession.
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Profile-supprimé — 01-01-2010 12:45 |
Pauvres Petits…. ! Ecoutez braves gens le silence Ecoutez ce petit là. Ecoutez les cris du silence Ecoutez ces enfants là. Où étiez vous derrière vos fenêtres, Où étiez vous derrière vos murs de béton. Il avait à peine six ans, Elle n’avait pas encore un an. Ils se sont tus dans l’indifférence Ils se sont tus définitivement. L’un battu a mort seul avec sa douleur, L’une éventrée, dédalle de l’horreur. Où étiez vous maîtresses et infirmières, Où étiez vous protection de l’enfance. Ces petits là ne parlent pas. Ces enfants là ne trahissent pas. Parce qu’ils ploient sous l’autorité, Parce qu’ils sont trop frêles pour crier. Parce qu’ils sont impuissants ou ont peur, Parce qu’ils pensent mériter leur douleur, Parce qu’ils se sentent seuls au monde, Parce que leur honte est profonde. Où sont ceux qui savaient et n’ont rien dit, Où sont ceux qui savaient je les maudis. Il a grandi dans la folie, Elle était à l’orée de sa vie. Ouvrez les yeux ! Braves gens sur le silence. Ouvrez les yeux ! Sur les cris du silence. 13 – Déb. Déc. 2003
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Profile-supprimé — 01-01-2010 12:47 |
Dis mon cœur,
Je te sens revenir abominable houle, Avec tes raies chatoyantes empourprées. Tu tisses ta toile irisée et m’enroule, Dans ton canevas de filins enchevêtrés. Je te connais bien, va, n’essaies pas d’approcher, Attention mon cœur, cours, vas vite te cacher, Avant d’être emportée dans ses ailes moirées, Et ses nuages d’encre où tu vas te noyer. Vas, passes ton chemin, ne me tends pas la main, L’air empeste ton âcre odeur de myrrhe, Tes relents d’extase mystique me font vomir, Vas, passes ton chemin ne croises pas le mien. Avec toi, j’essaie de composer, glaciale, Dans une fuite éperdue que rien n’altère, J’échoue au hasard sur la grève liliale, La coque efflanquée de nacarat austère, Scorie éphémère dans mon servile enclos, Visqueuse et engourdie où je vacille, Je me sens partir en exil les yeux mi-clos, Infirme, résignée, au vent je m’éparpille. Un petit bruit sourd te murmure à l’oreille, Oh ! Misérable ! Regarde ton âme flétrie. Pourquoi ce désespoir que cette lueur éveille ? Dans cette bruine fétide mon corps s’enfuit. Je te connais bien, vas, ne me tends pas la main, Je te connais bien, vas, passes ton chemin, En attendant demain.
16 – Déc. 2003
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Profile-supprimé — 01-01-2010 12:48 |
FLEYER
Bel oiseau blanc Qu’a-t-on fait de toi, Tu devais voguer flânant, Sur la mer bleu du vent. Virevolter avec le soleil Levant et miroitant Dans l’infini de l’horizon. Bel oiseau gris Te souviens-tu, dis, Ce jour là, à Hiroshima, Tu as dû croiser en passant Un nuage vêtu de noir, Ton aile couvait une nuée De corbeaux blancs. Bel oiseau mauve Les oiseaux épouvantés Ont fuient sur ton passage Et les étoiles hurlantes Se sont tachées de sang, Tu as semé dans l’herbe La boue, le feu, la cendre. Bel oiseau noir Qu’a-t-on fait de toi, La lune syncopée net, Tomba dans le caniveau, Quand elle perçut l’horreur, De l’amas de poussière De tes ailes déployées. Indicible honte de l’Humanité. Oiseau d’espoir, Promets, dis, dis le moi. Plus jamais ça, fini ! C’en est assez comme ça. Les enfants, les oiseaux, Les fleurs, les cours d’eau, N’ont pas besoin de ça. Oh ! Fleyer, j’ai honte de toi, Oh ! Fleyer, je pleure sur toi Hiroshima. 18 – Déc. 2003
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Profile-supprimé — 01-01-2010 12:51 |
La Mer,
Ce matin, dans la mer mon regard a plongé, Pour y interroger toute l’immensité, Une larme, doucement, est tombée, Qu’une vague rouge sang s’est empressée d’emporter.
Une brise douce amère, près de moi est passée, Me soufflant à l’oreille mille faits supposés. Et mon coeur, soudain s’est mis à tournoyer, Comme une feuille morte qui voit s’enfuir l’été.
Un petit diable soudain, a surgi de colère, Pourquoi ces illusions, pourquoi ne pas les taire ? Et déposa près de moi un petit coffret doré. Qui avait une si belle, si jolie petite clef
Je le pris sans mot dire y fourrant pêle-mêle Toutes mes idées, souvenirs, espoirs inachevés. Et dans la mer, au loin, y ai jeté la clef. Le soleil s’est couché et mon corps a sombré.
Mille elfes, autour de moi, se sont mis à danser, Me prenant par la main pour m’emmener visiter, Tout ce dont j’avais rêvé, mon âme a tremblé Et a voulu rattraper ce petit coffret doré.
Ce matin, dans la mer mon regard a sombré, Pour y interroger au loin, toute l’immensité, Le soleil s’est couché et mon âme envolée, Qu’ une vague rouge sang s’est empressée d’emporter.
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Profile-supprimé — 01-01-2010 12:54 |
Le silence
Mon silence est une prison vermeille, Mon silence cri et hurle au dedans, Mon silence est une tombe ouverte Qui peux à peu m’enterre doucement. Comment dire qu’au fond je m’y plaise, Comment, pourquoi, le sais-je vraiment, Comment crier, hurler ce que je taire, Si aucun mot ne peut le dire clairement. Mon silence est bien à moi, au fond, C’est la seule chose que je possède, Et si je le crachais par terre, attention, Il se retournerait contre moi sans peine. Mon silence vit et me venge d’être, Il voile, évide et enroule mon passé, Et me permet de survivre, peut-être, Cocon gluant de mon âme cuirassée. Il apaise les heurts de mon cœur suintant, Dans cette maison aux murs fissurés Où le sol de glaise bien trop mouvant, Risque à tout moment de s’effondrer. Il enlise avec lui mon désir de parler, Et si j’ose lui dire j’existe et veux sortir, Assourdissant, ahuri, il se met à tonner, De quel droit, pas question, je te l’interdis ! Oses, je te laisserai nue dans tes peurs Avec ton vertige, ta triste insignifiance. Oses, je t’abandonnerai à ta douleur, Avec ta vie foutue et ton absence. Mon silence est une prison vermeille, Mon silence m’enserre au-dedans, Mon silence est une tombe ouverte Qui peu à peu me tue doucement. n° 20 – Déc. 2003
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Profile-supprimé — 01-01-2010 12:57 |
On dit que je suis une gaga, C'est lui qui m'envoi ça .
Doncques suis uen gaga "n'hélas!" C'est ce que m'envoi lui à moi.
Moi qui suis une charmante garçonne j'dis à personne qu'il est quel...
Et si j'avais l'verbe superbe Et l'assonanc' je dirais....
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Profile-supprimé — 01-01-2010 12:59 |
Ce mal qui me ronge
D’où me vient cette abominable douleur, Qui poignarde mon pauvre cœur engourdi, Où diriger mes pas qui tressaillent de peur, Sur le sentier de ma ténébreuse nuit. Oh ! Aurore fébrile, folle âme damnée, Où l’âpre rosée brûle mes yeux maudits, Je vais dans cette bise sourde, infortunée, Vers quel abysse glacé, tu m’entraînes dis. Dans ce corps de neiges ensanglantées Et sa carcasse qui tremble et me supplie, Une bête infâme me ronge avec avidité Et se repaît de ma pourriture ensevelie. Ma cervelle va éclater à se débattre ainsi, S’épandre à mes pieds, puante et flasque. Oh, si je pouvais dormir ! Partir d’ici ! Dans ce brouillard poudreux sans frasque. Pauvre esprit mort né, simplet et stérile A quoi penses-tu donc sinon à ce licou, Convaincue d’impuissance d’être servile, Soudain ma fureur blême gronde tout à coup. Les yeux levés sous mes cieux gris et pluvieux Pointe mon doigt de sang sur son front étoilé, Crie et hurle meurtrit et le regard fiévreux Vers l’horizon violet et la lune argent : Allez ! Puis, reprends mon chemin à pas lents, navrante, Seule, indolente drapée de sombres oripeaux, L’amour vain lisse ma stupeur enivrante, Où ma faiblesse béante me lacère la peau. Allez vas, laisses les pleurs de l’Aurore là, Qui remplissent ton antre de mélancolie, Regardes au loin les rires du Soleil, là bas, Sors de tes rays nébuleux de ta triste folie. Je n’y arriverai pas, sans épée je suis née, Où diriger les pas de mon ombre asservie A quoi bon se battre devant, toi, destinée, Allons dresse la tête, vois s’écouler ta vie ! N° 23 – Déc. 2003
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Profile-supprimé — 01-01-2010 13:01 |
MERCI A TOUS DE ME LAISSER GRIFFONNER ! je tague comme une psychanalyste qui se doit de taguer tout ce qui se trouve sur son chemin hein ?
Hippogriffes
Les Vautours argentés d’essor d’Hippogriffes, Déploient l’Appât diapré d’enfants sauvages, Ingèrent l’égide enroulée, Hospice et Auspice, Tel le macassar voilé, de folie dionysiaque, De sarments pastel, éclaboussés de sang. Sépulcrale anathème de glace et flamme. Elle naquit là, sans connaître, Fit retour une fois sans vouloir, Aurore miroitante, sans paraître, Limier d’albâtre de désespoir. Ville où je suis interdite de cité. Tite-Live sans détour, Rémus et Romulus, Le sang dans les veines ne se divise pas. A Schweitzer, Camus, E M Remarque, Vous êtes mes frères et vous savez cela. A force de désespoir, on y perd la voix, Ces dartres d’écrits morts, sur du papier, Pour aller en paix, mémoire d’harmonie, Mémoire qui cherche un accord, allez va ! La guerre 14 éventra en ton sein pitoyable , Tous les bébés mâles qui se trouvaient là, Les femmes affolées ne les déclarant pas, Alors les serres aiguisées, du vautour, Dans les maisons força les portes, entra, Et les délangea avec perte et fracas. Ta cathédrale magnanime pris feu, Et toute la ville, de pourpre, éclairée Eclats de fer gravés dans la pierre, L’oui d’ enfants, mémoire abasourdi, Vision de ce feu d’artifice, ahuri, Meurtre, lueur, absurdité de vie. De deux générations ensevelies. Lionnes épuisées de créer pour la postérité. Leur lègue, opiniâtre, refuse le mot assujettir. Oh toi ! Ville de sacre, ville de rois, Entre toi et Rome, est gravé un sillon sacré, Où d’un coup de pelle, du centurion Celer Survécu peut-être Romulus, mais ensanglanté. Le royaume pâle de Napoléon y fut couronné, Et comme à Strasbourg il y fut glorifié. Pâle tin , Avant tin L’un en a six et l’autre douze Légende tardive de deux. Comme mes deux fois, six littres de lait Deux reconnaissances non reconnues Plus une inconnue, refuse tout oh, raison ! Non les femmes n’en peuvent plus. Entendez-vous, au loin, là-bas, Ces enfants candides ! D’un côté comme de l’autre, filous, Escamoteurs, riant à gorge déployée, Courant dans les layons de vignes ; Le minois barbouillé de ce fruit doré, Odorant, parfumé, les cheveux ébouriffés, Les enfants ne saisissent jamais la division Naturellement, refusent de prendre parti Instinctivement, ils empoignent la vie. Entendez-vous, au loin, là-bas, Ces enfants, qui crient !
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Profile-supprimé — 01-01-2010 13:05 |
contre une fausse amie
Les beaux sentiments Tout comme une armée Rappliquent fumants, Poudre avec fumée.
Rappliquent sans rien Qui rapelle l'ordre, Répliquent sans bien Savoir où mordre !
Mais, sachant de qui Provient le désastre, Zuluberlu Mal noyé, nul astre.
Nulle étoile ils ont Repris la montagne Et même le Mont Aussi, la campagne !
Or, tu m'as menti Comme une poupée ! Elle a ressenti, Mon âme trompée !
Et j'ai rappliqué, Telle notre Armée Et notre Clergé Vers-la-mieux-Aimée !
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Profile-supprimé — 01-01-2010 13:06 |
Qu’est ce qu’un groupe ?
Un groupe de loup c’est une horde Un groupe de vaches c’est un troupeau Un groupe d’hommes un troupeau de mouton cons Un groupe de psychanalystes…. ? Cherchez vous-même, Je ne vous le dirais pas !
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Profile-supprimé — 01-01-2010 13:12 |
vous vous êtes placé là exprès ? pour que je puisse vous faire des vers ?
bien continuons !
Une psychanalyste comme ça ce n'est pas tous les jours va !
je connais tout, même moi-même je ne sais rie, même de toi Je suis l'inconscient et j'aime Je ne sais qui, jusques à moi !
Mais je n'ignore pas quiconque, Et ce quiconque-là, j'y suis Pour lui parler si, dans la conques De son oreille , ce pertuis !
Il désire que je lui glisse Telle parole ou bien un mot Et s'il voulait qu'on lui foutisse Un compliment de matelot.
Je suis de ce siècle et de toutes Les décadences et je suis Cette pélerine qui, par les routes Et me congèle et me recuis.
Et sans peur ni de la mort verde Ni de la vie en rose, j'ai Pour réponse à tel propos gai, Triste ou riendutoutiste : M
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Profile-supprimé — 01-01-2010 13:18 |
Le mouton-pendule
C’est un mouton con, Qui frappe une pendule, Si possible à répétions, Pour évaluer la résilience. Si la pendule résiste aux chocs C’est une pendule physique. Si la pendule est apte et s’adapte, A ses affronts de stresse intense C’est une pendule psychologique. Si la pendule est coriace et braque, Estampée d’une voile à antenne. C’est une pendule psychanalytique Si la pendule reste en morceaux Docile et douce et communal C’est une pendule normal Et le mouton-pendule ira gésir Mouton de panurge
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Profile-supprimé — 01-01-2010 13:20 |
Marge, A, tracé, dans la marge, Esquissé du cadastre. Exaspère les mots, D’une parole éclatée. Cardé de long en large, Cardé là dans la marge, A, glissé. Là, dans la marge !
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Profile-supprimé — 01-01-2010 13:21 |
Le Guépard
La course du guépard est superbe, C’est un spectacle inoubliable certes, Mais fort rare, Car généralement on court devant !
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Profile-supprimé — 01-01-2010 13:24 |
Le Soleil Elargit
Reprenez vos désirs d’infortune L’expérience termine l’encolure Vos rêves mensongers non mien Votre désir objet inconscient en vain Me tire une balle dans la tête pour rien Le soleil élargit ses ailes sur la terre Et salue tout ce qui est beau dans le monde Il jette ses rallons chaleureux sur l’arbre vert Et fait ses adieux à une nuit profonde Puisque j’ai parlé au mur pour rien Puisqu’il n’y a jamais de vu en sien Votre droiture d’architecture reliure Vous me reliez inlassablement en siure J’ai décidé de m’en aller sans désirer Les roses fleurissent une odeur pure Le vent l’apporte aux oiseaux derrière les collines Tout éblouit dans l’immense azur Air frais, ciel souriante, nul brouillard et nul brume Reprenez donc ce que je vous ai volé Les dettes on le prix chair de mensonger De coup de couteaux chers vraiement lacérée Mon corps mon âme ma chair, pour vous ne vaut Remprenez vos manches ensanglanté vraiment Les heures pour que le jour engendre le crépuscule Et accueillir encore le charme de la lune Que des heures pour laisser le soleil qui brûle Et accueillir les étoiles qui dansent sur les dunes.
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Profile-supprimé — 01-01-2010 13:26 |
Désir Ce n’est pas compliqué Ni plus ni moins qu’en mai Ce n’est pas compliqué Ce que j’avais au moi de mai Ce n’est pas compliqué Puisque je n’avais rien Je n’ai rien à retrancher. Qu’à travailler dans la gaieté. J’aime ce que je fais Contrôle dans la gaieté J’aime ce que je fais Apprendre avec curiosité J’aime ce que je fais Tout patient étant unique J’aime ce que je fais Aucune théorie n’est pour lui J’aime ce que je fais Et doit faire impasse sur la théorie J’aime ce que je fais Parce qu’un individu n’est pas théorie Ce n’est pas compliqué Juste savoir se démarquer Ce n’est pas compliqué Puisque mes patients guérissent C’est pas compliqué Je ne serai jamais perverse eux J’aime ce que je fais Et pour eux il n’y aura aucune refente Ce n’est pas compliqué Et pour eux aucune violence. J’aime ce que je fais si ce métier Reste humain et pas bardé de théorie Ce n’est pas compliqué Juste les aider. Plus on se plonge dans la théorie Plus on se mélange les pinceaux Parce que quand même J’en ai trois qui s’en sont sortis En un an…et c’est le plus important ! Un bon psychanalyste ? Est celui qui sait rester à sa place d’humain. Et il n’y a aucune raison Pour que je sois psychanalyste triste. Pas question ! Et je vais récupérer mon imaginaire D’enfant si vous le voulez bien ! A quoi sert un psychanalyste Sans vie ? Et que c’est vrai il faut retourner à Freud Parce que à la fin Lacan ….tu…..dé…. C’est quoi un bon psychanalyste ? Chacun y apporte sa pierre. J’aime autant : Ferenczi, Winnicott, Alice Miller, Maleval, Green, Safouan, Leclaire, Laplanche….. Chacun à sa façon y on déposé Quelque chose de leur expérience. Et je vais continuer à aller au contact Direct de la population c’est ce qui me Convient le mieux, même si ça dérange. Au contact direct de la population. L’important pour un psychanalyste Et de faire qu’il y ait psychanalyse Et un désir pour son patient. La théorie là dedans elle passe Bien en second, un patient n’est Pas une théorie. L’important c’est le désir du patient. Je serai une psychanalyste vive et gaie
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Profile-supprimé — 01-01-2010 13:27 |
Psychanalyste universitaire examen De passera ou passera pas
1) Avant tout examen, vous êtes déjà sensé savoir de quoi vous allez parler De psychanalyse…. Qu’est-ce que la psychanalyse ? Qu’est-ce qu’un psychanalyste ? Qu’est-ce que l’inconscient ?….et tout le sain-fouin….Evidemment ! Sinon allez frapper à la porte d’à côté, C’est préférable pour votre matricule. Au hasard…. 2) Ensuite vous devez pensez que vous êtes à l’université et pas dans la vie la logique n’est pas la même, ici c’est théorie….pas la pratique….. Sinon prenez le premier couloir, à droite, Vous aurez le temps de réviser vos copies. C’est préférable pour votre matricule. Au hasard…. 3) Ensuite vous ne devez pas perdre de vue que c’est un examen une série dé/preuve, que vous devez réussir pour obtenir un titre…. Si vous ne voulez pas du titre Suivez la première flèche, à gauche, Si vous ne voulez pas subir la « question » Suivez le prochain couloir à droite…. C’est préférable pour votre matricule Au hasard…. 4) ensuite vous devez tenir compte de l’examinateur « Exa « à forcément un emploi archaïque de puissance « Minateur », il mine c’est sont boulot, mais c’est aussi Un retardateur détonateur de compte-minutes. Si vous n’êtes pas prêt pour être explosé à la puissance 12 Allez à la deuxième porte à gauche, devant vous… Poussez tout doucement la porte, mais sans faire de bruit, Et regardez bien la tête qu’a l’examinateur. S’il a une tête exa et un comportement minateur, Décampez vite fait et prenez de suite, la première flèche verte sortie de secours, elle est toujours allumée, vous ne pouvez pas vous tromper C’est préférable pour votre matricule C’est que vous l’avez échappé belle ! C’est que ce n’était pas votre jour…. Au hasard… S’il a la tête exa-seulement Tentez votre chance, souriez-lui S’il ne répond pas à votre sourire, Dites : excusez-moi, je me suis trompée de porte ! Refermez-la doucement et filez…. ! C’est préférable pour votre matricule Au hasard…. S’il a un comportement minateur seulement Vous pouvez rester, les mines vous connaissez Souriez gentiment, dites bonjour, Ne soyez pas trop sur de vous, Ce n’est pas bon, le minateur… Lui il aime donner la question. Allez vous pouvez y aller C’est préférable pour votre matricule Au hasard de la question……
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Profile-supprimé — 01-01-2010 13:28 |
Mathusalem
Devinez ? Aujourd’hui, j’ai vu mathusalem, Je vous vois venir…Eh ! Non ! Certaine que vous ne pensez pas Ce à quoi moi je pense en cet instant. Dans les White Mountains de Californie J’ai vu sans voir, en faux quoi ! Qu’importe j’ai voyagé sans voyagé. Imaginez : C’est un pin magnifique de toute beauté, De quatre mille sept cents années, Son tronc est superbe, noueux, imposant, Que bien des galopins aimeraient à escalader. Il existait déjà sous Kheops, Lui, en cet instant, je m’en balance, Cet arbre est aussi merveilleux Et solennel que la pyramide de Gizeh Et pas besoin d’esclaves pour cet art précieux, Dame nature, toute seule l’a fait, comme une grande. Devinez ? Il vit à plus de trois mille mètres Il est intelligent lui il va haut se percher Comme ça, on lui fiche la paix Et l’homme n’ira pas le dénicher Ni le saccager c’est trop haut pour lui, Il est trop paresseux, l’homme, pour aller là haut, Ou le disséquer par petit bout pour l’étudier. Heureusement…il pourra durer Voyez ? Il pousse dans le froid et au sec Raison de plus pour ne pas y aller. Il n’a qu’une toute petite croissance l’été, Et ne fait pas plus de 16 mètres de haut, Il faut voir son tronc ! c’est merveilleux Ses nœuds, ses veines inégalées, inimitables, On pourrait dire que c’est un arbre retardé, Vous vous trompez il est simplement magnifique. Dommage que la photo est écrite Et divisée sur deux pages. J’aurai aimé le mettre sous cadre. Il y a tant de chose dans la nature Simplement superbes si l’on sait regarder Et s’y attarder…. Voilà je voulais vous donner l’envie De le connaître, c’est fait !
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Profile-supprimé — 01-01-2010 13:31 |
Innéfable Postulat
Ah ! Comme ils s’aimaient, s’aimaient, Ils riaient, ils chantaient, ils pleuraient, Plus souvent d’ailleurs, de maux, Ils riaient, en disant je t’aime, Mais, comme le mot de passe du temps, Est un soupir ardent, apparemment ; La dernière heure de l’un, Est la première innée d’un autre. Ah bien oui, quoi, évidemment ! Il y a, paraît-il, comme de coutume, Les fruits de la terre inattendus, Ni permis, ni volés, ni défendus, Tandis, qu’Adan furieux se rebellait, De n’être pas l’unique premier venu. Il commença à regarder Dieu de travers, Tel, deux Huns préparent un Tartare stèque. Il pressentit qu’il l’avait fait à son image. Et s’amusait au bilboquet avec la Terre. Et c’était bien dommage, quand même ! Ne serait-il pas, un birbe hippophage, Qui a confondu l’électricité, Avec la grande faucheuse morte ? Où, travailler ici bas, sans relâche, Sortie de secours toujours fermée, En attendant le brancardier. Et que le rideau soit à jamais baissé. Ah ! Comme ils s’aimaient, s’aimaient, Ils riaient, ils chantaient, ils pleuraient, Tandis, qu’Adan furieux se rebellait, De n’être pas, l’unique d’origine, venu. Il continua à regarder Dieu de travers, Avant que le ciel lui tombe sur la tête. Son morceau de côte, insolite Ève, Dans la main, échoua dans le désert. Depuis ce jour, il bégaye, bégaye, Et marche comme un crabe de travers. Les jours d’orage, reste dans un coin muet. Un sous-entendu silencieux, régnant, profondément, Dans son cachot, là, planté au milieu du désert. Et creusèrent autour d’eux de sanglantes ornières. Ah ! Comme ils s’aimaient, s’aimaient, Ils riaient, ils chantaient, ils pleuraient, Plus souvent d’ailleurs, de maux, Ils riaient, en disant je t’aime !
Vénus
La Vénus de Millo, Serait moins attirante Si elle avait ses bras. J’en cherche encore les morceaux !
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Profile-supprimé — 01-01-2010 13:32 |
Les organismes coupe-gorge
Ce sont les amis Coupes-gorges, Des cercueils à rouges-gorges, Qui fourbes, émargent et acculent Un peu plus ceux qui sont dans la crotte. Coupe-gorge autorisé par l’Etat et le Droit. Chacun y trouve son écu, au début, Avec le temps, étranglera le pinson, Généralement ceux qui en ont besoin, Si possible, celui qui est déjà étranglé, Plus de travail, des oisillons et pas de pain. Prenez garde, aux canailles de petits chemins. ! C’est je t’aime viens chez moi, Chez moi les taux sont le plus bas, Tu verras, ce que tu verras, Oui, mais entre-temps, On verra effectivement, Que le taux est journalier, C’est loin d’être journalier, Plus vous remboursez, Plus vous faites plumer. Et les petits rouges-gorges se mettent à crier, Au voleur, à l’usurier ! Au voleur, au meurtrier ! Ah bas les malfaiteurs Détrousseurs prêteurs ! Trop tard, petits rouges-gorges, Vous vous êtes fait plumer ! Avant, il fallait y penser !
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Profile-supprimé — 01-01-2010 13:35 |
Recettes de grand-mère
Les jours de fièvre C’était les sangsues Une épure de brume Les jours de glace C’était le sens su L’oiseau lyre sans plume Les jours de faim C’était le s’en su Le vasque ire et son enclume Les jours abandonnés C’était le sang su Une brindille libre d’inquiètude Les jours de fin c’était le sans su Le désert lige de solitude
13 décembre 2008
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Profile-supprimé — 01-01-2010 13:36 |
Arbre à lego
Il y avait à droite, un arbre en l’ego Ce n’est pas grave s’ il n’était pas beau Ses branches repliées ver le haut Dans un vilain filet déchaînéo Let’s go. Il y avait un morceau de rail Sans origine et sans départ, Planté bien au centre par hasard Qui allait et venait de nulle part. Mica do et darde. Il y avait un fabricant de maisons, Qui gruait à gauche un tas de maisons, Dans un immense terrain vague pourtant En mil morceaux en vrac, là déposés dedans. Évidemment. Il y avait un être là toutefois, un grimoire, Dont le cœur naviguait d’ attente en désespoir Qui malgré cela peinait amalgamant les trois, Même sans sac est le lisse et frêle son accotoir, veut voir. L’accord y est là, sans savoir de mise Quelle que soit son inconsciente chemise, Son éco d’ harmonie même si sur le seuil crise, La vergue finale du mât traînardo réverbère et hisse. Marie-Lyse
Ceci fut écrit à l’unisson Avec un tableau Remerciements sans son Pour monsieur JML
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Profile-supprimé — 01-01-2010 13:38 |
Dracon
C’est un enfant qui a une poutre dans l’œil gauche Et une flèche dans l’œil droit. A cause d’un voilier dans une bouteille, Il avait l’art et la manière d’y faire rentrer. Au bout de la table de pêcheurs calypso Où les chiffres sont inversés 3, 2, 1 zéro. Il y a très, très, longtemps, Dracon, Edicta les lois écrites avec du sang. Archonte sur monographe, il avait le droit législateur, Mais lui au moins il était franc, Il le publiait carrément. Il céda le bail à Draconien, Qui fait suivre un régime sur terre Voir inhumain, ça ne change guère, Aussi austère, aussi sévère, Toujours avec du sang Pigmenté d’enfant vertical, Celui d’ enfants soldats.
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Profile-supprimé — 01-01-2010 13:39 |
Pauvre Vénus de Tépé
Avant le phallus tu existais évidemment Assise par terre comme l’enfant impuissant Sur ses chemins mélancoliques d’antan Quand la vieille fil morteuse dit sans adage Arrête de bouger, tu vas finir par me tuer. L’enfant lui prend ces mots au premier degré La langue des grands encore ne connaît pas. Son inconscient lui parle d’homme et de femme Laissés dans les grottes en même temps et à la fois. Les hommes t’ont fait sans effigie de tête, Sans pied,sans bras, sans main, sans ventre, Mais comme il fallait te concéder le faite d’être Ils t’ont fait un cou creux et des seins de géant. Pauvre Vénus de Tépé sais-tu pourquoi Une de tes jambes est blanche et l’autre grise ? Pauvre vénus de Tépé sais-tu pourquoi Les mâles toton t’ont faite par terre assise ?
5 déc 2008
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Profile-supprimé — 01-01-2010 13:41 |
Dis-moi jouissance
Dans quel fourré tu t’es planqué ? Vous pouvez y aller tiens, critique, Dans mon fouillis de mots Pour essayer de trouver les clefs D’une analyse structurée, Structurale par tous les temps, Automne été printemps Une langue étrangère erre, Et les mots se téléguident Bien au-delà de vos critiques Mais il ne suffit pas de se tenir A une grammaire, encore Faut il pouvoir remonter A la source même Dans quel fourré tu t’es planqué Nul n’est sensé qui ignore la loi Nul n’est insensé qui ne l’ignore pas.
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Profile-supprimé — 01-01-2010 13:43 |
Après télé
La Télé-réalité Comme si il n’y en avait pas assez De la réalité… La Télé-science. Pauvre porc ! La vitesse de la microbille Dans la carotide du porc A frôlé les 40 km/h. Quel voyage fantastique ! Pour ralentir il faut des billes aiman /tées. La télé-créationniste Outre atlantique, Le courant du « dessein intelligent » Séduit de plus en plus, néo/créationniste Les architecte aurait pensé et dirigé L’évolution de l’univers et tenez vous bien, Des êtres vivants….vlan ! Barrez vous si vous avez le temps ! Les télé-astrophysiciens chinois, « loufoques permettez moi » Essayent de montrer qu’un message De milliers de caractères est contenu Dans le rayonnement fossile émis par Devinez quoi….le big bang…. ! D’ici là que l’on fasse revenir Dieu Avec un petit morceau de tissu.. Ou un petit bout de vide, de rien, On en est guère très loin ! La télé-paléontologue On en sait dorénavant plus sur l’agonie De certains dinosaures ah ! bon ? Un homme néolithique « ötzi » A bien été assassiné, si, si, C’est vrai ! La télé-comportementalisme Le réflexe de Pavlov Existe aussi chez la blatte, Ce n’est plus le chien, tiens ! Mais comme c’est qu’une blatte Elle n’a pas de nom, tiens bizarre. Si, si, c’est vrai ! La télé-cannibale, L’araignée Argiope est une adepte De la ceinture de chasteté, Ça, c’est pour le cannibalisme sexuel ! Si, si, c’est vrai ! Télé-crachats Le poisson Archer qui connaît L’art du crachat, chaque tire est filmé… Intéressant, vous connaissez ? Quand vous irez vous baigner Vous serez pleins de crachats ! Il n’y a pas besoin d’aller Si loin et voir les humains Cracher avec une tuberculose Revenant à toute pompe ! Télé-physique Un physicien écossais Charles Thomson Aurait décidé de recréer les nuages Il a réalisé sa première chambre de brouillard Ça commence comme ça.. On ne sait jamais où on va La guerre du temps Dans combien de temps ! Télé- Mr et Mme couple sexuel canard. Chez le canard arlequin Le mâle a un petit phallus (Phallus ou pénis ? c’est selon) Et il ne viole pas la femelle. Mais le vagin de celle-ci est normal. Freud que dis-tu de cela ? C’est un impuissant obsédé…Non ? Mais chez le clanguda hyemalis, lui C’est le contraire, il a un long phallus. Et lui, viole la femelle, Mais elle a un vagin en tire bouchon Pour empêcher la pénétration. Et toi Lacan, quel est ton avis là ? C’est une hystérique pour sûr …Non ? La Télé-espace Etes-vous au courant, Qu’il y a des parkings, Situé sur la ligne imaginaire Qui relie la Terre au Soleil. Dans l’espace quelquefois Que vous voudriez allez y Faire un tour à la pose café, Chemin le plus court Pour faire des économies ! La télé-médecine Chose plus banale, le foie gras, Parce qu’il y en a qui doivent En manger tous les jours à Quatre heures sur une tartine beurrée, Bref , nuirait à la mémoire, Attention, hein, au foie gras ! Mais ça c’est bien fait C’est l’oie qui se venge De l’avoir rendu malade, A la longue elle en a marre ! En méditerranée nous avons Une algue tropicale inquiète, Comme elle est stressée, L’Ostréopsis, elle migre, Question de comportement ! Si vous la rencontrez, Elle vous refilera ses symptômes, Respiratoires, évidemment ! Il faudrait lui refourguer un peu De Valium à celle-là…ou un coup De serpette ….Enfin ! Ce que vous avez sous la main. A 1 mm près, on sait où se Trouve le centre de la Terre Super !à cause de l’élévation Du niveau de la mer et de La fonte des glaciers, C’est d’une importance extrême De l’ordre du millimètre. Et pendant ce temps-là Je suis là ,moi, simplement là, Souillon de culture, Inculte, planté sur terre qui évite Les pendules, les interdits, Et profite du rayon de soleil, Qui voudrait bien qu’on le laisse Rêver, manger, imaginer, marcher, Naturlurer, peinturlurer, chantonner, Respirer, regarder, ne pas se faire disloquer. De tous les côtés, simplement là. Qui s’occupe de simples hommes Dont les maux sont plus terre-à-terre. Et qui veulent tout simplement vivre. Et au mieux avec cette terre de rêve. Et je sais que sur le terrain les sciences C’est bien joli, utile, mais peu y ont accès. J’ai rencontré des sidéens que L’on avait trépanés, peu avant de mourir. J’en ai rencontré des enfants cancéreux Malheureux, à bout de souffle. J’ai rencontré une jeune droguée, N’avais qu’une jambe prothèse, De la sécurité sociale, le moignon Blessée, chaque jour qu’elle a vécu. J’ai rencontré des mourants, Où il n’y avaient pas d’établissement D’accueil pour leur fin de vie. Comme il est conté. J’ai rencontré le non-droit et aux soins Pour tous. Des lois nons encore appliquées Aux handicapés. Des non droits au logement pour tous. J’ai rencontré des gens des camps, ou Qui ont subie la guerre… J’ai rencontré J’ai rencontré ….. Laissez nous rêvé un peu s’il vous plait. Regardez simplement là. Il y a tant de souffrance sur terre. Près de l’homme et de nous. Les hommes ne supportent plus L’anormalité, pourtant c’est beau Après l’atomique il y a eu le napalm Après le napalm la guerre chimique Après ….Avant… ; Apès… Mais j’ai quand même bien rigolé Surtout avec « ötzi »assassiné ! Les faits divers en font tout autant ! Mais c’est aussi très intéressant Et sans doute faites aussi votre métier Avec passion.
Amour
Cet amour Il faudrai le repeindre !
Le Pouvoire
Ne protège pas Il se protège
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Profile-supprimé — 01-01-2010 13:45 |
Qui est Coquecigrue ? (1)
Il y avait, une fois, une femme, Dans une coque qui faisait la grue, Qui fait la grue. Ou bien, il y avait, une fois, un coq, Lui, qui fait la cigogne-ciguë, Oh ! ne vous inquiétez pas, La coque ,ou coquille est vide, Pour les deux j’entends, Donc, logiquement sans valeur. Aie ! ciccum, quand même ! Une membrane qui sépare les grains de la grenade ! Bref : D’où peu de chose Grue dé/verbale Né de gruer …attendre ! D’où faire le pied de grue… D’où muser, s’amuser à des riens…. Pour les deux c’est très bien.
Qui est coquecigrue ? (2)
Vous allez voir ! Fantasmatique, imaginaire Comme Platon avec le dahu. Comme mon ami Rabelais Avait une imagination fertile, car si Pichrochole a perdu sa guerre, Une sorcière a prédit qu’il retrouvera Son royaume à la venue des coquecigrues, C’est-à-dire jamais. Ainsi s’en alla le pauvre en colère. Picholine, puis passant l’eau au port Hue !, Racontant ses males fortunes, Fut avisé par une vieille lourdingue, Que son royaume lui serait rendu, A la venue des Coquecigrues, C’est à-dire jamais. Depuis ne sait-on ce qu’il est devenu. Toutefois l’on m’a raconté : Qu’il est de encore pauvre gagne denier à Lion, En colère comme avant. Et sans cesse, questionne tous les étrangers De la venue des Coquecigrues, Espérant certainement, Selon la prophétie de la vieille, Pourra à leur venue réintégré son royaume. Une chose est certaine C’est une espèce particulière De coquecigrues de mer Sont caré/ment/penant des poissons De continuation des contenances. Vous avez trouvez ?
Qui est Coquecigrue ? (3)
L’imaginaire galope chez tout le monde Charles le Gaulois Un jour tenu ce propos Quant à la Commission de Bruxelles : Ce ne sont pas des élus, Ce sont des gens Qui ne relèvent de personne, Ils n’ont que la responsabilité Des propos qu’ils tiennent Ils bobinent dans le vide Comme la coquecigrue. Qui est la coquecigrue ? Vous avez trouvé ! Baliverne, Sottise Pensée extravagante
Qui est la coquecigrue ? (4) et demie Perdu ! La coquecigrue c’est …. C’est quoi ?………….. Devinez …. ! Un arbre à perruques Et tenez vous bien, Maintenant, nous avons des arbres à perruque ! Il n’a pas toujours la même perruque, eh ! Et oui selon les saisons il change de perruque C’est comme mes chapeaux ça met du soleil Au fil des saisons. Un peu de couleur à la vie ! C’est un arbre coquet ! Et comme on est jamais tranquille Avec les mots j’entends, Même que je me demande Comment Saussure s’y retrouve En décortiquant….le langage. Parce que la coquecigrue Vous n’avez pas encore Tout à fait perdu !…. Je vous laisse une chance ! C’est aussi … ? C’est aussi quoi….. ? Le nom d’une plante épineuse, Elle est moins gentilles, elle, Pleine d’épines, rose ou jaune, Elle est mélancolique elle ! « Arrête-bœuf » on l’appelle ou « arrête-de-bœuf » c’est selon ! Ne vous inquiétez pas, si, un jour En mangeant une côte de bœuf, Vous y trouver une arrête. C’est normal ! Je ne vous conseille pas D’aller cueillir une coquecigrue Parce que là c’est carrément le Bœuf qui vous saute dessus
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Profile-supprimé — 01-01-2010 13:46 |
La projection
Viens ici, lèves la tête, Regardes moi bien dans les yeux, Tiens prends ça Et la claque tombe ! Et résonne dans la tête de l’enfant Et le corps de l’enfant fait les quatre Coins de la pièce avant même de comprendre. Mais non, mais non, dira t-on Il a fondé sa dimension imaginaire, Une projection conique, Pour certain comique ça dépend qui. Mais appelé aussi perspective Triste perspective de ses années à venir.
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Profile-supprimé — 01-01-2010 13:47 |
Le temps
Eux avaient le temps De prendre le temps de lire Et composer avec. Le labeur était dur Mais ils prenaient le temps Avant j’avais juste le temps De du temps pour survivre Et jamais rien avec. Le labeur était dur Et je n’avais plus le temps Aujourd’hui ils n’ont plus le temps Ils Courent après le temps Et vivre jamais avec. Le labeur est moins dur Mais ils ne savent plus vivre. Maintenant je veux prendre le temps Vivre mon temps Mais il me faut de l’argent Pour faire ce que j’aime gaiement Le labeur n’est plus dur Mais pas assez de client. Le temps c’est toujours une affaire de temps Le temps c’est aussi une affaire d’argent. Merde alors, je ne m’en sors pas. Il me reste le temps D’être une passionnée Fauchée.
Le Manque ? C’est un oiseau Qui cherche ses ailes
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Profile-supprimé — 01-01-2010 13:49 |
Qu’a-t-il mon langage ?
Qu’a t-il mon langage ? Je sais, il ne vous plaît pas ! Mais alors là carrément je m’en tape Parce qu’avec lui je ne m’ennui pas Et que là, je n’y vois aucun mal. D’autant qu’avec lui je parle. Vous le voulez alambiqué, Sophistiqué, surtout pas gai. Des mots rondouillets et gras Surtout pas de faute orthographe Qui dit que je ne l’ai pas ? C’est qu’il y a tant de monde Qui voudrait refaire le monde Avec des mots très compliqués Alors qu’il suffit du mot aimer. Qui est sans manière à notre porté Et accessible à tout le monde. Avec des mots ont peu musarder , Sans pour cela qu’il soient mauvais, Sans pour autant cerner faute obligée Ou les erreurs enfouies la pensée. Je refuse de tout soupçonner. Il y a des mots pour la besogne Qui ceux-là, vous le concédant, A foison, convenants et sonores, Mais qui ne sont d’aucune utilité Pour y décrire mes sentiments. Il y a des mots gracieux, raffinés Ceux là s’expriment bien français, Destinés l’inspiration profonde Mais là je dois clairement avouer Que page est souvent raturée et blanche. Vous me voyez dire à quelqu’un Qu’il a ou n’a pas l’objet a Me prendrait pour une égarée. Je suis éparse Où sont ces grands ? Qui savaient jouer avec la langue Et ainsi la rendre vivante. Des mots libres
Des mots libres qui volent au vent Des mots libres qui s’en vont Des mots libres comme ça sous la plume Des mots de rien Des mots vains Des mots qui ne servent à rien Ainsi, vont par le monde Pour ne rien dire Pour ne rien faire Pour tuer le temps
Profondément ?
Je t’aime Profond dément !
Eau qui se presse, qui court
Eau qui se presse, qui court -, eau oublieuse que la distraite terre boit, hésite un petit instant dans ma main creuse, souviens-toi ! Clair et rapide amour, indifférence, presque absence qui court, entre ton trop d’arrivée et ton trop de partance tremble un peu de séjour.
De ton rêve trop plein
De ton rêve trop plein, fleur en dedans nombreuse, mouillée comme une pleureuse, tu te penches sur le matin. Tes douces forces qui dorment, dans un désir incertain, développent ces tendres formes entre joues et seins.
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Profile-supprimé — 01-01-2010 13:50 |
De ton rêve trop plein
De ton rêve trop plein, fleur en dedans nombreuse, mouillée comme une pleureuse, tu te penches sur le matin. Tes douces forces qui dorment, dans un désir incertain, développent ces tendres formes entre joues et seins.
Histoire de Champignons
Il y a des champignons vénéneux Il y a des champignons délicieux Il y a des enfants qui poussent Comme des champignons. Il y a des champignons chapeau/Té Et d’autres non. Il y a des champignons esse Qui ont mis leur chapeau au patère. Il y a des champignons culottés Dans tous les sens du mot Il y a des champignons Qui appuie trop sur le champignon. Il y a des champignons noirs Qui s’appèlent oreille de judas Il y a des oreilles de souris Qui sont de jolis myosotis « Ne m’oubliez pas ». Il y a des champignons Atomique. Vlan ! Vous avez vu, pour une fois Il n’est pas féminin, celui là
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Profile-supprimé — 01-01-2010 13:51 |
Le hochet
Il y avait un enfant en base âge Qui a trop agité son hochet. Où sa mère l’a trop agité devant lui. C’est selon. Pas grave, le résultat fut le même. Comme son père l’avait appelé Pine A l’adolescence il se mit à voir rouge. Une fois adulte les clochettes Lui résonnèrent dans la tête au grand jour, Alors bien évidemment, Il se mit à boire des pineaux de vin rouge Il confondit le rouge des coquelicots Avec le rouge du cœur des gens. Et les hochets continuèrent à s’agiter Dans des demeures bien calfeutrées Impunément.
La passante d’été
Vois-tu venir sur le chemin la lente, l’heureuse, celle que l’on envie, la promeneuse ? Au tournant de la route il faudrait qu’elle soit saluée par de beaux messieurs d’autrefois. Sous son ombrelle, avec une grâce passive, elle exploite la tendre alternative : s’effaçant un instant à la trop brusque lumière, elle ramène l’ombre dont elle s’éclaire.
Judas
Traite, voyou, chenapan, Désinvolte à plein-temps, Du fouet de la civilisation. Du baiser condamné à fuir, Des Abonnés-absent, De l’œil de juda de Dieu, A la porte des cieux.. Mal-communiquant D’un deus ex machina Qui a du s’endormir en créant, Que la facture de l’homme paiera. Traite, voyou, chenapan.
Je ne me suis pas Laissé défaire
Art du désir ? Ardu désir !
Méta -vérité Après la physique Reste la biologie Au-delà reste la logique Ma logique n’étant pas ta logique Elle est pourtant a-logique Vous me suivez ? Etranger alogique Etranger allogène Etranger étant sans famille Cherche un groupe d’étrangers Ça se complique…. Vous me suivez ? Comme l’étranger alogique n’a pas de bol Signor Vitalis ça vous dit ? La méta-phore cherche encore Il y a bien une vilaine bestiole dans la grotte Mais elle n’est guère convenable, exécrable. Vous me suivez ? L’attrape-nigaud erre désespérément Il y a bien une table et nappe rouge Mais c’est trop proche de métastable Y est gravé et transcrit dans la trame Des trois racines de trois au carré Des deux racines de deux au carré Vous me suivez ? Cherchez pas je cherche une méta à moi Fort intéressant la méta …idiopathique, D’ailleurs j’arrive toujours en retard A cause du réveil arrêté …cherchez pas Moi je ne suis jamais pressée A cause d’une vérité gaieté. A cause d’agnostique alogique phallocratique pathologique fantasmagorique. Vous ne trouverez pas Je remets à plus tard ……… Vous me suivez ? Non tant mieux il ne faut mieux pas
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Profile-supprimé — 01-01-2010 13:52 |
Elle a vu
Un enfant pleurer Qu’as-tu ? Lui a-t-elle demandé Mon papillon c’est envolé Sèches tes sanglots il reviendra bientôt. Elle a vu une toute belle Qui portait la vie en elle D’un nom pas encore offert Dans ses prunelles une étincelle Elle a croisé une adolescente Qui riait aux éclats, pleine de vie La scène lui parut belle et étonnante Un mot gentil à elle, lui offrit. Elle a rencontré deux compères Marchant bras dessus, bras dessous, Si saouls qu’ils ne tenaient debout, L’un voulant expliquer à l’autre Dans un jargon cocasse, impénétrable Ce que l’autre ne comprenait pas. Elle s’éloigna lentement en souriant Il s’écriait encore : Mais non, t’es bête ! Toi, t’es pas intelligent, t’as rien compris, Je vais t’expliquer moi.. hoquets.. et les voilà repartis… Ils ont du passer la nuit avec leur diatribe. Elle est rentrée chez elle s’est fait un thé, Et soudain a réalisé qu’elle avait négligé Toutes ces petites scènes quotidiennes, Qui agrémentent chaque jour notre vie. Elle se dit qu’elle aurait aimé suivre La conversation de ces deux là Rien que pour la curiosité de connaître La fin de leur dialogue surréaliste.
Ô bonheur de l’été
Ô bonheur de l’été : le carillon tinte puisque dimanche est en vue ; et la chaleur qui travaille sent l’absinthe autour de la vigne crépue. Même à la forte torpeur les ondes alertes courent le long du chemin. Dans cette franche contrée, aux forces ouvertes, comme le dimanche est certain !
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Profile-supprimé — 01-01-2010 13:54 |
Dessin
Elle a pris son crayon mine, symbole infime organique. Une jolie page blanche anonyme, Qui ne porte rien d’autre que son origine Elle a visé un point de suspension, Transcende au minimum son intervention. Elle a laisser glisser sa main d’enfant, Une ligne jaillit souffle du mouvement Ligne extrait de la masse Ligne qui court dans l’espace Ligne qui forme une trace Ligne qui joint d’autres traces Lignes qui dansent suivant l’impulsion du moment Lignes qui valsent dans l’espace suivant son élan Lignes qui inscrivent leurs déplacements. Le dessin se dévoile imminent Point. Arrêt. Terminé. Un dessin est né. Pareil au pinceau, à la plume, au mot, Quelque chose s’est inscrit qui n’était pas Effigie sans rature, Balise sans biffure. Trace mouvante Sans représentation vraiment. Avant elle aurait jeté Maintenant elle garde Comme apprivoisée Quelque chose en toi libéré. Jamais plus personne ne lui rognera plus le bout des ailes Elle se laisse naïvement porter. Mais, dites moi, que pourrait-on lui rogner ? Elle ne possède rien.
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Profile-supprimé — 01-01-2010 13:55 |
Oh, mon cœur !
Oh ! Toi mon cœur, Restes immobile, tranquille. Des échos font retour, silence. Ecoutes, écoutes, ce qu’ils te disent. Non ! Toi mon corps, Ne t’effrayes pas, attends. Aux seings de ta mémoire, Il y a tant d’espoir, patience. Laisses, laisses venir à toi les pas du hasard. Oh ! vous, mes yeux, Séchez vos larmes, dites, Vous avez tant de ris à surprendre, Immenses, impassibles, confiance. Cernez, prenez cette beauté présente. Et vous, mes mains, Arrêtez lâcher, pitié, Elles ont tant d’offrandes à donner, Sensibles, à vif, indulgence. Donnez, offrez tout ce qui est à votre portée. Et toi, mon âme, Arrêtes de t’agiter, respire, Suspends ta pensée, absence. Tu sais ta béance depuis si longtemps Rien ne sert de te tourmenter. Vas, vas ton chemin Vas, sans penser à demain.
Je ne croyais à rien Mais je n’y crois plus !
Le clou,
Tu seras toujours divisée, Divisée de rien Divisée de tout Divisée tout à coup. Brutalement, Là, comme un clou. Passant des rires aux larmes, Passant du calme aux vagues, Divisée un point c’est tout Cruellement, Là, comme un clou. Clou rouillé qui s’évade
Matenelle
Je n’ai de maternelle Que la langue
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Profile-supprimé — 01-01-2010 13:56 |
Jugement de moineaux
Ecoutez moi braves moineaux Avant j’étais chagrine et triste Ecoutez moi braves moineaux J’ai retrouvé l’oisillon. Ca vous dérange que je vive ? Et bien moi non ! J’étais un moineau enfermé dans une cage Le plumage étrange et le soleil pâle Grisaille autour de soi ce n’est pas marrant, Le marchand des quatre saisons avait disparu. Il finit par dépérir et plus de piaillement. C’est comme ça les moineaux ils se laissent mourir. S’ils ne voient que les barreaux et plus le soleil levant. Et l’oiseau aperçu un rayon de soleil sur l’horizon S’est dit je vais me faire la malle d’ici au plus tôt. Je veux seriner de jolies chansons gaies et vives. Dès que l’oiseleur entr’ouva l’écoutille, s’envola. Il nettoya son plumage dans la première marre d’eau Qu’il trouva là et jura qu’on ne le reprendra plus. Mais ce n’était qu’une marre d’eau que d’ autres Prenaient pour la mer, eux possédaient de jolis noms d’oiseaux De jolis reflets dans la flaque d’eau, de jolis identités de moineaux De jolis père et mère oiseaux, de jolis désirs bien beaux. Alors imbécile ils refendèrent avec des mots bien comme il faut Le pauvre oisillon qui ne rentrait pas dans leur théorie de moineaux. Ecoutez moi braves moineaux Avant elle était chagrine et triste Ecoutez moi braves moineaux Elle a retrouvé l’enfant Ça vous dérange que je vive ? Et bien moi non ! Ca vous dérange que je mette des fleurs à mon chapeau Moi pas, même à cent sous je mets un sourire sur la vie. J’ai passé mon temps à avoir les yeux et le cœur tristes Alors, j’y met un peu de couleur aussi. Et comme ça je suis toute de suite plus riche Ne croyez pas que c’est facile d’être libre Certains penseront que j’ai une tête de moineau Mais je m’en balance ils ne voient pas le plus beau Parce qu’ils résonnent toujours en sombres Que théorie ne rime pas avec moineaux tout le monde. Il y a des moineaux noirs pire que les oiseliers. C’est tout juste si on ne lui dit pas Que c’est un moineau bâtard Alors l’oisillon bien sûr se pose la question Quelle chanson je chante maintenant ? A force de me faire passer du blanc au noir, Quelle chanson j’apprends aux autres oisillons, Puisque sa voix vive n’est pas dans la convention. Et que sa tête de moineaux sa réalité à lui ne peux changer L’oisillon a dit attend la suite au prochain numéro. Parce qu’il n’aime pas la perversité des autres Ni la répétition que l’on voudrait lui montrer. Et que ça fait quand même vingt ans qu’il essaie De sortir de là ou on voudrait le mener tout droit. Que les essais c’est bien jolis, Mais la réalité de l’oisillon est là, elle et bien là. Et qu’il faudrait bien savoir ce que l’on fait Avec les têtes de ces moineaux là.
Soif Si Tu me disais ta soif Est-ce que Ça calmerait la mienne ?
Les mots Toujours mal criés Toujours mal dits Toujours mal donnés Toujours mal ressentis Toujours mal reçus Toujours mal lus a faire chanter a surréaliser a malmener a délier a relier a jouer a infantiliser surtout : A ne pas normaliser A ne pas enfermer A ne pas intellectualiser A ne pas intelligencer A ne pas scientifiquer A ne pas politiser A ne pas canaliser Et si tu n’as rien à dire, Gardes le silence Et si tu n’as rien à crayonner Retiens toi de mordre Et si tu n’as rien à chanter Suspends ton souffle Et si tu n’as rien à peindre Eteins tes couleurs Et si tu n’as rien à modeler Arrêtes de façonner Et si….et si……gribouille… gribouille…vas visiter la vie… Trouve une façon de tricoter avec la vie Si approche la violence de l’ennui Trouves à broder avec la vie, petite, Si résonne le silence de l’absence. Trouves toujours à tisser avec la vie, Mais surtout, surtout, n’égares jamais ton sourire et ta joie de vivre. Mais surtout, surtout gardes tes ailes, petite. Ne laisses jamais personne te les rogner, Tu ne pourrai plus t’envoler. Il a bien fallu qu’une refente Me fixe me rende intutile Me fasse perdre mon sourire Et ma joie de vivre Je ne sais pas pourquoi des gens font ça Forcer les gens à répéter leur silence et le mort Il y aura toujours des gens pour détruire ce qu’il y a de bon en vous Plus jamais je ne parlerai Plus jamais je n’écrirai C’était pas la peine de réparer Pour me détruire après
Fenêtre, qu’on cherche souvent
Fenêtre, qu’on cherche souvent pour ajouter à la chambre comptée tous les grands nombres indomptés que la nuit va multipliant. Fenêtre, où autrefois était assise celle qui, en guise de tendresse, faisait un lent travail qui baisse et immobilise … Fenêtre, dont une image bue dans la claire carafe germe. Boucle qui ferme la vaste ceinture de notre vue.
Solitude
Ta solitude est immense D’un monde vide d’absence Absence d’ami, Absence de vie, De feuille et de fil Absence dolente Indifférente Tu files.
Atypique
Malheur à celui qui est atypique Il sera prédisposé a être atopique Lieu commun d’un topique Ou d’une encore d’une topique Qui puis-je ? Malheur à celui qui est atypique Autrefois on disait anormal optique . Aujourd’hui ça ne change pas.
Qu’est-ce qui lui arrive ?
L’avez-vous vu ? L’avez-vous aperçu ? Qu’est-ce qui lui arrive ? L’avez-vous vu ? L’avez-vous entendu ? Vous ne la reconnaîtriez plus ! Elle a du tomber sur la tête pour sûre, Elle a du rencontrer une astuce, Elle a du discerner un truc Que l’on ne lui reprendra plus. L’avez-vous vu ? L’avez-vous entendu ? Qu’est-ce qui lui arrive ? Elle veut transmettre ce bonheur là Elle voudrait que tout le monde vive Elle voudrait tout le monde en psychanalyse Elle voudrait libérer les voix Elle voudrait tout le monde un chapeau sur la tête Elle voudrait que tout le monde laisser ses chaînes invisibles là. Elle va créer, libérée, libre, elle va créer dans la joie. Elle voudrait embrasser le monde Elle cherche ses mots simples qui ne soient pas répétition
Elle s’apprivoise
Elle s’apprivoise avec les mots Comme lui a montré la psychanalyse Elle s’apprivoise avec les mots Afin les laisser vivre Elle s’apprivoise avec les mots Comme elle apprivoise sa vie Elle les veut chanteur et rieur Sur le rythme de son cœur Elle les veut chanteur et rieur Pareil à son bonheur Elle n’oublie pas ceux qui sont là Au fond caché, sombres et obscures Elle n’oublie pas ceux qui sont là Qu’elle doit à la psychanalyse Elle n’oublie pas ceux qui sont là Parce qu’elle ne détruira plus. Elle va s’inventer des mot à elle Qu’elle offrira à tout le monde Elle va s’inventer des mots à elle Ils seront beau parce qu’elle aime le monde Elle va s’inventer des mots à elle Enfin réconcilier avec elle-même Atypique et travail
Excessif, bouillant et sanguin, Parfois contr/o/versé, Personnalité atypique Plus à l’aise dans l’action Que dans les discours zélés. A et a normal entendez ! Travail Atypique Déposé au début février Ce rapport soumet, en 807 pages, Pas une de plus pas une de moins 53 recommandations pour « améliorer » la protection sociale des travailleurs atypiques. A et a normal entendez ! Le régime actuel de protection Est conçu pour le salariat « classique », Une protection adéquate de la main-d’œuvre atypique Nécessitera un effort législatif important. A et a normal entendez ! Mais alors pourquoi en créer autant ? Les individus auraient moins besoin De protection ? de lois aussi ! Ah ! les hommes de lois ! Rebelle, contestataire, Dissident, mal pensant, Iconoclaste, bête et méchant, Par analogie briseur. Par antonyme réparateur ou restaurateur, Je vais allez faire un tour à la plage de Paris Histoire de me restaurer, marcher et rêver, Aux tropiques peut-être, comme deux parallèles Qui se rejoignent entre soleil et zénith Dommage que le soleil n’est pas au rendez-vous. Tant pis je prendrai le parapluie. Elle a la rage
Elle a la rage savez-vous pourquoi ? Elle a la rage parce qu’elle sait. Elle sait quoi ? Elle a la rage parce qu’elle sait que : Quoiqu’il arrive elle marche Quoiqu’il arrive elle parle Quoiqu’il arrive elle donne Quoiqu’il arrive elle aime Quoiqu’il arrive elle partage Quoiqu’il arrive elle rit Quoiqu’il arrive elle vit Quoiqu’il arrive ….quoiqu’il arrive….. Quoiqu’il arrive….. C’est cela qui la met en rage Elle n’y échappe pas. Alors elle tonne contre tout cela.
Apprendre à prendre
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Profile-supprimé — 01-01-2010 13:58 |
spinoza est le seul à n'avoir jamais lu spinoza
C'EST TROP VIEUX TOUT CA !
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Profile-supprimé — 01-01-2010 13:59 |
L’abîme,
Il s’ouvre par-delà l’amour et la haine, Un vide dont ma Foi, leste, a failli agripper De cet abîme obscur tu perpétues ton domaine, En m’y précipitant, hélas, j’avais cru l’éclairer. Allez, va ! Je t’expulse de mon royaume Entre deux infinis tu me tiens suspendu, Tu ne dois plus savoir où loger tes fantômes Hautain, ardent, pour moi l’instant est venu Aujourd’hui, désormais, clôture ton Inconnu. Si ton triomphe infini expie ma défaite, Mon être trouble et vainqueur éperdu, Je me sens ruiné par ma propre conquête En te dépossédant ainsi j’ai tout perdu. Allez, va ! Éloigne tes sombres peintures, Je reste là, sans espoir, sans recours, sans asile, Tandis qu’obstinément le Désir qu’on exile, Reviens errer autour du gouffre défendu. Mais si tu es Dieu, maître et tyran suprême, Qui me contemple ainsi moi, entre-déchirer, Ce n’est plus un salut, non ! C’est un anathème Que je te lance avant que d’expirer. Fini l’effroyable Destin, mon cœur ulcéré, Il peut jaillir encor devant mon âme avide Des sources d’espérance et des flots de clarté. Je te montrerai qu’il y a un beau ciel splendide. Allez, va je t’expulse de mon royaume Même si entre deux infinis je suis suspendue. Hélas aucune de tes paroles ne résonnent au lointain Comme une vie dans l’absence est éteinte.
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Profile-supprimé — 01-01-2010 14:00 |
Le silence
Mon silence est une prison vermeille, Mon silence cri et hurle au dedans, Mon silence est une tombe ouverte Qui peux à peu m’enterre doucement. Comment dire qu’au fond je m’y plaise, Comment, pourquoi, le sais-je vraiment, Comment crier, hurler ce que je taire, Si aucun mot ne peut le dire clairement. Mon silence est bien à moi, au fond, C’est la seule chose que je possède, Et si je le crachais par terre, attention, Il se retournerait contre moi sans peine. Mon silence vit et me venge d’être, Il voile, évide et enroule mon passé, Et me permet de survivre, peut-être, Cocon gluant de mon âme cuirassée. Il apaise les heurts de mon cœur suintant, Dans cette maison aux murs fissurés Où le sol de glaise bien trop mouvant, Risque à tout moment de s’effondrer. Il enlise avec lui mon désir de parler, Et si j’ose lui dire j’existe et veux sortir, Assourdissant, ahuri, il se met à tonner, De quel droit, pas question, je te l’interdis ! Oses, je te laisserai nue dans tes peurs Avec ton vertige, ta triste insignifiance. Oses, je t’abandonnerai à ta douleur, Avec ta vie foutue et ton absence. Mon silence est une prison vermeille, Mon silence m’enserre au-dedans, Mon silence est une tombe ouverte Qui peu à peu me tue doucement. 20 – Déc. 2003
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Profile-supprimé — 01-01-2010 14:02 |
Dis mon cœur,
Je te sens revenir abominable houle, Avec tes raies chatoyantes empourprées. Tu tisses ta toile irisée et m’enroule, Dans ton canevas de filins enchevêtrés. Je te connais bien, va, n’essaies pas d’approcher, Attention mon cœur, cours, vas vite te cacher, Avant d’être emportée dans ses ailes moirées, Et ses nuages d’encre où tu vas te noyer. Vas, passes ton chemin, ne me tends pas la main, L’air empeste ton âcre odeur de myrrhe, Tes relents d’extase mystique me font vomir, Vas, passes ton chemin ne croises pas le mien. Avec toi, j’essaie de composer, glaciale, Dans une fuite éperdue que rien n’altère, J’échoue au hasard de la grève liliale, La coque efflanquée de nacarat austère, Scorie éphémère dans mon servile enclos, Visqueuse et engourdie où je vacille, Je me sens partir en exil les yeux mi-clos, Infirme et résignée, au vent je m’éparpille. Un petit bruit sourd te murmure à l’oreille, Oh ! Misérable ! Regardes ton âme flétrie. Pourquoi ce désespoir que cette lueur éveille ? Dans cette bruine fétide mon corps s’enfuit. Je te connais bien, vas, ne me tends pas la main, Je te connais bien, vas, passes ton chemin, En attendant demain.
16 – Déc. 2003
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Profile-supprimé — 01-01-2010 14:03 |
L’enfant qui ne veut pas grandir
D’où viens-tu ? Laves-toi les mains ! Dis bonjour à la dame ! vas moucher ton nez! Passes à table ! Regardes un peu comme tu es sale ! Et l’enfant partit en courant, claqua la porte derrière lui, Une grosse larme roule sur sa joue. Il a dit moi je ne veux pas grandir. Non, non, non, il a dit. Je ne veux pas grandir dans votre monde à vous, Dans mes poches trouées moi aussi j’ai des sous J’ai des cailloux unique au monde Des morceaux de bois extraordinaires Du papiers où chaque carré est une part du monde Les grands ne savent que compter Compter, compter, compter…. L’argent qu’ils ont, L’argent qu’ils ont eu L’argent qu’ils n’ont pas… L’argent qu’ils n’auront pas Compter, compter, compter…. Avec l’argent qu’ils ne savent que faire. Quand ils en ont trop jouent à faire la guerre à Minerve. L’enfant a dit moi je préfère jouer avec mon chat. Dans ses yeux il y a pleins de mystères Les yeux de mon chat sont verts Verts comme l’herbe de la terre Pas comme misère, pomme de terre Guerre sur terre, amende revers. Les yeux de mon chat sont pleins de mystères… Et lui a gardé ses dents de sagesse, Il est clairvoyant mon chat, se délace tout le temps, Il rêve, il rêve, si on le dérange, lance sa patte et griffe, Faut jamais déranger un chat qui est en train de rêver. Quelque fois qu’il soit en train de jouer au chat à la souris. Ou a chat perché, à la corde à sauter aussi. L’enfant a dit, pendant que j’y suis Je vais jouer à l’ âne aussi, Jouer à l’âne comme bonnet d’âne, Avec deux n , pour embêter le monde Comme ça il aura quatre pattes, Oreilles d’âne qui n’y entendent rien , Un âne qui naviguerait sur son chapeau Au milieu de la mer, au milieu du désert, Les quatre fer en l’air et sautant au cerceau Le chat sur son dos, avec un bonnet d’âne Rien que pour embêter le monde, Le monde pour faire joli j’y mettrai deux chapeaux aussi Un pour l’été un pour l’hiver, Un à pois rouges et l’autre pois verts Et j’emporterai celui de l’épouvantail à moineaux Il servira pour les jours de tempête Et je le remplacerai par un diadème De bleuets, pâquerettes et coquelicots Ou simplement de boutons d’or, C’est beau un épouvantail coiffé de boutons d’or. Et tous les oiseaux du monde viendront sur sa tête Iront picorer tous les bigarreaux du jardin Et leur chant sera une véritable fête. J’y mettrai un gros nez rouge de clown Avec un grand sourire de clown aussi Pour faire rire tous les enfants et les oiseaux aussi. Au monde où je ne veux pas aller. J’y mettrai un r comme ronde, ou tout le monde Pourra rire et chanter et même danser si ça lui chante Je préfère marcher de travers, travers, Marcher comme les crabes, de travers, Marcher comme les étoiles de mer, En donnant la main a tous les enfants Du monde des jaunes, des rouges, des verts, Même bleus et violets si ça existe. Prendre mes chemins de traverses à moi, Le chemin des ruisseaux, le chemin de Minerve Le chemin du chant des oiseaux, le chemin des crapauds Le chemin du soleil, des étoiles, des cours d’eau, De tous les animaux et d’éros aussi Soudain l’enfant éclata de rire Il vit le visage de sa mère coiffée du chapeau de l’épouvantail Qui croassa en dormant. Et son père avec un nez de clown emmêlé dans les pattes du chat Les quatre fer en l’air qui fit :hi han ! Et il rentra à la maison tout guilleret, Dis :je viens du jardin, Alla se laver les mains, Il dit bonjour à la dame, Et se mit à table….personne n’y compris rien à son fou rire Il entendit vaguement : arrêtes de rire à table, ses oreilles d’âne étaient obstruées.
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Profile-supprimé — 01-01-2010 14:05 |
L’enfant qui ne veut pas grandir
D’où viens-tu ? Laves-toi les mains ! Dis bonjour à la dame ! vas moucher ton nez! Passes à table ! Regardes un peu comme tu es sale ! Et l’enfant partit en courant, claqua la porte derrière lui, Une grosse larme roule sur sa joue. Il a dit moi je ne veux pas grandir. Non, non, non, il a dit. Je ne veux pas grandir dans votre monde à vous, Dans mes poches trouées moi aussi j’ai des sous J’ai des cailloux unique au monde Des morceaux de bois extraordinaires Du papiers où chaque carré est une part du monde Les grands ne savent que compter Compter, compter, compter…. L’argent qu’ils ont, L’argent qu’ils ont eu L’argent qu’ils n’ont pas… L’argent qu’ils n’auront pas Compter, compter, compter…. Avec l’argent qu’ils ne savent que faire. Quand ils en ont trop jouent à faire la guerre à Minerve. L’enfant a dit moi je préfère jouer avec mon chat. Dans ses yeux il y a pleins de mystères Les yeux de mon chat sont verts Verts comme l’herbe de la terre Pas comme misère, pomme de terre Guerre sur terre, amende revers. Les yeux de mon chat sont pleins de mystères… Et lui a gardé ses dents de sagesse, Il est clairvoyant mon chat, se délace tout le temps, Il rêve, il rêve, si on le dérange, lance sa patte et griffe, Faut jamais déranger un chat qui est en train de rêver. Quelque fois qu’il soit en train de jouer au chat à la souris. Ou a chat perché, à la corde à sauter aussi. L’enfant a dit, pendant que j’y suis Je vais jouer à l’ âne aussi, Jouer à l’âne comme bonnet d’âne, Avec deux n , pour embêter le monde Comme ça il aura quatre pattes, Oreilles d’âne qui n’y entendent rien , Un âne qui naviguerait sur son chapeau Au milieu de la mer, au milieu du désert, Les quatre fer en l’air et sautant au cerceau Le chat sur son dos, avec un bonnet d’âne Rien que pour embêter le monde, Le monde pour faire joli j’y mettrai deux chapeaux aussi Un pour l’été un pour l’hiver, Un à pois rouges et l’autre pois verts Et j’emporterai celui de l’épouvantail à moineaux Il servira pour les jours de tempête Et je le remplacerai par un diadème De bleuets, pâquerettes et coquelicots Ou simplement de boutons d’or, C’est beau un épouvantail coiffé de boutons d’or. Et tous les oiseaux du monde viendront sur sa tête Iront picorer tous les bigarreaux du jardin Et leur chant sera une véritable fête. J’y mettrai un gros nez rouge de clown Avec un grand sourire de clown aussi Pour faire rire tous les enfants et les oiseaux aussi. Au monde où je ne veux pas aller. J’y mettrai un r comme ronde, ou tout le monde Pourra rire et chanter et même danser si ça lui chante Je préfère marcher de travers, travers, Marcher comme les crabes, de travers, Marcher comme les étoiles de mer, En donnant la main a tous les enfants Du monde des jaunes, des rouges, des verts, Même bleus et violets si ça existe. Prendre mes chemins de traverses à moi, Le chemin des ruisseaux, le chemin de Minerve Le chemin du chant des oiseaux, le chemin des crapauds Le chemin du soleil, des étoiles, des cours d’eau, De tous les animaux et d’éros aussi Soudain l’enfant éclata de rire Il vit le visage de sa mère coiffée du chapeau de l’épouvantail Qui croassa en dormant. Et son père avec un nez de clown emmêlé dans les pattes du chat Les quatre fer en l’air qui fit :hi han ! Et il rentra à la maison tout guilleret, Dis :je viens du jardin, Alla se laver les mains, Il dit bonjour à la dame, Et se mit à table….personne n’y compris rien à son fou rire Il entendit vaguement : arrêtes de rire à table, ses oreilles d’âne étaient obstruées.
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Profile-supprimé — 01-01-2010 14:07 |
Ah ! Mime dada
Vous en souvenez vous ? Il avait le A mine Le a dada Il y a des mines comme ça Qui me font honte à moi Etes-vous toujours fiers d’être français ? Oh ! Non pas moi. Et encore je ne vous dit pas ! Il y a le A coloniale Précédé du a canoniale Et encore je ne vous dit pas ! Il y a le A dieu Escroté du a guerre religieux. Ah ! Mine toi tu avais pour sur Un dada en or. Ah toi tu avais le mime d’Eros Mais la pulsion de thanatos. Ou satanas comme on voudra. Et nous, alors, français on était quoi, A ce moment là ? Oh rien ! Sans doute dans la pulsion besoin.
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Profile-supprimé — 01-01-2010 14:09 |
Brise Marine La chair est triste, hélas ! Et j’ai lu tous les livres. Fuir, là-bas fuir ! Je sens que des oiseaux sont ivres D’être, hélas, parmi l’écume inconnue et les cieux ! Rien, ni les vieux jardins ne reflètes plus tes yeux. Ne, retiendra tes pluies qui dans la mer se trempe, Oh, nuits de bruine, la clarté déserte de ma lampe S’étale le vide papier, que seule la blancheur défend Dans jeune brise la pauvre femme allaite son enfant. Je partirai, balançant amère, glissant sur ta mâture, Je lève l’ancre, d’une galère pleine d’étoiles nature ! Un ennui recourbé tantôt mince de cruels espoirs Croit encore à l’adieu désolé suprême des mouchoirs ! Et, peut-être, les haubans des mâts, invitant les orages, Sont-ils ceux que le vent penche seul sur les naufrages Perdus, sans misaine sur le pont, déferlent des îlots fertiles Oh ! Écoute le chant des huniers, que les matelots hissent Oh ! Toi, mon cœur saisit au loin, la bise marine qui fraichit. Lève l’ancre, où à l’océan se mêle l’accalmie d’horizon infini
* Si je prête à rire je vous donne à pensez Mémoire d’Hommes Et de Femmes
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Profile-supprimé — 01-01-2010 14:10 |
Le Mépris du Monstre sous le Sage
Désormais, le Sage punit et nie Pour avoir trop aimé les choses, Rendu prudent à l’infini, Mais franc de sépulcres moroses, Et d’ailleurs méprisant nos feus Qui fit les yeux et la lumière, L’honneur, la gloire et tout le peu Trie, l’être a son âme candeur fière Le Sage peut, dorénavant Assister aux scènes de destruction Et suivre sa chanson de négation Et contempler ses abominations. De déchet d’êtres qu’il a fait De mépris de ruine de vie humaine Qu’il programme le front satisfait Il contemple de haut ses méfaits. Le Sage peut, dorénavant, Se frotter la panse au Monde Et tuer les chansons du Vent Avec une parfaite conscience. Il ira calme et passera Dans la férocité des villes, Comme un mondain à l’Opéra Blasé du rire de danses viles. Même pour à l’être tenir abaissé D’orgueil il fait son âme veuve Il salira sa vie et son passé Comme détritus de mauvais fleuve Il reverra l’herbe des bords, Il n’entendra le flot qui pleure Sur le bonheur mort et les torts De cette date et de cette heure. Il brisera, les cieux, les champs, Sa bonté faite ignominieuse d’harmonie Et seront doux pour tous les méchants Afin que leurs morts soient bénies. Le sage se dira délicat et exclusif Il méprisera le jour où nous sommes Contemplatif il rit aux cieux dégâts En se faisant l’oeuvre des hommes. Et revenu de ses violentes passions Comtemplera utilisant les usages Pour fortifier vos civilisations Préférenra leurs moralités de paysage L’homme relégué auu fond du grabat Il remplace l’argent par l’étoile Regardez comme vos coeurs battent Il fera ingurgiter à l’être l’idée Tous les regrets, tous les ravages, Sa tête obsédée, de dieu et de feu Nous rouille les espoirs aux remparts Satisfait de ses fières alarmes veut, Sève nos vies à chaque pas de routes À chaque écriteau, force rêve de goutte De pipes cassées repues, d’être d’épaves Le Sage enseigne la mort comme usage. Comme c’est beau la neige, coule le sang Il en fait un cadre étroit son cortège Il s’enivre et rit de notre chaste ciel La sage demande scie et lance nos pardons En berçant son atroce chanson de son ironie, Enduis l’innocence de rancoeur sans frémir, Il aime tellement les orgies de crimes impunis, Fait de toi, être perdu, sanglant, puant de vie Le Sage s’amuse, monstre machine imprudente, À jouer à la haine des images, d’oubli se flatte, À jouer le mépris plat de nos coeurs sages Il préfère les vipères aux sons de nos voix. S’engraissera à laver le beau, injectant rancoeur Le Sage se dit sage et dédicace ses silences À travers l’ignomie d’être vivant se dit vainqueur, De ses reproches, grèves, ses frénésies, il bande. Il dit fait ce que tu veux, en jouant à dieu, Le ventre à terre, dans les poubelles d’ignomie, avale la mort petite, ils t’ont tous détruite Le sage se marre comme le diable et Jésus Christ. Il glorifie la mort maintenant et ici. Éviter gens de passage, les ventrus et landrus, Qui ruinent des vies d’amour sur leurs passages Avec les meilleurs sentiments de vos âmes, Le Sage massacre aux yeux du monde sa sélection. Cynique, vous méprise animale et loue ses monuments. Il tue plus, d’un de dépouillement coeur méprisant, Puant or et l’argent, ici les coeurs les plus aimants Seront détruits les premiers chemin faisant, Dans leurs amours guerrières intolérantes animant. Sa haine tuant vos gorges profondes aimantes, Et justifie la gloire animale d’être, indifférente, A tout vent, vendant sa mort en vous baisant Sa sélection des sentiments à tout venant, Le trie de l’homme animal est si méprisable, Pour la Dignité, L’immorale, et L’intolérable, Sélection Humaine et gare de triage de qui pourra, Être psychanalyste ou pas selon leurs critères de lois. À la loi du silence, la loi de l’oublie, la loi du vide, Réduis l’homme à leurs ascensions irrésistibles Exerçant le pouvoir d’apparence, aux mépris de critique Le Sage aime tellement son succès qu’il en oublie la vie. Il jette ses proches, les uns contre les autres, Avilit en contradictions de sa paranoïa et sa peur, Comme un leader, infaillible il dégrade démoralise, En critique hubristique, jette l’âme du Bien contre le Mal. Et en détruisent le plus bel homme et son âme. Celui qui était simple poète, et sans pouvoir, Des maitres analystes nocifs, sont des malades. Sages se disent, ne voient plus la vie d’autrui, Qu’il balaye cynique dans leur mépris narcissique.
1 septembre 2009
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Profile-supprimé — 01-01-2010 14:12 |
J’accuse
Il fut un temps où je l’avais Et sans compter l’ai dépensé, Vociférant qu’il soit trop lent. Que ce sourir comment l’entendre, Il a fui et j’ai couru après, Le chercher m’a beaucoup coûté Évidemment lui était bien devant, Mais il était vrai, sensé et tendre Qu’il se soit parfois arrêté, Sur mes peines il s’allongeait.
Temps tentant, turbulent, tu mens Quand ton jeu monocorde étonnement D’ouïr tout le ciel exhaltante carte Sans fin attestés des flots mes pas Baiser sache là ou tu t’abandonnes, Avec franchise ou tige ou bien devoir. Incommodant ton regard si tu résonnes, Sans fond au seuil irridé du dérisoire. Évalue bien sa portée le rieur en somme. Ridiculise ton geste et le faire choir.
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Profile-supprimé — 01-01-2010 14:14 |
Tire-laine !
L’enfant a une clef, Même esseulé, la joie, L’imaginaire y croît, Dans les fruits du verger, Ou à l’entour des bois, Pour lui tout est beauté, En son silence étrange ; L’accompagne, solitaire, L’écho d’une profonde unité ; L’ombre des arbres mouvante, Lueur et brume, oblitérantes, Du temps, sa toute-puissance, De sa présence indéchiffrée, De cercles qui se ressemblent, De feuilles toutes différentes, De gemmes striées surprenantes, Tire-laine, recueillis avec prudence, Sans blesser sa précieuse innocence Immense, ténébreuse et profonde. Tire-laine maraudant les champs, Tire-laine maraudant le temps. Immense, ténébreux et profond.
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Profile-supprimé — 01-01-2010 14:15 |
Voici encor de l’heure qui s’argente
Voici encor de l’heure qui s’argente, mêlé au doux soir, le pur métal et qui ajoute à la beauté lente les lents retours d’un calme musical. L’ancienne terre se reprend et change : un astre pur survit à nos travaux. Les bruits épars, quittant le jour, se rangent et rentrent tous dans la voix des eaux.
Professionnel N’oubliez jamais que ce sont des professionnels Qui on construit le Titanic, Et des amateurs l’Arche de Noé ! 5 sept 2008
Titres nobiliaires Dans la position où je suis, Je ne trouve de noblesse Que dans la canaille que j’ai négligée, Et de canaille que dans la noblesse Que j’ai faite. 1814 – Napoléon
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Profile-supprimé — 01-01-2010 14:18 |
Pentacle ou Pin Pentacle.
Puisque le Cadran ne fait pas l’Heure, Et que les Aiguilles ne font pas Heurt, Puisque les Chiffres sont à Pentacle Voici donc l’Heure Chance et Hasard. Ainsi, pour l’ heure est Chant.delle.heure, Le Soleil alors revient là en Place. Capèlent-noeud de Cinq Boucles de Cordage, Ou de la tête d’un Mât Pentacle ? Epeclants de brisures d’Étoiles Sanguinairement à épéclé la Vitre, D’une Montre, lasse de se protéger, Ou d’une Bouteille à la Mer jetée. Tels Ulysse et son besogneux Voilier. Pinatelle de verre à Châssis mobile ou fixe, Mais aussi Protection animée et immuable. Dont est Issu d’un Feuillage à Aiguilles Ainsi regroupées en Fagots Faisceaux Dont les Fruits sont tous des Cônes Tout là est réinscrit, mathématique Géologie, anatomie, botanique et zoologie. L’âme certaine, imaginaire et symbolique aussi. Police de caractères pentacles aussi. La scarlatine rend l’enfant sourd-muet, Comme certains traumas de la naissance, Mais traumas surs/ajoutés vérité impliquée. ? Triangle qui est demi-carré ! Un son capté et adapté intermédiaire, Lui fera vibrer son apathique tympan Son regard étincelant, éclatant, Déposera un sourire sensé vivant, Sur les lèvres de ce censé enfant, Le son aigu est mal compris, Les sons graves entendus, Où se trouve la mémorisation de fonte ? Alliage d’une sacoche et selle et iso/scelle Alliage d’un corps et support… Orignine animal.
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Profile-supprimé — 01-01-2010 14:19 |
Alter ego
Où est passé mon ami de confiance Où est passé mon ami inséparable Où est passé celui faisait ma naïveté Où est passé celui qui était léger Léger de la joie de vivre Léger de curiosité, du rire. Léger d’espace et d’errance, Léger des autres individus. Celui là qui était le plus précieux.
Celui du naturel de vivre dans toutes Les conditions imposées. Pourquoi l’avoir confondu avec ego ? Qui n’a rien d’unificateur, En ce qui concerne la douceur L’ardeur et la joie de vivre. Pourquoi l’avoir détruit ?
L’alter ego, pour celui qui n’a pas d’ego, C’est celui qui l’aide à supporter la vie L’alter ego pour celui qui n’a guère de moi Est celui d’espérance de vie. Pourquoi ?
Il se situe au début de la vie C’est ce qui lui donnait la force De se débattre et vivre Surtout quand d’ego n’a pas ! L’imaginaire commence là Pourquoi l’avoir ramené à zéro ? Pourquoi l’avoir détruit ?
Pourquoi lui avoir fait perdre confiance ? Au détriment d’un imaginaire vide de sens ?
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Profile-supprimé — 01-01-2010 14:20 |
Qu’est-ce qui lui arrive
L’avez-vous vu ? L’avez-vous aperçu ? Qu’est-ce qui lui arrive ? L’avez-vous vu ? L’avez-vous entendu ? Vous ne la reconnaîtriez plus !
Elle a dû tomber sur la tête, pour sûr, Elle a dû rencontrer une astuce, Elle a dû discerner un truc, Que l’on ne lui reprendra plus.
L’avez-vous vu ? L’avez-vous entendu ? Qu’est-ce qui lui arrive ? Elle veut concéder ce bonheur-là,
Elle voudrait que tout le monde vive Elle voudrait tout le monde ose et rive Elle voudrait libérer les mots des voix, Elle voudrait tout le monde un chapeau sur la tête Elle voudrait que le monde y laisse ses chaînes invisibles là. Elle va créer, libérée, libre, elle va créer dans la joie. Elle voudrait embrasser le monde à cent lieux la ronde. Elle cherche ses mots simples hors ritournelle, Elle a bien faillite étrangère, y perdre la voix. Elle garde sa gaieté et son outillage, Elle crie à tue-tête, la fin du voyage. Le jette ainsi, là sans ambages,
Puisqu’elle a tout perdu, Et si, ne plait l’image qui flute, Il lui reste la chance de mourir inconnue. Comment faire pour transmettre ça ? Certes, non, ne se trompe pas…. ? De feudataire mérencolie ne veut pas.
Tu parles d’un voyage, à la Gulivers, Alice a bien failli y perdre la tête, eh ! Ne lui demandez pas ce qu’elle farfouille, Je symbolise l’image hommage travail, De ce que je ne sais pas, a !
Tu parles d’un héritage ! Entre l’ancre et voile Entre l’encre et toile, Pauvre Sarrasin de Corinthe, Qui est parti à cheval, À pied, en voiture, Et l’aveu sous le bras
Pauvre Sarrasin de Corinthe, Rentre au bercail, Pêcheur d’embarras. L’avez-vous vu ? L’avez-vous aperçu ? Qu’est-ce qui lui arrive ? L’avez-vous vu ? L’avez-vous entendu ? Vous ne la reconnaîtriez plus !
Paille de canaille, démaille, Libertaille, travaille la paille. Avant d’y voir table, remaille.
Ah… ! Ah… … !Ah … … … ! Ah… … … … …! Si vous vous voyez médiocre, Reculez un peu. Oui là…, un peu…, encore…. Oui, Stop…vous y êtes… ! Eh ! Que voulez-vous ? Vous vous êtes regardé de trop près.
PARADOXES - PARADOXA
J’ai le cul assis entre deux chaises
C’est un fait tangible de réalité
Il n’y a pas en soi à trouver de remède
Dans les deux travaux, je suis la même
Mais rien que cette vérité , mérite sanction
L’extraterritorialité spirituelle n’aime pas.
Faute de disposer de la loi du sang
Qui implique les générations
Tends la main à Freud suspicieux
Qui m’adopte mais ne me reconnaît pas .
Regarde-moi, voyons, je ne suis pas tyran !
Pose des questions en hauts lieux
Ils ne répondent pas, pourquoi ?
Ils s’auto-suffisent amplement, voilà !
N’ont-ils pas de réponse pour moi ?
On leur problème à eux, bah !
Détiennent les pilliers de la loi.
Me tourne vers toi Lacan, prends ma main,
Oui, je sais tu tournes tout en dérision,
Si je parle et questionne, me mets en danger,
Et tous les autres avec moi en seront tachés,
Et par là même m’éjecte et serait éjectée
Le malheureux transmetteur éclaboussé.
Paradoxe, paradoxa
Détruire un amour, quel cran !
Détruire une amitié, quel crime !
paradoxe, paradoxa
Ah ! Potier, Si habile tu es,
Jamais, oh ! Grand jamais !
Tu ne pourras transformer
En amphore, la cuite grargouillette
Le sable lui, ne faisant point de confidence.
paradoxe, paradoxa
Et nous rentrons tous à la queue-leu-leu,
L’enfant ferme les yeux, hausse les épaules
En guise de dépit, se dit tant pis.
Tu n’as rien compris,
Ça ne changera jamais, ici !
paradoxe, paradoxa
La danse de Matisse ici serait de mise,
L’homme qui marche de Jiacommetti, aussi
La colombe de Picasso, la tête de klee aussi,
Mais l’oiseau vivant jamais… Lalangue oblige… muette…
À femme rebelle, enfant muet,
Voyez, je n’ai pas dit,
La femme psychanalyste !
paradoxe, paradoxa
Et moi je dis en voilà bien du baratin
Pour rien, laisse faire et ne dit rien,
À quoi bon fige la théorie,
Tu n’as jamais rien compris à rien.
Il y a quand même problème humain,
Le danger de travailler avec cette œuvre
Et ça, c’est tout à fait éthique, l’humain,
Je ne veux pas prendre ce risque-là,
Avant je tirais les gens vers la vie,
Sans ce danger, ce surplus-là !
De moi à moi.
paradoxe, paradoxa
Aventi, aventitpa Trimelle Non, je ne sais pas !
Je vais refaire une tranche !
T'as rien compris ça sert à rien
Je te dis !
C’est le vent qui décide,
Si les feuilles seront par terre
Avant les nids.
Trop de division dans tout ça !
Ça ne vaut pas le coup, voilà.
Mais l’autre riposte : si Pourquoi ?
À cause de l’étape intermédiaire,
Du produit et de la matière première.
De la fabrication du pot et de sa cuisson, Du potier « jaloux » diémurge de l’artisan
Qui serait le narratif peu encourageant ,
Manifeste , mais nonobstant équivalent .
Paradoxe - Paradoxa
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Profile-supprimé — 01-01-2010 14:35 |
Les mots
Il est des mots terribles qui poignardent la vie Et beaucoup de non-dits d’origine en sursis. Et les mots du silence, Horreur de la Violence, Et ceux du mensonge niant la transparence. Les mots mutiques qui font cette âme irréelle, De douceur et de miel qui font que l’on s’éveille.
J’aurai voulu des mots à moi, et ne les trouve pas, Mais à quoi bon cela, personne ne les lira. Les mots de ma vengeance pour montrer que j’existe, Des mots pour dégueuler ce que j’ai dans les tripes. Il me faut de l’aide pour rouvrir mes entrailles Où les mots de la foudre ont laissé son entaille.
Un jour ma Calypso arrimera à l’autre rive, Car j’ai perdu mon temps à rêver sans dormir, À dormir en ne marchant, nulle part, vers le néant, Quand le passé sera derrière, le présent devant. Alors, je pourrai m’approprier le droit de vivre, Malgré le « Crever » réitéré de ma mère ivre.
Sur mes épaules le poids de ma génération, Boueux passé, désespérance de ma création. La folie, le cynisme qui transperce et clou, Font que l’enfant se tue pour ne pas être fou. Il a goûté trop tôt à la folie des hommes, Attendu trop longtemps la main qui donne.
Cet animal sauvage, dur et tendre à la fois, Bâtards du mépris, de la honte et sans voix. La société non plus n’aime pas ces enfants là, C’est son produit pourtant, mais n’en veut pas. Solitaire, en silence il observe et survit, Sa colère en dedans c’est lui qu’il détruit.
Il veut des mots doux, chatoyants Des mots d’Espoir, de rire, pour boire à la lie
Il veut des mots acérés, puisqu’il n’y a pas de Justice. Avec des Noms dits, puisque sans remord on rie au.
Il veut les mots de la Vérité, de la Liberté si souvent étouffée. Les mots réparateurs de Souffrance du pue de son sang empoisonné. 1 – Sept. 2003
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Profile-supprimé — 01-01-2010 14:41 |
Miroir brisé
O ! reflet âpre, entailles de mon enfance, D’enfant trop ballotté, perdu dans les roseaux. Où est ce bel amour, grand comme l’espérance, Accueillant ce radeau, échoué parmi les eaux ? Afin d’arrêter là cette éternelle errance, Qui me mène sans cesse aux portes du tombeau.
La mort à mes côtés, comme une vagabonde, Perdue dans les méandres amers de mon passé, Prisonnière du temps, captive de mon ombre, Je n’ai vu les saisons peu à peu s'égrener. Astre blafard expulsé au hasard du monde, Une étincelle existe dans ce miroir brisé !
Qu’est-ce donc ce désespoir, cette mélancolie ? Tant de fois tu as rêvé de ces bras généreux, Instant de grâce qui sort l’âme de l’oublie, N’as-tu jamais connu de bonté, de ciel bleu, De sourire consolateur, aimant, gracieux ? Amie, ferme tes cicatrices et ravale ta bile !
Trop tôt tu as connu, la défaillance d’être, Ballot de chair, de sang, voguant au gré du vent, Bâtarde matriculée telle la mauvaise graine, Tes noms donnés, repris, reniés, mouvants. Nomade désarticulée sans attache certaine, N’as-tu pas survécu à ces déchaînements ?
Recueillie par hasard dans le filet usé De ces vieillards qui t’ont tendu la main, Ton âme farouche s’est étanchée et apaisée. Hélas, tu sens la mort qui rôde sur ton chemin, Et dans tes yeux, l’angoisse de ta réalité Inscrite aux sources livides de ton destin.
De ces secrets abîmes, n’es-tu pas la plus forte ? Certes morcelée, mais au combien nourri ! Malgré la folie maternelle, tu n’es pas morte, Et les viols de l’enfance pour toujours abolie. De ce miroir brisé, surgira une porte Amie, ouvre les yeux, n’ai pas peur de la vie !
Oh ! Faites que l’oubli du passé me vienne Qui parfois me harcèle et me revient en rêve. Oh ! Désespoir fait que dans ma vie, enfin, Ma colère se taise, que je n’ai plus peur de tout. Oh ! Solitude oublie enfin ce cynique tabou, Ton sablier s’est égrainé, parvient à sa fin.
3 – sept 2003
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Profile-supprimé — 01-01-2010 14:44 |
Mon arbre
Mon arbre à moi n’a pas de racines Elles se sont laminées dans les générations.
Mon arbre à moi est pourri du dedans A de force de lui montrer sa négation.
Mon arbre à moi n’est pas roi des forêts, Il est imaginaire ne portant pas de nom.
Mon arbre à moi n’est pas ce baoba, Que les primitifs vénèrent, mais soumission.
Mon arbre à moi a les branches sèches, Au milieu du désert s’est planté, s’excusant.
Mon arbre à moi n’a pas de feuilles vertes, Il n’a jamais appris à profiter du vent.
Mon arbre à moi n’a pas de fleurs vermeilles, Trop d’entailles sur son tronc tuent sa procréation.
Mon arbre à moi est intemporel, C’est arrêté de grandir au milieu du temps.
Mon arbre à moi un jour a tremblé, Sous ce soleil de plomb tout est pour lui non-sens.
Mon arbre à moi un jour s’est couché, Sous la lune profonde sans émettre aucun son.
Mon arbre à moi un jour a fait de la lumière, Sans les abîmer pour tous ceux avoisinants Un garde champêtre passant longtemps après Ne s’en aperçu pas, désagrégé sous la végétation.
Touchant ? Non !
Qu’est-ce qu’un arbre ici bas.
Mais, suis-je vraiment cela ?
4 sept 2003
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Profile-supprimé — 01-01-2010 14:53 |
L’innocence nue
Elle a ce regard bleuté, naïf de l’enfance, Craintif, observateur, vécus de sa naissance. Un sourire clair-obscur illumine son visage, Tel un masque d’ébène éloigne les présages.
De longues vagues d’or ondulent sur ses reins, Que son humble grand-mère, le dimanche matin, S’évertue à sculpter de son fer à friser. Sa grande lucidité, l’empêche de rêver.
Car son trésor à elle, ne le gardera pas, A cinq ans sent, rôder l’inéluctable trépas Ces braves gens lui ont donné tout ce qu’ils ont pu, Sublime prouesse à quatre-vingts ans et plus.
Tend sans arrêt les bras à qui voudra l’aimer, Seul moyen qu’elle a trouvé pour communiquer. Se rend utile à tous, aimez-moi, aimez-moi, C’est une malade d’amour cet enfant-là !
Sa grand-mère le sait, elle connaît sa faiblesse, La protège pour que les grands ne la blessent, Pour elle oncles et tantes, c’est le monde entier A quoi donc père et mère pourrait ressembler ? Elle est toujours malade, chétive et agitée, Cataplasmes, ventouses, potions grand-mère ça y va. Fait d’horribles cauchemars que le phénergan abat, D’où elle vient, de son nom fendu, rien n’est conté.
Est-ce pour cela qu’elle ne tient pas debout ? Elle chute sans arrêt, s’égratigne les genoux. Cette enfant-là, c’est une vague en sursis, Le dos voûté, soumis, comme trop vite vieillie.
Avec cette sale manie qu’elle a de chaparder, Ceux qu’elle aime et les autres sans trop savoir pourquoi. Qu’ils vont essayer en vain de redresser, Non vraiment, ce n’est pas un cadeau, croyez-moi !
D’un émoi acéré, d’une clairvoyance acerbe, Son passé c’est sa tête, elle enregistre sa vie Comme une caméra, pour ne pas se perdre, Ravie, têtue, jouit de ces instants de sursis.
Elle ne sait pas comment elle est arrivée là, Mais se demande sans cesse où après elle ira, Le grand-père il l’aime c’est certain, la petite, Il est fort, il a fait la guerre quatorze dix-huit,
La question des enfants ce n’est pas son rayon Lui, c’est décharger les péniches, livrer le charbon, Faire respecter la loi, la morale avec droiture, Mais le temps l’a paré de fatigue et d’usure.
Elle sait qu’il sera comme un enfant perdu aussi. Tant de temps passé ensemble, c’est sa moitié de vie, Lui, ne veut pas voir ce que l’enfant sait déjà. Elle fut là quand le jour tant redoute arriva,
Sylvie, je vais mourir, que vas-tu devenir ? Posa la main sur sa tête dans un ultime soupir. Imbécile et froide, resta là durant des heures, La tête sur ses genoux noyée dans ses pleurs.
Quand les grands arrivèrent ils la trouvèrent hélas, Assise sur sa chaise, l’enfant à ses genoux, Froide et raide, la petite ne sait rien de ces choses là Elle sait que son trésor s’est envolé, c’est tout.
Grand-mère avisée ne croyait pas si bien dire, Ses craintes étaient fondées sur son devenir Elle rejoindra celui de sa prime enfance, Ballot, de chaire de sang, de papier, de jugements,
Éparpillée au gré du vent, de-ci, de-là,
Comme le vent sans cesse vous chavire inlassablement, Comme l’orage sans cesse vous foudroie désespérément, Comme ce soleil de plomb sans cesse vous calcine solitairement, Comme cette mer sans cesse engloutit définitivement
Si elle voyait cette enfant-là ! Qui cherche une porte ouverte et ne la trouve pas.
Si elle voyait cette enfant-là ! Qui a peur de grandir ou ne sait pas.
Si elle voyait cette enfant-là ! Qui est toujours glacée et ne se supporte pas.
5 – sept 2003
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Profile-supprimé — 01-01-2010 15:00 |
Strasbourg
Je te demande pardon Strasbourg,
Je suis venue te voir sans pouvoir t’apprécier,
Les deux premiers jours ne peux ni boire ni manger,
Chez toi j’ai un malaise immense dès mon arrivée,
Chez toi je me supporte que l’esprit occupé,
Je suis venue voir, le berceau de ma mère,
Celui de mes aïeux sans me les approprier,
À ton nom Strasbourg, je ne peux m’attacher,
À ton nom mes racines je ne peux puiser,
À ton nom je n’ai pas ma place.
Pardon Strasbourg pour la richesse de ta beauté,
Pardon Strasbourg pour ton histoire écartelée,
Pardon Strasbourg pour ta cathédrale magnifique,
Pardon Strasbourg pour ta culture mitigée,
Pardon Strasbourg pour tes religions diversifiées.
Pardon Strasbourg pour ta population accueillante.
Je resterai toujours sans patrie ni racines,
Et je ne veux m’attacher à aucune terre, ni région, Je me reste fidèle même si le nom que je porte t’appartient,
Nomade par ce monde je suis venue,
Nomade par ce monde je partirai.
Un jour dans d’autres circonstances j’irai te saluer Et comme une magnifique ville, je t’apprécierai. 7 – sept 2003
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Profile-supprimé — 01-01-2010 15:30 |
Romain
Oh ! Triste jour d’été pesant comme l’hiver, Elle avait décidé dans son souci de mère, De te reprendre de chez les grands parents. Tu avais huit années, moi à peine cinq printemps.
Tous deux, assis par terre près de la cuisinière, Et nos cœurs d’enfants jurant de ne pas se quitter. Les deux mains bien serrées ne voulant se lâcher, Âmes si lourdes et noires, immenses comme la mer !
En moi résonnent encore tes cris, tes pleurs amers. Et ces mains qui ne cèdent pas, ce terrible fracas ! Je te tiens d’un côté, ton père de l’autre te secoue, Tu te laisses tomber au sol et je m’accroche à toi.
Contre la force des grands, lutter on ne peut pas. Et nos deux mains épuisées ont fini par céder. Ne voyez-vous pas que c’est mon frère, à moi ? Prière revêche et vaine, inquiète et désolée.
Premier écueil de fiel de l’enfance envolée. On t’emmena bien vite annihilant tout remous. Là, seule, assise près de la cuisinière restai. Notre histoire, ici, s’acheva. Ne te revis jamais.
* * *
L’enfant que je suis ne comprend pas le silence, Le silence des adultes qui sont là et se taisent, Qui sans bouger, ni aider, ont assisté à la scène, Sent au fond d’elle quelque chose brisé, la confiance,
Ressent en elle un autre déchirement, la lâcheté, L’abandon des protecteurs dans leur maisonnée Plus tard elle en comprendra la cause, leur douleur. Impuissante et déçue, porte un regard sévère,
Aurait voulu un mot, un geste apaisant cette misère. Mais à cette époque, est trop petite ne saisit cela. Aux enfants jamais on ne parle en ce temps là. Elle sait qu’un jour aussi ça lui arrivera ce leurre,
Les enfants placés ici n’ont pas d’appartenance, La grand-mère lui a dit, elle l’a toujours su hélas ! Depuis ce jour elle sent qu’elle aura toujours peur, Avec le monde des grands, elle prendra ses distances Se barricadera en vue de toutes les peines de cœur.
* * *
Puis j’ai navigué, ballottée de-ci, de-là, Comme le vent, n’importe où, assurément. Ne sachant plus où je me trouvais, comment, À quel âge, quelle région, quel fatras, cette vie-là !
Un peu tard j’ai cherché mon passé perdu, Pour me reconstituer en tant qu’individu Je t’ai recherché, mon frère avec ténacité. Quand je t’ai retrouvé de suite tu m’as contactée
Quelle émotion, quand nous nous sommes revus ! Amour immortel, après quarante-deux années. Il faut vivre cela, jamais je ne l’aurai imaginé. Souche candide de l’enfance tu as tant de vertus !
Nos liens inaltérés sont restés en sommeil, Nous rions, parlons, avec tant de simplicité. Moi qui avais tellement redouté ce réveil. J’éclipse le voile nébuleux de ma réalité,
En proie à l’hiver, mon âme solitaire reluit. Tu as deux beaux enfants, une femme jolie. Des trois paumés, la ratée c’est bien moi, Mon bateau erre sans fin dans les eaux obscures. Ton amour indulgent envers moi perdure. Je sens une rancœur ancrée au fond de toi, L’indifférence de ta mère, le manque de ton père. Nous calfeutrons notre séparation, ces éclats de fer Oh non l’enfant n’est pas toujours gai sans cesse ! Il a ses peines de cœur et lueurs de tristesse.
* * *
Nous égrenons nos précieux souvenirs d’enfants. L’unique orange de Noël au fond de nos chaussons, Dégustée peu à peu, oh, que le plaisir était grand ! Ou ce Jésus en sucre, rares étaient les gâteries. Mais, l’amour chez ces vieux jamais nous ne manquons. Nous étions insouciants et amoureux de la vie.
Le grand-père tuant les piafs avec son lance-pierre, Que nous mangions au milieu d’une pomme de terre. Nous renâclions les soupes gluantes de tapioca. Avides des pommes dorées aux fours de grand-mère, De ses confitures de mûres glanées ici ou là.
La vieille d’en face à sa fenêtre, véritable commère, Qui rapportait toutes les bêtises que l’on faisait, Le dos tourné, lui envoyait dix mille pieds de nez. Ah, ces cataplasmes de moutarde, ont trépignaient !
Et les ventouses, l’huile de ricin ou de foie de morue, L’hiver, nos petits pieds gelés sur les briques chaudes, Ou bien au fond du lit. Oh, ces édredons douillets ! Réunis le soir près de la TSF nos yeux papillotaient.
Enduits de camphre ont ne passaient pas inaperçus, A mille lieux de là, on nous aurait reconnus. Livrés à nous, nous revenions les genoux égratignés, Des ronces dans les cheveux, les vêtements déchirés.
Nous allions chaparder les tomates dans les jardins Voler les bigarreaux rouges dans celui du voisin. Dans le cimetière, aux morts donnions l’égalité, Redistribuant les fleurs au gré de notre équité,
Chapardant des perles des couronnes pour nos colliers, Et quelques jolies fleurs pour notre chère adorée. Sortant de l’école ont sonnaient à toutes les portes, Jusqu’à qu’on nous ramène par le coup à la maison, Où, là, nous attendait une bonne correction.
Pauvres vieux ! Fatigués en ont vu de toutes sortes ! Tes curiosités sexuelles ma foi bien innocentes Dans toute la maison firent un énorme scandale, Parce qu’au bord de la Marne, et bien je crois, Tu avais oublié de remettre ma culotte à l’endroit, Plus jeune et naïve que toi, n’y voyais pas le mal, Grand-mère offensée sévit la coupable insouciante.
Et nous voilà, à cinquante ans en rions attendris. Oh ! Plaisirs simples, cadeau trop tôt repris ! Dans tes jeux de garçon, gênante tu m’écartais, De m’accrocher à ses jupes la grande sœur râlait.
Ce n’est pas facile d’avoir des vieux comme parents, Leur morale et leur éducation datent de cent ans. Le temps qui s’enfuit laisse comme une ombre Et l’enfant grandit au regard de ce jour sombre.
* * * Mais ces pauvres nourriciers se sont évanouis, Leur amour a laissé dans nos prunelles éblouies, Ces liens, ces émotions, moments de grâce sans prix, Sur vingt et un enfants élevés, quelques un ont péri.
Sans doute ne pouvant tenir tête à l’orage Ou trop ballottés, ou manquant de courage, Restant comme moi, au milieu du sentier sans âge, Comme un animal à l’instinct à demi sauvage.
Avant de continuer chacun notre chemin, Tous trois, aux catacombes, irons les honorer. Ils seraient fiers de nous voir réunis, enfin. La petite émue dira en leur serrant la main,
Vous êtes la seule famille que j’aie en ce monde, Je vous ai retrouvés et mon espérance profonde, Promettez-moi, là, de ne pas m’abandonner.
* * *
Savez-vous le pire c’est que cette enfant paumée, À quarante-six ans passés !
11 – Déb. Nov. 2003 **trame qui ne sera jamais terminée le temps a eu raison des retrouvailles nul n'a désirer garder contact.
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Profile-supprimé — 01-01-2010 15:35 |
Pauvres Petits…. !
Écoutez braves gens le silence Écoutez ce petit-là.
Écoutez les cris du silence Écoutez ces enfants-là.
Où étiez-vous derrière vos fenêtres, Où étiez-vous derrière vos murs de béton. Il avait à peine six ans, Elle n’avait pas encore un an.
Ils se sont tus dans l’indifférence Ils se sont tus définitivement.
L’un battu a mort seul avec sa douleur, L’une éventrée, dédale de l’horreur.
Où étiez-vous maîtresses et infirmières, Où étiez-vous protection de l’enfance.
Ces petits-là ne parlent pas. Ces enfants-là ne trahissent pas.
Parce qu’ils ploient sous l’autorité, Parce qu’ils sont trop frêles pour crier.
Parce qu’ils sont impuissants ou ont peur, Parce qu’ils pensent mériter leur douleur,
Parce qu’ils se sentent seuls au monde, Parce que leur honte est profonde.
Où sont ceux qui savaient et n’ont rien dit, Où sont ceux qui savaient je les maudis.
Il a grandi dans la folie, Elle était à l’orée de sa vie.
Ouvrez les yeux ! Braves gens sur le silence. Ouvrez les yeux ! Sur les cris du silence.
13 – Déb. Déc. 2003
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Profile-supprimé — 01-01-2010 16:18 |
Je ne l’aime Je ne l’aime pas.
Je l’aime et je ne l’aime pas, D'ailleurs, je n’en ai pas le droit, Ce n’est pas l’amour, le vrai, Car si il osait me toucher, De suite je le quitterai, Sur-le-champ, là.
Voyez, il ne m’aime pas, Il n’en a rien à foutre de moi Il travaille c’est tout, voilà, En reçoit tous les jours là, Mil et cent mieux que moi Pour lui c’est du cinéma.
Vous voyez, je ne l’aime pas, Il a sa femme et ses enfants là, Pour sûr est mieux équilibré que moi, D'ailleurs, je n’y pense pas. Mes phantasmes se sont des bras, C’est ma débilité à moi.
Non, non, aimer ce n’est pas ça. D'ailleurs, je ne sais pas aimer, Amour le vrai, je ne sais pas. Je me protège et puis voilà. On ne peut m’aimer, moi. Alors, je m’éloigne, avant, là.
Je suis un roc, un dur, un vrai, Moi, on ne m’approche pas, S’il me dit, vous êtes bien Les yeux maquillés comme ça. Je me rebelle à l’intérieur Je rage au fond de moi.
S’il me sourit énigmatique Je me dis qu’il se fou de moi, Et je me demande pourquoi. J’ai le cœur bien trop sec et vil, Pour que l’on s’intéresse à moi. Me retranche, voilà.
Que son regard se pose sur moi, De ses yeux pénétrants et fixes, Sur mon corps anéanti, pourri, La honte m’envahit de suite, Et la peur de m’attacher Me serre les tripes, je fuis.
Il n’y comprend rien, je crois, À moins que ce ne soit moi. Je coupe mes cheveux, mais J’ai la hargne de ce corps-là Je souris, masque ma détresse, Mon cœur lacéré saigne en moi.
Alors, pourquoi aimer, Quelqu’un qui s’en ira, Ne reviendra peut-être pas, Quelqu’un qui ne vous aime pas, Qui n’a rien à foutre de moi, J’ai été vaccinée à vie contre ça.
Renfermée comme une huître Ma peur fuit exacerbée Dans mon errance insignifiante, De mes pleurs désespérés, Voudrai un élixir et fuir Loin des fracas de ma folie.
22 – Déc. 2003
j'aurai du partir avent cet amorce de transfert seconde
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Profile-supprimé — 01-01-2010 16:26 |
Ce mal qui me ronge
D’où me vient cette abominable douleur, Qui poignarde mon pauvre cœur engourdi, Où diriger mes pas qui tressaillent de peur, Sur le sentier de ma ténébreuse nuit. Oh ! Aurore fébrile, folle âme damnée, Où l’âpre rosée brûle mes yeux maudits, Je vais dans cette bise sourde, infortunée, Vers quel abysse glacé, tu m’entraînes, dis. Dans ce corps de neiges ensanglantées Et sa carcasse qui tremble et me supplie, Une bête infâme me ronge avec avidité Et se repaît de ma pourriture ensevelie.
Ma cervelle va éclater à se débattre ainsi, S’épandre à mes pieds, puante et flasque. Oh, si je pouvais dormir ! Partir d’ici ! Dans ce brouillard poudreux sans frasque.
Pauvre esprit mort né, simplet et stérile À quoi penses-tu donc sinon à ce licou, Convaincue d’impuissance d’être servile, Soudain ma fureur blême gronde tout à coup.
Les yeux levés sous mes cieux gris et pluvieux Pointe mon doigt de sang sur son front étoilé, Crie et hurle meurtrit et le regard fiévreux Vers l’horizon violet et la lune argentée : Allez !
Puis, reprends mon chemin à pas lents, navrante, Seule, indolente drapée de sombres oripeaux, L’amour vain lisse ma stupeur enivrante, Où ma faiblesse béante me lacère la peau.
Allez vas, laisses les pleurs de l’Aurore là, Qui remplissent ton antre de mélancolie, Regarde au loin les rires du Soleil, là-bas, Sors de tes rays nébuleux de ta triste folie.
Je n’y arriverai pas, sans épée je suis née, Où diriger les pas de mon ombre asservie A quoi bon se battre devant, toi, destinée, Allons dresse la tête, vois s’écouler ta vie !
23 – Déc. 2003
* il est facile de voir qu'ici tout était règlé six ans d'analyses en trop
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Profile-supprimé — 01-01-2010 17:35 |
Professionnel
N'oubliez jamais que ce sont des professionnels
Qui on construit le Titanic,
Et des amateurs l'Arche de Noé !
5 sept 2008
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Profile-supprimé — 01-01-2010 17:44 |
Mon autre
Encore aujourd'hui après deux années Mon amour grandit sans cesse à tes côtés Laisse encore mon coeur te parler d'amour Laisse-moi te dire que je t'aime pour toujours
Quand je te regarde dans les yeux Je vois en toi un coeur heureux Si doux et si bon,sans rancoeur Vivre avec toi,c'est vivre le bonheur
Nous avons su prendre le temps De se découvrir et s'aimer tendrement De se dire chaque jour à tout instant Qu'on s'aime et s'adore éperdument
Laisse mon coeur te dire sincèrement Toi mon autre, mon homme, mon phare Qu avec toi ma vie est belle tel un nénuphar Qu'être dans tes bras est vraiment mon destin
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Profile-supprimé — 01-01-2010 17:52 |
Chalons en Champagne
Bonjour, je suis là, seule, te souviens-tu de moi ? C’était vers les années soixante, nue et sans toit. Comme une étrangère munie d’un pli précieux, Je viens mendier cinq ans de mon passé poreux.
Ta gare est déserte. Tes rues sans âme, noyées Comme mon cœur, d’une accablante grisaille. Que vais-je découvrir ? La peur me tenaille. Comme je me sens irréelle à cet instant ployé !
Oh Fastidieuse autorisation de la Nation ! La Nation protège la Loi ; la Loi… la Justice La Loi… la mère ; le Préfet protège la Justice. Et l’enfant ? Qui est sensé le protéger, Nation ?
Dédale de labyrinthes où je m’englue une année. Il faut les extirper ces jugements ensevelis, Rectiligne, kafkaïen l’État ! Exclu, interdit. Ils sont tenaces ces amputés du passé, bornés.
Et je suis là à gueuler à tous, aidez-moi, C’est à moi ce passé que vous détenez là ! S'il vous plaît, monsieur le Préfet, rendez-le-moi ! Je veux savoir pourquoi j’en suis arrivée là.
Oui, je sais ce sont des jugements de mineurs, Mais J’ai quarante-six ans, toujours pas de passé, Oui, je sais on ne touche pas la mère légitimée, Vous me Volez et faites de moi un être inférieur !
Ne serais-je dans ma vie qu’une demi-portion ? Pourtant, je vote, travaille, n’emmerde pas Nation. Vous surchargez jusqu’aux dates de naissances, Saisies de documents, est-ce là Droit en France ?
Moi, je vous dis que ce Droit-là est bien bancal. Ces enfants abandonnés, déplacés et sans nom, Ont plus besoin que tout autre de Vérité de fond. Dans cent ans ? La bonne blague, la mort en aval !
Quoiqu’il en soit Chalons, je ne dis pas Champagne, Comme tu vas voir, à mon époque, on était vieux jeu, Dans tes miroirs, tes jugements l’étaient un peu. Mon parcours s’avéra une titanesque campagne.
Après bien des suppliques, vous m’avez entendue. Les débris absents si j’avais dû les extirper, Embourbée dans le limon je serai perdue. Alors, j’ai jugé en avoir assez pour exister.
Chalons tu me dépouilles, Etat tu me possèdes. Pas de copie – pas le Droit – c’est à l’État. Ma vie est étalée, là, sur la table en tas. Je ne pourrai l’emmener, mon élan cède.
Je vois mon passé défilé, ma gorge se serre. Trois jugements, pour cinq années d’enfance, Tel un ouragan que ma pauvre vie exaspère Recule ma chaise. Allons, prends tes distances !
Prends des notes de loin, mes yeux se sont embués, Je n’y peux rien, l’émoi…Oh ! Jugements maudits ! Le surveillant me regarde, ici on ne fait pas de bruit, Il faut faire attention même pour se moucher.
Une larme impudique s’écrase sur ma main, Un son asphyxié s’enfuit, se brise dans l’air, Jette les fibres de mon cœur au morne lointain, Je ne sens plus rien, je suis de fer et me taire.
Savez-vous ce que ça représente d’émotion ? Voilà moi, ce que je suis, un tas de papiers Poussiéreux et jaunis, sans considération. Plus funeste que je ne me l’étais représenté.
Oh ! Je ne suis pas passée à travers les mailles, Non, le filet était même trop serré, affirmé. Mêmes juges et assistantes, où est la faille ? Épernay juge, Chalons un an après a confirmé.
À chaque fois qu’une personne a ma tutelle, Il la dépose de suite, alors on reconsidère…… Chez moi, pour le bien de l’enfant on considère…… Donne, rend, retire... Ah ! Les marges sont belles !
Ça me poursuit comme dans la prime enfance, Sept mois six jours, quatre endroits, magnifique ! Dis ma vie, pourquoi tant de fautes juridiques ? La mère ne signe pas le verdict, quelle importance !
La Loi, y met du sien, pour faire voir qu’elle est là, Je n’ai pas assez voyagé comme ça, un petit tour, Et puis voilà, retour la case départ : Orphelinat, Juste lui mettre les idées en place avant l’autre cours.
Et puis, en passant on culpabilise la mère, Qui fait la morte dix ans, doit en plus payer, La Loi l’a déchargée, pourtant de ce ballot amer. Futée, tu traces le sentier à suivre pour m’isoler.
Et l’Argent ! Ah l’Argent ! Ça aussi ça la poursuit. Depuis la prime enfance, ma vie tiret par-ci, par-là… Mais l’Argent, à quatre mois sous le nez elle a ça. Allocation. Sans effet. Qu’y puis je si j’ai grandi ?
Un bébé de sept mois placé chez des vieillards, Puis ma tutelle à une personne de vingt-cinq ans, Qui a la charge de deux handicapés mentaux Et un père alcoolique crasse et misère à part,
Et me placera chez une insensible nourrice. La tutelle retirée à la mère, de force réinjectée Après deux ans et demi. N’est-ce pas du vice ? Avec la mère et l’enfant réunis, tu m’as achevée !
Quand je sors de tes Archives, je ne ressens rien. Ni amertume, ni colère, Rien, vide, Vide plein, Pas contrôle de l’enfant livré à son infirme sort Qui découvre trop tôt la faiblesse de l’être hors.
Consciente de la dette que j’ai envers tous, Avec leur humble moyen m’ont donné un toit, Même l’État, avec ces gamins paumés, sans sous ! Les yeux clos, j’incline la tête, Destinée devant toi.
Pour combler ce vide, je mange à en éclater, Essayant de réveiller l’impression d’exister. Je veux partir loin d’ici où le vent voudra, Sans rien emporter, inconnue, seule ici bas.
Oh ! Ville départementale qu’as-tu fait de moi ? Et l’enfant ? Qui est sensé le protéger ?... Nation.
Triste oiseau de passage est-ce ma propre image
Dans ce crachin de brume, mon âme se terre
Irréelle indolente cela ne m’atteint plus
Tel l’enfant face à son impuissance erre 8 – sept 2003 Dans tes rues, je vais à pas lents,
Inexistante et nue. Adieu Chalons tu ne me reverras plus ! Remets dans ta poussière ma vie échue.
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Profile-supprimé — 01-01-2010 18:14 |
La Bâtarde, la Crème et la Vieille
Oh ! Bâtarde étrangère infortunée, malhabile, Tu maraudes, Gitane dans les champs les vergers, Mais puisque tu as faim que tu pars en exil, Rustre et entêtée, tu ne sais jamais dire, merci. Barbare elle pleure, veuillez lui pardonner. Oh ! La Crème confesse, de vol de ces fruits, Et boit aussi son doux miel, jusqu’à la Lie De ses errances éclairées et parsemées ; Mais ce n’est point la partance en l’exil, Que ce jour, je suis venue vous demander. Inique si dans vos mains, remets ce que j’ai volé. Oh ! La Vieille si pauvre, comme Aphrodite tu es, Et si docile sur ces chemins, belle naufragère, Les sages eux, font des gestes socratiques, Laisse-les donc parler, de croisées platoniques, Ils parlent d’amour, mais sans savoir y faire. Pardonne leur Bâtarde, Crème et la Vieille. Et toi ! Tzigane errante dans ses chemins futés, Allume les cheminées de feu pour y festoyer. Admire intensément le soleil, se lever, se coucher, Dans sa roulotte vagabonde, rouée et rusée, Tout y était couché, depuis bien des années. L’écume du jour, l’aurore y étaient apprêtées. Va ainsi, la Bâtarde, la Crème et la Vieille. Va ainsi, La Bâtarde Va ainsi, La Crème Va ainsi, La Vieille.
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Profile-supprimé — 01-01-2010 18:22 |
Un/connu, tasse à lier
J’ai esquissé un faux ami Qui s’apelle Tasse Ignie, Robin des bois Dé Oh ! Psy ! Sur le Post no-made lande Où germe / n/analyse Et son monde utilise. L’Identique est sa librairie, De mauvaise a/n/alyse. J’ai trouvé cela très triste, L’infiltration nef passante. Rétension de mauvaise a/loi. Grand bien lui fasse ! Qu’il casse les tasses, Et les débris, amasse. Je sais que la sureté de sa loi Un pair revers le brisera ! Abolition a/vocat/ion, Versera heo de sa fonction. En attendant, il me fait honte Passionnée de cette profession.
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Profile-supprimé — 01-01-2010 19:42 |
Dis mon cœur,
Je te sens revenir abominable houle, Avec tes raies chatoyantes empourprées. Tu tisses ta toile irisée et m’enroules, Dans ton canevas de filins enchevêtrés. Je te connais bien, vas, n’essaies pas d’approcher, Attention mon cœur, cours, vas vite te cacher, Avant d’être emportée dans ses ailes moirées, Et ses nuages d’encre où tu vas te noyer. Va, passe ton chemin, ne me tends pas la main, L’air empeste ton âcre odeur de myrrhe, Tes relents d’extase mystique me font vomir, Vas, passes ton chemin, ne croises pas le mien. Avec toi, j’essaie de composer, glaciale, Dans une fuite éperdue que rien n’altère, J’échoue au hasard sur la grève liliale, La coque efflanquée de nacarat austère, Scorie éphémère dans mon servile enclos, Visqueuse et engourdie où je vacille, Je me sens partir en exil les yeux mi-clos, Infirme, résignée, au vent je m’éparpille. Un petit bruit sourd te murmure à l’oreille, Oh ! Misérable ! Regarde ton âme flétrie. Pourquoi ce désespoir que cette lueur éveille ? Dans cette bruine fétide mon corps s’enfuit. Je te connais bien, vas, ne me tends pas la main, Je te connais bien, vas, passes ton chemin, En attendant demain.
16 – Déc. 2003
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Profile-supprimé — 01-01-2010 20:11 |
Nuit
On dirait qu'elle met sa robe Longue d'étoiles parsemées Qu'elle s'apprête pour un défilé Tant elle sait se faire désirer.
Ce soir, elle a tout de l'espoir Elle sait qu'elle n'est pas que toute noire Elle saurait même être jolie Pour rassurer l'enfant petit.
Sa douceur ne fera plus peur Et sèmera plein de bonheur Dans les foyers et dans les coeurs Du monde...Comme un enchanteur.
Il n'y a plus de cauchemars Plus d'enfants qui ont peur du noir Lente et moite sur nous elle veille Parfois même elle porte conseil.
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Profile-supprimé — 02-01-2010 11:35 |
Donne ta main petite vois les murs clairs Ici on fume, ici l’on chante, ici l’on dort, Il porte avec bonheur ton enseigne Parle donc d’amour et joie avec aise
Les choses aussi chantent dans ta tête Oh musique peu lointaine et discrète Ecoutez c’est son sang qui chante Alors que ma mémoire est bien présente
Chantez, pleurez ! Chassez la mémoire Et chassez l’âme et jusqu’aux ténèbres Magnétisez nos pauvres vertèbres De toute les amours au teint d’ivoire
Ce n’est pas une Pierrotte en herbe Ni un saltimbanque de fleurs en gerbe Mais un cerneau de noix hors de sa cosse Petite reste comme une petite gosse
Ton Corps fluet et non pas maigre Rire de petite fille et non pas aigre Voix de tête et aussi corps en fête Soule tes appétits, toujours prête
Va petite sœur va en camarade Fais le diable là sur ton estrade Dans ton rêve et les rues de Paris Avec ton air et ton innocent esprit
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Profile-supprimé — 02-01-2010 11:46 |
Va petite,
Va sans nul autre souci Que de conserver ta joie ! Fripe tes jupes de soie Et goûte les vers aussi
La morale la meilleure En ce monde où les plus fous Sont les plus sages de tous C’est encore d’oublier l’heure
Il s’agit de n’être point Mélancolique et morose La vie est-elle une chose Grave et réelle à ce point ?
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Profile-supprimé — 02-01-2010 11:58 |
L’être humain n’est pas fait Pour être d’humeur parfaite Lorsque tu cherches tes puces C’est très rigolo Que de ruses, que d’astuces ! J’aime ce tableau
Toujours tu reviens bredouille D’ailleurs, de ce jeu N’importe, il metrouble et brouille Ton sport , et pas peu !
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Profile-supprimé — 02-01-2010 12:03 |
Tu crois au mare de café, Aux présages, aux grands jeux Moi je ne coris qu’en tes grands yeux.
Tu crois aux contes de fées, Aux jours néfastes, aux songes, Moi je ne crois qu’en tes mensonges.
Tu crois en une vague Dieu, En quelque saint spécial, En tel Ave contre le mal.
Je ne crois qu’aux heures bleues Et rouges que tu n’épanches Dans la volupté des nuits blanches !
Et si profonde est ma joie Envers tout ce que je crois Que je ne vis plus que pour toi !
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Profile-supprimé — 02-01-2010 12:21 |
Ton rire éclaire mon vieux cœur Comme une lanterne une cave Où mûrirait tel cru vainqueur Ton rire éclaire mon vieux cœur
Ta voix, clairronne dans mon âme : Tel un signal d’aller au feu De tesyeux en effet tout flamme On y va sécré nom de Dieu Ta voix, claironne dans mon âme
Ta manière, de paraitre et d’être Ton chic, ton galbe, ton que sais-je Me disent : Viens ça paraît Oh ces souvenirs en cortège
Ta manière de paraitre et d’être Ta gorge, tes branches, ton geste Et le reste, odeur et fraîcheur Et chaleur m’insinuent : reste ! Si j’y reste, en ton sourire mangeur !
Ton cœur ta gorge ton geste
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Profile-supprimé — 02-01-2010 14:50 |
Eau
Eau qui se presse, qui court -, eau oublieuse que la distraite terre boit, hésite un petit instant dans ma main creuse, souviens-toi ! Clair et rapide amour, indifférence, presque absence qui court, entre ton trop d’arrivée et ton trop de partance tremble un peu de séjour.
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Profile-supprimé — 02-01-2010 14:54 |
De ton rêve
De ton rêve trop plein, fleur en dedans nombreuse, mouillée comme une pleureuse, tu te penches sur le matin.
Tes douces forces qui dorment, dans un désir incertain, développent ces tendres formes entre joues et seins.
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Profile-supprimé — 02-01-2010 15:12 |
Judas
Traite, voyou, chenapan, Désinvolte à plein temps, Du fouet de la civilisation. Du baiser condamné à fuir, Des Abonnés-absent, De l’œil de juda de Dieu, À la porte des cieux. Mal-communiquant D’un deus ex machina Qui a dû s’endormir en créant Que la facture de l’homme paiera ! Traite, voyou, chenapan.
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Profile-supprimé — 02-01-2010 15:18 |
Méta -vérité
Après la physique Reste la biologie Au-delà reste la logique Ma logique n’étant pas ta logique Elle est pourtant a-logique Vous me suivez ? Étranger alogique Étranger allogène Étranger étant sans famille Cherche un groupe d’étrangers Ça se complique…. Vous me suivez ? Comme l’étranger alogique n’a pas de bol Signor Vitalis ça vous dit ? La méta-phore cherche encore Il y a bien une vilaine bestiole dans la grotte Mais elle n’est guère convenable, exécrable. Vous me suivez ? L’attrape-nigaud erre désespérément Il y a bien une table et nappe rouge Mais c’est trop proche de métastable Y est gravé et transcrit dans la trame Des trois racines de trois au carré Des deux racines de deux au carré Vous me suivez ? Cherchez pas je cherche une méta à moi Fort intéressant la méta …idiopathique, D'ailleurs, j’arrive toujours en retard À cause du réveil arrêté …ne cherchez pas Moi je ne suis jamais pressée À cause d’une vérité gaieté. À cause d’agnostique alogique phallocratique pathologique fantasmagorique. Vous ne trouverez pas Je remets à plus tard ……… Vous me suivez ? Non tant mieux il ne faut mieux pas
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Profile-supprimé — 02-01-2010 15:25 |
Oh ! Bonheur de l’été
Oh ! Bonheur de l’été : le carillon tinte puisque dimanche est en vue ; et la chaleur qui travaille sent l’absinthe autour de la vigne crépue. Même à la forte torpeur les ondes alertes courent le long du chemin. Dans cette franche contrée, aux forces ouvertes, comme le dimanche est certain !
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Profile-supprimé — 02-01-2010 15:29 |
je suis en train en taguant de faire le tri et de les ranger j'ajouterai les autres à la suite numéroté non par date mais par ordre de création.
Le hochet
Il y avait un enfant en bas âge Qui a trop agité son hochet. Où sa mère l’a trop agité devant lui. C’est selon. Pas grave, le résultat fut le même. Comme son père l’avait appelé Pine À l’adolescence il se mit à voir rouge. Une fois adulte les clochettes Lui résonnèrent dans la tête au grand jour, Alors bien évidemment, Il se mit à boire des pineaux de vin rouge Il confondit le rouge des coquelicots Avec le rouge du cœur des gens. Et les hochets continuèrent à s’agiter Dans des demeures bien calfeutrées Impunément.
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Profile-supprimé — 02-01-2010 16:02 |
Oh, mon cœur !
Oh ! Toi mon cœur, Reste immobile, tranquille. Des échos font retour, silence. Écoute, écoute, ce qu’ils te disent. Non ! Toi mon corps, Ne t’effraye pas, attends. Aux seings de ta mémoire, Il y a tant d’espoir, patience. Laisse, laisse venir à toi les pas du hasard. Oh ! vous, mes yeux, Séchez vos larmes, dites, Vous avez tant de ris à surprendre, Immenses, impassibles, confiance. Cernez, prenez cette beauté présente. Et vous, mes mains, Arrêtez lâcher, pitié, Elles ont tant d’offrandes à donner, Sensibles, à vif, indulgence. Donnez, offrez tout ce qui est à votre portée. Et toi, mon âme, Arrêtes de t’agiter, respire, Suspends ta pensée, absence. Tu sais ta béance depuis si longtemps Rien ne sert de te tourmenter. Va, va ton chemin Va, sans penser à demain.
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Profile-supprimé — 02-01-2010 16:04 |
Le clou,
Tu seras toujours divisée, Divisée de rien Divisée de tout Divisée tout à coup. Brutalement, Là, comme un clou. Passant des rires aux larmes, Passant du calme aux vagues, Divisée un point c’est tout Cruellement, Là, comme un clou. Clou rouillé qui s’évade
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Profile-supprimé — 02-01-2010 16:12 |
Fenêtre, qu’on cherche souvent
Fenêtre, qu’on cherche souvent pour ajouter à la chambre comptée tous les grands nombres indomptés que la nuit va multipliant. Fenêtre, où autrefois était assise celle qui, en guise de tendresse, faisait un lent travail qui baisse et immobilise … Fenêtre, dont une image bue dans la claire carafe germe. Boucle qui ferme la vaste ceinture de notre vue.
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Profile-supprimé — 02-01-2010 16:14 |
Solitude
Ta solitude est immense D’un monde vide d’absence Absence d’ami, Absence de vie, De feuille et de fil Absence dolente Indifférente Tu files.
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Profile-supprimé — 02-01-2010 16:23 |
**ce ne sont que de pauvres mots offerts par-ci par là ! Peut-être réchaufferont-ils le coeur au passant de-ci delà .........
Qu’est-ce qui lui arrive ?
L’avez-vous vu ? L’avez-vous aperçu ? Qu’est-ce qui lui arrive ? L’avez-vous vu ? L’avez-vous entendu ? Vous ne la reconnaîtriez plus ! Elle a dû tomber sur la tête pour sûre, Elle a dû rencontrer une astuce, Elle a dû discerner un truc Que l’on ne lui reprendra plus. L’avez-vous vu ? L’avez-vous entendu ? Qu’est-ce qui lui arrive ? Elle veut transmettre ce bonheur-là Elle voudrait que tout le monde vive Elle voudrait tout le monde en psychanalyse Elle voudrait libérer les voix Elle voudrait tout le monde un chapeau sur la tête Elle voudrait que tout le monde laisser ses chaînes invisibles là. Elle va créer, libérée, libre, elle va créer dans la joie. Elle voudrait embrasser le monde Elle cherche ses mots simples qui ne soient pas répétition
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Profile-supprimé — 02-01-2010 16:33 |
Les mots
Toujours mal criés Toujours mal dits Toujours mal donnés Toujours mal ressentis Toujours mal reçus Toujours mal lus
À faire chanter À surréaliser À malmener À délier À relier À jouer À infantiliser
Surtout :
À ne pas normaliser À ne pas enfermer À ne pas intellectualiser A ne pas intelligencer A ne pas scientifiquer À ne pas politiser À ne pas canaliser
Et si tu n’as rien à dire, Garde le silence
Et si tu n’as rien à crayonner Retiens-toi de mordre
Et si tu n’as rien à chanter Suspends ton souffle
Et si tu n’as rien à peindre Éteins tes couleurs Et si tu n’as rien à modeler, Arrête de façonner
Et si….et si……gribouille… gribouille…vas visiter la vie… Trouve une façon de tricoter avec la vie
Si approche la violence de l’ennui Trouve à broder avec la vie, petite,
Si résonne le silence de l’absence. Trouve toujours à tisser avec la vie,
Mais surtout, surtout,
N’égare jamais ton sourire et ta joie de vivre. Mais surtout, surtout garde tes ailes, petite. Ne laisse jamais personne te les rogner, Tu ne pourrais plus t’envoler.
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Profile-supprimé — 02-01-2010 16:47 |
Atypique
Malheur à celui qui est atypique Il sera prédisposé à être atopique Lieu commun d’un topique Ou d’une encore d’une topique Qui puis-je ? Malheur à celui qui est atypique Autrefois on disait anormal optique. Aujourd’hui ça ne change pas.
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Profile-supprimé — 02-01-2010 16:51 |
Atypique et travail
Excessif, bouillant et sanguin, Parfois contr/o/versé, Personnalité atypique Plus à l’aise dans l’action Que dans les discours zélés. A et a normal entendez ! Travail Atypique
Déposé au début février Ce rapport soumet, en 807 pages, Pas une de plus pas une de moins 53 recommandations pour « améliorer » la protection sociale des travailleurs atypiques. A et a normal entendez !
Le régime actuel de protection Est conçu pour le salariat « classique », Une protection adéquate de la main-d’œuvre atypique Nécessitera un effort législatif important. A et a normal entendez !
Mais alors, pourquoi en créer autant ? Les individus auraient moins besoin De protection ? De lois aussi ! Ah ! Les hommes de lois !
Rebelle, contestataire, Dissident, mal pensant, Iconoclaste, bête et méchant, Par analogie briseur. Par antonyme réparateur ou restaurateur,
Je vais allez faire un tour à la plage de Paris Histoire de me restaurer, marcher et rêver, Aux tropiques peut-être, comme deux parallèles Qui se rejoignent entre soleil et zénith Dommage que le soleil n’est pas au rendez-vous. Tant pis je prendrai le parapluie.
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Profile-supprimé — 02-01-2010 16:55 |
Elle a la rage
Elle a la rage savez-vous pourquoi ? Elle a la rage parce qu’elle sait. Elle sait quoi ? Elle a la rage parce qu’elle sait que : Quoiqu’il arrive, elle marche Quoiqu’il arrive, elle parle Quoiqu’il arrive, elle donne Quoiqu’il arrive, elle aime Quoiqu’il arrive, elle partage Quoiqu’il arrive, elle rit Quoiqu’il arrive, elle vit Quoiqu’il arrive….Quoiqu’il arrive….. Quoiqu’il arrive….. C’est cela qui la met en rage Elle n’y échappe pas. Alors, elle tonne contre tout cela.
2003
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Profile-supprimé — 02-01-2010 16:58 |
Elle s’apprivoise
Elle s’apprivoise avec les mots Comme lui a montré la psychanalyse Elle s’apprivoise avec les mots Afin les laisser vivre Elle s’apprivoise avec les mots Comme elle apprivoise sa vie Elle les veut chanteurs et rieurs Sur le rythme de son cœur Elle les veut chanteurs et rieurs Pareil à son bonheur Elle n’oublie pas ceux qui sont là Au fond caché, sombres et obscures Elle n’oublie pas ceux qui sont là Qu’elle doit à la psychanalyse Elle n’oublie pas ceux qui sont là Parce qu’elle ne détruira plus. Elle va s’inventer des mots à elle Qu’elle offrira à tout le monde Elle va s’inventer des mots à elle Ils seront beaux parce qu’elle aime le monde Elle va s’inventer des mots à elle Enfin réconcilié avec elle-même
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Profile-supprimé — 02-01-2010 17:06 |
Chez Trace Ourdaine
Chez Trace Ourdaine on y mange bien Joli cadre reposant et serein La cuisine y est conviviale Tout paraît original et calme. Le matin, si vous musardez, passez, Vous aurez l’opportunité d’écouter jouer Au piano un petit air léger de Chopin Un chat y somnole d’un œil vigilant. J’aimais bien aller grignoter là, Mais, voici qu’un jour de galère, De galère comme en arrive quelquefois, Comprenez, plâtrée de pâtes à tous repas, Me présente au patron de ce pas, Lui tendant gentiment ma carte Je suis fière comme Artaban, Pensez donc, j’ai trouvé ma voix ! Et voilà que je m’entends répondre : Le timbre haut, que tout le monde entende, Non, mais ! Attendez ! Est-ce que vous venez Seulement chez moi, ici, manger ?… Et puis recommander c’est délicat !… Exercez-vous seulement bien votre métier ? Je rougis alors éberluée, surprise par cet éclat, Partis toute penaude, les regards braqués sur moi. Vraiment désolée de m’y être fourrée. Me promis de n’y remettre les pieds. Aujourd’hui ma galère éclipsée J’irai manger chez lui une dernière fois. Avant de payer demanderai le patron, Lui dirai-vous souvenez vous de moi ? Un sourire malicieux aux lèvres, Lui rappellerai cet intermède. Me sentirai allégée et lui saura pourquoi Mes pas plus jamais ne flâneront là bas. C’est que mon métier enseigne aux autres De ne pas se faire houspiller par lalangue, voilà. ! Désormais je vais musarder chez platitude café, Le patron est agréable a toujours un mot gentil Lui, au moins, a pris ma carte sans rien dire. S’il ne se souvient pas de moi, Eh ! Moi si. Et je m’y sens jovialement bien. Peux lézarder avec un bouquin des heures Un jour aussi, lui dirai pourquoi je viens là. Cela lui fera sans doute du bien à lui aussi. Au hasard des routes parfois il est certain Que certains nous désarment en vain Mais il y a toujours quelqu’un de bien Qui un jour vous tendra la main. Juin 2007
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Profile-supprimé — 02-01-2010 17:10 |
L’abîme,
Il s’ouvre par-delà l’amour et la haine, Un vide dont ma Foi, leste, a failli agripper De cet abîme obscur tu perpétues ton domaine, En m’y précipitant, hélas, j’avais cru l’éclairer. Allez, va ! Je t’expulse de mon royaume Entre deux infinis tu me tiens suspendu, Tu ne dois plus savoir où loger tes fantômes Hautain, ardent, pour moi l’instant est venu Aujourd’hui, désormais, clôture ton Inconnu. Si ton triomphe infini expie ma défaite, Mon être trouble et vainqueur éperdu, Je me sens ruinée par ma propre conquête En te dépossédant ainsi j’ai tout perdu. Allez, va ! Éloigne tes sombres peintures, Je reste là, sans espoir, sans recours, sans asile, Tandis qu’obstinément le Désir qu’on exile, Reviens errer autour du gouffre défendu. Mais si tu es Dieu, maître et tyran suprême, Qui me contemple ainsi moi, entre-déchiré, Ce n’est plus un salut, non ! C’est un anathème Que je te lance avant que d’expirer. Fini l’effroyable Destin, mon cœur ulcéré, Il peut jaillir encor devant mon âme avide Des sources d’espérance et des flots de clarté. Je te montrerai qu’il y a un beau ciel splendide. Allez, va je t’expulse de mon royaume Même si entre deux infinis je suis suspendue. Hélas, aucune de tes paroles ne résonne au lointain Comme une vie dans l’absence est éteinte.
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Profile-supprimé — 02-01-2010 17:19 |
C’est pour offrir ou c’est pour vous ?
Sur l’étalage du marché Mon regard fut attiré Par de jolies anémones Aux pétales roses toutes dentelées.
Délicatement pris le bouquet Huma, tendrement parfum sucré Oh ! douceur exquise qui fait rêver, Délicieux clin d’œil à votre cœur en fête.
Gentiment le tends au marchand La question ne se fait point attendre C’est pour offrir ou c’est pour vous ? Prestement réponds : c’est pour moi !
Et voilà que ni une, ni deux, ni trois, Le bouquet se trouve emmailloté Sans aucun autre ménagement Dans un papier vilain papier tabac.
Le regarde ahurie, dépitée, dis : Il n’y a même pas un brin de verdure ? Et revoilà ces pauvres fleurs chavirées, Re-scotchées, une feuille de ramure ajoutée.
Point de papier sulfurisé comme pour offrir Point de ruban, point de frou-frou voyez vous, Vexée que le « vous » soit si mal considéré. Rétorque : Et bien, dites-moi, la prochaine fois,
Je ne vous dirai pas que c’est pour moi ! Une femme à mes côtés qui a observé La scène, s’esclaffe : Et bien oui, alors J’étais en train de me demander pourquoi ? Dites, fleuriste, vous auriez dû être poissonnier ! Ou boucher, épicier, je ne sais pas… Les fleurs c’est délicat comme une femme La beauté est partie, la poésie envolée.
Sur ce fait je me suis empressée de rentrer Pour les déposer dans un joli vase enluminé Ne répondez jamais à cette question. Tout dépend qui pose cette interrogation.
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Profile-supprimé — 02-01-2010 17:29 |
Ah ! Mime dada
Vous en souvenez-vous ? Il avait le A mine Le a dada
Il y a des mines comme ça Qui me font honte à moi
Êtes-vous toujours fiers d’être français ? Oh ! Non pas moi.
Et encore je ne vous dis pas ! Il y a le A colonial Précédé du a canonial Et encore je ne vous dis pas !
Il y a le A dieu Escroté du a guerre religieux. Ah ! Mine toi tu avais pour sur Un dada en or.
Ah toi tu avais le mime d’Éros Mais la pulsion de thanatos. Ou satanas comme on voudra.
Et nous, alors, français on était quoi, À ce moment-là ? Oh rien ! Sans doute dans la pulsion besoin.
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Profile-supprimé — 02-01-2010 17:43 |
Au site Ecrits
J’ai fait un vers de dix-sept pieds Riez donc, ne triomphez pas Vous, de tous les chers émeutiers Site Ecrits je n’aime pas vos ébats Dont j’aime et n’admire pas l’heur Dans la pensée des mots Les autres oui, j’admire leur Bravoure ce n’est pas mon los
Mon vers n’est pas de dix-sept pieds Il est de deux vers bien divers Un de sept un de dix Riez Le distinguo c’est bon pour rire Vous êtes pour moi trop fier Et c’est meilleur encore Aimez offrir écrits et vers
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Profile-supprimé — 02-01-2010 17:55 |
Mon âge mûr, qui ne gromelle En somme qu’encore très peu, Aime le joli pêle-mêle D’un baller de camaïeu
Ou tout autre, fol et sublime Tour à tour comme en même temps Surtout si vient la pantomine S’ébattre en jeux concomitants
Jeux de silence et de mystère Que la musique rend déjà Plus muets et dont l’art va taire Mieux le secret qu’il ne lâcha
Qu’à l’oreille de Colombine Ou de l’indolente Amitié Pour l’amant qu’il se turlupine Sonc à tort ! Puisqu’il est l’aimé
La jalousie, un sultan sombre Et piteux sour l’or du Safran Scaramouche tout noir dans l’ombre Ou tel splendide de capiton
Se démène parmi les danses D’épithalame et de joyeux Pourchas légers entre les denses Ronds de jupe essorés des cieux
Plaisirs des yeux plaisirs de tête Qu’un vif orchestre exalte encore Donnez au vieillissante poète L’illusion dans le décor.
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Profile-supprimé — 02-01-2010 18:43 |
L’enfant qui ne veut pas grandir
D’où viens-tu ? Lave-toi les mains ! Dis bonjour à la dame ! vas moucher ton nez ! Passe à table ! Regarde un peu comme tu es sale ! Et l’enfant partit en courant, claqua la porte derrière lui, Une grosse larme roule sur sa joue. Il a dit moi je ne veux pas grandir. Non, non, non, il a dit. Je ne veux pas grandir dans votre monde à vous, Dans mes poches trouées moi aussi j’ai des sous J’ai des cailloux uniques au monde Des morceaux de bois extraordinaires Du papier où chaque carré est une part du monde Les grands ne savent que compter Compter, compter, compter…. L’argent qu’ils ont, L’argent qu’ils ont eu L’argent qu’ils n’ont pas… L’argent qu’ils n’auront pas Compter, compter, compter…. Avec l’argent qu’ils ne savent que faire. Quand ils en ont trop jouent à faire la guerre à Minerve. L’enfant a dit moi je préfère jouer avec mon chat. Dans ses yeux il y a pleins de mystères Les yeux de mon chat sont verts Verts comme l’herbe de la terre Pas comme misère, pomme de terre Guerre sur terre, amende revers. Les yeux de mon chat sont pleins de mystères… Et lui a gardé ses dents de sagesse, Il est clairvoyant mon chat, se délace tout le temps, Il rêve, il rêve, si on le dérange, lance sa patte et griffe, Faut jamais déranger un chat qui est en train de rêver. Quelque fois qu’il soit en train de jouer au chat à la souris. Ou a chat perché, à la corde à sauter aussi. L’enfant a dit, pendant que j’y suis Je vais jouer à l’ âne aussi, Jouer à l’âne comme bonnet d’âne, Avec deux n , pour embêter le monde Comme ça il aura quatre pattes, Oreilles d’âne qui n’y entendent rien , Un âne qui naviguerait sur son chapeau Au milieu de la mer, au milieu du désert, Les quatre fers en l’air et sautant au cerceau Le chat sur son dos, avec un bonnet d’âne Rien que pour embêter le monde, Le monde pour faire joli j’y mettrai deux chapeaux aussi Un pour l’été un pour l’hiver, Un à pois rouges et l’autre pois verts Et j’emporterai celui de l’épouvantail à moineaux Il servira pour les jours de tempête Et je le remplacerai par un diadème De bleuets, pâquerettes et coquelicots Ou simplement de boutons d’or, C’est beau un épouvantail coiffé de boutons d’or. Et tous les oiseaux du monde viendront sur sa tête Iront picorer tous les bigarreaux du jardin Et leur chant sera une véritable fête. J’y mettrai un gros nez rouge de clown Avec un grand sourire de clown aussi Pour faire rire tous les enfants et les oiseaux aussi. Au monde où je ne veux pas aller. J’y mettrai un r comme ronde, ou tout le monde Pourra rire et chanter et même danser si ça lui chante Je préfère marcher de travers, travers, Marcher comme les crabes, de travers, Marcher comme les étoiles de mer, En donnant la main à tous les enfants Du monde des jaunes, des rouges, des verts, Mêmes bleus et violets si ça existe. Prendre mes chemins de traverse à moi, Le chemin des ruisseaux, le chemin de Minerve Le chemin du chant des oiseaux, le chemin des crapauds Le chemin du soleil, des étoiles, des cours d’eau, De tous les animaux et d’éros aussi Soudain l’enfant éclata de rire Il vit le visage de sa mère coiffée du chapeau de l’épouvantail Qui croassa en dormant. Et son père avec un nez de clown emmêlé dans les pattes du chat Les quatre fers en l’air qui fit :hi han ! Et il rentra à la maison tout guilleret, Dis :je viens du jardin, Alla se laver les mains, Il dit bonjour à la dame, Et se mit à table….personne n’y comprit rien à son fou rire Il entendit vaguement : arrête de rire à table, ses oreilles d’âne étaient obstruées.
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Profile-supprimé — 02-01-2010 18:50 |
Brise Marine La chair est triste, hélas ! Et j’ai lu tous les livres. Fuir, là-bas fuir ! Je sens que des oiseaux sont ivres D’être, hélas, parmi l’écume inconnue et les cieux ! Rien, ni les vieux jardins ne reflètes plus tes yeux. Ne, retiendra tes pluies qui dans la mer se trempe, Oh, nuits de bruine, la clarté déserte de ma lampe S’étale le vide papier, que seule la blancheur défend Dans jeune brise la pauvre femme allaite son enfant. Je partirai, balançant amère, glissant sur ta mâture, Je lève l’ancre, d’une galère pleine d’étoiles nature ! Un ennui recourbé tantôt mince de cruels espoirs Croit encore à l’adieu désolé suprême des mouchoirs ! Et, peut-être, les haubans des mâts, invitant les orages, Sont-ils ceux que le vent penche seul sur les naufrages Perdus, sans misaine sur le pont, déferlent des îlots fertiles Oh ! Écoute le chant des huniers, que les matelotte hissent Oh ! Toi, mon cœur saisit au loin, la bise marine qui fraichit. Lève l’ancre, où à l’océan se mêle l’accalmie d’horizon infini
* Si je prête à rire, je vous donne à penser Mémoire d’Hommes Et de Femmes
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Profile-supprimé — 02-01-2010 18:55 |
Chanson d’une dame dans l’ombre
Quand vient la Silencieuse et coupe la tête des tulipes : Qui gagne ? Qui perd ? Qui s’avance vers la fenêtre ? Qui nomme en premier son nom ? Il en est un, qui porte mes cheveux Il les porte comme on porte les morts à bout de bras. Il les porte comme le ciel portait mes cheveux dans l’année, celle où j’aimais Ainsi, il les portait par vanité Celui-là gagne. Celui-là ne perd pas. Celui-là ne s’avance pas vers la fenêtre, Celui-là ne nomme pas son nom. Il en est un, qui a mes yeux. Il les a, depuis que les grandes portes se sont refermées. Il les porte comme anneau aux doigts. Il les porte comme éclats de plaisir et de saphir : Il était déjà mon frère à l’automne ; Il compte déjà et les jours et les nuits. Celui-là gagne. Celui-là ne perd pas. Celui-là ne s’avance pas vers la fenêtre, Celui-là nomme son nom en dernier. Il en est un, qui a ce que j’ai dit. Il le porte sous le bras comme un paquet. Il le porte comme l’horloge porte sa plus mauvaise heure. Il le porte de seuil en seuil, il ne le jette pas au loin. Celui-là ne gagne pas. Celui-là perd. Celui-là s’avance vers la fenêtre Celui-là nomme son nom en premier. Celui-là sera décapité avec les tulipes
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Profile-supprimé — 02-01-2010 19:11 |
Le Mépris du Monstre sous le Sage
Désormais, le Sage punit et nie Pour avoir trop aimé les choses, Rendu prudent à l’infini, Mais franc de sépulcres moroses,
Et d’ailleurs méprisant nos feus Qui fit les yeux et la lumière, L’honneur, la gloire et tout le peu Trie, l’être a son âme candeur fière
Le Sage peut, dorénavant Assister aux scènes de destruction Et suivre sa chanson de négation Et contempler ses abominations.
De déchet d’êtres qu’il a fait De mépris de ruine de vie humaine Qu’il programme le front satisfait Il contemple de haut ses méfaits.
Le Sage peut, dorénavant, Se frotter la panse au Monde Et tuer les chansons du Vent Avec une parfaite conscience.
Il ira calme et passera Dans la férocité des villes, Comme un mondain à l’Opéra Blasé du rire de danses viles.
Même pour à l’être tenir abaissé D’orgueil il fait son âme veuve Il salira sa vie et son passé Comme détritus de mauvais fleuve
Il reverra l’herbe des bords, Il n’entendra le flot qui pleure Sur le bonheur mort et les torts De cette date et de cette heure.
Il brisera, les cieux, les champs, Sa bonté faite ignominieuse d’harmonie Et seront doux pour tous les méchants Afin que leurs morts soient bénies.
Le sage se dira délicat et exclusif Il méprisera le jour où nous sommes Contemplatif il rit aux cieux dégâts En se faisant l’oeuvre des hommes.
Et revenu de ses violentes passions Comtemplera utilisant les usages Pour fortifier vos civilisations Préférenra leurs moralités de paysage
L’homme relégué auu fond du grabat Il remplace l’argent par l’étoile Regardez comme vos coeurs battent Il fera ingurgiter à l’être l’idée
Tous les regrets, tous les ravages, Sa tête obsédée, de dieu et de feu Nous rouille les espoirs aux remparts Satisfait de ses fières alarmes veut,
Sève nos vies à chaque pas de routes À chaque écriteau, force rêve de goutte De pipes cassées repues, d’être d’épaves Le Sage enseigne la mort comme usage.
Comme c’est beau la neige, coule le sang Il en fait un cadre étroit son cortège Il s’enivre et rit de notre chaste ciel La sage demande scie et lance nos pardons
En berçant son atroce chanson de son ironie, Enduis l’innocence de rancoeur sans frémir, Il aime tellement les orgies de crimes impunis, Fait de toi, être perdu, sanglant, puant de vie
Le Sage s’amuse, monstre machine imprudente, À jouer à la haine des images, d’oubli se flatte, À jouer le mépris plat de nos coeurs sages Il préfère les vipères aux sons de nos voix.
S’engraissera à laver le beau, injectant rancoeur Le Sage se dit sage et dédicace ses silences À travers l’ignomie d’être vivant se dit vainqueur, De ses reproches, grèves, ses frénésies, il bande.
Il dit fait ce que tu veux, en jouant à dieu, Le ventre à terre, dans les poubelles d’ignomie, avale la mort petite, ils t’ont tous détruite Le sage se marre comme le diable et Jésus Christ.
Il glorifie la mort maintenant et ici. Éviter gens de passage, les ventrus et landrus, Qui ruinent des vies d’amour sur leurs passages Avec les meilleurs sentiments de vos âmes, Le Sage massacre aux yeux du monde sa sélection. Cynique, vous méprise animale et loue ses monuments.
Il tue plus, d’un de dépouillement coeur méprisant, Puant or et l’argent, ici les coeurs les plus aimants Seront détruits les premiers chemin faisant, Dans leurs amours guerrières intolérantes animant.
Sa haine tuant vos gorges profondes aimantes, Et justifie la gloire animale d’être, indifférente, A tout vent, vendant sa mort en vous baisant Sa sélection des sentiments à tout venant,
Le trie de l’homme animal est si méprisable, Pour la Dignité, L’immorale, et L’intolérable, Sélection Humaine et gare de triage de qui pourra, Être maître ou pas selon leurs critères de lois.
À la loi du silence, la loi de l’oublie, la loi du vide, Réduis l’homme à leurs ascensions irrésistibles Exerçant le pouvoir d’apparence, aux mépris de critique Le Sage aime tellement son succès qu’il en oublie la vie.
Il jette ses proches, les uns contre les autres, Avilit en contradictions de sa paranoïa et sa peur, Comme un leader, infaillible il dégrade démoralise, En critique hubristique, jette l’âme du Bien contre le Mal.
Et en détruisent le plus bel homme et son âme. Celui qui était simple poète, et sans pouvoir, Des maitres aliénistes nocifs, sont des malades. Sages se disent, ne voient plus la vie d’autrui, Qu’il balaye cynique dans leur mépris narcissique.
1 septembre 2009
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Profile-supprimé — 02-01-2010 19:16 |
Histoire de nœud
Qu’il soit borroméen Ou bien gordien, Qu’il soit attaché au timon du char de Gordias Ou qu’il soit attaché a votre cou, C’est une difficulté inextricable Qu’il faut trancher. Si possible avec une épée. Savez-vous pourquoi les « sages » Nouèrent autant de désarroi ? Il est parfois des lois d’airain De mille obscurs usages D’ailleurs ne ni t’on pas Qu’un nœud est idiot, Et un obstacle impénétrable.
Rien que pour nous enquiquiner ! Vous dis-je, rien que pour nous casser les pieds !
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Profile-supprimé — 02-01-2010 19:21 |
Ombilic des limbes
galope dans la nuit, Comme va l’âme, de jour et de nuit Seuls des mots sortent et se distinguent galopent et suintent jour et nuit
Quant aux autres on les laisse glisser là, doucement Ils sont ma Vérité dite avec acharnement, Selon les lieux ou bien le moment, Se heurtent de temps en temps, n’importe comment.
Parfois ils se bousculent et chutent dénués, ou vont à cloche-pied, Mais ils ont la douceur de cette liberté Que sans lui, je ne l’aurais espéré.
Tantôt explosent là, devant mes yeux, Avant même les avoir déchiffrés, Un chant qui surgirait d’ailleurs, Soudain du fond des profondeurs.
N’ont même pas la beauté calculée, Ils sortent dans la fureur aussi dans la ferveur, Des choses du dedans qui ne sont pas encore dites, s’élisent parfois se contredisent en lyse. Et va dire aussi ma sottise.
Tu sais que toi aussi, tu y as mis du tien De cette colère inconsciemment aiguisée, Ne serait-ce que pour montrer, enfin Que jamais tu ne seras jamais aimée.
Tu sais, la raison de cet épouvantable combat Qu’avec lui, ce fut la guerre des nerfs, Que bien qu’oppositions abondent, Beaucoup d’autres t’auraient virés, Depuis bien longtemps.
Ces mots n’ont point de grâce, et n’en cherchent pas Aucune rigueur corruptrice, ici n’est de mise, ils coulent, disent et hurlent au vent ma bêtise, guéridon, guéridon, voit ta table est mise. Je l’ai aimé, oui, comme aime une enfant.
Le coup de pied dans le désir, la corbeille en papier, Tu le savais déjà, sans le savoir voilà. Tu as vu ton pied, jeté là dans ton sac. Devant sa porte, voilà.
Il a fallu bien des détours Pour qu’aujourd’hui tu voies. Ce qui était au fond de toi.
Écrire pour moi est une galère, qui n’a pas Volonté, Écrire pour moi est une galère, je ne peux assembler. Parfois j’ai dans les yeux,mais je ne vois pas claire Ces mots le Bien appellent, le Mal me poursuivait, ils portent en eux leurs plaies, Qui aujourd’hui renaissent.
Trop de choses se bousculent qu’on appelle création, Les écrits me font peurs, car ils sont trop parlants Cependant, c’est la seule façon d’écrire en chantant. Écrire en se perdant est ma seule solution.
Sans la supervision je laisserai tout dedans, Oh, non pas par paresse, Oh, non pas par envie, C’est qu’un lien me relie à lui.
Tournée vers l’orient, où à deux pas de lui, Je pense certainement Que je pourrai écrire ! Et créer en même temps.
Mes écrits me font peur, ils marquent ma stupeur, D’un enfant qui ne veut pas grandir, et n’aime pas l’occident, Cette lente décadence, de tous nos sentiments, Qui serait confluente, à ces écrits pareillement.
Écrire est une chose , les faire lire autre chose, Imprimer diffère d’une autre, pour lui certainement. Je peux aussi être claire et distincte, Sans travestissement et abandon.
Ces mots s’entrepêchent et ne s’annulent nullement. Je vous prie, laissez-moi le temps. l’angoisse n’est pas support de ces simples mots là, Au contraire, ils s’affolent, du temps au pas encore. Ne voyez-vous pas que ces mots-là s’appellent ? Ça coule de source pourtant, Mais, laissez-moi le temps.
Je vous promets en retour, quelques jolies paroles, Rien que pour vous remercier tous, Et surtout vous, Qui en avez subi beaucoup. Pardonnez à la vieille, la crème et la bâtarde. S’il vous plaît.
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Profile-supprimé — 02-01-2010 19:26 |
J’accuse
Il fut un temps où je l’avais Et sans compter l’ai dépensé,
Vociférant qu’il soit trop lent. Que ce sourire comment l’entendre,
Il a fui et j’ai couru après, Le chercher m’a beaucoup coûté
Évidemment, lui était bien devant, Mais il était vrai, sensé et tendre
Qu’il se soit parfois arrêté, Sur mes peines il s’allongeait.
Temps tentant, turbulent, tu mens Quand ton jeu monocorde étonnement
D’ouïr tout le ciel l’exhaltante carte Sans fin attestés des flots mes pas
Baiser sache là où tu t’abandonnes, Avec franchise ou tige ou bien devoir.
Incommodant ton regard si tu résonnes, Sans fond au seuil iridié du dérisoire.
Évalue bien sa portée le rieur en somme. Ridiculise ton geste et le faire choir.
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Profile-supprimé — 02-01-2010 19:29 |
L’enfant et l’orage 1
Court, vole, saute là, Son petit corps menu frétille, Dans le vent qui s’électrise, Elle rit aux éclats. Court, vole, saute là, Les nuages obscurcissent le ciel Le tonnerre rugit à ses à oreilles Dit, t’es fâché là bas ? Court, vole, saute là Dans ses yeux la joie étincelle, Sa chevelure reflète l’éclair Scrute l’éclat, reste là.
Court, vole, saute là La pluie sur ses joues ruisselle Sa frimousse s’éclaire Comme elle aime ça !
Court, vole, saute là L’arc en ciel l’illumine Lève son petit museau Oh ! Comme c’est beau !
Court, vole, saute là Ses pieds joints sautillent Dans cette flaque d’eau Que c’est rigolo !
Court, vole, saute là Une grosse voix gronde : D’où viens-tu comme ça ? Moi ? J’ne sais pas !
Court, vole saute là C’était un jour de fête Pour cette enfant-là.
Court, vole, saute là Elle avait l’âme d’un poète, Avant qu’on ne la brisât. 12 – fin nov. 2003
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Profile-supprimé — 02-01-2010 19:34 |
Voici
Voici encor de l’heure qui s’argente, mêlé au doux soir, le pur métal et qui ajoute à la beauté lente les lents retours d’un calme musical.
L’ancienne terre se reprend et change : un astre pur survit à nos travaux. Les bruits épars, quittant le jour, se rangent et rentrent tous dans la voix des eaux.
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Profile-supprimé — 02-01-2010 19:36 |
Petite souris
Trotte, trotte, petite souris, Parmi les champs et les jonquilles, Trotte, trotte petite souris,
Dans le grenier il y a du mil, Dans la cave il y a des gâteaux, Dans le chai un bon lit bien chaud Pour tous tes petits souriceaux.
Attention à Mimi, le chat de la maison, Il connaît une vilaine chanson, Il dort d’un œil, et fait semblant, Ses babines tremblent en dormant,
Attention à lui, attention. Trotte, trotte, petite souris, Parmi les champs et les joncsquilles, Trotte, trotte, petite souris,
Sur les routes de Paris, Sur les routes de France aussi. Trotte, trotte, trotte gaiement. Avertissements : Baccanal ou bacchanal ou bac anal ou bas canal ? Mil, millet, miel ou malt, mail, maille, Joncs et quilles, jonquilles, quilles, jonc.aqua . Il aquaculture Un poète n’a pas de faute d’orthographe Il va, vient, chante, ouvre l’imaginaire aux autres Poète joue avec ses mots à lui, Refuse de rectifier et d’embrocher ses mots. Un poète joue et chante avec ses mots, Les mots faits pour être chantés, malmenés, torturés, Un poète maraude et couche ses mots à lui, Sur de simples rimes sur ses feuilles blanches raturées aussi, Ah mais ! Certains voudraient m’assassiner ? Il reste comme ça, choquant, d’accrochant divers, voilà. Je vous le renvoie, tel quel, ainsi va… L’inconscient parle, va poète à ta rime. Dans ton ruisseau, coule tes mots et maux. Rien que quelques mots sans prétention.
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Profile-supprimé — 02-01-2010 19:37 |
Baccanal
Il y avait une sorcière blonde le lardoire à la main, Si lasse de vivre qu’elle décime tout le monde ; Dit à l’assemblée, pourquoi donc vous répondre Regardez-moi bien, puisque je n’aime rien.
Devant le tribunal fut priée d’aller rendre compte. Dites-moi damoiselle, de quel magasin tu viens ? S’écria ébouriffée, pourquoi donc vous répondre, Regardez-moi bien, puisque je ne sais rien.
Elle fait courir son monde à cent lieues à la ronde. Vous prie de vous méfier, elle sait aussi danser Devant la cheminée, tirer au pistolet et aussi bien viser. Laissez-moi gribouiller, puisque je ne comprends rien.
Sa barque est arrimée, au dehors les années, Elle ne se rend pas compte, sa montre est arrêtée, Flottant sur l’air du temps, et passant enchainée, L’ombre inestimable et gourd d’un vent de liberté.
Elle tisse dans sa mémoire une tapisserie sans fin, Un tout petit bouquet dénué de toute gloire, Qui frappe à sa porte où figure son histoire, Laissez-moi dessiner, puisque je ne suis rien.
Nous nous sommes rencontrés sur des chemins maudits Entre l’ombre blafarde et des airs de folies ; Ont peint deux silhouettes grises dont se nourrit le vide, Sous un masque lucide dont je ne connais rien.
Mais en chemin faisant se dit fait attention, Des regards vipérins si on ne vit pas comme eux, Si ta barque est trop belle, ils te croiront si peu, Ils te couperont les ailes pour que tu vives comme eux.
Il y a une sorcière blonde le lardoire à la main, Qui dans ses labyrinthes coupe la tête à tout le monde, Et qui a mis le feu à cent lieues à la ronde, Badauds, colporteurs et ravines en vain.
Tous ont t bien vu qu’elle ne savait rien. Oser vos sphingeries-poétiques désirs La Bacchanal jonquille carrée attablée aussi, Puisque vous-même vous ne savez rien.
De l’hormeau qui coule, du bouleau qui roule. Osée ! bien à vous. La poésie aussi !
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Profile-supprimé — 02-01-2010 19:43 |
Interprétation
Qu’est-ce qu’interpréter ? À coup sûr ce n’est fait pour comprendre ! Des fils pour vous embrouiller les pieds, Des fils pour des tout petits souliers, Qui en ont pour des dizaines d’années, Des fils pour embrouiller aussi les pas du prochain, Des fils qui produisent d’autres interprétations, Interprétations d’autres interprétations, Qui feront d’autres fils c’est certain. Tous ces fils ils les avaient déjà en mains, Bien oui ! quoi ? C’est certain ! Qu’est-ce qu’interpréter ? C’est vous faire parler…Pour rien… Un luxe de parler pour rien… Un luxe atypique d’aimer..
On le disait inanalysable ! Je suis comme lui. Sauf que lui il a tout compris Et moi rien.
— Bravo erre t’as gagné le cocotier ! — Tu te feras des copains — T’y peux rien, t’est une révoltée, Comme lui c’est certain, Clin d’œil, comme dirait un copain !
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Profile-supprimé — 02-01-2010 19:48 |
Dis-moi mon ami Socrate ?
Tu dis : Il faut mieux subir l’injustice Que de la commettre. Je te réponds : L’idéal est quand même : Il vaut mieux ne pas subir l’injustice Et ne pas la commettre.
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Profile-supprimé — 02-01-2010 19:59 |
L Amitié
L Amitié, s’est comme un sourire, Elle vous tombe dessus sans rien dire, C’est une personne qui tend la main, Quand tu ne crois plus au destin. L Amitié, c est formidable, Inattendu, incroyable, Le jour ou tu n as plu d’espoir Elle arrive et te sors du noir. L Amitié, c’est très sérieux, Elle met du baume dans les coeurs, L Amitié, c’est merveilleux, C’est de la vie, de la chaleur ! Tu m’as donné ton Amitié, Oui, à toi je me suis confiée, Tu as su me consoler Et je ne l’oublierai jamais.
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Profile-supprimé — 02-01-2010 20:01 |
Laisse faire,
Laisse faire, laisse faire ta mémoire Elle te dessine ces quelques mots Et te renvoient vers les écluses des flots D’effusions tendres ou de rancœurs posthumes, virevolte, pointille, pirouette, joue la plume Qui enjolive les cœurs amoureux, le soir
À la recherche d’autres horizons D’avenirs certains bien moins sûrs À la conquête de pâles unissons Au coquet qui devinera dans mes pages Comme des mosaïques d’un mur Ces traces laissées au sable d’une plage.
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Profile-supprimé — 02-01-2010 20:05 |
Lettre du soldat
Ma chérie, cette lettre est peut-être la dernière Car les armes sont de plus en plus meurtrières Il pleut des balles à chaque seconde, j’ai peur Autour de moi des soldats agonisent, meurent
J’essaie de penser à vous afin de pouvoir tenir Pour lui je reviendrais, rien ne saura me retenir L’on peut distinguer l’ennemi, il paraît plus près Nos jambes titubent, mais nos cœurs sans regret
Mon amour, si tu savais comme ta présence me manque Il est vrai que la bataille nous laisse de violentes marques Peu m’importe, l’être que tu engendreras est ma preuve Est ma lueur d’espoir, la source à laquelle je m’abreuve
Ne vis pas dans l’angoisse de ne pas me voir de retour Pour notre descendant, adore le seigneur tous les jours La guerre ne s’achève pas encore, mais je dois te quitter L’adversaire nous tombe dessus, mais il ne faut t’inquiéter…
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Profile-supprimé — 02-01-2010 20:09 |
Si tu savais
Quand l’Amour est velours que le ciel devient bleu Il est couleur d’azur comme le sont tes yeux Il transperce mon coeur en attisant le feu Qui dormait doucement comme un enfant heureux
Mais cela je n’ose dire peut être par pudeur Je n’ai jamais montré, cachée en moi cette peur De livrer sentiments pour gâcher un ailleurs Alors, je ne dis rien sur ma joue juste un pleur.
Mais la peur du demain me fait souvent fléchir C’est pourquoi chaque jour je t’offre mon sourire Il est mon signe à moi pour enfin tout te dire De ces sentiments-là qui demandent à fleurir
Comme ces gestes enfin qui viennent dessiner Une tendresse immense venant t’envelopper De ce feu qui me brûle sans cesse je voudrais Que la flamme ne s’éteigne de nos coeurs à jamais.
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Profile-supprimé — 02-01-2010 20:13 |
Un oiseau sifflote
Un oiseau sifflote dans le coeur du taillis, Il chante son bonheur au pré couvert de fleurs, Une pluie passagère le fait sortir du nid, Du creux d’un arbre mort qui cache ses douleurs…
Il est temps de partir, voler vers les nuages, Pour conquérir l’amour, découvrir son destin, les craintes et les joies qui peuplent son bel âge les ailes étalées survolant les chemins…
Puis s’endormir enfin blotti entre tes bras Pour rêver à demain qui donnera ses fruits, Des milliers de baisers offerts au fond des draps, Des joyaux de plaisirs qui habillent nos nuits…
Le soleil qui se lève a de pâles couleurs, Les feuilles de l’automne remplissent les rigoles Le soir vient ce tantôt réveiller nos frayeurs Qui doucement se glissent entre les herbes folles.
Et le petit oiseau retrouve des vigueurs Il se redresse encor, étale son plumage Quémande des caresses, des moments de bonheur Avant de s’en aller vers d’autres paysages…
Sifflote tourtereau demain il fera gris, Le froid te glacera tout au fond des chaumières, Le feu de tes vingt ans habille notre esprit, mais l’hiver qui rudoie, volera tes prières…
un oiseau qui siffotte , sifflotte
Plein de vie.
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Profile-supprimé — 02-01-2010 20:21 |
L’enfant écorché
L’enfant va à s’éprendre et rompre, Son œil souple, ardent et tendre, Sent qu’il ne déplace pas les ombres, Ses lourds fardeaux au fond, déposa là.
Tapi limpide, ici dans la rosée, Murmure là au soleil ses espoirs Gazouille au vent mille pensées Dit à la terre connaitre Orphée.
Frêle, confie là céans au rivage cruel, Tous ses chagrins et ses conquêtes, Qui lui enserrent et glace le cœur, Mais aussi qui souvent le désaltèrent.
Préssent au loin comme une vague, Agile et preste en extrait une lueur. Son audace insolente fredonne Aux rives de ces lointaines berges : Regarde-moi : Je n’ai même pas peur ! Pauvre enfant, perfide, trompeur, félon d’ocre et de cramoisi lueurs, Rebel éclat, flamboyant et indigne
Cruelle butée, douce écorce, splendide, Brame à tue-tête, maitrisant sa frayeur, Va, encourageant tendrement son cœur.
Ainsi, va l’enfant Opiniâtre et fourbe.
Ainsi, va l’enfant Écorché de son piédestal
Ainsi, va, l’enfant, Rompu de tant de liberté.
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Profile-supprimé — 02-01-2010 20:31 |
Idiopathie
Idios à pattes Idiots à pathês
Ne vous inquiétez pas ! Cette maladie n’existe pas. Juste un mot savant pour l’âme Qui rend parfois inestimable, Tendre et agréable ceux que l’on aime.
Idios à pattes Idiots à pathês
Méfiez vous quand même ! Elle ne subsiste que par elle-même, Quand elle prêche un être suprême.
Idios à pattes Idiots à pathês
Cette affection peut induire Tant d’aversion et tant de haine, En son nom à l’horizon s’y promène. L’histoire est tant porteuse de souvenirs.
Idios à pattes Idiots à pathês
Et ça dure, ça dure, perdure Alors pourquoi l’Histoire ? Que faites-vous de votre mémoire ?
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Profile-supprimé — 02-01-2010 20:35 |
Alter ego
Où est passé mon ami de confiance Où est passé mon ami inséparable Où est passé celui faisait ma naïveté Où est passé celui qui était léger Léger de la joie de vivre Léger de curiosité, du rire. Léger d’espace et d’errance, Léger des autres individus. Celui-là qui était le plus précieux.
Celui du naturel de vivre dans toutes Les conditions imposées. Pourquoi l’avoir confondu avec ego ? Qui n’a rien d’unificateur, En ce qui concerne la douceur L’ardeur et la joie de vivre. Pourquoi l’avoir détruit ?
L’alter ego, pour celui qui n’a pas d’ego, C’est celui qui l’aide à supporter la vie L’alter ego pour celui qui n’a guère de moi Est celui d’espérance de vie. Pourquoi ?
Il se situe aux portes de la vie C’est ce qui lui donnait la force De se débattre et vivre Surtout quand d’ego n’a pas ! L’imaginaire commence là Pourquoi l’avoir ramené à zéro ? Pourquoi l’avoir réduit ?
Pourquoi lui avoir fait perdre confiance ? Au détriment d’un imaginaire plein de sens ?
Mais non regarde il est ici !
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Profile-supprimé — 02-01-2010 20:38 |
Métaphysique tout court Tout cela pour dire quoi ? Qu’ils ne savent pas pourquoi Si tu mets ta physique à l’envers Je remets la chimie à l’endroit
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Profile-supprimé — 02-01-2010 20:41 |
Le fatum
Cherchez pas c’est le Destin Ou la destinée c’est selon ! C’est la parole des Dieux Contre la vôtre, point. Cherchez pas c’est le Destin De la naissance jusqu’à la mort tiens ! Inutile de scruter les augures Ou les bons et mauvais haruspices, Vous auriez beaucoup de chance Ou de hasard de finir comme Oedipe. Parce qu’entre nous je vais vous dire Vous y êtes prédisposé. Si vous y rajoutez le hasard, Le fil des Moires qui tissent la trame. Qui est en elle-même une parfaite antiphrase Remarquez bien surtout, Qu’elles n’épargnent personne, C’est certain, point. Clotho tient la quenouille, Lachésis tourne le fuseau, Atropos coupe le fils mortel. Aucunement vous n’en réchapperez C’est que voyez, c’est trois divinités Sont les filles de la nuit et des Enfers. Cherchez pas c’est votre destin Ou la Destinée c’est selon. Il vous reste le turbin Ou le loto De toute façon l’Enfer vous irez !
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Profile-supprimé — 02-01-2010 20:45 |
Chose
Réalité concrète, ou, abstraite Conçue comme une unité. Avec ça je ne suis pas plus avancée ! La chose elle ne peut pas être les deux Et concrète et abstraite.
Avec ça je suis encore plus paumée ! Concret perçu par les sens Une table est con/crête Remarquez bien, Elle ne pense pas, la table, hein ! Il ne manquerait plus que ça On serait bien, tiens, ça en ferait un vacarme ! Si les choses aussi se mettaient à parler. Vous êtes d’accord avec moi ?
Non, elle ne pense pas la table Vous me suivez ? Elle est con ! Mais elle peut être pensée, ah ! Je suis toujours de plus en plus paumée ! Abstraite c’est de abs/traction Qui s’applique à des relations Mais non des objets, la pensée.
Un tableau, une statuette…ah ! Ce n’est pas une chose…tiens donc ! Mais ça parle…pas avec des mots Tiens il ne manquerait plus que ça Que les tableaux se mettent à converser. Comme il y a des phénomènes de vie Il y a des vies de phénomènes. Vous n’avez le droit de penser vie Que concrète ou abstraite… Pas le droit concrète et abstraite.
Vous avez le droit d’être un phénomène Sans noumène ou avec… C’est selon….Ah la vie ! Dans la vie c’est interdit d’être au milieu Ah ! Si la chose est au milieu, ça se complique C’est que vous avez perçu trop tôt Que la où il y a la vie il y a la mort aussi. Tans pis pour vous… ! Mais c’est pas tout à fait faux Si un jour il y a un malin qui m’explique Clairement où est le début de la vie… Sans tricherie hein, au tout début J’en ferai un roman, promis. Et si on passait à autre chose !
Quand je pense qu’il y a des gens Qui crève de faim Qui turbine toute leur vie pour manger Qui n’auront jamais les médicaments pour se soigner Qui ne sait pas passé un an sur terre sans guerroyer Ah bien la chose tient ! Il y en a qui n’auront jamais le temps de penser Où elle est la leur de chose….
La seule chose qu’ils savent c’est qu’ils doivent manger. Boire de l’eau aussi bien évidemment…mais avant tout De ne pas oublier de respirer….C’est important respirer.
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Profile-supprimé — 02-01-2010 20:49 |
Des ténèbres à l’aurore
Des ténèbres à l’aurore de tes blessures, Reflètent les fragments amers de ton silence, Vagues de mutisme armées de meurtrissures, Déchainent tes morsures saturées d’absence,
Inhale mon âme de cette sourde violence, Touche et inonde mes radeaux d’infortune, Sans révéler l’intime arôme d’une révérence, Échouée aveuglément au fond de ta rancune, D’un orage sans foudre au clair de ta lune,
À une nébuleuse éclipse de mystères, Nul ne surmonte l’arrogance de tes dunes, Entre ciel et terre, au cœur de mon enfer, De cette folle chimère de flammes enlacées, Ne survit que le froid de cendres délaissées,
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Profile-supprimé — 02-01-2010 20:58 |
Falaise de nacre
Falaise de nacre, orage d’acier, Mon cœur s’est endeuillé Et ma colère s’est tue.
Falaise de nacre, orage d’acier Mon cœur s’est endeuillé Mes illusions perdues.
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Profile-supprimé — 02-01-2010 21:26 |
Oser ses désirs
Oserais-je mes désirs ? D’en venir à l’écriture Au risque de déplaire Et de suivre ma nature Mes dessins dévoilés Rien que pour le plaisir Mes mots enjolivés Ou simplement À côté apposé. Peut-être se dit-elle Peut-être oserai-je Cette voix résonne Depuis longtemps en elle Autre façon d’exister Autre façon de ne pas détruire Autre façon de dire Autre façon de dédire Quitte à déplaire Quitte à se dévoiler Quitte à se mentir Quitte moi-même à en rire Une autre façon de dire Une autre façon d’offrir Une autre façon de rêver Une autre façon d’aimer Une autre façon de se laisser aller Peut-être oserai-je mes désirs Se dit-elle ! Ça lui trottine dans la tête Comme ci, comme ça, Tout naturellement Depuis bien longtemps. Tout doucement Ça fait son chemin pas à pas. Par toutes les choses qu’elle n’a pu oser ni dire ni faire
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Profile-supprimé — 02-01-2010 21:37 |
Trahison
On finit par s’habituer À la trahison de la femme : La vie est faite de la trame Qu’elle tisse pour nous tuer.
Après un temps d’apprentissage On ne saurait plus s’en passer, D'abord, on s’escrime à ruser, Puis c’est la fatigue, et l’usage
La colère cède à l’ennui Qui fait bientôt place à la presque Indifférence moins grotesque Que tel transport qui nous a nui.
Puis la confiance charmante Revient, avec le correctif D’à son tour se rendre fautif Et de tromper aussi l’amante
Qui vous pardonne s’il lui plaït Mais tout cela c’est pitoyable ! Il n’y a guère que le diable Pour profiter d’un jeu si laid.
Bah ! Mieux vaudrait sans tant d’ambage Se fermer, sans plus biaiser, Les yeux d’un mutuel baiser. Car le plus fin c’est le plus sage.
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Profile-supprimé — 02-01-2010 21:54 |
Et alors ?
Être tout de beauté, tout de bonté, Eté naïf, vouloir l’être et le rester
Contempler et jouir comme de soi Non sans une espèce de quant à moi
Se fier à la pente naturelle Avec peut-être peu compter sur elle
Falloir, de par un pur devoir à rendre Ce devoir, néanmoins y condescendre
Se sentir maitre , au fond, de l’action, Après, pourtant, telle étroite option
La tache est douce, elle est bien rude aussi Couronne d’or, immortelle et souci
Sceptre de diamant couleur de larmes Grandeurs, belles, oui mais pas sans armes
Lois qu’on va dicter, mais plutôt en rêve Voir se noyer ses vaisseaux de la grève
Petite matelote dont la mer n’a pas voulu Et qui l’a déposé sur le rivage
Inattendu de quelque île sauvage Pour le régal de l’habitant goulu
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Profile-supprimé — 02-01-2010 22:07 |
Libre penseur
Qui n’est pas prisonnier Ah bon ! Vous croyez !
Oui….. J’oubliai….
Les hommes naissent libres et égaux en droit Ah bon ! Oui,…. j’oubliai…
Tout dépend ou se trouve l’esprit. Esprit libre de soucis ou libre d’inquiétudes Tout dépend ou se trouve le droit. Soit vous prenez un direct de la droite C’est que vous n’avez su rester à gauche Si vous prenez un direct du gauche
C’est que vous n’avez pas su rester à droite Tout dépend de l’esprit qui vous gouverne Tout dépend de l’esprit qui nous gouverne Je vous laisse chercher le mot libre
Autonome ou incontrôlable Aïe ! Soudain j’ai mal au crâne !
Ton illogisme vainqueur Mène, où ça ? Ma pauvre barque, Je suis les lois d’un monarque Plus fou encore que mon cœur
Mais j’ai rationalisé Tant que je finis par croire À de l’art conjuratoire Et que j’y suis destiné
Cette chance et ce guignon Qui se disputent ma vie, Sont-ce, en la route suivie, L’ange ou le faux Compagon,
Ou tout simplement mon tort Propre et l’incertain moi-même ? Bah ! Que ma règle suprême Soit nous, discors ou d’accord !
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Profile-supprimé — 02-01-2010 22:17 |
Musil,
L’hérésie de l’homme Sans qualité. J’en ai assez ! L’enfant objet de Chalons Refendre est repasser sur l’enfant, D’écrits morts de déconstruction. C’est oublier la seule valeur d’un être Le respect d’une vie et d’un passé vécu. Que seul par son imaginaire et sa tête A survécu, riche de croches de morceaux De vécus….. Lui dire de tourner une page, qui l’annule Est aussi absurde que ce vécu et sa vie. On ne se construit pas avec du sans qualité Du sans sentiment, de la négation. On se construit avec du vécu et vivant Au milieu de vivant. Nul être que moi, ne sait ou mieux que cela Musil, Ce genre de déconstruction. Ce genre d’art est la négation Avec laquelle il n’existe aucune construction. L’art et les écrits statiques. Vide de sens. Et se complaire dans ce vide Où l’artiste s’enferme dans son propre vide En répétant indéfiniment son vide Il s’enferme et ne sait plus vivre Qu’à travers des écrits et des couleurs Plus que vide. De création d’un cercle de répétition. Obligé de deuil, de mort et de mélancolie, Auquel l’être a voulu, échapper. L’homme sans qualité Musil, Est la négation même de l’être. Tournant dans son propre vide. Qui n’exprime plus rien. Qu’une mort annoncée, Et déviée. La déconstruction ne construit pas Elle déconstruit le passé, le vécu, Même de l’individu, ce pourquoi, Il s’était battu, pour survivre, Musil ! C’est en oublier le cœur même de l’homme. C’est lui dire même qu’il ne connaît pas Le mot aimer.
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Profile-supprimé — 02-01-2010 22:23 |
Shakespeare encore lui,
Shakespeare encore lui, Parviendra à apprivoiser Les furies….. Tout ça est bien joli Mais il lui en a fallu Du temps et du talent. Moi je n’ai rien de tout ça. Et puis vous avez vu un peu Tout ce sang Il en a plein les mains Et tout le temps Sur sa page blanche, j’entends. Alors Shake/espere, J’irai peut-être te voir jouer Au théâtre ou ailleurs, autre part, Pour moi ça veut presque dire nulle part. Mais je ne te relirai pas. Parce que le théâtre, à lire, Ce n’est pas vivant, ensuite, Parce que je n’aurai pas le temps De lire les vieux et les jeunes croûtons En même temps. Platon, Averroès, tout ça …tiens Et Gide alors parlons en ! Et Hegel et Marx et Descartes, tiens Moi je n’ai jamais aimé Descartes, Ah, non, mais ! Vous ne croyez quand même pas Que je vais me repayer Duras, Wolf J’en ai marre des gens tristes, Et Coût Fontaine ou pain perdu, Mais où est-ce qu’il a été pêché ce Truc-là Lacan …tiens j’ai voulu Lire les Nourritures Terrestres. Tu parles de nourritures je n’ai pu Les finir…je ne veux pas, d’une Tête encyclopédique, je veux vivre. Eh ! là ! Déjà que c’est le foutoir Avec la psychanalyse Déjà que c’est le foutoir, Avec les vieux qui parle en clair Si clair que ça n’en finit jamais . Parce que le trop clair renvoie ailleurs. Avec les moins jeunes qui font tout pour En rajouter en plus rigolos, Mais en plus, compliqué aussi, Moi si j’écoute tout le monde On finira par m’enterrer à 100 ans Assise sur ma chaise avec Mes lunettes et ma bibliothèque.. Comme les pharaons. .en lisant… Aux lueurs d’Osiris veillant sur moi Dans un l’au-delà qu’il n’y a pas. Quant au père alors là j’y serai Encore même après tout ça. Je vois le tableau d’ici ! Même celui que je ne verrai pas. Et c’est le foutoir Sur mon pupitre avec des Feuilles volantes et gribouillées De dehors note et de dedans note, Déposées aux quatre coins de la pièce, Mais, ça, c’est moi qui m’éparpille. C’est normal je vais toujours voir ailleurs, Sauf que des écrits moi j’en ai partout Et nulle part….Tout est épars… Plus il y a de monde dans l’inconscient Plus il y a de recherche normale, Comme je dis plus il y a de fous Plus on rit, mais plus on cherche aussi. Je ne sais pas m’organiser et je suis paumée Sauf pour mes analysants …ça, ce n’est pas Pareil….Pour moi…. Basta je vais faire le vide mettre ma maison En ordre et puis après tout je ne suis pas pressée. Tout doux…arrêter ces écrits stupides. Je ne veux pas une tête encyclopédique Je veux une tête claire…trop de culture Ce n’est pas bon. Repos jusqu’en septembre. Du temps pour moi.
La ville que Vauban orna d'un beau rempart, De ceux qu'on démolit chez nous pour la plupart En y campant dessus industrie et culture Au lieu de la vivace et profonde verdure, Avec ses murs moins hauts que les hauts peupliers Le long du ruisseau clair aux bouillons familiers La ville à l'air, depuis qu'elle est châtrée, Tout autre. Ce n'est plus la tourelle échancrée Le grand beffroi dit l'heure, on croirait, pour ailleurs Tambours et clairons ont comme des sons railleurs De ne plus avoir un écho pour leur répondre Et le soleil couchant, quand dans l'or il s'effondre Pleure du sang de n'ouïr plus, les soirs d'été Monter vers lui l'air sombre et gai répercuté
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Profile-supprimé — 02-01-2010 22:32 |
Dis-moi Saussure
Dis-moi Saussure encore toi, Dis-moi, chaussure !
Quelles sont tes langues originelles ? Les deux s'il te plait…. Ensuite, je te dirai Comment il te faut parler, Comment il te faut disséquer. Je trouve les mots sont plus jolis Avec de la couleur Et le son des rimes qui font la voix.
Il y a un langage du cœur (imaginaire plus profond, pas appris, c’est le sensible) Un langage de tous les jours avec lequel on peut très bien s’amuser aussi Moi vos déconstructions à tous ça ne me fait pas rire…mais pas du tout…. Ce n’est pas parce que je n’ai pas eu de langage ou épars et de toute part que je ne sais pas M’exprimer…….Revois ta copie……Saussure… .je ne veux pas être décortiquée…. Parce que la déconstruction j’en ai assez ! Je te dirai comment tu dois parler Comment tu dois disséquer. Dis-moi, j’ai entendu parler d’une tribu cannibale Qais-tu quelle langue elle parle le vendredi ?
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Profile-supprimé — 02-01-2010 22:48 |
Ut
J’ai le DO pour chanter Ma mère me l’a donné Le RE à la guitare Mes frères m’accompagnaient Puis le MI qui suivait Le plus petit sifflait Dans la maison le FA c’était l’harmonica Et ma soeur en dansant, des pieds, marquait le SOL Le refrain pour nous tous Avec le LA primait Ensuite avec le SI Nous restions tous unis Épuisés par la gamme Mais le bonheur dans l’âme Ma mère applaudissait En versant quelques larmes.
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Profile-supprimé — 02-01-2010 22:51 |
La mer
La mer est le lucifer de l’azur Le ciel tombé Pour avoir voulu être lumière Pauvre mer condamnée A l’éternel mouvement, Après avoir connu la paix du firmament ! Mais de ton amertume Te delivra d’amour. Tu fis naitre Vénus, Gardant tes profondeurs Vierges et sans douleur. Tes tristesses sont belles Mer aux glorieux spasmes Mais en place d’étoiles Tu as des poulpes verts. Supporte ton tourment, Formidable Satan Christ marcha sur tes flots Mais Pan le fit aussi. L’étoile Vénus est L’harmonie du monde. Silence, l’Ecclésiaste ! Venus est le profond De l’âme….à l’horizon … Et l’homme misérable Est un ange déchu Et la terre, sans doute, Le Paradis Perdu.
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Profile-supprimé — 02-01-2010 22:59 |
Pentacle ou Pin Pentacle (2)
Pour la recherche analytique En s’amusant sans s’amuser Voir ce qui se déplace Dans mon langage Chaîne
Puisque le Cadran ne fait pas l’Heure, Que les Aiguilles ne font pas Heurt, Ainsi, les Chiffres sont à Pentacle Voici donc l’Heure Chance et Hasard.
Ainsi, pour l’ heur est Chantdelleheure, Le Soleil alors, revient là, à l’identique Place. Capèle-noeud de Cinq Boucles de Cordage, Ou de la tête cerpée d’un Mâtchine Pentacle.
Epèclants de Brisures éclairs d’Étoiles, Sansguinerfsment a épéclé la Vitre, D’une Montre, las de protéger Existe, D’une Bouteille klein à la Mer Brise-Lames.
Ah ! Bel Ulysse rame ton besogneux Voilier. Pinatelle de verre à Châssis mobile ou fixe, Archée réflexe, poutrelle inexplicable, Où le temps qui s’écoule reste le possible .
Puisque le Cadran ne fait pas l’Heure, Que les Aiguilles ne font pas Heurt,
Et toi, Psychéé mithriaque, tout aussi insondable, Au Temps qui roule, boule le relief Impossible, Te voilà, Protection animée, Patience immuable. Dont est issue, l’origine d’un Feuillage à Aiguilles.
Ainsi regroupées en Fagots Faisceaux, Dont les Fruits, sont tous des Cônes. D’où jaillissent d’un écrin, des voix de loup, Chats d’aiguilles, masqués de satin velours.
Ainsi, les Chiffres sont à Pentacle Voici donc l’Heure Chance et Hasard.
Loupé, bard, barre,bar,chienlit, chaton ou lapin Le petit poussin et chérubin ne craint rien. Dans la voie , bien particulière de chacun. Chaque homosapien trouvera son chemin.
Tout là est réinscrit,mystère, mathématique Géologie, anatomie, botanique et zoologie. L’âme certaine, imaginaire et symbolique aussi. Polyce de caractères, pentacles de vie aussi. R *1/2
Puisque les Chiffres sont à Pentacle Voici donc l’Heure Chance et Hasard, Et qu’ainsi les Chiffres vont à Pentacle Revoici donc, l’Heure Chance et Hasard.
Tel le poéte qui impose à toute chose, Un nom bien précis,clair, transparent, Véridique aussi dissimulé pourtant. D’impossible et possible inscrits,mots.
Cherche tant et toujours,le P.syphilitique. Un connu inconnu, un pascible impassible. R *1, R*2 et R*3 L’enfant scarlatin centralisé, intercalat , R * - 1 - 1 Sourd-muets origninels heur de traumas . R * - 1
Traumas surs ajoutés, vérité appliquée. De gésine, déjà tôt, symbolique viciée. - * R - 1 Un son, capté, adapté, frêle, intermédiaire, + * R + 1 Fera vibrer son apathique tympan intérimaire. + * R + 1
Déposera un sourire sensé vivant, + * R + 1 Sur les lèvres de ce censé enfant. - * R + 2 Le son est bien mal assimilé aigu - * R + 3 Les sons graves mal- entendus.
Où se trouve la mémorisation de fonte ? Où se trouve la fonction de fusion ? Où se trouve la fonction d’union ?
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Profile-supprimé — 02-01-2010 23:30 |
Le cirque
Les escarpins noirs S’enfoncent dans le sable Sur la piste dérisoire Ton visage est si pâle
Tendu vers le chapiteau Les yeux levés bien haut Ton corps aux aguets Enveloppé d’un châle S’appuie contre une caisse
Ici le clown dort Son vernis rouge inquiète L’enfant vêtu de blanc Reçoit le cirque de son enfance Nos amitiés en partance Dans ces instants de retenues
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Profile-supprimé — 02-01-2010 23:45 |
Mort à crédit
Voyez-les s’activer pour aller travailler En phalanges animées, ils vont s’embastiller Pour engraisser la bête qui fait le pays riche, Mais le jour de la paye, ils voient comme une triche !
Il n’y a pas raison pourtant à protester, Les châssis ont pour cela mission d’admonester Culpabiliser, ostraciser, celui qui ose : Pieuvre, peste, cancer, lancinante sclérose.
« Travaillez, produisez, consommez, empruntez ! Taisez-vous, rangez-vous, vous nous remercierez… » Cette vie à crédit qui suscite l’extase,
Offre à certains êtres l’ultime métastase Le surendettement souvent anéantit Le mal de notre temps, est la mort à crédit.
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Profile-supprimé — 02-01-2010 23:52 |
Le mot égaré.
Ils sont venus nombreux en ce petit matin ; Ne voulant sans doute plus être sous ma tutelle. Ils m’ont fait un clin d’œil et reprirent leur chemin Pour rejoindre le large, chercher la bagatelle...
Sont partis quelque temps, puis dans une pirouette Ils sont réapparus tels de joyeux lurons ; Rayonnants, versatiles comme des girouettes, M’accordèrent un sourire, jouant les fanfarons...
Profitant de leur liesse, choisissant au hasard, J’en ai capturé un qui était un peu « cloche » ; L’attrapa par le col, ce tout petit trainard, Et sans plus de façon le glissa dans ma poche...
Les autres s’égaillèrent dans un joyeux tumulte Abandonnant sur place leur comparse prisonnier ; Me lancèrent au visage les plus basses insultes Et oublièrent bien vite leur ami fourvoyé.
Alors moi, tout penaud, empli de compassion Je saisis le petit, tremblant et apeuré Le rassure comme je peux : il me prête attention, Me confie tout ému ce merveilleux secret :
" Je suis un petit mot, très doux, sans éloquence, Ne possède que trois lettres banales et sans atours Je vous en prie, Madame, mettez-moi en vacances ! Je vous dirai alors qui je suis, sans détours..."
Sur ce, un peu naïf, dans ce curieux dilemme, En libérant le mot, perdu, sans oriflamme, Je l’ai vu, guilleret, rejoindre mon poème Pour ne pas tout à fait abandonner son « âme ».
Hélas je vous laisse la place ni vu ni connu ni entendu Je parle à des murs
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Profile-supprimé — 03-01-2010 00:07 |
Qu’est ce que le Symptôme ?
Un roman surgelé à qui on a coupé la tête
Un arbre à thé de science infusion,
Un hameçon à qui on a jeté le poisson,
Une surconsommation de déités,
Un théiste qui a perdu la théière,
Une pierre où sera gravé votre nom
Verset que seul l’auteur pourra lire !
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Profile-supprimé — 03-01-2010 00:20 |
Départ
Si je fuis, ce n’est pas par lâcheté mon coeur, Mais plutôt pour expier mes faux pas, mes erreurs, Ce n’est pas pour aller vers quelque autre bonheur, Je n abandonne en rien ce qui m est chaud au coeur,
Je n oublierai jamais tes présents et aussi ta chaleur Je fuis parce que je dois, parce que c’est mon destin, Parce que je n ai plus droit aux joies du lendemain
Parce que j’ai joué, parce que j’ai triché, Parce que je sais que tu vas me pardonner... Je fuis pour oublier que tu m a trop aimée !
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Profile-supprimé — 03-01-2010 01:24 |
La balade du saucisson
Mesdames, messieurs, approchez-vous, Rien de tel à cette heure-ci... Venez goûter, arrêtez-vous ! Qu'il soit dix heures ou bien midi.
Prenez, prenez une rondelle Regardez comme elles sont belles, Quand vous en connaîtrez le goût Vous reviendrez m'achetez tout !
Mon saucisson, il est bien rond, Mon saucisson, il est bien bon, Avec une tranche de pain, c'est bien Avec un verre de vin, c'est encore plus certain !
Et pour les enfants, croyez-moi Mon saucisson vaut un bonbon, Même à quatre heures, pourquoi pas ? Pour remplacer le chocolat.
Venez, venez, régalez-vous Mon saucisson, c'est un atout ! Pour parler entre camarades Et oublier le temps maussade !
(Bon appétit !)
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Profile-supprimé — 03-01-2010 01:55 |
LA NOIRE
Elle a les yeux pareils à d'étranges flambeaux
Et ses cheveux d'or faux sur ses maigres épaules,
Dans des subtils frissons de feuillages de saules , L'habillent comme font les cyprès des tombeaux.
Elle porte toujours ses robes par lambeaux,
Elle est noire et méchante; or qu'on la mette aux geôles,
Qu'on la batte à jamais à grands fouets de tôles.
Gare d'elle, mortels, c'est la chair des corbeaux!
Elle avait souri d'une bonté profonde,
Je l'aurais crue aimable et sans souci du monde
Nous nous serions tenus, elle et moi par les mains.
Mais, quand je lui parlai, le regard noir d'envie,
Elle me dit: «Tes pas ont souillé mes chemins.»
Certes tu la connais, on l'appelle la Mort !
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Profile-supprimé — 03-01-2010 02:05 |
L’ART CONCEPTUEL
À force de déconstruction Déconstruction de déconstruction De ce siècle dernier.
L’art devient effectivement Un tableau trempé dans la peinture Rouge qui se vend des millions.
Un tas de rames de papier blanc Qui n’a ni queue ni tête. Art actuel rue du Chef de la Ville.
Un art qui ne sait plus parler Avec des couleurs et des mots Un art dénué de sens et de sentiment.
Un art conceptuel poussé à l’extrême Où tout est dénué de sens et de sentiments Photo d’une chaussure dans l’escalier, Une culotte pendue avec des pinces à linge Une poubelle, Rue Louise Weiss.
Un art ou l’homme est objet Et est vide de sens.
À force de déconstruction De ce siècle dernier.
Un art moderne qui est mort de sens De confusions conceptuelles Pris empiriquement.
À force de déconstruction De ce siècle dernier.
L’art vise si bien l’analyse, Conceptuelle et normative, Unité normative des notions, Principes des institutions Qui encadre le fonctionnement Des communautés politiques. Simplement.
Où l’homme est pris pour Ce vide même et c’est bien Représenté dans cette société moderne Le vide même de l’homme.
Un art qui ne représente plus Ni singularité ni l’individu, Ni affectif, ni voix, ni sens.
À force de déconstruction De ce siècle dernier.
Qui annule tout sentiment d’homme Où l’homme devient objet d’art Le corps peint et utilisé, exposé, Et ça se vend des millions.
Un homme sans valeur et sans qualité, L’homme d’une société psychotique Sans sens.
Et ça se vend des millions.
une toile tempé dans la peinture rouge
ça se vend des millions !
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Profile-supprimé — 03-01-2010 02:16 |
À l’ordre du jour, les sceptiques
À par cela quoi de neuf ? Que du vieux, que du vieux, Rien du vieux, rien que du vieux.
Les sceptiques sont des suicidés avant terme, Les stoïques dignes perchés sur leur tour de Pise , désespérés, Les platoniciens sans passion, démiurges, sont des rois sans sujet, Les aristotéliciens allument le feu et par curiosité de l’éteindre après, Les agnostiques, ça leur fait une belle jambe d’avoir un bel enterrement. Les moralistes, inutile de leur destiner une parole ils ont toujours raison. Les existentialistes continueront à se poser les éternelles questions. Que Dieu existe ou pas, ne peuvent se sauver qu’eux-mêmes. Serait-ce un humanisme ?
Les enfants sourient parce qu’ils ne connaissent pas les hommes Son gai ravissement à lui est comme l’épanouissement de fleurs Mais euxfont de la vie un tissu de mensonges avec un ou deux fils-vérité. Beaux parleurs et orateurs latins Vir et Virgo, bref, Vir/tuent/elles. Ils ont une âme à deux tranchants, naturellement, au reflet d’acier. Il ne sait pas encore, lui, l’enfant, le visage diaphane et effacé, Qu’il y a des cons spaths, amples et gisants, Parfois benêts, cristallins, naïvement cons, D’autres irrémédiablement et définitivement abscons.
Oui, les enfants sourient parce qu’ils ne connaissent pas les hommes À l’ordre du jour, et par tous les temps. Il y aura toujours un slomo unilatéral, Qui déliera le sensible et le beau de leur construction. Où refendra la clé d’or qu’il avait recouvrée, Altérité de l’enfant ronronnant recoupée. L’imaginaire en tas de cartons épars, déchargé et vidé ; Dans un terrain vague de strates marbrées, certains éventrés. Question d’éthique, question de normalité ou de moralité. De zéro de convention et principiel là où était le naturel. Au reste le rajout de sa quatrième dimension, Qui s’appellerait mémoire, tronqué de son histoire. À l’ordre du jour et par tous les temps, Une vertigineuse toile qui cherche un point de liaison.
Oui, l’enfant sourit parce qu’il ne connaît pas les hommes. Le bonheur est maculé de points de suspension, Tâchés de blanc ou de ravelures colorés, c’est selon ! De profondes spirales en cercles fermés vis et versa. Plus d’en-soi, et le moi versé en extérieure chose. Il a décidé de ne plus avancer, sa tête brûlée sur un plateau. Telle la voiture est en prise directe à l’accident, L’attention du conducteur est au point mort, Cherchant un accord d’avant, glose qui n’a plus ni intérêt d’être dite ni écrite et qui ne répète Que ce qui est déjà inscrit sans aucun intérêt Et qui ne sert à rien d’engendrer son propre contenu jamais compris , jamais dit ,jamais écrit, jamais lu. Où rien de nouveau ne sera plus jamais dit ni écrit D’une vie sans sens d’humain qui ne sert à rien.
Oui, l’enfant sourit parce qu’il ne connaît pas les hommes, Et si le silence est d’or, il est parfois plus traitre et dangereux Que le mensonge… L’indifférence des yeux voilés des morts vivants. Comme la sensibilité s’émousse lorsque l’on reste trop longtemps Sur un baril de poudre, ou le cabinet de sentence de Zoroaste. Cette fois on ne l’aura pas, il connaît sa vérité de cristal. Les déchirures, les cassures, les brisures, répétition de répétition, Transfert de répétition ou répétition de transfert. Comme les ricochets des vagues qui façonnent les galets. C’est toujours l’acteur, éjecté de la scène, le grain de sable diamant. Ni le metteur en scène, ni l’homme de plume, Il cherche encore une moitié qui unirait ces trois tirets-là. Enfant, tu as encore devant les yeux des paillettes de mica.
Oui, l’enfant sourit parce qu’il ne connaît pas les hommes. La joie pour lui est une et vraie, elle n’existe que par elle-même, Mais le rire, non le sourire, est une expression double. Vénus, Pan, Hercule, n’était pas des personnages risibles. Cependant, nous en avons ri après la Vénus, Jésus, Platon et Sénéque. Fétiches qu’ils étaient, déduisent d’adoration de symbole de force. Qui font des enfants joyeux et riants, tous des Santans en herbe. Et si nous regardons Voltaire, il tire toujours sa raison d’être de supériorité tout est là significatif, profond et excessif.
Oui, les enfants sourient parce qu’ils ne connaissent pas les hommes. Et comme la loi d’autorité des uns est faite de la faiblesse des autres, Il partira avec du miel, puis reviendra à l’altérité vitriolée et pavée. Il ne sait pas les fins fortuites qui manqueront toujours de conclusion.
À par cela quoi de neuf ? Que du vieux, que du vieux, Rien du vieux, rien que du vieux
Le temps présent n’est que division.
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Profile-supprimé — 03-01-2010 09:12 |
Sylvia
T'es née dans un courant d'air Entre deux bombes d'une armée de l'air Puis t'as survécu, petit enfant, Infatigable combattant.
T'as fêté tes cinq ans Sans t'en apercevoir et pourtant Ton avenir t'attend, Sylvia Ton destin t'attend là-bas.
Tu ne connais pas ta mère Elle t'a vu naître dans un éclair Puis elle a suivi les anges du ciel. Ce jour-là y avait un arc-en-ciel !
T'as fêté tes dix ans Sans même le savoir, oui, mais pourtant Ton avenir te prend, Sylvia Ton destin t'emmène là-bas.
Tu es née dans la misère Pour parler des tiens, de ta terre, Rouge comme le sang des enfants morts, Dont on enterre les petits corps.
T'as fêté tes vingt ans, Tu sais maintenant et tu comprends Qu'il faut crier très fort, Sylvia Pour avoir cinq ans chez toi !
Alors, tu nais face au monde Qui semble s'être tû une seconde Et dans le hurlement des Mamans Tu cries la vie au firmament
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Profile-supprimé — 03-01-2010 09:20 |
L'audition
Touches blanches et noires Sous mes mains tremblantes Concerto sous les yeux Le cœur au bord des lèvres Devant moi, ils attendent Assis sur leurs chaises Les oreilles aux aguets Prêts à laisser tomber le couperet A la moindre faute Au moindre écart par rapport à la partition Un roman de notes Ponctué de soupirs De pauses plus ou moins longues De rondes, blanches ou noires Comme les touches de mon piano
Respiration, Concentration, Inspiration, Exécution...
Mes mains se posent Sous la dictée posthume de l'auteur Plus rien n'a d'importance Je ne vois plus rien autour de moi Si ce n'est ces lignes ponctuées de symboles Un récit que je connais par cœur Un texte qui m'a pris des heures de ma vie Une connaissance de chaque respiration Chaque intonation, chaque ponctuation L'émotion grandit sous mes gestes mécaniques Ne pas sombrer Rester à la lisière Respirer... Seulement jouer, Comme si c'était la dernière fois Encore une fois...
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Profile-supprimé — 03-01-2010 09:36 |
Éden
Non, j'ai déjà un chien Mais toi tu t'en fous bien ! Ne me regarde pas, Tu sais, je ne peux pas.
Il faudrait de la place, Oui, un peu plus d'espace, Pour deux.
Ne me regarde pas ! Évite-moi cela, Ton regard malheureux Me mets les larmes aux yeux !
C'est vrai que tu as l'air gentil, C'est vrai que tu es tout petit,
Pourquoi dans une cage ? Alors que je suis là, Et après réflexion, j'ai tant d'amour pour toi !
Allez ! Viens dans mes bras, On sera bien tous les trois.
La maison est petite, mais mon coeur est si grand, Que je suis sûre enfin du bonheur qui t'attend !
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Profile-supprimé — 03-01-2010 09:47 |
Elle est si belle la terre
Tant de tracas et tant de guerres Pour tous les hommes de la terre Qui tracent encore des frontières Dressant des murs et des barrières Entre ennemis et entre frères
Tant de tracas et de misères, Enterre ici la hache de guerre.
Elle est pourtant belle la terre Avec ses bois et ses rivières Ses lacs, ses étangs et la mer Et la colombe bien passagère Garde les cendres de nos pères
Elle est si belle notre terre Enterrons la hache de guerre.
Loin de la foule moutonnière Il faut bâtir un sanctuaire Bannir les haines et les colères Il faut aussi bannir les guerres Qui remplissent nos cimetières
Rien que la paix et plus guerre Elle est si belle notre terre
Hommes et femmes de la terre Loin des massacres ordinaires Construisons notre sanctuaire Notre retraite bien solidaire Nous allons vivre enfin en frères
Rien que des amis sur la terre Elle est si belle notre terre
Utopie, rêve, espoir, chimère, Toujours renie à quoi ça sert ?
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Profile-supprimé — 04-01-2010 03:32 |
Mes illusions éparpillées à vos frontons, de mauvais tons, Je hurle ma colère à ne pas taire, sur vos chemins de fonte. Comme si l’horizon devait y perdre sa neuve et jeune plaine, Souvent tu marches tout droit vers ce que tu ne vois pas.
Toujours transparente tu vas ainsi comme une vérité Un mur blanc et masque d’ébène qu’une enfant à colorié Dans les vignes veillent une maisson grande et aimante Qand nos ailleux y vivaient sans façon en bonne enfants
Illuminée au grand midi au fond de la campagne Arrêtez donc votre marche et écoutez ce qui s’y dit La panthère noire et le lion y sont toujours pacifiques Le brouillard n’est rien et le songe y navigue à l’infini
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Profile-supprimé — 04-01-2010 03:43 |
DANSE
Petit rat je danse toute la journée Oh ! pas à l’opéra mais dans le grenier Et des nuits durant je saute et fais la barre De ses efforts il ne faut pas être avare
Petit rat j’espère qu’un jour prochain On me remarquera que je prendrai le train Pour monter à Paris montrer tous mes talents Si l’on veut bien m’en laisser le temps
Car les conditions sont bien mauvaises Pour pratiquer mon art tout à mon aise Il me faut très souvent fuir Si je veux éviter de me voir occire
Mais je suis petit rat dans le grenier Les tapettes ne peuvent m’apeurer Ni le chat m’inscrire à son déjeuner Dans son ventre je ne pourrai plus danser.
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Profile-supprimé — 04-01-2010 05:32 |
Non l’amour qui se tait n’est qu’une rêverie Le silence est la mort, et l’amour est la vie Et c’est un vieux mensonge à plaisir inventé Que de croire au bonheur hors de la volupté ! Je ne puis partager ni plaindre la souffrance. Le hasard est là-haut pour les audacieux Et celui dont la criante a tué l’espérance Mérite son malheur et fait injure aux dieux.
Une larme à son prix c’est la sœur d’un sourire
Musset
Ainsi donc, à mon gré je dépense ma paresse
La paresse bien utilisé avec un bon thé à la menthe c'est parfais aussi !
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Profile-supprimé — 04-01-2010 06:21 |
Nouvelle année pointe son nez De nouveaux jours Vers des amours De nouveaux cœurs Remplis de pleurs Des nouveautés De quoi parler Des horizons Et vos chiffons Des impressions Quelques passions
Un univers Bordant la mer
De beaux tableaux Et les cadeaux
De bonnes recettes Et les emplettes
Quelques mots doux Sans un tabou
Quelques tenues Le cœur à nu
Les beaux voyages Et leurs images
Des sentiments Et des passions
Histoires d'amour Et leurs détours besoin de lire Ou bien d'écrire Se mettre au vert Pour quelques vers
Vous accueillir Pour vous offrir
De belles fleurs Séchant les pleurs
Juste partager L’ immensité Qu’est " L'amitié"
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Profile-supprimé — 04-01-2010 06:47 |
Je me souviens de mon enfance Et du silence où j'avais froid ; J'ai tant senti peser sur moi Le regard de l'indifférence.
Ô jeunesse, je te revois Toute petite et repliée, Assise et recueillant les voix De ton âme presque oubliée
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Profile-supprimé — 04-01-2010 06:49 |
À l’amitié, nul n’est tenu. C’est ce que bien des gens me disent. Pour ma part, j’en ai retenu, Qu’il se dit beaucoup de bêtises.
Pourquoi conseiller la méfiance Quand l’amitié te tend les bras, Ou refuser de faire alliance Avec ceux qu’on ne connaît pas ?
Ne dit-il pas, ce vieux dicton Pas trop mauvais, à ce qu’il semble, Que ceux qui ont même passion, Bientôt se retrouvent ensemble ?
Si tu te cherches des repères Quand on te parle sentiment, Des amis, tu n’en auras guère Tu vivras seul et pauvrement.
Mais s’il t’arrive d’y goûter, D’en tirer toutes les saveurs, Essaye alors de préserver, Ce rare moment de bonheur.
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Profile-supprimé — 04-01-2010 06:59 |
Dans un coin d’une pièce, un petit lit moelleux Abrite un ange brun minuscule et gracieux. Ah ! Divine enfant, de ta belle frimousse Comme tes traits sont fins, comme ta peau est douce !
C’est un moment unique, un instant merveilleux Qui flatte mes regards, m’en jette plein les yeux Lorsque tu tends la main ou te tords sur ta couche Pour quérir quelque objet à porter à ta bouche.
Tu es comme un joyau dans un écrin précieux Toi le doux chérubin angélique et radieux Arrivé sur la terre un jour bien monotone Est-ce là surprenant : c’était un jour d’automne !
C’était par un temps triste, et franchement pluvieux Que du Ciel tu nous vins et me trouvas heureux : Toi le présent des Dieux, de Mère Providence Tu as mis dans mon coeur une chaleur intense.
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Profile-supprimé — 04-01-2010 07:03 |
Libre de penser, de rire et d'aimer Profiter des secondes de bonheur, De paix, de joie et savoir décider, Sans aucune crainte ni peur. Savoir dire non, oser, choisir, Construire, entreprendre, bâtir.
Il suffit de peu de chose, Un peu de courage si j'ose. La vie n'est pas toujours facile, Mais il suffit de redresser la tête, D'affronter certaines adversités, Avec beaucoup de sincérité.
Suivre son coeur, ses pensées, Ses choix, ses propres idées. C'est alors et seulement ainsi, Que l'on devient acteur de sa vie.
Il faut dans la vie savoir aussi, Tendre la main à celui qui en a besoin, Sans espérer un retour... rien, Juste se dire que c'était bien.
Alors s'installe l'harmonie avec soi-même, Et ainsi le monde parait presque parfait !
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Profile-supprimé — 04-01-2010 07:25 |
Par un beau jour, l’enfant naît, Nature le libère à jamais ! Mère porteuse de vie sourit, Fière de la création du petit !
Privé d’un tiède univers d’eau, Bébé d’un cri plonge dans l’air ! Bel enfant est bienvenu au berceau, Frêle esquif pour une vie sur terre !
Puisse la vie te donner bonheur, Puisse joie te réchauffer le coeur, Puisse l’outil de tendresse t’être ami, Puisses-tu dans la félicité être admis !
Etrange passage qu’une naissance, Gestation d’un petit rien en être vivant, Union de peu de choses en peu de temps, Pour que vie naisse de sa présence.
Fruit d’un amour, fruit des entrailles, Ton premier instant rend des sourires, Après un si long et rude travail, Père et mère de bonheur te mirent.
Tu es tendre et belle, tu es si beau, Prends l’amour des gens de bien, Donne l’amour à tous les tiens, Pour que bonheur soit à jamais ton vaisseau !
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Profile-supprimé — 06-01-2010 22:05 |
Spirale
Oh, spirale à quatre centres Où s’enroule en une seconde L’ombre autour du firmament Aux chemins lustrés au fil du temps
Oh ! spirale à quatre temps Se reflète comme une ronde Les mots à l’horizon profond Dansent les jours allant féconds
Oh, vous ces instants de retenus Vogue vers un monde inconnu Toujours agréable aux colombes Elles, les premières venues.
Chantons dans vos pensées Nos baisers et nos peines passées Les monts sont escarpés Ses faons des nouveaux nés.
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Profile-supprimé — 07-01-2010 08:24 |
Et l'enfant du futur Nous dira quelque secret Lorsqu'il jouera sur sa couche D'étoiles. Il est aisé de le tromper C'est pourquoi Donnons-lui avec tendresse Notre sein, Car la taupe silencieuse Du pressentiment Nous rapportera son hochet Lorsqu'il se sera endormi
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Profile-supprimé — 07-01-2010 08:57 |
Rêve
Ô rêve ! Heure sublime où tout devient possible, Où le monde n’est plus qu’un objet dans ma main, Où ma barque navigue au fil du lendemain, Pourfendant les flots de mon fleuve impassible.
Ô rêve ! Forme étrange, accès d’inaccessible, Mon escalier d’azur comme un vivant chemin, Mon espoir qui devient réalité soudain, Mon tendre coeur, ma richesse indicible.
Ô rêve ! Mon repos, mon calme insoupçonné. Toi, mon nouveau destin tout à coup proposé Pour un autre départ vers une aube nouvelle. Hier est ce qui est flétri au souvenir des regrets
Quand, voguant vers ailleurs au gré de mes désirs, J’ai asséché mes pleurs et tu tous mes soupirs, J'ai vu ce rêve fou, ma puissance éternelle ! Et le passé en silence revêt sa cuirasse de fer
Jamais on ne pourra lui arracher un secret
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Profile-supprimé — 07-01-2010 09:06 |
Lorsque l'homme aura coupé le dernier arbre, Pollué la dernière goutte d'eau, Tué le dernier animal et pêché le dernier poisson, Alors, il se rendra compte que l'argent n'est pas comestible
"pensée indienne"
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Profile-supprimé — 08-01-2010 10:51 |
La psychanalyse n’aime pas l’affectif, elle trouve les sentiments nuisibles, c’est là son problème comme le passé aide à grandir et n’aggrave pas forcémement le présent.pour en faire de l’horreur du vécu au contraire on le range et en tire profit pour l’avenir, le deuil est partout chez Freud, les retours en arrière aussi, comme si les sentiments devaient avoir l’air culpabilisateur, tout le monde ne rêve pas d’être un demi dieu, partout il y a faute, honte, culpabilité , jamais joie, bonheur et harmonie avec soi, toujours des divisions, comme si l’être humain n’était qu’un dileme. L’abandonique au contraire à la faculté de ne pas s’attacher si on lui laisse sa personnalité intègre créer des liens qui n’étaient pas en lui est introduire quelque chose qui ne connaissent pas à l’origine et devant lesquels il est démuni , le passé marche en continuité et non sans arrête à un premier trauma tel les mots nous servent à parler dans une continuité et non en retour au même point arrière, nous utilisons des mots passés pour expliquer le présent et ne parlons pas en babiche. On ne construit rien sur des cendre et de l’oubli permanent, sur l a culpabilité et la violence, sur la guerre et la honte, on ne construit que sur du positif et non du négatif, la vie est faite d’un mélange des deux quand les psychanalystes arrêteront leur propre pessimiste alors le monde ira mieux dans l’inconscient collectif aussi. Ceci est du à la période de guerre et d’après guerre dont il faudrait peut-être sortir car nos enfants actuels l’on largement dépassé et que pour bien travailler l’inconscient mérite que l’on en tienne compte.Ce sont leur collé des problèmes sur le dos qu’ils n’ont pas. Tout est en pièces sans plus de cohérence et que la psychanalyse s’intéresse peu à ses propres moyens de pensée
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Profile-supprimé — 08-01-2010 10:54 |
et que dire d'un psychanalyste qui met sa propre consoeur devant la correctionnelle hein ? apparemment après la boucherie de paris 13 eme tout le monde s'en fou
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Profile-supprimé — 08-01-2010 11:00 |
la psychanalyse ne marche qu'entre des opposés victime ou coupable amour et haine sain ou mal sain guerre ou paix tout marche dans le dileme de la division jamais par trois ce système de division n'existe pas dans la réalité l'ordre symbolique n'est abordable que par son propre appareil
j'ai vu un dromadaire qui partait pour la guerre
j'ai vu un éléphant qui brisait tout devant
j'ai vu un chameau l'enfant sur son dos
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Profile-supprimé — 08-01-2010 11:26 |
la psychanalyse est une drogue 27 ans d'une vie pour rien
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Profile-supprimé — 08-01-2010 11:28 |
comment faire quand on ne peut faire le deuil de ses psychanalyses parce que trop alambiquées
vingt sept ans ce n'est pas un ou deux ans
vingt sept ans d'emprise et de fixité d'une vie pour rien par jeu
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Profile-supprimé — 08-01-2010 11:31 |
où l'emprise sur les êtres humains dépasse toutes limites
ou plus rien n'est retrouvable
et le langage pris comme objet
et l'individu pris comme objet d'étude
en méprisant ce qu'il devient
en écoutant pas ce qu'il dit
le psychanalyste ne peut meme pas être pris comme témoin de langage
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Profile-supprimé — 08-01-2010 11:33 |
ou l'art n'est pas pris comme évolutif tel un langage
mais comme point terminatif et figé le langage d'origine remis à zéro
cela tue le poète et l'artiste car lui marche en lien unique évolutif et non régressif
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Profile-supprimé — 08-01-2010 11:38 |
quel dégâts quand tous liens sentimentaux et affectifs
doivent être dénier là n'est pas l'humanité
tout lien d'amité humaine dénié également
par la culpabilité forcée basé sur un faux héritage généalogique
quand on crée par un faux self des liens qui font effraction au vrai self de l'être
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Profile-supprimé — 08-01-2010 12:06 |
L’enfant Entendre, voir, sentir par le tactile, sentir par l’odorat sont des sens pour l’enfant et inclus une notion de vivre, un ressentir profond et vivant où le petit se sent vivre pleinement. Ils sont des messages surtout s’i ils proviennent de la nature donc inanimée. Les sons musicaux sont des couleurs et qui ne sont pas que verbaux Il y a du entendre voir. Et un entendre dire, ceux-ci sont susceptible de créer des images et que le vu l’entendu porte en eux même des messages latents Insiter sur l’exil dans l’épreuve de l’étranger c’est la perte et forcément la perte de tout langage à l’étranger, il marque un point de non-retour possible sur un certain langage même. C'est-à-dire l’abandon du signifiant, la littérature démolie entre temps de mai et novembre soit l’équinoxe d’automne fin de la période estivale et début de la période hivernal, un fading total. À force de déception incessante dans les tentatives à mener à bien une analyse à son véritable terme alors que celle-ci avait atteint un point positif où il aurait mieux fallu que je prenne la fuite à ce moment réparateur. À chaque fois se surajoute des problèmes à la suite, comme incriminer le père comme pervers, celui je n’ai pas, celui syphilitique y rajouter la perversion de l’enfant alors qu’il en détenait la vie et non le fading total et qu’au final la maladie se déclare chez l’hystérique de tous ces éléments accumulé et surajouté inutilement qui défont une accumulation de nombreux facteur de défense. Il y a dans l’inconscient de la réalité que la théorie nie qui fait un méli mélo avec la vérité de et l’affect investi sans pouvoir vraiment la différencier, mais se trouve en risée De plus, le souvenir inconscient ne perce pas et que l’on voit le contient. On aboutit à un complet domptage de l’inconscient par le conscient.je ne sais plus du tout où j’en suis parce que si le noyau parle de l’inconscient de l’avant il est impossible d’en saisir le premier terme A partir où rectifier le trauma par la séduction, il est redevenu interne du sujet lui-même et tout est ceLa psychanalyse n’aime pas l’affectif, elle trouve les sentiments nuisibles, c’est là son problème comme le passé aide à grandir et n’aggrave pas forcémement le présent.pour en faire de l’horreur du vécu au contraire on le range et en tire profit pour l’avenir, le deuil est partout chez Freud, les retours en arrière aussi, comme si les sentiments devaient avoir l’air culpabilisateur, tout le monde ne rêve pas d’être un demi dieu, partout il y a faute, honte, culpabilité , jamais joie, bonheur et harmonie avec soi, toujours des divisions, comme si l’être humain n’était qu’un dileme. L’abandonique au contraire à la faculté de ne pas s’attacher si on lui laisse sa personnalité intègre créer des liens qui n’étaient pas en lui est introduire quelque chose qui ne connaissent pas à l’origine et devant lesquels il est démuni , le passé marche en continuité et non sans arrête à un premier trauma tel les mots nous servent à parler dans une continuité et non en retour au même point arrière, nous utilisons des mots passés pour expliquer le présent et ne parlons pas en babiche. On ne construit rien sur des cendre et de l’oubli permanent, sur l a culpabilité et la violence, sur la guerre et la honte, on ne construit que sur du positif et non du négatif, la vie est faite d’un mélange des deux quand les psychanalystes arrêteront leur propre pessimiste alors le monde ira mieux dans l’inconscient collectif aussi. Ceci est du à la période de guerre et d’après guerre dont il faudrait peut-être sortir car nos enfants actuels l’on largement dépassé et que pour bien travailler l’inconscient mérite que l’on en tienne compte.Ce sont leur collé des problèmes sur le dos qu’ils n’ont pas. Tout est en pièces sans plus de cohérence et que la psychanalyse s’intéresse peu à ses propres moyens de pensée Tout es censé s’écrouler.
l'enfant n'a pas le même langage que l'adulte il prend au premier degré ce que l'adulte dit au second ce qui est bien différent de l'inverse que l'on veut nous montrer
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Profile-supprimé — 08-01-2010 12:20 |
la métonymie et la métaphore ne crée rien les halles sont le ventre de paris
halle = ventre paris = individus
un village de cent feux
l'amour est un caillou rillant au soleil
La psychanalyse met en route plusieurs formes de mémoire à lont terme explicie et implicite (inconsciente= un stimulus externe déclenche automatiquement un signal de préeminence (la sérotonine) qui active le gène qui débouche sur une mémoir à long terme
Dans la mémoir explicite (conscient) le cortex cérébral recrute volontairement un signal de préeminence (la dopamine) qui sollicite l'attention de l'animal module l'activité dans l'hypocame et débouche sur uun stockage mnésique à lont terme(stimili externe (sérotonine) ==CREB===expression du gène
privé d'hypocampe empeche tout travail conscient
Les chocs traumatique sont psychique et physique (non histologique), ce ne sont pas les cellules qui sont lésée mais le corps
le corps et l'esprit n'utilisant pas la même mémoir
Penser en terme d'espace le cortex pariétal droit et pré frontal droi :::: l'hypocame gauche
le lobe temporal et mémoir mnésique l'hipocampe ? faisceaux d'information sensorielle mémoire consicent hiors lypocame et consciente inclu le lobe temporal
en plus mémoire inconscient hors de l'hippocame et du lobe temporal médian
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Profile-supprimé — 08-01-2010 12:27 |
du point de vu du langage la grammaire est d'ordre analytique pas esthétique La langue est avant tou un langage spontané donc créatif
entre deux langage infini le langage est déchu et suspendu
le poète ici n'y a plus sa place
il ne peut y avoir des mots avec un langage qui se juxatope et se superpose et le figuré exclu l'histoire la perversion du langage analytique = celui-ci est confisqué par les prêtres
d'autre part la nuit est une succession aux aubes et le firmament en marque l'empreinte de la marée, ou du rytme
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Profile-supprimé — 08-01-2010 12:48 |
Le langage naturel et tous ces liens spontanés, prescrits des règles à son jugement, c’est la grammaire et la morale Et je m’aperçois que le langage ont une source commune (centre unique de toutes les vérités, tout repassage que mon lagange (s’oppose à l’universalité spatiale et crée un dédoublement du discours, et annule les liens sonores entre) d’où l’aberration entre langages qui était pleine et le langage vide.
Si les hivers sont tragiques Si l’automne souffle dans la forêt Si l’herbe est gelée dans les prés Sauve ta langue de Babel pathétique
Si tes printemps sont des raz de marée Et se recoupe à toutes les croisées Sil les arbres pleurent dans la forêt Revet ton masque d’Ebène magique Mes si les arbres pleurent dans la foret mortifie
Le lion de judas est symbole du christ Pour les chrétiens le rugissement du lion Laissait entrevoir les portes de l’enfer Sanson triomphe du lion En Afrique le lion reste un symbole du pouvoir de chef Au mali cependant c’est un charognard d’hyènes En Egypte son symbole est ambivalent Pouvoir vivant du Soleil Ré mais également Osiris qui régnait sur l’au-delà, la mort et l’autre vie
Nous voyons bien que les symboles d’où que nous les regardions n’ont pas même signification
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Profile-supprimé — 08-01-2010 12:51 |
Le lion est un animal largement récupéré aux divinités féminines Comme symbole d'une maternité jalouse et protectrice personnifiée par la déesse à tête de lion Seknet qui protégeait de la maladie et des catastrophes
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Profile-supprimé — 08-01-2010 12:59 |
voilà je viens de perdre mon dernier patient
c'est bien cela la démolition d'une consoeur
ça commence là et ça finira en correctionnelle hein
elle est belle la psychanalyse actuelle
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Profile-supprimé — 08-01-2010 13:08 |
oui elle est belle la psychanalyse actuelle
de décider ce que fera de force l'analysé
elle est belle de mettre au tribunal sa propre consoeur et celle qu'on a formé
je viens de perdre mon dernier patient
c'est bien hein, qu'est-ce que vous allez faire de moi maintenant
bien pensant comme vous êtes la taule et l'amende
démolir ce que j'étais en 2005 et décider pour moi
ce que je ferai de ma vie porter peindre l'imaginaire vidé à la place de porter plainte hein
c'est décider pour moi de ma vie et c'est pourquoi il n'y aura ni peinture ni poème à venir
et ces jeunes actuels du vide que lui offre la société de sa propre vacuité sans aucun espoir de transcendance hormis l'ivresse pêle narcissique
comme si vous aviez décidé par avance de ma vie et des dépassement de limite sur ma vie, vous auriez souchaiter que je me suicide que vous ne feriez pas mieux
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Profile-supprimé — 08-01-2010 13:14 |
vous vous repaisser de haine et violence contre l'autre
l'étranger pas comme vous ça ne vous suffisait pas la taule
la haine c'est vous qui l'avez
avec vos déchéance humaine
j'ai plus rien meme plus de quoi bouffer
jamais on n'a vu ça en psychanalyse c'est une honte
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Profile-supprimé — 08-01-2010 13:17 |
ruiner une deuxième fois dans un même travail
sa consoeur ça porte un nom
durant 17 ans c'est pire que l'hégémonie
vous n'aimez que la décadence et le déchet humain
vous pouvez parler bien dans vos livre
vous ne dite pas ce que vous faite dans vos cabinet
en douce en vous appuyant pour vous justifier sur une loi extérieure
vous ne dite pas hein dans vos silencieux silence jamais on a vu ça
pousser les gens au suicide en les rendant fou devrait être puni par la loi
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Profile-supprimé — 08-01-2010 13:18 |
Le problème est plus complexe pour moi ce qui était naturel en 2005 refendu après sur un langage appris, or je dis non je veux vivre maintenant et lui réponds attendez vous en êtes à la moitié, mais ce n’était pas tenir compte de la suite et de la remise à zéro, l’idéologie par elle-même couvrant l’ouverture que j’avais, donc plus rien n’est retrouvable après la deuxième mort, même les phrases qu’il a dites, n’ont qu’une valeur passagère, mais ne correspondent plus avec le temps après. Je n’ai pas bien compris cette remise en arrière pourquoi ? Attendre ne veut plus rien dire, je regardais mon calpin de 2005 c’est vrai j’avais 19 patients alors pourquoi avoir remis tout ça à zéro avec un extérieur fermé ? Pourquoi tous ces drames après, ce n’est quand même pas normal que je n’aie pas de nouvelle d’un procès s’étant déroulé le 6 septembre, ce n’est quand même pas normal de dépouiller même l’intérieur de ma maison ? Il y a vraiment dans toutes ces démarches quelque chose que je ne comprends pas parce que d’aucune utilité ni apprentissage, ni pour moi. Je disais dans l’atypique que j’étais plus habile dans l’action, d’une part, et d’une autre jamais deux tableaux même si j’essaie de les refaire ne seront jamais les mêmes, son il y en aura d’autres, mais non depuis c’est le statu quo.Pourquoi par une refente, un repassage à Freud, etc. détruit-on ainsi une professionnelle, quel intérêt lui a-t-il à me ramener au point de départ ? Ne voulait-on pas là que je joue un jeu en psychanalyse devant ce procès russe où de toute façon devant cinq plaintes, j’étais condamnée d’avance ? Quel intérêt cela a-t-il pour lui ? Pourquoi en 2005 tient-il un langage et ensuite durant 5 ans un autre ? Comment voulez-vous que je m’y retrouve puisqu’il a refendu jusqu’à la création de mon cabinet, d’où viennent ce sadisme et cette perversité ? Si je m’étais rendu au tribunal c’était déjà par la même le valoriser, mais cette fois ils ne sont pas venus avec les menottes me chercher, quel intérêt peut-on avoir à démolir son propre travail si ce n’est la psychanalyste que l’on a formée ? Ici là je ne comprends pas la psychanalyse ? On ne sait plus à la fin ce qu’elle veut ! Non seulement je ne le situe plus ni au début ni à la passation de la transmission ni à la fin de la refente non plus.Quel plaisir prend il à détruire son propre travail, pas seulement le mien ? Ce n’est même plus oublier le travail analytique, c’est aussi oublier l’injustice après inadmissible. Ne voulait-il pas que j’assume un certain rôle au tribunal pour me valoriser d’autant plus ? Jusqu’à quelles limites peut-on aller en fin d’analyse ? En foutant un coup de pied au cul et claquant la porte, avec SMS FINI, ce n’est pas ce que l’on peut appeler une fin correcte, ni avec la Noire ni la fuite, fuite reliée sur les deux traits unaires qui plus est.peut-on clore quelque chose que l’on ne comprend pas ? Non ! Peut-on clore deux remises à zéro dans une même analyse avec son désir programmé qui est de peindre à la place de porter plainte, comme si il avait déjà tout ordonné pour moi. Pourquoi un langage d’humain à humain après la transmission n’était pas possible pour moi si, je ne comprends pas donc ne peut le régler, pourquoi un langage de confrère à confrère n’at-il pu avoir lieu ? Et c’est même le contraire ! N’est-ce pas là justement tant que je n’ai pas la réponse de détenir la vie d’une consoeur et pourquoi ? On ne peut résoudre ce qui dans la vie là n’est justement pas résolu et plus le procès trainera plus pour moi il sera un handicap, comment un boucher qui ne l’était pas à la transmission peut-il aller aussi loin, si je suis condamnée alors je serais obligée de prendre un avocat, mais spécialisé en psychanalyse sinon il n’y comprendra rien, personne apparemment même Vaguerèse n’ont l’air étonner hein mime ? Sauf que la prison n’a rien d’un jeu et que pour celui qui est deux fois remises à ne pas pouvoir manger non plus apparemment ces grands pontes ont l’habitude hein ? l’un me demande de ne pas témoigner sur son site et l’autre risque de me foutre en taule, mais pour qui se prennent –ils ? Deux remises à zéro dans un même travail déjà ce n’est pas normal ! Mais deux vidage et moral et financier non plus croyez vous que quelqu’un ait encore envie de pratiquer avec ce qui s’est passé là et qui n’est pas encore réglé ? L’investissement de 2005 a été perdu financièrement et moralement. On voudrait dégouter une professionnelle qu’on ne s’y prendrai pas différemment ?Après ça n’importe qui serait dégouté de la profession et mes patients à force d’être lacés et sans pouvoir les prévenir, et pour l’hôpital, et pour la prison et pour le re hôpital quatre séparations en plein milieu de leur travail ce n’est pas sérieux même un patient m’a vue embarquée par les flics….On voudrait sanctionner quelqu’un que l’on ne ferait pas mieux pourquoi, parce que je refuse de me taire ! Ou peut-être simplement parce que ça l’aurait arrangé que je me présente pour protester à ce procès machiné d’avance ? N’importe qui après en être arriver à deux fichages policiers, trois fouilles au corps, des jours de prison, deux gardes à vue remises à zéro, interdiction de quitter le domicile, maintient sous garde policière ? Qui après en être arrivé là exercerait encore, quand on sait que tout affaiblissement moral nuit à la pratique de ce métier ? Qui voudrait encore de ce boulot après cela ? Deux fois clocharde hein ? Non il y a des limites à respecter et une éthique même vis-à-vis d’une consoeur à respecter.Je ne peux pas me concentrer sur un métier en ayant l’épée de Damoclès sur la tête et avec peut-être à l’issue condamnation même à une amende d’exercer un métier à relation humaine, il a fallu que j’attende 55 ans pour voir ça, comment je peux passer à autre chose sans savoir si je vais faire un an de taule et sans savoir ce qu’à mis dans mon dossier le psychiatre du procureur, c’est que ça va loin cette histoire, comment en rendant quelqu’un clocharde peut –on lui demander en plus 15000 euros , ce n’est pas de la parano c’est la réalité présente dont je n’arrive à me détacher actuellement et pour cause, si je reprends des patients et qu’en plus je suis condamnée je devrai de nouveau mettre la clef sous la porte, n’est-ce pas ce qu’il espère finalement, sauf que si je vais en taule là oui j’aurai le temps d’écrire en long et en large mon histoire analytique et avec Freud et avec Lacan !
Ça n’engage à rien hein de dire après à l’autre qu’il ferait mieux de peindre ? Quand lui-même utilise la violence Il faudra que l’on me dise comment une personne qui sort de l’hopitale avec trente six kilos et une opération peut se faire embarquer en garde à vue et comment elle peut menacer quelqu’un de mort alors qu’elle ne tient pas debout Il ne faut pas oublier que j’étais tellement anémiée et vide de sang qu’on m’a fait des transfusions il y a un moi seulement et y en a mare de toutes ces conneries hein ! De surprises de paquets de lessive hein j’en ai assez moi des lessives quand il s’agit de mon corps et d’accusations morales, sans compter que cela a nuis à mes patients, et que je me mets en danger aussi en parlant tandis que d’autres se marre. Et si cocmme il dit laisser tomber la théorie elle vous rend dingue, il faudrait bien voir pourquoi elle me rend dingue c’est parce que je porte à faux partout où elle passe la théorie et travailler sans théorie qu’est-ce qu’il me reste alors ? C’est comme si on me demandait d’exercer les yeux voilésElle n’a fait que me diviser et en exerçant de même, en fait elle s’en fou des gens qu’elle reçoit, de l’état dans lequel elle les laisse, vider l’imaginaire et la pensée est la fermeture de l’être sur l’espace et lui-même. Les écrits et peinture iront à la cave comme avec freud, celui qui n’a jamais eu de valeur dite par un tiers ne peu pas construire ça ira à eumaus après ma mort point basta, ça ne valait pas 27 ans pour ça, l’emprise sur une vie et légale aussi puisqu’elle se sert de la loi, l’être qui ne peut construire en regard de quelqu’un sa production et nul et non avenue Ça ne mérite même pas d’être vendu, vu, regardé ou lu, la psychanalyse prêche l’absence dans tous les sens du terme, elle divise si bien, qu’une balle dans la tête ferait le même effet ou un court circuit d’oubli, qu’est-ce que je vais publier des mots même pas à moi, elle met un terme à tout même la pensée. Elle m’a trop divisé durant trop d’annéeQuand on commence à piller les liens créatifs rien n’est récupérable, comme le langage n’est pas récupérable, Elle m’a trop trainée dans sa co –morbidité celle de freud, la psychanalyse et cela le prouve en 2005 n’aime pas les gens gais il leur faut une tête qui joue le mort j’ai toujours dit qu’il ne fallait pas me ramener à falaise de nacre c’est pourtant ce qu’elle fait et en 74 et 2003 et si je proteste parce que je voulais garder ma colère, alors ça ne va pas. Sans comter que le site écrivez s’est chargé du reste enlevez 27 ans de poésie et ça ne ressemble plus à rien, l’imaginaire vidé est la pire des choses, un petre ne vit pas au présent, le présent n’a aucune valeur intrinsèque Celui qui a eu une expérience analytique ça peut passer l’oubli mais celui qui en a eu deux ça ne passe plus du tout On s’aperçoit vite qu’en trente ans aucune avancée tangible n’a été effectuée Et c’est même le contraire orange mécanique c’est vieux et dépassé, comme qui a tué virginia wolf, et prévert on s’aperçoit que les erreurs sont plus dramatique et flagrandes en pire et non en mieux. Et le pire avec les mensonges de tous cela ne devait pa s être pareille m’a-t-on dit mais vous ne pouvez réagir à cause du moi coupé de sa résistance première, un moi divisé pour l’occasion Donc la compréhension ne vient que plus tard, avec lacan la déconstruction du langage et dramatique et quand je pense que les linguistes y ont participé ça me fait froid dans le dos. Elle est où la valeur du psychanalyste si personne n’essaie de remédier aux boucheries ? Et pire s’en justifie depuis trente ans. C’est bien pire qu’un comportement pervers parce que vous savez ce que vous faites les pervers eux n’en ont pas conscience, à théorie psychotique, prolifération psychotique et psychopates. La preuve en est qu’aucun appel téléphonique n’est venu d’un seul psychanalyste ou psychanalysé pourtant je sais que je ne suis pas la seule dans ce cas, et qu’il y a quand même des psychanalystes qui savent hein vaguerese ? hein Miller, on ne vous a pas transmis la psychanalyse pour faire du cinéma ou du théatre, vous avez même vendu à la mort de lacan miller des séminaires qu’ils ne voulait pas publier, ça vous rapporte combien (ceux que j’ai acheté ?) non lacan ne vous a pas transmis la psychanalyse pour en faire ce merdier, vous n’allez pas me dire que vous n’étiez pas au courant des retours de noyau de plus en plus dramatique, vous deviez et aviez le devoir de préparer le terrain, non de vous adresser à la loi d’état quand vous ne pouvez plus vous en sortir ! Personne ne vous a demande de vous éloigner autant de l’humain ! Même avec une psychanalyse profane ! Une psychanalyse ne doit pas durer plus de cinq ans, sinon les dégâts sont plus lourd qu’il n’y paraisseent, et ne compter pas sur moi pour prendre la place du mort et laisser tourner l’autre seul avec son inconscient au rique qu’il aille embrasser la mort, j’écoute moi, je peux changer de place, et mes analysant délire moins et guérissent plus vite, un être humain qui s’adresse à vous et en payant à le droit d’être entendu et vu. Parce que deux fois ça fait beaucoup de vibrouze Cela ne me fait pas rire parce que pour moi c’est la bourse et la vie que j’y laisse à chaque fois. Et plusieurs fois qui plus est , et cette fois la correctionnelle j’atends pour dire ici ce qu’il en sera et à quoi je serai condamné, on aurait voulu me tuer pour de vrai que cela ne m’aurait pas étonné, plus de cinq ans de supervision c’est trop, n’aurait on pu tenir compte que j’en avais une autre avant, n’aurait-on pu tenir compte du métier que je faisais avant, parce que quand même c’est cher payer pour un outil de travail qui plus est sans travail. On aurait pu aussi tenir compte de l’age que j’avais non, isoler les gens aussi longtemps pour quoi ? Hein ? Que’est ce que je vais faire de repartir à zéro démunie au plus au point et sur tous les points à 55ans Je m’y étais prise suffisemment à l’avance non, à quoi cela sert si vous n’écoutez meme pas mon histoire ? Si je fais un an de taule ce sera le pompon j’ai meme plus un livre et à manger ça rime à quoi ce cirque de formation de psychanalyste en l’empechant de vivre et figeant sa vie ? Je suis désolée mais je n’ai pas votre humour, quoi qu’avec freud j’ai pas eu autant de problème de fin d’analyse mais corporellement c’est idem, l’inconscient est un outil dangereux il faudrait voir à un peu mieux l’utiliser.vagurese et miller et louka vous pourrez m’apporter des oranges à fresnes entre deux séminaire de rigolade ou deux bouquins pommier aussi à la place de sa chair d’osiris hein ? Je me demande si vous arrivez encore à vous regarder dans une glace ! Ainsi que tous ceux qui savent et qui n’on meme pas le courage de prendre leur téléphone illimité, on a peur de quoi ? Hein ! Je ne vois pas monsieur joly dans la refente et la mise en taule la petite pute et l’ingrate que ce soit un outil de guérison de quoi que ce soit, la supervision a été un deuxième travail qui m’a remise à zéro après le premier travail lacanien en quoi tout ce bordel serait guérison il est plutôt une dégringolade de consoeur. Vous utilisez en vous grattant la tête des mots bien correctes moi je vais droit au but sans tergiverser c’est plus clair.Et que vous non plus vous n’avez pas de couilles pour répondre à mon mail.Les hommes se féminisent bien quand ils veulent hein, mais pour la taule on sait agir
C’est bien monsieur Weil vous m’inviter au spectacle, de 1913, mais je préfère manger d’abord hein parce que pour aller au spectacle il faut un peu d’argent non ! Vous feriez mieux de faire la quête pour psychanalyste fauché ça pourrait aider dans la corporation certains, ou monter avec une anpe pour psychanalystes.Ou pour payer un colis à ceux en taule, l’art au service de l’art de freine ça vous dit ? À la place de salomé-hérodiate hein ? S’appelle agir.ou des colis de Noêl pour psychanalyste dégradés hein ? Vous voulez que je vous parle de l’inconscient collectif du temps de Queneau et Vian pas de Prévert lui il est correcte, la rigolade phallocentrique hein : Ils nous révèle le monstrueux pays qui nous entoure (ça, c’est du travail inconscient bien noir de Freud)celui de nos désirs les plus implacables ou chaque amour cache la haine (comme si qu’il n’y avait qu’amour et haine et pas de milieu !) ou les hommes rêvent de navires, et les femmes de murailles (et bien c’est pas de peau parce que moi j’avais mon voilier à 4 ans) la muraille c’est pour la fondation de rome ou de la grèce moi je ne sais pas ce que j’ai mais l’inconscient collectif qui ne change pas pour les femmes ça ne me plait pas nous ne sommes pas en 1950 mais en 2010 les femmes sont indépendantes et ont un peu changer quand même mais pas l’inconscient collectif, cet humour masculin on le traine encore hein ? Je n’y peu rien mais avec mes deux travaux je ne supporte plus les femmes en vie en boite Même en psychiatrie ils en sont encore à la femme sainte ou antigone ou salomé pas possible ! Ah puis alors le délire de la prison, la folle qui faut enfermer hein correctionnelle et tout le sain fouin, je devrai porter plainte quand même rien que pour dire que je n’y survivrai pas et de plus il le sait je lui ai dit, ni la guerre ni la prison, il veut ma mort et l’amende hein ? Mais c’est quoi cet inconscient tordu qu’il a ? A cause de la cave je ne supporte pas d’être enfermée Rouge et noir, rouge et noir il est malade !ça pourrait paraitre du flaubert mais ne vous y fiez pas c’est de mon sang qu’il s’agit alors ! Là c’est carrément la mise à mort D’ailleurs qu’est-ce que ça vient faire après la supervision et la comparaison des deux travaux pourquoi ça vient à la fin là ? Quoiqu’avec freud sans tout ça j’y suis passée deux fois aussi hein mais c’était moins espacé. Avec lacan j’aurai le droit en plus tout ça en 2009, ce qui explique mon état à cinq autres « petites » morts (cinq agresseurs) cinq morts heureusement qu’il n’y en avait pas une vingtaine j’aurai pas eu le temps pour le grand carnage. Ça va pas non, vous n’allez pas me dire que vous ne le saviez pas hein ? Plus tout ça les petites lessives d’opération à l’hopital non mais ça ne va pas morceaux de chair d’osiris rangez moi donc tous vos scalpel et vos couteaux je ne veux plus en voir un trainer. Et le mieux dans l’affaire c’est qu’il n’y a qu’en psychanalyse que je passe à l’acte jamais dans la vie normale ! jamais je n’ai été malade autant qu’en analyse ! Et le pire dans l’histoire c’est que je conteste par téléphone ce carnage corporel (la machine à laver qui avale tout sur son passage l’extérieur comme l’intérieur, le séchoir intérieur, celui extérieur à la maison, le juste au corps noir, le ceintre, la personne à qui j’offre du thé tout quoi) alors comme je conteste je me retrouve en taule pas possible cette violence alors ! On en vient à la limite même de la psychanalyse du soma et de la psyché chez moi ça ne se passe jamais bien, et le self ne sert à rien Même que je ne veux plus l’écrire c’est loin de me faire rire, je revois la sène sous mon nez, ce n’est pas possible il faut arrêter cela ! Plus jamais ça ! Hein ! Plus jamais ! Si on s’était arrêter en 2003 ou 2005 maxi, jamais tout cela ne serait arrivé ! puisque en 2005 j’étais déjà aller bien droit à peu de chose prêt dans les paquerettes et ai failli à trois minutes près y rester dessous définitivement in éternam Au début de l’analyse je dis que je ne veux pas marcher sur les fleurs ! Parce que mes fleurs sont à la première porte de l’alter ego Comme je le dis je ne veux pas à la division du moi laisser le deux celle du milieu des trois Le deux celle qui en prend plein la tronche est le moi réalité, c’est celle qui a ses défenses pour faire face. C’est pour cela qu’il me faudrait pour me défendre au tribunal un avocat spécialisé dans la psychanalyse, parce que sinon il faudrait que j’explique de a à z le fonctionnement d’une analyse et qu’un avocat ordinaire ne comprendrait pas. Contre cinq plaintes déposées avant je n’ai aucune chance car si c’est moi qui tiens la lame, c’est aussi parce que l’on m’a fait délirer un peu trop rendre l’autre fou à ses limites. Le transfert calqué sur mon vécu est toujours dramatique parce que freud lui se dit qu’il n’y a pas de réalité dans l’inconscient mais voilà, pour moi si. Et que si les freudiens avaient bien voulu entendre lacan, plutôt que de faire la guerre, je dis depuis trente ans que mon symbolique n’est pas là et l’imaginaire non plus, que mon inconscient fait la différence entre féminin et masculin, si les freudiens avaient bien voulu se remettre en cause, et bien la psychanalyse aurait pu avancer, mais non , le père de la psychanalyse il ne faut pas y toucher, résultat, freud ou lacan, je vais à chaque fois droit dans le mur deux fois. Hors du baquet bébé hors du bain, les opérations après, et ravaler mon paquetage (cinq en plus) ce n’est plus possible, mes patients ne se bousillent pas moi ! Il ne faut jamais toucher mon totem de vie, il n’est pas celui de freud ni de lacan, bon sang ! Je conteste totem et tabou de freud, oui cela fait trente ans Et que les cauchemars sont pour moi, ce qui préserve ma survie en permettant de garder le sommeil profond, après le réveil Et que cela ne sert à rien que je le dise parce que tous vous le savez, mais vous préférer faire vos psychanalyses quand même plutôt que de m’écouter quitte à ce qu’au bout je meure, plutôt que de me dire que ce n’est pas un travail pour moi, parce que la deuxième je dis les déboires que j’ai rencontré avec la première, mais on me dit que ce n’est pas pareil alors je vous fais confiance. Ça ne sert à rien de répéter depuis trente ans les mêmes choses, parce que vous n’en tenez pas compte et le pire c’est que vous n’écouter ni au début les séances préliminaires, ce n’était pas pour cela que je m’étais adressée à la psychanalyse, mais un tout autre problème qui de toute façon on n’en parlera pas après, je le dis aussi dans ces premières séances, les risques, j’ai même peur de faire ce deuxième travail, et en plus je m’aperçois qu’il n’a pas écouter mon parcours de vie. Oui, il était plus simple alors de dire que je n’en fasse pas de toute façon ce que l’on peut dire tout le monde s’en fiche, et même les lâches à qui cela arrive se taise pour exercer en paix. Il y a des faux culs partout, on veut bien que les choses soient dites, mais si d’autres en prennent la responsabilité, mais dans le secret du confessionnal comme le curé à qui je suis allée parler et qui était bourré, plus tard mon enfant dieu reconnaitra les siens, alors je suis partie en levant le poing dans l’église, de l’aide c’était au temps présent que j’en avais besoin, pas plus tard. Il savait lui aussi, mais le secret des prêtres est identique au vôtre. Un prêtre qui laisse cinq adultes agresser une enfant de dix ans et demi devrait être passible de la loi de l’état. Mais qu’est-ce que la loi de l’état, puisqu’elle-même actuellement ne tient pas compte du sac noir Pas plus que les deux psychanalystes apparemment les seules personnes à qui je l’ai dit dans ma vie n’étaient pas les bonnes, les psys font, mieux même ils me font, accuser moi-même. On ira jusqu’à me faire foutre peut-être en correctionnelle, les lois du silence hein j’en ai soupé aussi, Aucun n’a eu des couilles pour dire qu’ils m’avaient entendue et pourquoi je me faisais soigner non au contraire on fou cela sur le dos d’un phantasme, c’est plus facile ça coute rien sauf pour moi. Pour tous il y a prescription sauf qu’avec la première analyste il n’y avait pas encore prescription. On appelle cela ironiquement manger son paquetage hein ? L’humour et l’ironie vont bon train puis ensuite c’est quand l’accusée devient coupable bien tien donc ! Alors pourquoi m’avoir fait parler ? Cela s’apparente à de la torture morale. Torture morale pas seulement parce que le calque de ma vie si vous savez ce que c’est, c’est bien le calque des pervers que vous copier les mêmes paroles, les mêmes faits, va te faire voir ailleurs, et la petite pute là dans quel sens je la prends, et l’ingrate dans quel sens je le prends ?On prend des comprimés pour parler, on prend des comprimés pour se taire hein ? la catharsis ne soigne pas, le renouveau il fallait le laisser où il était et mégglé qui me dit en plus que je dois me pardonner, et Lacan qui me colle cinq petites morts à la place de la vérité, vous êtes des gens quand même très compliqué hein ? Moi là dedans qu’est-ce que je suis un objet d’étude pour voir comment je n’ai pas mal tourné ? Il n’est pas bon de retourner tout cela tout le temps et pour rien, lorsque l’on fait une analyse encore passe, elle a pu se tromper, mais deux ça fait beaucoup et avec plus de dégâts encore. En fin que compte quoi que je dise cela se retourne contre moi, et Freud et les soldats de la guerre 14 hein, les gueules cassées, la protection de la mère pour pas aller au front, c’était se faire fusiller ! Ne me demandez pas de retourner à Freud et arrêter avec toutes ces guerres passées j’en ai tellement sur le dos vu mon passé. Et le site oedipe et dupin là derrière mon dos, internet ce n’est pas du joli joli non plus hein ? Et nous sommes en 2010 Oui j’en ai mare des vieilles têtes ! Une question se pose, quand même pourquoi aucun progrès n’a été fait en psychanalyse, sur de tout petits points comme cela ? Malgré des points tellement évidents ? Il est inadmissible de nos jours que l’on fasse accuser des gens sur la base d’un moi inconscient, je n’ai jamais pratiqué ça sur le terrain quotidien. J’avais réglé mes problèmes toute seule avant la psychanalyse et mieux que cela. D'ailleurs, je disais que c’est une porte noire qu’il ne faut pas ouvrir, mais avec Freud il faut pousser l’inconscient le plus loin possible, je ne suis pas d’accord en ce qui concerne la réalité. Pourquoi je suis psychanalyste je ne sais même pas moi-même tout dépendra si je suis condamnée e d’ailleurs demain je vais écrire au procureur parce que je trouve un peu long les débats pour savoir ce que l’on va faire de moi ! Depuis le jugement du 6 septembre, ça fait un peu long pour m’envoyer le simple compte rendu. Je pensais la psychanalyse hors jugement, idéologie, religion, etc., mais on s’aperçoit que même l’inconscient du commun n’évolue pas, où est le problème ? Répétez ce qui se dit depuis cinquante ans oubien cent ans ne m’intéresse pas Pour exercer un métier ou faire quelque chose moi j’ai besoin de sublimation pas de déchéance Et en plus quoi que je fasse, vous l’aurez décidé, à ma place, quoi que je fasse ce sera grâce à vous, quoi que je dise tout le monde s’en fout, ce n’est pas très amical comme corporation ou chacun ne pense qu’à sa petite soupe et se fou de ses collègues….Je suis fatiguée je vais me coucher, mais vous m’avez ôté avec vos conneries, le meilleur de moi-même. Ça vous amuse donc tellement de dégrader les gens ? Ça ne vous allait pas hein comme j’étais en 2005 La psychanalyse n’aime pas l’affectif, elle trouve les sentiments nuisibles, c’est là son problème comme le passé aide à grandir et n’aggrave pas forcémement le présent.pour en faire de l’horreur du vécu au contraire on le range et en tire profit pour l’avenir, le deuil est partout chez Freud, les retours en arrière aussi, comme si les sentiments devaient avoir l’air culpabilisateur, tout le monde ne rêve pas d’être un demi dieu, partout il y a faute, honte, culpabilité , jamais joie, bonheur et harmonie avec soi, toujours des divisions, comme si l’être humain n’était qu’un dileme. L’abandonique au contraire à la faculté de ne pas s’attacher si on lui laisse sa personnalité intègre créer des liens qui n’étaient pas en lui est introduire quelque chose qui ne connaissent pas à l’origine et devant lesquels il est démuni , le passé marche en continuité et non sans arrête à un premier trauma tel les mots nous servent à parler dans une continuité et non en retour au même point arrière, nous utilisons des mots passés pour expliquer le présent et ne parlons pas en babiche. On ne construit rien sur des cendre et de l’oubli permanent, sur l a culpabilité et la violence, sur la guerre et la honte, on ne construit que sur du positif et non du négatif, la vie est faite d’un mélange des deux quand les psychanalystes arrêteront leur propre pessimiste alors le monde ira mieux dans l’inconscient collectif aussi. Ceci est du à la période de guerre et d’après guerre dont il faudrait peut-être sortir car nos enfants actuels l’on largement dépassé et que pour bien travailler l’inconscient mérite que l’on en tienne compte.Ce sont leur collé des problèmes sur le dos qu’ils n’ont pas. Tout est en pièces sans plus de cohérence et que la psychanalyse s’intéresse peu à ses propres moyens de pensée
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Profile-supprimé — 08-01-2010 13:23 |
vous ne dites pas comment s'y prendre pour recasser une professionnel
on donne un désir et après on s'amuse avec la personne pour qu'elle en perdre toute stabilité on fait même mieux on lui reprend son désir hein
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Profile-supprimé — 08-01-2010 13:26 |
qu'est-ce que je vais faire d'une vie ruinée et ce deux fois dans le même travail
avec une orientation voulu par le psychanalyste et non ma propre personne
LA LOI dont vous vous servez qui ne m’a pas encore rendu compte du résultat de votre correctionnel
LA MISE SOUS SURVEILLANCE JUDICIAIRE avec deux fichage à la police et au tribunal
ALORS POURQUOI AVEZ VOUS POURVOIR me faite effacer avant pour montrer que vous ne craignez rien
et MOI dites donc dans votre bordel qu’est-ce que je deviens
EST CE NORMAL DE DETENIR LA VIE DE QUELQU UN PAR DES TACHES JUDICIAIRE
DE QUELS DROIT
ASSIGNEE à résidence IL FAUDRAIT PEUT-ETRE VOUS MAGNER LE TRAIN
Comment se fait -il que vous fassiez trainer je jugement plus de deux mois après est-ce normal de détenir des procureur sans même avertir de la décision prise il y a plus de deux moi bientot et demi ?
a quoi jouez vous vous parlez évidemment à merveille attendez vous que j’efface toute trace de voix pour votre cause ?
un homme , un humain peut-il etre détenu ainsi pour le reste de ses jours à votre bon vouloir ?
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Profile-supprimé — 08-01-2010 13:28 |
Le problème est plus complexe pour moi ce qui était naturel en 2005 refendu après sur un langage appris, or je dis non je veux vivre maintenant et lui réponds attendez vous en êtes à la moitié, mais ce n’était pas tenir compte de la suite et de la remise à zéro, l’idéologie par elle-même couvrant l’ouverture que j’avais, donc plus rien n’est retrouvable après la deuxième mort, même les phrases qu’il a dites, n’ont qu’une valeur passagère, mais ne correspondent plus avec le temps après. Je n’ai pas bien compris cette remise en arrière pourquoi ? Attendre ne veut plus rien dire, je regardais mon calpin de 2005 c’est vrai j’avais 19 patients alors pourquoi avoir remis tout ça à zéro avec un extérieur fermé ? Pourquoi tous ces drames après, ce n’est quand même pas normal que je n’aie pas de nouvelle d’un procès s’étant déroulé le 6 septembre, ce n’est quand même pas normal de dépouiller même l’intérieur de ma maison ? Il y a vraiment dans toutes ces démarches quelque chose que je ne comprends pas parce que d’aucune utilité ni apprentissage, ni pour moi. Je disais dans l’atypique que j’étais plus habile dans l’action, d’une part, et d’une autre jamais deux tableaux même si j’essaie de les refaire ne seront jamais les mêmes, son il y en aura d’autres, mais non depuis c’est le statu quo.Pourquoi par une refente, un repassage à Freud, etc. détruit-on ainsi une professionnelle, quel intérêt lui a-t-il à me ramener au point de départ ? Ne voulait-on pas là que je joue un jeu en psychanalyse devant ce procès russe où de toute façon devant cinq plaintes, j’étais condamnée d’avance ? Quel intérêt cela a-t-il pour lui ? Pourquoi en 2005 tient-il un langage et ensuite durant 5 ans un autre ? Comment voulez-vous que je m’y retrouve puisqu’il a refendu jusqu’à la création de mon cabinet, d’où viennent ce sadisme et cette perversité ? Si je m’étais rendu au tribunal c’était déjà par la même le valoriser, mais cette fois ils ne sont pas venus avec les menottes me chercher, quel intérêt peut-on avoir à démolir son propre travail si ce n’est la psychanalyste que l’on a formée ? Ici là je ne comprends pas la psychanalyse ? On ne sait plus à la fin ce qu’elle veut ! Non seulement je ne le situe plus ni au début ni à la passation de la transmission ni à la fin de la refente non plus.Quel plaisir prend il à détruire son propre travail, pas seulement le mien ? Ce n’est même plus oublier le travail analytique, c’est aussi oublier l’injustice après inadmissible. Ne voulait-il pas que j’assume un certain rôle au tribunal pour me valoriser d’autant plus ? Jusqu’à quelles limites peut-on aller en fin d’analyse ? En foutant un coup de pied au cul et claquant la porte, avec SMS FINI, ce n’est pas ce que l’on peut appeler une fin correcte, ni avec la Noire ni la fuite, fuite reliée sur les deux traits unaires qui plus est.peut-on clore quelque chose que l’on ne comprend pas ? Non ! Peut-on clore deux remises à zéro dans une même analyse avec son désir programmé qui est de peindre à la place de porter plainte, comme si il avait déjà tout ordonné pour moi. Pourquoi un langage d’humain à humain après la transmission n’était pas possible pour moi si, je ne comprends pas donc ne peut le régler, pourquoi un langage de confrère à confrère n’at-il pu avoir lieu ? Et c’est même le contraire ! N’est-ce pas là justement tant que je n’ai pas la réponse de détenir la vie d’une consoeur et pourquoi ? On ne peut résoudre ce qui dans la vie là n’est justement pas résolu et plus le procès trainera plus pour moi il sera un handicap, comment un boucher qui ne l’était pas à la transmission peut-il aller aussi loin, si je suis condamnée alors je serais obligée de prendre un avocat, mais spécialisé en psychanalyse sinon il n’y comprendra rien, personne apparemment même Vaguerèse n’ont l’air étonner hein mime ? Sauf que la prison n’a rien d’un jeu et que pour celui qui est deux fois remises à ne pas pouvoir manger non plus apparemment ces grands pontes ont l’habitude hein ? l’un me demande de ne pas témoigner sur son site et l’autre risque de me foutre en taule, mais pour qui se prennent –ils ? Deux remises à zéro dans un même travail déjà ce n’est pas normal ! Mais deux vidage et moral et financier non plus croyez vous que quelqu’un ait encore envie de pratiquer avec ce qui s’est passé là et qui n’est pas encore réglé ? L’investissement de 2005 a été perdu financièrement et moralement. On voudrait dégouter une professionnelle qu’on ne s’y prendrai pas différemment ?Après ça n’importe qui serait dégouté de la profession et mes patients à force d’être lacés et sans pouvoir les prévenir, et pour l’hôpital, et pour la prison et pour le re hôpital quatre séparations en plein milieu de leur travail ce n’est pas sérieux même un patient m’a vue embarquée par les flics….On voudrait sanctionner quelqu’un que l’on ne ferait pas mieux pourquoi, parce que je refuse de me taire ! Ou peut-être simplement parce que ça l’aurait arrangé que je me présente pour protester à ce procès machiné d’avance ? N’importe qui après en être arriver à deux fichages policiers, trois fouilles au corps, des jours de prison, deux gardes à vue remises à zéro, interdiction de quitter le domicile, maintient sous garde policière ? Qui après en être arrivé là exercerait encore, quand on sait que tout affaiblissement moral nuit à la pratique de ce métier ? Qui voudrait encore de ce boulot après cela ? Deux fois clocharde hein ? Non il y a des limites à respecter et une éthique même vis-à-vis d’une consoeur à respecter.Je ne peux pas me concentrer sur un métier en ayant l’épée de Damoclès sur la tête et avec peut-être à l’issue condamnation même à une amende d’exercer un métier à relation humaine, il a fallu que j’attende 55 ans pour voir ça, comment je peux passer à autre chose sans savoir si je vais faire un an de taule et sans savoir ce qu’à mis dans mon dossier le psychiatre du procureur, c’est que ça va loin cette histoire, comment en rendant quelqu’un clocharde peut –on lui demander en plus 15000 euros , ce n’est pas de la parano c’est la réalité présente dont je n’arrive à me détacher actuellement et pour cause, si je reprends des patients et qu’en plus je suis condamnée je devrai de nouveau mettre la clef sous la porte, n’est-ce pas ce qu’il espère finalement, sauf que si je vais en taule là oui j’aurai le temps d’écrire en long et en large mon histoire analytique et avec Freud et avec Lacan !
Ça n’engage à rien hein de dire après à l’autre qu’il ferait mieux de peindre ? Quand lui-même utilise la violence Il faudra que l’on me dise comment une personne qui sort de l’hopitale avec trente six kilos et une opération peut se faire embarquer en garde à vue et comment elle peut menacer quelqu’un de mort alors qu’elle ne tient pas debout Il ne faut pas oublier que j’étais tellement anémiée et vide de sang qu’on m’a fait des transfusions il y a un moi seulement et y en a mare de toutes ces conneries hein ! De surprises de paquets de lessive hein j’en ai assez moi des lessives quand il s’agit de mon corps et d’accusations morales, sans compter que cela a nuis à mes patients, et que je me mets en danger aussi en parlant tandis que d’autres se marre. Et si cocmme il dit laisser tomber la théorie elle vous rend dingue, il faudrait bien voir pourquoi elle me rend dingue c’est parce que je porte à faux partout où elle passe la théorie et travailler sans théorie qu’est-ce qu’il me reste alors ? C’est comme si on me demandait d’exercer les yeux voilésElle n’a fait que me diviser et en exerçant de même, en fait elle s’en fou des gens qu’elle reçoit, de l’état dans lequel elle les laisse, vider l’imaginaire et la pensée est la fermeture de l’être sur l’espace et lui-même. Les écrits et peinture iront à la cave comme avec freud, celui qui n’a jamais eu de valeur dite par un tiers ne peu pas construire ça ira à eumaus après ma mort point basta, ça ne valait pas 27 ans pour ça, l’emprise sur une vie et légale aussi puisqu’elle se sert de la loi, l’être qui ne peut construire en regard de quelqu’un sa production et nul et non avenue Ça ne mérite même pas d’être vendu, vu, regardé ou lu, la psychanalyse prêche l’absence dans tous les sens du terme, elle divise si bien, qu’une balle dans la tête ferait le même effet ou un court circuit d’oubli, qu’est-ce que je vais publier des mots même pas à moi, elle met un terme à tout même la pensée. Elle m’a trop divisé durant trop d’annéeQuand on commence à piller les liens créatifs rien n’est récupérable, comme le langage n’est pas récupérable, Elle m’a trop trainée dans sa co –morbidité celle de freud, la psychanalyse et cela le prouve en 2005 n’aime pas les gens gais il leur faut une tête qui joue le mort j’ai toujours dit qu’il ne fallait pas me ramener à falaise de nacre c’est pourtant ce qu’elle fait et en 74 et 2003 et si je proteste parce que je voulais garder ma colère, alors ça ne va pas. Sans comter que le site écrivez s’est chargé du reste enlevez 27 ans de poésie et ça ne ressemble plus à rien, l’imaginaire vidé est la pire des choses, un petre ne vit pas au présent, le présent n’a aucune valeur intrinsèque Celui qui a eu une expérience analytique ça peut passer l’oubli mais celui qui en a eu deux ça ne passe plus du tout On s’aperçoit vite qu’en trente ans aucune avancée tangible n’a été effectuée Et c’est même le contraire orange mécanique c’est vieux et dépassé, comme qui a tué virginia wolf, et prévert on s’aperçoit que les erreurs sont plus dramatique et flagrandes en pire et non en mieux. Et le pire avec les mensonges de tous cela ne devait pa s être pareille m’a-t-on dit mais vous ne pouvez réagir à cause du moi coupé de sa résistance première, un moi divisé pour l’occasion Donc la compréhension ne vient que plus tard, avec lacan la déconstruction du langage et dramatique et quand je pense que les linguistes y ont participé ça me fait froid dans le dos. Elle est où la valeur du psychanalyste si personne n’essaie de remédier aux boucheries ? Et pire s’en justifie depuis trente ans. C’est bien pire qu’un comportement pervers parce que vous savez ce que vous faites les pervers eux n’en ont pas conscience, à théorie psychotique, prolifération psychotique et psychopates. La preuve en est qu’aucun appel téléphonique n’est venu d’un seul psychanalyste ou psychanalysé pourtant je sais que je ne suis pas la seule dans ce cas, et qu’il y a quand même des psychanalystes qui savent hein vaguerese ? hein Miller, on ne vous a pas transmis la psychanalyse pour faire du cinéma ou du théatre, vous avez même vendu à la mort de lacan miller des séminaires qu’ils ne voulait pas publier, ça vous rapporte combien (ceux que j’ai acheté ?) non lacan ne vous a pas transmis la psychanalyse pour en faire ce merdier, vous n’allez pas me dire que vous n’étiez pas au courant des retours de noyau de plus en plus dramatique, vous deviez et aviez le devoir de préparer le terrain, non de vous adresser à la loi d’état quand vous ne pouvez plus vous en sortir ! Personne ne vous a demande de vous éloigner autant de l’humain ! Même avec une psychanalyse profane ! Une psychanalyse ne doit pas durer plus de cinq ans, sinon les dégâts sont plus lourd qu’il n’y paraisseent, et ne compter pas sur moi pour prendre la place du mort et laisser tourner l’autre seul avec son inconscient au rique qu’il aille embrasser la mort, j’écoute moi, je peux changer de place, et mes analysant délire moins et guérissent plus vite, un être humain qui s’adresse à vous et en payant à le droit d’être entendu et vu. Parce que deux fois ça fait beaucoup de vibrouze Cela ne me fait pas rire parce que pour moi c’est la bourse et la vie que j’y laisse à chaque fois. Et plusieurs fois qui plus est , et cette fois la correctionnelle j’atends pour dire ici ce qu’il en sera et à quoi je serai condamné, on aurait voulu me tuer pour de vrai que cela ne m’aurait pas étonné, plus de cinq ans de supervision c’est trop, n’aurait on pu tenir compte que j’en avais une autre avant, n’aurait-on pu tenir compte du métier que je faisais avant, parce que quand même c’est cher payer pour un outil de travail qui plus est sans travail. On aurait pu aussi tenir compte de l’age que j’avais non, isoler les gens aussi longtemps pour quoi ? Hein ? Que’est ce que je vais faire de repartir à zéro démunie au plus au point et sur tous les points à 55ans Je m’y étais prise suffisemment à l’avance non, à quoi cela sert si vous n’écoutez meme pas mon histoire ? Si je fais un an de taule ce sera le pompon j’ai meme plus un livre et à manger ça rime à quoi ce cirque de formation de psychanalyste en l’empechant de vivre et figeant sa vie ? Je suis désolée mais je n’ai pas votre humour, quoi qu’avec freud j’ai pas eu autant de problème de fin d’analyse mais corporellement c’est idem, l’inconscient est un outil dangereux il faudrait voir à un peu mieux l’utiliser.vagurese et miller et louka vous pourrez m’apporter des oranges à fresnes entre deux séminaire de rigolade ou deux bouquins pommier aussi à la place de sa chair d’osiris hein ? Je me demande si vous arrivez encore à vous regarder dans une glace ! Ainsi que tous ceux qui savent et qui n’on meme pas le courage de prendre leur téléphone illimité, on a peur de quoi ? Hein ! Je ne vois pas monsieur joly dans la refente et la mise en taule la petite pute et l’ingrate que ce soit un outil de guérison de quoi que ce soit, la supervision a été un deuxième travail qui m’a remise à zéro après le premier travail lacanien en quoi tout ce bordel serait guérison il est plutôt une dégringolade de consoeur. Vous utilisez en vous grattant la tête des mots bien correctes moi je vais droit au but sans tergiverser c’est plus clair.Et que vous non plus vous n’avez pas de couilles pour répondre à mon mail.Les hommes se féminisent bien quand ils veulent hein, mais pour la taule on sait agir
C’est bien monsieur Weil vous m’inviter au spectacle, de 1913, mais je préfère manger d’abord hein parce que pour aller au spectacle il faut un peu d’argent non ! Vous feriez mieux de faire la quête pour psychanalyste fauché ça pourrait aider dans la corporation certains, ou monter avec une anpe pour psychanalystes.Ou pour payer un colis à ceux en taule, l’art au service de l’art de freine ça vous dit ? À la place de salomé-hérodiate hein ? S’appelle agir.ou des colis de Noêl pour psychanalyste dégradés hein ? Vous voulez que je vous parle de l’inconscient collectif du temps de Queneau et Vian pas de Prévert lui il est correcte, la rigolade phallocentrique hein : Ils nous révèle le monstrueux pays qui nous entoure (ça, c’est du travail inconscient bien noir de Freud)celui de nos désirs les plus implacables ou chaque amour cache la haine (comme si qu’il n’y avait qu’amour et haine et pas de milieu !) ou les hommes rêvent de navires, et les femmes de murailles (et bien c’est pas de peau parce que moi j’avais mon voilier à 4 ans) la muraille c’est pour la fondation de rome ou de la grèce moi je ne sais pas ce que j’ai mais l’inconscient collectif qui ne change pas pour les femmes ça ne me plait pas nous ne sommes pas en 1950 mais en 2010 les femmes sont indépendantes et ont un peu changer quand même mais pas l’inconscient collectif, cet humour masculin on le traine encore hein ? Je n’y peu rien mais avec mes deux travaux je ne supporte plus les femmes en vie en boite Même en psychiatrie ils en sont encore à la femme sainte ou antigone ou salomé pas possible ! Ah puis alors le délire de la prison, la folle qui faut enfermer hein correctionnelle et tout le sain fouin, je devrai porter plainte quand même rien que pour dire que je n’y survivrai pas et de plus il le sait je lui ai dit, ni la guerre ni la prison, il veut ma mort et l’amende hein ? Mais c’est quoi cet inconscient tordu qu’il a ? A cause de la cave je ne supporte pas d’être enfermée Rouge et noir, rouge et noir il est malade !ça pourrait paraitre du flaubert mais ne vous y fiez pas c’est de mon sang qu’il s’agit alors ! Là c’est carrément la mise à mort D’ailleurs qu’est-ce que ça vient faire après la supervision et la comparaison des deux travaux pourquoi ça vient à la fin là ? Quoiqu’avec freud sans tout ça j’y suis passée deux fois aussi hein mais c’était moins espacé. Avec lacan j’aurai le droit en plus tout ça en 2009, ce qui explique mon état à cinq autres « petites » morts (cinq agresseurs) cinq morts heureusement qu’il n’y en avait pas une vingtaine j’aurai pas eu le temps pour le grand carnage. Ça va pas non, vous n’allez pas me dire que vous ne le saviez pas hein ? Plus tout ça les petites lessives d’opération à l’hopital non mais ça ne va pas morceaux de chair d’osiris rangez moi donc tous vos scalpel et vos couteaux je ne veux plus en voir un trainer. Et le mieux dans l’affaire c’est qu’il n’y a qu’en psychanalyse que je passe à l’acte jamais dans la vie normale ! jamais je n’ai été malade autant qu’en analyse ! Et le pire dans l’histoire c’est que je conteste par téléphone ce carnage corporel (la machine à laver qui avale tout sur son passage l’extérieur comme l’intérieur, le séchoir intérieur, celui extérieur à la maison, le juste au corps noir, le ceintre, la personne à qui j’offre du thé tout quoi) alors comme je conteste je me retrouve en taule pas possible cette violence alors ! On en vient à la limite même de la psychanalyse du soma et de la psyché chez moi ça ne se passe jamais bien, et le self ne sert à rien Même que je ne veux plus l’écrire c’est loin de me faire rire, je revois la sène sous mon nez, ce n’est pas possible il faut arrêter cela ! Plus jamais ça ! Hein ! Plus jamais ! Si on s’était arrêter en 2003 ou 2005 maxi, jamais tout cela ne serait arrivé ! puisque en 2005 j’étais déjà aller bien droit à peu de chose prêt dans les paquerettes et ai failli à trois minutes près y rester dessous définitivement in éternam Au début de l’analyse je dis que je ne veux pas marcher sur les fleurs ! Parce que mes fleurs sont à la première porte de l’alter ego Comme je le dis je ne veux pas à la division du moi laisser le deux celle du milieu des trois Le deux celle qui en prend plein la tronche est le moi réalité, c’est celle qui a ses défenses pour faire face. C’est pour cela qu’il me faudrait pour me défendre au tribunal un avocat spécialisé dans la psychanalyse, parce que sinon il faudrait que j’explique de a à z le fonctionnement d’une analyse et qu’un avocat ordinaire ne comprendrait pas. Contre cinq plaintes déposées avant je n’ai aucune chance car si c’est moi qui tiens la lame, c’est aussi parce que l’on m’a fait délirer un peu trop rendre l’autre fou à ses limites. Le transfert calqué sur mon vécu est toujours dramatique parce que freud lui se dit qu’il n’y a pas de réalité dans l’inconscient mais voilà, pour moi si. Et que si les freudiens avaient bien voulu entendre lacan, plutôt que de faire la guerre, je dis depuis trente ans que mon symbolique n’est pas là et l’imaginaire non plus, que mon inconscient fait la différence entre féminin et masculin, si les freudiens avaient bien voulu se remettre en cause, et bien la psychanalyse aurait pu avancer, mais non , le père de la psychanalyse il ne faut pas y toucher, résultat, freud ou lacan, je vais à chaque fois droit dans le mur deux fois. Hors du baquet bébé hors du bain, les opérations après, et ravaler mon paquetage (cinq en plus) ce n’est plus possible, mes patients ne se bousillent pas moi ! Il ne faut jamais toucher mon totem de vie, il n’est pas celui de freud ni de lacan, bon sang ! Je conteste totem et tabou de freud, oui cela fait trente ans Et que les cauchemars sont pour moi, ce qui préserve ma survie en permettant de garder le sommeil profond, après le réveil Et que cela ne sert à rien que je le dise parce que tous vous le savez, mais vous préférer faire vos psychanalyses quand même plutôt que de m’écouter quitte à ce qu’au bout je meure, plutôt que de me dire que ce n’est pas un travail pour moi, parce que la deuxième je dis les déboires que j’ai rencontré avec la première, mais on me dit que ce n’est pas pareil alors je vous fais confiance. Ça ne sert à rien de répéter depuis trente ans les mêmes choses, parce que vous n’en tenez pas compte et le pire c’est que vous n’écouter ni au début les séances préliminaires, ce n’était pas pour cela que je m’étais adressée à la psychanalyse, mais un tout autre problème qui de toute façon on n’en parlera pas après, je le dis aussi dans ces premières séances, les risques, j’ai même peur de faire ce deuxième travail, et en plus je m’aperçois qu’il n’a pas écouter mon parcours de vie. Oui, il était plus simple alors de dire que je n’en fasse pas de toute façon ce que l’on peut dire tout le monde s’en fiche, et même les lâches à qui cela arrive se taise pour exercer en paix. Il y a des faux culs partout, on veut bien que les choses soient dites, mais si d’autres en prennent la responsabilité, mais dans le secret du confessionnal comme le curé à qui je suis allée parler et qui était bourré, plus tard mon enfant dieu reconnaitra les siens, alors je suis partie en levant le poing dans l’église, de l’aide c’était au temps présent que j’en avais besoin, pas plus tard. Il savait lui aussi, mais le secret des prêtres est identique au vôtre. Un prêtre qui laisse cinq adultes agresser une enfant de dix ans et demi devrait être passible de la loi de l’état. Mais qu’est-ce que la loi de l’état, puisqu’elle-même actuellement ne tient pas compte du sac noir Pas plus que les deux psychanalystes apparemment les seules personnes à qui je l’ai dit dans ma vie n’étaient pas les bonnes, les psys font, mieux même ils me font, accuser moi-même. On ira jusqu’à me faire foutre peut-être en correctionnelle, les lois du silence hein j’en ai soupé aussi, Aucun n’a eu des couilles pour dire qu’ils m’avaient entendue et pourquoi je me faisais soigner non au contraire on fou cela sur le dos d’un phantasme, c’est plus facile ça coute rien sauf pour moi. Pour tous il y a prescription sauf qu’avec la première analyste il n’y avait pas encore prescription. On appelle cela ironiquement manger son paquetage hein ? L’humour et l’ironie vont bon train puis ensuite c’est quand l’accusée devient coupable bien tien donc ! Alors pourquoi m’avoir fait parler ? Cela s’apparente à de la torture morale. Torture morale pas seulement parce que le calque de ma vie si vous savez ce que c’est, c’est bien le calque des pervers que vous copier les mêmes paroles, les mêmes faits, va te faire voir ailleurs, et la petite pute là dans quel sens je la prends, et l’ingrate dans quel sens je le prends ?On prend des comprimés pour parler, on prend des comprimés pour se taire hein ? la catharsis ne soigne pas, le renouveau il fallait le laisser où il était et mégglé qui me dit en plus que je dois me pardonner, et Lacan qui me colle cinq petites morts à la place de la vérité, vous êtes des gens quand même très compliqué hein ? Moi là dedans qu’est-ce que je suis un objet d’étude pour voir comment je n’ai pas mal tourné ? Il n’est pas bon de retourner tout cela tout le temps et pour rien, lorsque l’on fait une analyse encore passe, elle a pu se tromper, mais deux ça fait beaucoup et avec plus de dégâts encore. En fin que compte quoi que je dise cela se retourne contre moi, et Freud et les soldats de la guerre 14 hein, les gueules cassées, la protection de la mère pour pas aller au front, c’était se faire fusiller ! Ne me demandez pas de retourner à Freud et arrêter avec toutes ces guerres passées j’en ai tellement sur le dos vu mon passé. Et le site oedipe et dupin là derrière mon dos, internet ce n’est pas du joli joli non plus hein ? Et nous sommes en 2010 Oui j’en ai mare des vieilles têtes ! Une question se pose, quand même pourquoi aucun progrès n’a été fait en psychanalyse, sur de tout petits points comme cela ? Malgré des points tellement évidents ? Il est inadmissible de nos jours que l’on fasse accuser des gens sur la base d’un moi inconscient, je n’ai jamais pratiqué ça sur le terrain quotidien. J’avais réglé mes problèmes toute seule avant la psychanalyse et mieux que cela. D'ailleurs, je disais que c’est une porte noire qu’il ne faut pas ouvrir, mais avec Freud il faut pousser l’inconscient le plus loin possible, je ne suis pas d’accord en ce qui concerne la réalité. Pourquoi je suis psychanalyste je ne sais même pas moi-même tout dépendra si je suis condamnée e d’ailleurs demain je vais écrire au procureur parce que je trouve un peu long les débats pour savoir ce que l’on va faire de moi ! Depuis le jugement du 6 septembre, ça fait un peu long pour m’envoyer le simple compte rendu. Je pensais la psychanalyse hors jugement, idéologie, religion, etc., mais on s’aperçoit que même l’inconscient du commun n’évolue pas, où est le problème ? Répétez ce qui se dit depuis cinquante ans oubien cent ans ne m’intéresse pas Pour exercer un métier ou faire quelque chose moi j’ai besoin de sublimation pas de déchéance Et en plus quoi que je fasse, vous l’aurez décidé, à ma place, quoi que je fasse ce sera grâce à vous, quoi que je dise tout le monde s’en fout, ce n’est pas très amical comme corporation ou chacun ne pense qu’à sa petite soupe et se fou de ses collègues….Je suis fatiguée je vais me coucher, mais vous m’avez ôté avec vos conneries, le meilleur de moi-même. Ça vous amuse donc tellement de dégrader les gens ? Ça ne vous allait pas hein comme j’étais en 2005 La psychanalyse n’aime pas l’affectif, elle trouve les sentiments nuisibles, c’est là son problème comme le passé aide à grandir et n’aggrave pas forcémement le présent.pour en faire de l’horreur du vécu au contraire on le range et en tire profit pour l’avenir, le deuil est partout chez Freud, les retours en arrière aussi, comme si les sentiments devaient avoir l’air culpabilisateur, tout le monde ne rêve pas d’être un demi dieu, partout il y a faute, honte, culpabilité , jamais joie, bonheur et harmonie avec soi, toujours des divisions, comme si l’être humain n’était qu’un dileme. L’abandonique au contraire à la faculté de ne pas s’attacher si on lui laisse sa personnalité intègre créer des liens qui n’étaient pas en lui est introduire quelque chose qui ne connaissent pas à l’origine et devant lesquels il est démuni , le passé marche en continuité et non sans arrête à un premier trauma tel les mots nous servent à parler dans une continuité et non en retour au même point arrière, nous utilisons des mots passés pour expliquer le présent et ne parlons pas en babiche. On ne construit rien sur des cendre et de l’oubli permanent, sur l a culpabilité et la violence, sur la guerre et la honte, on ne construit que sur du positif et non du négatif, la vie est faite d’un mélange des deux quand les psychanalystes arrêteront leur propre pessimiste alors le monde ira mieux dans l’inconscient collectif aussi. Ceci est du à la période de guerre et d’après guerre dont il faudrait peut-être sortir car nos enfants actuels l’on largement dépassé et que pour bien travailler l’inconscient mérite que l’on en tienne compte.Ce sont leur collé des problèmes sur le dos qu’ils n’ont pas. Tout est en pièces sans plus de cohérence et que la psychanalyse s’intéresse peu à ses propres moyens de pensée
gardez là votre belle psychanalyse
destructrice et déconstructive
d'avilissement morale et psychique et physique de vos consoeur
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Profile-supprimé — 08-01-2010 13:31 |
• Contre-transfert C’est un ensemble des manifestations de l’inconscient de l’analyste ou l’attention flottante n’est plus « neutralisé » par le thérapeute en relation avec son patient, ce sont ses propres complexes et résistance interne au psychanalyste, non, unité de tanfert de l’un à l’autre, « petite pute », « ingrate » « paranoïaque parce que j’hésitais, mais on a le droit de réfléchir, non ! pour son école », et je ne sais plus quoi…. Il n’est pas du tout en relation avec ce que son patient induit en lui d’émotion, de haine, de jalousie, de culpabilité puisque je le vois déjà d’une autre façon au séminaire. Je conçois le contre-transfert comme une non-maîtrise de l’analyse, comme un obstacle et des accidents malencontreux de son inconscient sur le mien, et la non-maîtrise d’où j’en suis… dans la seconde analyse lacanienne, pas « la première freudienne »… Il ne peut en aucun cas être, aucunement l’instrument par excellence du traitement, parce que ce sont les mêmes mots que j’ai reçu en pleine figure par les pervers « paranoïa notamment d’une réalité mise sur l’imaginaire » . Ce qui inclut par un paradoxe des énoncés faussés et ressentis de l’analyste non assez analysé, envers son patient qui ne font pas partie des échanges et de l’inconscient de l’analysant….Car cela fait bien longtemps que je n’en suis plus à cet endroit, à cet instant précis : je lui demanderais si lui-même se fait contrôler et n’est donc pas de ma provenance. Dès lors que faire de ce contre-transfert pour moi…. ? Il veut interpréter quoi pour moi ? À ces instants précis ? Rien n’est analysé ni expliqué…Interpréter ce que pense l’autre de vous….Rien n’est dit tout est passé sous silence, mais l’analysé lui, n’a rien compris et en a été blessé aussi. Le transfert s’est établi chez moi, par l’écoute d’un être humain sur le même pied d’égalité qui me considérait comme lui, ces réactions ne sont donc pas incluses dans mon transfert. Ce n’est même pas le revers des réactions réfléchies des autres par contre, c’est bien la pensée du psychanalyste qui me pervertit, l’ingrate et tait de paranoïa inclus et des autres contre-transferts alors que doit-on en faire après ? Un superviseur qui a perdu toute attention flottante…..Un superviseur devrait se faire contrôler aussi. Je me demanderai et même encore maintenant le pourquoi ? Peut-être pour former un professionnel ? Mais qu’est-ce que j’en fais moi de ces contre-transferts ? profil-supprime ehret • Vincent Joly // janvier 24, 2009 à 1:56 Merci, pour ce commentaire, Ce que j’en entends (car je dois bien avouer que j’entends queqleque chose dans ce commentaire plus que je ne le comprends d’un point de vue strictement rationnel), me paraît tout à fait intéressant. Il me semble que vous interrogez la complexité de la notion de contre-transfert. Parle-t-on encore du patient ou, déjà, de l’analyste? Si les choses peuvent être (à peu près) claires tant que l’on se situe dans le champ des concepts, ce n’est plus le cas dès lors qu’il s’agit de la pratique. Définissant le contre transfert comme ” une non-maîtrise de l’analyse, comme un obstacle et des accidents malencontreux”, vous soulignez qu’il ne s’agit “aucunement [de] l’instrument par excellence du traitement”. En ce qui me concerne, je ne serais peut-être pas si catégorique. En effet, ce n’est pas par ce que le contre-transfert constitue un accident, voire un obstacle qu’il ne s’agit pas d’un des meilleurs outils du psychanalyste. Après tout s’il n’y avait pas d’obstacle à franchir (pour l’analysé mais aussi pour l’analysant), il n’y aurait sans doute pas de psychanalyse non plus.. • janvier 29, 2009 à 8:18 Le transfert était vraie et portait ma parole vraie, la vraie vérité (si je puis dire) puisque j’ai commencé une analyse déjà avec le souffle d’une calligraphie et revenant de Sète ou je voulais me balancer dans la mer. Pour certains analysé qui sont hors théorie, le “je” inconcient du psychanalyste ne sait résoudre certains problèmes Le tranfert n’est pas anodin non plus lorsqu’il porte déjà le le souffle en arrivant au début d’analyse. Pourquoi je ressens très bien l’inconscient du psychanalyste et de son travail théorique ? La psychanalyse apprend une parole vraie qui était déjà là. Elle la refend “refente débile de Lacan” par une autre vérité qui alors n’est plus mienne…..opposition nature-culture. Et avec Freud je n’ai n’y eu de lettre volée, ni de bouteille de klein, ma boueille était différante.quand au noeud boo il est déjà avec le gordien dès le départ. le contre-transfert et tout passage à l’acte comme claquer la porte sur deux point, c’est le psychanalyse et son inconscient qui n’est point branché sur l’inconscient du psychanalysé et que l’attention n’est plus flottante. Elle traduit les fantasmes du psychanalyse pas de l’analysé. Qu’est-ce que l’attention que nous disons flottante, et le contre-transfert, lorsque l’on devinne si bien l’inconscient de l’autre ? Où est le problème en psychanalyse pour les enfants sans parents et sans religion ? • juin 20, 2009 à 8:21 Non , je suis désolée j’ai fait 10 ans d’analyse freudienne ‘une femme analyste)qui a déplacé du vécu mnésique sur de l’imginaire, c’est très grave car ayant une conscience très précose, je savais que c’était faux, Le respect d’un analysant commence à ne pas lui boucher les trous avec une histoire qui ne lui appartient pas. Deuxième travail 13 ans lacannien.un( homme analyste) Le contre transfert avant la fin de l’analyse je présice et non analysé en supervision ce qui est bien différent. 1-Il met une image de femme nue, à quatre patte et d’une je me révolte là, car la violence est telle qu’elle me rappelle durant cinq années des viols dont je ne puis échappé et ce en fin de travail (dont passé , analysé et remémoré)et en sus la violence de deux femmes…cinq pervers sadiques qui me rie encore au nez Quarante ans après de la même façon perverses de l’ananalyse 2- ensuite il me traite “d’ingrate” et de “petite pute” ce sont ces mots , juste avant de m’inviter à son séminaire, je voulais réfléchir , alors vlan, un petit trait de paranoïa injecté pour moi. 3- Les mots qu’ils utilise pour l’invitation à ses séminaire sont : “ce n’est pas que je vous racole” 5 – Non les portes claquées à deux reprises, avec fin par sms et non de vive voix …est de la maltraitance et mépris. 6- En supervision je m’aperçoit qu’il n’a pas entendu mon histoire(électrochocs à 9 ans ) 7 – Le dépouillement de tout mon art durant ces 13 ans comme la femme précédemment poèmes, peinture, dessin, écrits analytique ect….à qui profite ces dépouillement analytique…j’avais une bibliothéque remplissant tout mon couloir du haut en bas avec de vieux livres analytiques et littéraire et artistiques….de tous pays…dépouillé a tout pris. A différencer ce que l’on crée rien que pour son psychanalyste et lui offres aux deux renaissances, ce qui est bien différents lorsque qu’après il y a refente et recherche de désir, et de moralité. -et vous clamez que cela est bénéfique, lorsque l’art est sur un lien inconscient continue à l’objet en évolution(euclidien et non cartésient ?) 8 – trois convocaitons au commissariat, comme cela on le reconnait bien en tant que chef de la psychanalyse Où avez vous vu qu’il fallait se faire crucifier pour être bon psychanalyste ?Un coup de pieds au cul et deux portes claquées, qui là joue le rôle du Père tout puissant. -9 encore une chose , d’où vient que pendant six mois , j’ai robé, et pantaloné successivement ? chose qui ne s’est jamais produit dans le travail précédent. -10- un de ses autres analysant dépose lui aussi des sacs livres et affaire devant sa porte, il m’a si peu entendu qu’il m’a donné le sac d’un navigateur, de Brest…d’après ce qu’il y avait dedans, je lui ai laissé en disant que ce n’était pas à moi. donc comment peut-on travailler en suivant sa théorie, sa tête , son inconscient sans tenir compte de l’inconscient de l’analysé. je vais écrire un livre sur la violence en psychanalyse et sa transmission violente également et le droit de cuissage des femmes. d’autres par si vous allez sur mon site vous vous apercevrez que les poèmes de 2003 (reste et le seul de 1974 sont des poèmes de début d’analyse et non de fin) je suis tout simplemen revenu au même point d’analyse et en 2003 et en 1974 trois années d’analyse auraient suffit pour que je sois bien et sans passer par la mort plusieurs fois après….6 et 9 ans d’analyse de trop…. Une chose irréparable repassant sur l’archi trace de mon langage poètique à chaque fois, vous appelez cela du bien de mettre un terme en arrachant le lien de départ de création, ce lien est particulier la seul chose que l’on fait en psychanalyse c’est mettre avec le nihilisme et la religion le mot fin sur un art, comme un art thérapie j’avais numéroté les poèmes en 23 ans d’analyse et au totale de ces vingt-trois années 1220 poèmes sont allés à la poubelle analytique…sans compter les tableaux les dessins, ect…car je suis expressif sur plusieurs support. La violence pour celui qui a frôlé la mort et en a perdu connaissance, oui le contre transfert est simplement l’explication de la névrose et de l’osbsessionnel analyste avec lequel on travail et qui ne comprend pas l’art, ni ce que veut dire montrer, il prend et jette aux oubliettes croyant que l’art il y en aura d’autre mais non voyons un trait un tableau un poèmes avec ses ryme et rythme ne sont pas acquis par la culture mais on des liens profonds avec l’alter ego en continu, chaque coupure cartésienne éloigne du langage de socle. de base, non appris. pourquoi les psychanalystes pillent, et efface les traces des passages de l’analysé 23 ans d’analyse et je vois bien moi, où sont les problèmes, les trou que je ressents , et que plus tôt que la psychanalyse tourne sur elle même en faisant du fric avec les mêmes connerie, elle devrait bien se secouer les puces pour faire avancer sa propre théorie. profil-supprime Ehret Psychanalyste • novembre 8, 2009 à 12:08 jusqu’à quand vous allez me faire dégueuler me tripes hein jusqu’à quand combien de fois je dois perdre connaissance hein avec vos conneries juqu’à quand elle va répéter les memes cercle de destruction identique à mon vécu ça vous suffisait pasz hien j’ne peux plus • novembre 8, 2009 à 12:09 pauvre **** de quels droit de quel droit ccombien de temps je vais dégueuler l’hégémonie je vais porter plainte je vais porter plainte • novembre 8, 2009 à 12:13 glacée jusqu’aux os hein glacée et trembant jusqu’aux os c’est pas possible c’est pas possible mon corps lui il n’en peu plus cinq mort et vidage de sang en un an je peux plus je veux mourir en paix en paix en paix • novembre 8, 2009 à 12:22 qu’en est -il hein lorsque la psychanalyse joue avec la réaltité d’un humain qu’elle prend sa vie sa mémoire de vie freud et lacan hein pour du cinéma quand est-il un entre les deux travaux ou on a détourné sa vie qu’en est -il quand on a plus rien meme pas le désir vous appartien qu’en est -il hein lorsque vous vider l’imagianaire humain sous prétexe qu’il est nocif , j’ai même plus mes mots poésie hein < 74 et 2003 j'ai plus rien et je tremble de froid et je dégeule et j'(ai des malaises vous êtes des malades mentaux qui jouez avec mon histoire la mémoire de mon histoire, le sac noir hein à dégueuler de force à réavaler tout cela avec des techniques différentes ….j'en peux plus c'est tout je suis dans un sens une victime de deux générations de psychanalystes …ça suffit vos violence hégémonique hein plus jamais ça, plus jamais ça ! • novembre 8, 2009 à 12:48 c’est quoi tous ces retours de noyau qui remontent comme ç a a l’improviste hein encore nous sommes le 8 novembre 2009 c’est quoi hein encore ça , ce corps là glacée jusqu’aux os, qui tremble tout son corps qui dégeule toute ses tripes encore maintent mais ça va pas hein ….qu’est-ce qui m’arrive encore si longtemps après même après la boucherie, c’est quoi ça là encore aujourd’hui….c’est trop de souffrance vous jouez avec ma vie la vraie pas la fausse pas un jeu bordel de merde…. Pourquoi faite vous ça, ses malaises et tout ce merdier là, je ne comprend pas je ne comprends pas je ne comprends même pas pourquoi ? pouquoi ? pourquoi ? cette violence sans fin hein ? si longtemps après… si longtemps après vous allez quand même pas me rendre malade à perpete hein….il y a quelque chose qui va pas dans ce travail, chez lacan mais chez freud aussi on dirait vraiment que vous voulez que je me flingue hein …est-ce qu’autant de personnes qui m’auront agresser je devrai payer mais ça ce n’est pas mon miroir hein c’est le miroir des pervers pas du mien ….le corps hein le corps j’en peux plus….je crois que je vais crever dans la glace….comment est-ce possible ce sadisme là….perpétrer en psychanalyse ………vous allez me faire crever…….oui • novembre 8, 2009 à 1:44 oui en fait le psychanalyste lacanien qui prend comme support la perversion c’est ce qu’aujourd’hui je suis encore en train de déguster il ne calque pas seulement la mort donné en réalité de la mère qui piétine (dans la réalité qui éboullante aussi hein il calque aussi tous ceux que dans la réalité elle a entrainer avec elle vous vous rendez compte ! est-ce que vous vous rendez compte que vous calquez ma réalité de vie….pourquoi je suis en train de déguster là aujourd’hui les psychanalystes ne font plus la différence entre une réalité vécu ou celle qui est en train de se vivre d’une histoire littéraire , vous savez là que je suis encore en train de trembler jusqu’au os mais ça va durer combien de temps ce truc ….comment peut-on calquer et organiser un travail si il n’écoute pas si il n’entend même pas ce qui est arrivé à neuf ans bref il travaille avec sa théorie sans écouter ce que je lui ait dit seulement voilà hein le loup blanc ne correspond pas les cinq morceaux de glace dans l’arène ont une réalité et des visages humains en actes réalité c’est loin d’être du cinéma. comment des gens peuvent interprété un prénom réel d’un fille que j’ai retrouver dans mes recherche et qui est vraiment en train de crever actuellement mais vous êtes des tarés vous prenez des histoires de livre ou du cinéma ou Goethe des réalités même qui sont en train de se vivre actuellement et vous riez sur une fille parce qu’elle s’appelle christiane qu’est ce que j’y peux si c”est la seule que j’ai retrouvé dans mes recherche elle prote ce nom là comme elle aurait pu s’appeler autrement ;;;;CA VOUS AMUSE DE TOURNER MEMES LES MORTS ACTUELLES EN RIDICULES….ça va pas hein…vous vous foutez de quelqu’un qui est en train de crever la seule personne que j’ai retrouvé qui a gardé contact avec moi, ….je crois pas…je crois pas….vous savez combien j’ai de famille dans le paysage gelé mais c’est ma réalité ce n’est pas la glace originaire ce sont des famille de mon vécu….voilà le grand danger quand les gens prennent la vie réelle pour un amusement ….vous êtes des tarés qui croyez tout savoir sur la vie de quelqu’un ….vous mettez fin à l’imaginaire en le vidant et vous remplacer votre vérité en ne tenant pas compte du vécu de la personne ….vous allez me faire avoir combien de mort comme ça, ça vous suffit pas cinq pervers réalité (ou est la mère d’ailleurs là dedans ou est le père (je ne l’ai jamais connu) dieu j’avais jetté le point dans l’église vous allez encore pas parce qu’elle a le malheur de s’appeler christiane mais vous êtes des tarés hein
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Profile-supprimé — 08-01-2010 13:32 |
vous savez que je suis encore en train de perdre connaissance et dégueuler toutes mes tripes encore une fois…..mais ça va pas hein…! meme avec l’anlyse freudienne je n’avais pas tous ces glaçon ces tremblement ….c’est pas possible…pas possible…effacer aussi les traces c’est la mère qui déchire mes propres ….mais vous mélanger tout …..plus rien se tient entre le travail et le travail lacanien ….chacun à contruit son petit travail sans même écouter le cours de ma vie….comment est-ce possible comment est-ce possible de jouer avec un vécu sans même entendre ce vécu ? • novembre 8, 2009 à 2:01 Alors si ils avaient été dix à me passer sur le corps vous m’auriez fait embrasser dix mort mais vous êtes de malades ! voilà ce que c’est que d’enclencher un système en laissant courrir l’inconscient de l’autre tout seule c’est dramatique j’en paix encore à l’heure les retours de noyau de tout ce monde qui m’est passé sur le corps en réalité, ce n’est même pas les parents, mais ceux de 10 ans et demi à 15 ans vous vous foutez de ma gueule ou quoi, j’en ai combien à avoir encore de glace de tremblement (c’est la mort vraiment agit dans la réalité) cela ne fait pas partie de mon inconscient ce que vous toucher c’est ma conscience réalité…ça n’a pas rapport avec le père ou la mère….mon dieu j’espère que je vais….vivante….j’espère…j’espère • novembre 8, 2009 à 3:47 j’écris là parce que je vais devenir folle je vais devenir folle je suis encore malade comme un chien et que j’en ai marre marre marre sur le site écrivez .org qui est d’ailleurs orienté qu’est ce que dis où j’en suis je suis encore entrain de pays les personnes qui me sont passées dessus…qu’est ce qui se passe hein ? je parle d’une femme entrain de mourir elle 180 c’est une personne que j’ai retrouvé et dont je n’aurai pas perdu à l’age de 5ans je la retrouve obsès en train de mourir il est où le problème avec le site de l’autre coté…. je parle de la photo la pute mais moi je pense aux pervers qui me passe dessus dans la réalité…j’en suis que là…je vais devenir dingue…vous allez me faire devenir…je proteste de la pute et l’ingrate pour ces personnes là -haut et pour la mère mais agisse ça fait partie de mon vécu… il va falloir que je vois quelqu’un parce que ce que je vois moi comment peut-on mettre une femme cul en l’air et a quatre patte devant une femme qui à 10 ans et demi (la mère que j’ai connu si peut entrainera avec elle (cinq personnes) quand proteste et qu’il me traite de pute …ce qui me fait sursauté c’est qu’ont peut -être assez dégueulasse pour me montrer à moi, avec ces terreurs la peur dans le dos ou des personnes qui débouchent de n’importe sans que je puisse faire quoi que ce soit….la peur la terreur d’une enfant de 10 ans et demi… comment sur écrivez.org ils peuven eux aussi orienté ma propre mémoir et me faire dire en forçant ma parole que j’ai l’aptitude a pardonner comment un site dont je ne sait qui le dirige peut me dire ça ….cette terreur de six personne qui feront saigner ma bouche mon cul mon sexe comment ce site me fait dire (que je dois pardonner ….comment en bloquant les écrits certains volontairement et en me faisant rire peut mettre dans ma propre bouche ces mots que je ne “peux ” pas avoir pou ces personne là comment en manipulant mon langage on arrive sur écrivez point org ….à mélanger la réalité que j’ai là dégueuler perdre connaissance pour du vécu. qu’est qu’ils ont compris à travers cette personne retrouvé dans mes recherhes qui est en train de mourrir et fait effectivement 180 kilos elle prend d’ailleurs 1 kg etdemi par mois et malheur. se meurt… qu’est-ce qu’ils ont interprété à travers cette vérité qui est actuelle… Moi qui suit en train de payer les morts de chacun de mes agresseurs là haut ? oui je tremble encore j’ai os glacé je vomis mes tripes je tremble sur patte….oui j’ai les tendons des mains atteins oui j’ai une phlébite suite à l’ouverture des arthère et oui je fais trente six kilo encore….avec freud la différence et que j’ai dégueuler une fois mais pas pour chaque or là ça devient vraiment dramatique ….car je m’aperçois que je suis en train de continuer à payer pour ces personnes a visages réels…il va falloir lundi que je fasse venir ma généraliste…oui c’est vrai je ne peux plus marcher oui c’est vrai j’ai un souffle au coeur d’ailleurs pour l’instant je refuse de faire les examens prescrit… il me reste encore combien de mort à ingurgiter dans ce travail , la petite pute….les hommes là haut…comment peut-on jouer avec une vie vécu qu’un psychanalyste n’a pas entendu puisque je m’apercevrai au cours du travail qu’il m’a laisser courrir seule avec une théorie sans écouter le parcours de ma vie… comment la freudienne elle aussi m’a inventer un dieu, alors qu’à la suite des horreurs vécu je suis allée à l’église et ai levé le point dans l’église d’ailleurs depuis ce jour je n’ai jamais remis les pieds dans un établissement religieux. alors l’incorporation ne peut logiquement marcher d’ailleur je dirai au psychanalyse c’est ceint ou mal ceint….. il me répondra mais si…seulement lui il entend autre chose saint et mal saint ça fait différence de taille…non ? je crois que devant tant de problème tant de problème et de déviation…par exemple sur écrivez .org je cherce paysage gelé je vais tomber par hasard sur ce que j’ai lu de freud mais ces paysages gelé sont en fait à la croisée de 7 familles de recueillage…..et non pas l’originaire de freud….d’ailleurs je ne vois pas ça dans l’analyse freudienne….je ne le vois que chez lacan….et pour cause…. il y a trop de problème dans ma tête tout comme je parle de la gitane de la télévision et de moi petite or dans mon rêve la gitane est une personne inconnue pas moi….tout simplement parce que ici nous n’avons à manger mais par contre elle a une télévision….et que c’est la première fois…pas que je vois…j’ai vu la première fois la télé à la vitrine d’un café en allant à l’école….tout ça est très imbriqué….chez freud il n’y avait pas de gitane….que chez lacan.. ? je me demande si la gitane n’est pas une personne qui venait me chercher pour aller dans une autre famille……..il y a trop de merdier dans tout cela…je vais devenir dingue….comment expliquer que j’arrive en analyse en 74 et 2003 avec des poèmes et plus rien après…. comment la psychanalyse en retournant la sublimation et en vidant l’imaginaire alors que chez moi il était très riche comment à chaque mon propre langage est découpé en rondelle pour ne ressembler à plus rien du tout…ce genre là par exemple…il est 4 heure et demi du matin et j’ai passer ma nuit à perdre connaissance et à dégueler encore les os gelé et le squelette tremblant………….;il va falloir que ça s’arrête par sinon oui je vais allez me foutre à l’eau… Comment se fait-il que le psy sera assez pervers pour déposer cinq plainte… comment se fait-il que je me retrouve en taule juste d’ailleurs après une des opération d’un kiste plein de pu gros comme un melon….qui d’ailleur sera opéré une seconde fois….comment un psychanalyste peut envoyer en taule quelqu’un qui sort de l’hopital comment en 2005 lors de la prise du désir (après seulement je m’apercevrais qu’il n’est pas à moi) il ne me restera dans le corps qu’un demi litre de sang…. comment après la refente j’ai l’impression que je dois respasser sur tous les traumas réalité…commen écrivez. org arrive justement à ce moment là alors que je suis en train d’essayer de sortir de là…comment par pression langagière orienté il me fait effacer ….les trace même de mes derniers travaux en fin de compte tout cela me cause beaucoup beaucoup trop de problèmes moraux et physique car il ne s’agit pas de prendre conscience de ces maltraitances puisque mon conscient le sait…………..;en faite vous allez finir par m’achever…qu’est ce encore ………que ça cette nuit….j’écris là parceque sur écrivez point org……..ils me font dire ce qu’il veulent me faire dire ….et que je refuse de dire ….ils se marrent en fait de cinq hommes qui me sont passé dessus en réalite et ils se marrent de la soeur d’ailleurs que je n’aurai pas reconnue …parce que je dis qu’elle est en train de mourir , qu’elle s’appelle christiane (mais je ne vais pas l’appeler autrement pourquoi….er effective elle pèse 180 kg qu’est qu’ils ont cru comprendre puisque c’est une réalité là et c’est elle qui a perdu son mari à 61 ans l’année dernière un an de retraite pour une vie dans les vignes depuis l’age de 13 ans ) pourquoi les gens prennent pour goethe ou de la littérature (une réalité là en train de se passer pourquoi écrivez point org me fait effacer avant que j’ai analyser ce qui se passe, pourquoi quand je perd connaissance et dégueule mes tripes eux se marrent ???? j’en peux plus de tout ça j’en peux plus….je crois que je vais me flinguer vraiement parce que ces deux grosses expérience ….elle se termine d’ailleurs moins dramatiquement chez freud …..que chez lacan …..dont je suis encore en train d’en payer le prix….je crois oui que ça va mal se terminer pour moi parce que là moi mon corps il ne supporte plus d’ailleurs ça va encore faire deux jours en fait que je ne peux dormir………….c’est comme si j’avais besoin de faire un travail …………;;pour réparer les dégats d’un psychanalyste qui enclenche une thorie la dirige mais n’entend et me laisse tourner seule avec mon inconscient je suis désolée mais cette là j’en peux plus et oui si ça continue encore……..vous allez vraiement finir ma me tuer ….parce que c’est ma vie avec laquelle vous jouez et non un roman…. je ne peux pas passer l’éponge comme ça me retrouver encore dans cet état lamentable 23 ans 10 freudienne et 13 lacanienne une vie bousillé pour rien pour rien devenir cloche parce que je ne peux exercer ce métier sans ethique avec mépris tel de langage des autres ….je peux plus…et ce que vous appelez un grain ou follie malheureusement c’est ma terrreur de vie………;quand vous aurez fini de jouer….je pense alors effectivement que si ils avaient plus nombreux à me passer sur le corps vous n’auriez pas hésiter ………à me donner autant de mort que d’agresseur réalité pourquoi le psychanalyste avec qui j’ai travailler m’a laisser tourner toute seule sans diriger mon inconscient….moi j’ai pas eu toute ces saloperies avec la freudienne ………pas de pute ou d’ingrate comment peut-on dire cela cela à quelqu’un dont c’est le vécu …et tout cela que vous ressourter en fin de comte….mondieu……………;;;;;;;;;; • novembre 8, 2009 à 4:02 il va me falloir quelqu’un parce que je ne peux plus sortir de là je ne peux pas exercer en étant confronter à ma propre mort réalité en permanence je n’ai pu de lieux extérieur et à mon age c’est trop tard déjà que je ne tiens plus debout , je nais jamais eu avec freud toute ces cicatrices aux arthères faux voir les plais aus pogé et plus haut je suis marqué de partout je ne veux plus aller sur écrivez point orge parcequ’il ont forcé un moyen de compréhension et d’effacage de poème encore une fois alors que je voulais les gader pour travailler si ils ne s’étaient pas interposer ….passons de toute façon je veux pas parler ce langage là qui n’est pas à moi…. qu’avez vous fait de mon style qui n’était pas appris ni cette vois là ici…de mot réduit écrivez .org a été plus intrusif en refusant en quelque sorte par une orientation autre … j’avais même écris tout est effacé comme on a tiré des balles dans l’histoire de ma mémoire…je suis fatiguée et je ne vais pas devant autant de mépris et de mon lange et encore de cette nuit à quoi ça vous sert ….je crois que je vais faire faire un controle d’etat de santé par la sec soc dejà ma généraliste m’a fait un arrêt mais comme j’ai plus de patient alors trois par une refente…on nesait plus ce que veux la psycha…je suis fatiguée………….;;;;;;;;;;on ne peut pas oublier ce genre detraumas et je sais quand je dis que j’ai les doigts qui crochent c’est bien parceque les tendon des poignets et des bras on été atteint qu’est-ce qui entendent eux pourquoi m’avoir fait effacer les poèmes parce qu’il n’y a plus de lien langagier tout est destructeur pour moidans cette analyse • novembre 8, 2009 à 4:18 mes problèmes sont multiples et l’anlyse les deux vont restées infinie parce que ne respectant pas mes parcours de vie et qu’elle mélange son inconscient sans tenir compte du mien dans les deux travaux que l’attention est loin d’être flottante mais orientée le problème c’est qu’elle m’invente un vécu qui n’est pas le mien dans les deux cas qu’elle mélange les deux morts de parents substitut…une grande mère (mort) avec un grand père réellement pendu… vous faites trop d’embrouille parcque tout ça c’est ma réalité vécue et c’est trop de souffrance avec les cinq .;plus une …j’en peux plus le résultat est que vous me poussez au suicide parce que c’est ingérable ingérable • novembre 8, 2009 à 4:53 je suis au regret de vous dire que jamais je ne pourrai être psychanalyste et que je suis incompétente pour ce métier je ne veux et ne peux pas être confronter en permanence à toute ces horreurs non non non je suis incompétente pour exercer cette violence…clocharde ça va comme ça…la destruction comme une balle dans la tête hégémonique je ne peux plus c’etait une fois de trop et je ne comprend pas pourquoi et ça ça doit être du à la renfente …je peux pas repasser sur toute ces violence pour exercer c’ést une fois de trop pousser les gens au suicide au dénuement à la déconstruction y compris de ma propre langue pourquoi le noyau ne se remet pas en place chez lacan….pourquoi depuis deux jours je dégeule encore alors que ça devrait plus être … non je n’ai pas ni a payé pour ceux qui me sont passé dessus, non vous n’aviez pas le droit parce que le problème c’est qui en reste encore…et qu’en fait oui le suicide c’est vous qui m’y poussez ….même le massacre de mes poème je peux plus ni de perdre connaissance ni dégueler mes boyaux et que cette fois je ne peux pas ravaler comme avec freud…parce que quand même hein la pute et l’ingrate moi ça non plus je m’en sors pas , parce que ceux qui se sont jetté comme des animaux c’est pas ma faute or la psychanalyse me fait maccuser et par écrit et dit j’en peux plus ça veut dire qu’elle sali ma voix écrite et dite en m’obligeant à m’accuser moi même c’est pas à moi ce merdier … maintenant je jure de ma vie je ne parlerai plus jamais et n’écrirait plus jamais je n’ai pas repris d’analysant parce qu’inapte à exercer et qu’en fin de compte vous avez détruit par deux travaux très long la moitié d’une vie;;;la moitié d’une vie…où seul me reste la fuite le désir n’est pas à moi mais à l’analyste et vu sa résistance je n’ai plus envie j’ai plus mes mots poétique j’ai pu d’imaginaire pour peindre …le claquage de porte la violence j’ai déjà passer six morts en tout six vidage de sang et l’éducation par la violence la grossièrete et le sadisme ubristique des psychalyste, leur mépris ne tenant pas comte de mon propre vécu mais le tournant en conte nom trop d’hégémonie et de négationisme lacan renvoyant à freud freud et le freudienne ne voulant pas de moi j’ai remboursé ce que je devais à monsieur louka j’ai remboursé avant de commencé la freudienne en fait j’ai régler ma propre mort et que là ça continue encor parce que tout simplement on me demande d’effacer ma mémoire et mon histoire de mémoire ça suffit vous me rendez dingue et que la pute ce n’est pas celle qui paie l’anlayste mais ces salopard qui on pris la fillette comme un animal et un objet comme la psychanalyste freudinene me culpabilisers sur un dieu que j’ai pas et puis vos théorie psychotique hein j’en ai marre , je sais même plus ce qu’elle veut la psychanalyse elle en a rien à foutre des vies qu’elle recoit puique qu’elle tourne en mettant une théorie en route dévié du vécu de l’analysant et que les retournement je vais me suicidé mais pour de bon…ma vie n’avait pas à être nullifié durant 23 ans non je vais allez crever …mes tripes et la puanteur du sang là …est ce que vous vous rendez compte cinq ouverture de veine et d’arthère…estce que vous vous rendz compte qu’en 2005 j’ai failli y passer et je sais même pas pourquoi cette nuit là encore et encore je déguele encore et perd connaissance encore et suis glacé les os s’entrechocant ………j’en ai marre mon corps il peut plus…23 ans de perdu d’une vie j’ai même pas de désir il est pas à moi en fait j’ai le droit ou suis bonne a faire une analyse mais au final perpétrer la violence par le silence sur d’autre que moi………oui n’oubliez pas que pour la génération du dessous là dans ma réalité je suis le tabou et dans la génération de dessus de gens que j’ai pratiquement pas connu ….la pute hein jouÿs vous connaisser la violence de jean michel louka …ça suffit en fait vous m’avez rendu dingue et encore maintenant 23 ans pour rien rien rien vous faites aux autre………excusez ::: • novembre 8, 2009 à 5:07 en fait vu l’ampleur de ces 23 années de retournement je peux plus m’en sortir c’est simple c’est simple l’insconcient c’est comme une drogue et il aurait été plus honnête de me dire que ce traitement n’était pas adapté à ma personne 13 ans d’isolement de coupure avec mon environnement j’ai 55 ans j’étais pas venue pour voir la mort à chaque fois en 74 et 03 je viens avec la vie et mon horreur plus vos horreur je peux plus m’en sortir…c’est fini pour moi….oui vous m’avez trop dépouillé menti non entendu non vu non reconnu ça ne valait pas la peine que je dégringole aussi bas avec un dépouillage complet le ma ligne continue un poète n’a pas de renouveau pourquoi s’être acharné trois ans à casser tout non….;;;;la fuite hein bien oui une vie ruinée • novembre 8, 2009 à 9:11 quand les gens ne savent plus lire ce que j’écris Il est où le problème si ils avaient lu comme ils faut les deux petits que j’ai retrouvé ils auraient vu que personne n’a gardé contact avec moi , mais non ils aiment les histoires, ces tuelle là je les ai rencontré un fois depuis l’age de 6 ans mais que ce que je sais des tutelles est du à mon travail durant trente années , ça ne sert à rien de parler parce que même si à l’heure actuelle ils ont 50 ans et bien oui en champage tirer des sacs de terre parce qu’ils sont utilisés dans les jardins municipaux …il est où le problème personne n’a lu et fait attention à ce que j’ai dit avant et que le but de mon langage n’était pas pour qu’il soit ridiculiser en fait divers…jamais ce détour entre le langage bien parler que l’on apprend sur mon langage et morceau de langage poètique vous en faite quoi vous cicatrisé une non voix un dit souillée et parlé et écrit ou vous m’avez fait accuser et maintenant vous me faite parler un langage vulgaire et populaire alors qu’il ne devait servir qu’à la réparation d’un poétique la psychanalyse est calculatrice sur tout les plans même le effacaces les mensonges les détournements de voix qu’elle désire comment un langage plein et rythmé poètique elle en fait un langage débile et de débile …normé tout les jours comme elle a fait de ma vie du jour le jour ça veut dire qu’elle se permet de découper en rondelle un langage expressif et sonore irrécupérable pour en faire de la merde… elle essaie de racheter de ses propres en les cachant par d’autre et elle en transforme même l’imaginaire qui s’y dit que devient ma langue créatrice et poétique lorsque vous l’avez souille tout en entendant rien de ma vie c’est tourner à vide sur mon langage vous vous permettez de me rendre coupàble des cinq agresseurs ci dessou avec un moi inconscient en me disant de garder silence au cabinet de ma protestation et qu’elle me fera écrire ce qu’elle veut me faire dire sur le site de méggé ma propre accusation des viols perpétrés plus les maltraitances de la mère attendez on me dira mêm madame mégglé que je dois me pardonner et vous me faite dégueuler et me saigner à vif déjà pour ces six là… • Mais vous êtes des tarés commen t pouvez ammener quelque à s’auto accuser et par dits et par écrits vous savez ce que vous faites ? de la déguelasserie inconscient de l’ame humaine ça veut qu’a partir du monmen où un vous annulé et annihiler le langage vous en faite de la merde pour la personne même analysé C’”est tout juste si vous ne faite pas la même chose conventionnel rieur à plaire du langage de levi ou la • • novembre 8, 2009 à 9:17 toute ces manigances quand même hien lisez ce qui est écrit et ce qui reste du langage aritistique et poètique vous avez juste annulé et découpé et tourné trafique sur du langage convention un langage intérieur sonorisé et saccadé la disparition des poèmes et du langage aristique que je remarque l’effacage des traces des poèmes passé n’a servi qu’à la manipulation d’une autre langage bonjour bonsoir forcé ceci s’appelle détourner comme prevert comme vian un langage potéitique au détriment d’une langue commune bonjour, bonsoir comment main d’intériorité vous l’avez explusé, les couleurs de mes peintures, plus rien peu être ni dits ni écrits ni peint rien tout est devenu mensonges superflus par votre volonter d’effacer les traces de votre propre pour les remettre transorfer plus tard à une autre temps que vous désirez vous comme il vous convient de mettre comme si l’imaginaire et les poété n’étaient que de la merde vérité n’existe plus nulle part • novembre 8, 2009 à 9:29 de plus vous vous permettez d’utiliser pour la création des pulsions agressives alors que la création chez moi se fait non pas parce que l’on a inciter une personne à la violence en s’amusant par jeu à la monter à sauce inconsciente, parce que c’est ce qui se passe sur écrivez point orge manipulé par je ne sais qui, et lorsque il y avait les poèmes il était mais d’avoir manipuler et bloqué les textes que vous désiriez non pas celui qui écrit non celui qui est derrière le site un psychanalyste ….non vous même prévu le lange que je dois parler à l’avenir sur des airs de colère qui n’ont pas à etre exploité en pulsion n’égative alors que je sais que ma création personne etait basé sur un trait équilibre et unaire en fait vous me faite parler après avoir saccager le langage poétique que vous avez détourner déjà une fois en langage vidé imaginaire extérieur vidé parce que vous l’utiliser comme art thérapie et qu’à chaque fois moi cet art n’était pas sur des bases fin d’art thérapie mais en lien évolutif permanent vous en avez fait comme la peinture et les couleurs un art mort terminé…grave pourquoi par forcage de répétion vous etes tellement imbu de votre savoir que vous virez tout les moyens d’expression artistique sur le mot fin et présent rien qu’en souillant et se faisant même en tournant en dérision levi la vie de mes grands parent qui je précise non aucun lien de sang vous transformer votre imaginaire par exempe sans et sang et cent voilà ce que je vous reproche…en fait vous vous permettez de vider et de faire dire à l’être humain ce que vous voulez lui faire dire et le personnage numéro deux interne à la création vous l’avez détruit par un langage que vous souhaitez vous pas moi parce que vous faites des hommes de la copie universelle….je n’ai plus rien à moi, ni désir c’est au psychanalyste, ni peinture, ni poème ni style propre….quel est ce langage que l’homme est obligé de parler en analyse et après l’analyse sans aucune personnalité ? ni création • novembre 8, 2009 à 9:36 la création n’est pas détruire une voix humaine en disant je ne sais rien, en prévoyant vous même ce qu’elle sera au présent.. en mettant et aiguisant les pulsions négative pour faire parler l’humain …vous en détourner même en violence et rire comme vous l’aviez une première fois sali par dits et écrits en faisant même m’accuser et menti
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Profile-supprimé — 08-01-2010 13:33 |
• novembre 8, 2009 à 10:01 c’est seulement le but de vous servir vous même de mes deux expérience que vous avez manipuler en un langage de radio ou de télévision qui n’a plus rien de beau ni couleur ni mouvement du corps…rien je n’ai strictement plus aucun moyen de création vous avez brisé mon lien continue pour en faire un lien juste présent ou littérature comme vian préver kundéra parleron tous avec les mêmes mots au présent et de la vie de tout les jours en fait je suis fatigué parce que vous avez même effacer le passage de tout mes travaux chez vous dans un grand silence hégémonique de négationnisme de ma propre voix annulé en 74 ou plus de 254 poèmes ont été détruit et en 2003 aussi ….les temps de ma vie n’étant plus repérable et récupérable…cela s’appelle vider l’imaginaire créatif et sur le site écivez .org a contribuer aussi à annuler ma voix et des poèmes……..tout mon art depuis trente ans est allé sous couvert de retournement aux poubelles des deux psychanalyste ainsi quemes tableaux dessin et on travestira le mot petite pute (en me faisant croire que c’est acheter l’amour d’un analyste) non la violence des portes claqués , de la petite pute durant le travail inconscient le phantasme mêmedu psy porjeté sur moi, parce que celle là , l’ingrate sont sur des temps de travail et non à la fin vous pervertissez la raison et le raisonnement de l’humain vous vous en servez pour le faire témoigner et dire ce que vous voulez qu’il dise en des temps toujours changé …la rhétorique me tournera encore plus en dérision contredira l’art les poémes et même jiacommetti et l’homme qui marche n’a plus de valeur humaine il a perdu son lien créatif ……….je suis fatiguée et cette fois détruisant le plus beau de moi, parce que vous êtes tellemet certain de votre propre cercle biologique de contraception de freud ….où vous mettez les propres cycle de répétion imbu de votre savoir et pouvoir je pantalonnerai six mois et roberai sans plus savoir où est la libido avec laquelle vous m’avez faite travailler et même ce langage là sur ce site ne veux plus rien dire un lien pour la deuxième fois brisé et par fredu et par lacan. le résultat est pour moi dramatique sur tout les plan……….;je suis fatiguée et désespérer ………..ça fait en 23 ans d’analyse que vous me détruisez sur tout les plans….tout les plans même en salissant le métier que je faisais mieux que vous avant..de plus le commissariat trois fouille au corps le vidage de toutes les économies d’une vie mon corps là massacré pourla vie plein de cicatrice…non la correctionnelle où je ne sais même pas en procès russe, toute ces violences ……..je peux plus me retrouver je suis deux fois fiché je ne peux plus exercer…et par la raison vous vous donner toujours toutes les excuses du monde. les effacages de traces de mémoire d’histoire de problème juifs …….en me faisant salir jusqu’à strabourg et riens et épernay les gens ayant attrait à mon propre trait unaire, vous avez détruit le langage acquis de classe sociale mélanger noble ou de terroir d’une quinzaine de famille d’élevage qui n’a plus rien à voir avec un lagage poétiqe………la mémoie effacer la colombe assassiné l’oiseau les ailes arrachées la panthère muette dégriffé…rien ne pousse pour un artiste dans la glace comme un fleur ne change pas de place et de saison pour moi je vous le dis là en pleurant votre déconstruction n’a plus aucun sens , ni dansle bien ni dans le mal parce que vous orienter le oui non en contradiction et en mot réduit du quotidien qui n’a plus rien de particulier……je vais me tuer parce que j’ai passé 23 ans pour rien qu’a être volontaire baigner dans le sang (qui n’était pas sans) ni cent…je suis fatigué……..le trait unaire même n’a plus de valeur la sublimation retournéé • novembre 8, 2009 à 10:19 la freudienne a bouillé ma vie en m’interdisant le désir deux comas deux opération des pieds la droite de freud passant sur mes deux parrallèle avenir lacan me déconstruit de tout les cotés six mort plus une en 2005 dont je ne sais pas à qui elle est et aujourd’hui encore…vous faites demoi en 23 ans un électrochoc ou un courant electric coupant par vos bons soins qui n’était pas ce que je désirai……;ruine d’une vie d’économie de labeur bibliothéque vidée art vidé, je n’ai plus rien à moi, même pas ce désir lacan renvoyant à freud…. je serai passer deuxfois à l’état de clocharde et vous ne me laisser que la fuite vidée de tout en héritage on ne peut même pas porter plainte puisque le psychanalyste à porter 5 plainte hein et qu’il a pris les devant me faisant passer pour portant atteinte à sa vie, en psychiatrie vous riez hein des morceaux de chair pourri que l’on doit opérer, les cadeaux en surplux du paquet de lessive qui ne signifie que le dérèglement d’un corps poussé aux extrème limite dont j’en dégueule encore aujourd’hui comter depuis 2005 une refente débile qui ne sera plus jamais désir , avec toute cette merde judiciaire 4 jours de taule un expert psychiatre en taule trois fouille aux corps deux gardes à vue et ce qui plus est en sortant juste de l’hopital fiché dans le treizieme et au grand palais…..vous êtes des malade qui refusez jusqu’au mot amité le superviseur m’ayant dit que ça créait des dépendance refus de terminer une analyse en serrant la main me disant en me claquantla porte encore celle là ….mais vos retour de noyau j’en paie encore le prix aujourd’hui…vider les gens de leur propre expérience et création tout ça pour leur faire répéter un rythme de sang et coagulation oncologique basé sur le cancer de freud…peut-on être religieux lorsque l’on a été baptisé de force et que j’ai arrché la chaine à mon coup ne sachant pas ma religion que vaut l’incorporation non pas saint mais ceint le mensonge même lors du travail ou je lui demande ceint ou mal ceint (et lui entant ses mots croisé comme sur écrivez point org confonde pour m’expulser sang et sans et cent je n’y comprend plus rien … ce que vous n’admetteriez pas ne serait-ce cette fois six mort et je sais qu’il y en manque au moins les deux psyc une femme un homme l’interdiction de séjourner dans mon quartier quelle mer de là ou vous m’avez mise…actuelle je ne méritai pas ça durant 23 ans de vie je ne méritait pas ça….je ne méritait pas à 55 ans de me retrouver dans ce merdier pourquoi pour jouer et le pire c’est que vous jouez avec du vécu en dépassant toutes les limites supportable je ne suis qu’une femme et n’ai pas à absorber toute ces violences…vous êtes tellement imbu de votre pouvoir que la femme qui est venu vous voir n’a plus rien à voir. • novembre 8, 2009 à 11:08 je n’avais pas demandé à être détruite entièrement pour vivre il me reste rien et que les témoignage sont voulu au passif plus tard juste pour servir ce sectarisme au retour du noyau j’en prend plein la gueule à chaque fois…le temps vous permet juste de vous louer avec injection de parono pour mettre en route un certain compromis calculer on vous loue et même le cadre que j’avais mon divan même est plein de sang j’appelle cela pousser les gens hors de leur limite humaine par jeu je n’ai plus rien qu’à fuir et en plus je ne peux même pas emporter mes papiers comme une criminel à un procès russe j’ai la tête complètement malade de vos retournements et pour retrouver ma création et réparer vos dégat je devrai faire une autre analyse…le lacanien m’a dit que ce n’était pas comme freud mais si il avait été honnête il m’aurait dit ne la faite pas elle est pire on ne grandit pas l’être humain dans la haine et la violence dans le sang et à coup de baguette mais on grandit l’homme dans le respect savez vous que depuis un an j’ai rempli trois poubelle verte de cinq mor en un ans vous dites pour prendre conscience de la seule chose que je m’étais efforcer de ranger pour survivre la mort de 2005 ou j’en sortirai de justesse un demi littre de sang enfin on dit kilo avant que vous me tourniez en ridicule… dans les deux analyses le chemin est le même vous porter plainte contre moi en sachant que je ne pourrait le faire contre vous vous l’avez devancé…….;triste travail et après le noyau vous oubliez de dire qu’il remonte après de façn pour moi plus que dramatique 5 morts au retour rien que dans cette dernière année d’un psy qui refuse de changer de place parce que névrosé et obsessionnel et il lui sera dont permis de vider en entier ma maison….tout le linge est parti à la poublelle plein de sang et le pire c’est que ce genre d’oncologie cancèreuse et ce témoignage ne me soulage en rien de cette analyse qui comme la précédente trop dévié seront toujours infini….alors pourquoi? ces témoignage de morts sans vie…qu’est ce que je fait moi maintenant de tout ce merdier dans ma tête ? le spychanlayste muets qui de mépris ne savent même plus donner un appel à leur consoeur…la manipulation est partout même sur écrivez point orge où au final pour grandir il faudrait se tuer tuer son histoire tuer sa mémoire d’histoir et pour un non supersticieux que viens encore faire l’hédonisme et sa superstition ……..tout est voulu et ma résistance personnel n’est pas contre la vie….mais la manipulation humaine et c’est pour cela que je vais me tuer …ainsi vous aurez une parfaite sacrifiée de deux génération de psychanalyse j’ai dit dans les deux travaux il ne faut jamais abattre ma colère et en fait l’humiliation et l’indignation humaine il n’y a que ça uen mémoir de vie salie, un métier précédent sali, mes familles d’élevage sali pourQuoi? PourquOI ? hein je ne méritait pas cela. l’élevage part abattage comme je dirai au lacanien je suis pas un objet d’étude et pourtant si 13 ans c’est pas rien hein et à freud je dirai je ne suis pas un animal de ségragation raciale. le contre transfert n’est en rien calque sur la vie de l’être que vous recevez et vous en calculez même les mots à la fin par une réthorique encore humiliante divisé moi qui ne l’était pas et le cynisme du parle au mur ma tête et malade l’enfant mort qu’on me fait avoir freud est l’embrouille et lacan c’est encore pire combien de temps hein vais je mettre à réparer ce corps là, combien de temps vais je simplement survivre juste à vos connerie…un naturel et une démarche brisé tout ça pour montrer quoi qu’il ne faut pas que l’être humain soit heureux trop vite ni en accord avec soi pousser les gens au suicide en ricannant et se marrant en les dégradants corporellement et en recassant un désir où j’étais sur l’avenir à l’heure actuelle avec la crise bravo vous avez gagner je n’ai plus aucune chance de construire à mon age quoi que ce soit et je ne sais plus ce que veux et fait la psychanalyse. si jamais je meurs je le dis ici parce que mon corps et dans un sale état à mon age cela n’a fait que le dégrader plus vite que necessaire …la régénéressence cellulaire n’est pas humaine surtout pour les vieux vous savez que je n’ai pas pu prendre une seule douche depuis un an ? boucherie lamentable permis par le droit et la loi et la personne que je suis par de trop longs tavaux moralement détruite pour un métier qui n’a jamais été subjectif mais mon métier à relation humaine précédent complèement détruit et vous êtes assez taré pour trente ans d’analyse ne rien changer et que les gens comme moi seront toujours basculé hors du baquet parce que vous êtes sectaire et pour votre conford me faite témoigner de force en me faisant dire qui plus est en riant que j’ai un naturel pardon , non ce n’est pas ça sinon c’est me forcer à pardonner à l’impensable et l’inimaginable ainsi j’ai dit dans le cabinet analytique une chose et sur écrivez . org on me fait écrire une chose en bloquant de simple phrase et me faisant en aiguisant volontirement une colère par le dirigeant du site en me faisant foutre moi même de ma propre hégémonie l’homme n’est pas une jeu de mot et on peu voir nettement le langage de lacan et de freu Je suis fatiguée de deux analyse qui jamais ne pourront de toute ma vie etre finie parce que trop alambiqué et mes mots naturel aussi avec ma vérité vrai vous m’avez fait viré toute ma clientèle établie pouquoi…et vous vous excuser vous avec moi l’(obligation de pardonner a l’horreur) en me faisant dégueler et saigner comme un porc de la mort réalité des autres mais pas d’un jeu …vous avez juouez avec mon propre vécu…23 années d’une vie foutue.. vous voulez une sacrifiée je vais vous montrer ce que c’est parce que votre violence , vous comptez sur le temps pour les cicatrice, vous comptez sur le temps pour ne pas pouvoir aller au commissariat vous comptez sur le temps pourdétruire impunément et qu’est -ce que je fais des tendons de mes mains en fait plus jamais de ma vie je ne parlerai et n’écrirait un crime et meurtre parfait laissant le chant libre à tous les pervers qui à l’heure actuelle me rie au nez en dessous et au dessus d’une génaration entiere. le silence vous arrange tous alors pourquoi dix ou treiez e an pour toujours revenir à midi moin le quart ce n’est pas une image de dieu ne transformez pas mes dire…l’imaginaire etait suport de vie et c’etait la seule chose que je possédais en faite c’est se foutre de l’homme et l’humanité entière en le fasant plier à une altérité vidé et pschologiser à l’heur actuelle dont la refente n’est que l’abattement de toute résistance humaine se serivre d’un trait unaire d’enfant mais pour en détruire le meilleur de l’enfant cela vous a t-il fait plaisir de m’auto accuser et le psy que je prend à temoin en rêve me fait avoir un enfant mort pour m’appercevoir qu’il m’a tournée en couillonne durant 23 ans quand je pourrai de nouveau marcher hein toutes les traces de vos violence et mon témoignage annihilé et mise en terre comme salomé-hérodiate ou sylvia de romme hein j’en peux plus et ce n’est pas par haine que je vais me suicider mais pour vous monter à tous que les limites humaine ne sont pas à dépasser vous jouez mais aux jeux dans l’arène moi je suis toujours au moins deux fois atteinte tout ça pour montrer que l’homme peut vivre les pires déchéance non sur la joie de vivre mais à travers votre mort imposé et injecté et l’emprise de 23 ans d’analyse qui n’en a rien à foutre de ma propre vie ni durée de vie • novembre 8, 2009 à 11:17 on ne fait pas grandir l’être humain en transformant sa vie, on respecte son lien ouvert , personne n’a le droit de porter plusieur fois atteinte à sa vie en parlant de surprise de paquet de lessive le juif errant écartelé alors que je ne l’était pas alors que je n’avais pas de croyance et que je n’ai plus rien même plus d’avenir de création c’est facile de dire qu’un homme pardonne tout en le tournant en véritable imbécile et humiliation alors que j’atais venue vers vous avec la vie l’aty et des poèmes que vous détruisez toujours en mettant vos mots dans la bouche et que mêmes les miens ou ce qui servire à en reconstruire les liens artistique eux aussi on disparu… vous me forcez en gros à parler votre langage celui justement qu’aprend la psychanalyse mais pour moi je ne gère plus vos retour de noyau perde de durée de vie dans votre humiliation et votre sans de soit disant elite qui vit en vidant et méprisant le langage de ma propre vie et vous direz c’est de sa faute elle n’avait quà pas être là, comme les négationiste de ma vie aprendre un langage à l’homme est détestable surtout de nos jours et pour témoigner de vos expérience scientique sanguinaire vous êtes pret à tout mes à detruire une vie entière. • novembre 8, 2009 à 11:26 le forcage à penser et à être en faisant des être humain du semblant du singe du clown mais plus rien d’humain plus rien même sa voix vraie et sa vraie voix vous ne vous êtes même pas aperçu de mon histoire ne l’avez pas entendu, ne l’avez jamais vu comme la freudienne il y a dix ans ne me reconnaitra même pas et contredira à deux reprise ma propre réalité même avec preuve 23 ans de vie en psychanalyse d’une femme détruite vous aimez tellement les histoires littéraire comme goethe ou antigone sauf que moi c’est mon corporelle que vous vider et vouloir faire comprendre des vérités qui etait conscience …non la boucherie, les malaise les dégueulis rasiste j’en peu plus un désir qui n’est pas à moi que je devrais soit disant voler même le droit d’extiste dont j’ai payer maintenant j’ai achete non le droit de vivre mais le droit de mourrir et je vais vous montrer qu’on ne peut pas faire de véritable vie humaine des morts et quand je dis ici git on voit très bien que personne ne connait dagerman et pense à leur facon en humour et dérision non lisez la vie de dagerman qui est vraiment mort ici git une poètesse assassinée deux fois par la psychanalyse dans un mépris et une hégémonie oubliez moi souvent et définitement je vais aller crever comme vous le désirer vraiment
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Profile-supprimé — 08-01-2010 13:34 |
• novembre 8, 2009 à 11:31 je sais que vous faites tous beaucoup de mots croisés que vous ne savez même plus ce que veux dire dans la réalité ci git moi les mots croisés je ne sais pas les faire et ces mots n’ont rien de littérature considérer que vous avez assassinée je dis bien pas pas plaisanterie ou cinisme non ça ne vous dit rien dans l’histoire de la psychanalyse une certaine suicidée sous lacan ? ainsi fut fait ainsi fut dit profil-supprime ehret qui n’aura même pas eu le temps d’exercer de négation freudienn puisque je n’ai rien “je”vais la rejoinde là ou elle est si vous êtes pas con mais intelligent vous aurez compris • novembre 8, 2009 à 11:33 vous devez savoir que le sans limite a un pris l’humiliation et l’emprise sur l’humain aussi on ne peut lui demander plus qu’il ne peut encaisser • novembre 8, 2009 à 11:37 n’oubliez jamais que dans le mot fuite il y a deux signifiacation la fuite dans la mort pour avoir une paix définitive une paix morale une paix avec soi et la fuite de son quartier en courrant de peur dans l’impasse cette fois je vais faire comme ma collège celle que lacan a connu rendre l’autre fou a des limites humaines • novembre 8, 2009 à 11:49 souvenez vous peuple singe vous aurez eu jusqu’au mépris de me faire pousser des chansonnette pendant que cette peronne une vie est en train de disparaitre une vraie vie d’obésité réalité de mort réalité non , souvenez vous de cette analyste du temps de lacan que vous avez tué pour de vrai ! • novembre 8, 2009 à 11:51 ce n’est plus du vis ta vie hégémonique cela se passe ici en 2009 le 7 novembre riez , riez • novembre 8, 2009 à 11:59 encore un mot depuis cent ans vous méprisé cetaine psychanlyste qui ne résonne et raisonne pas comme vous et vous mépriser même leur vécu actuel là présentement c’est pour cela qu’elle s’est tuée aussi et après vos gloire en feront des étendars d’autres singeries et pour ce vous êtes prêt à en pousser l’extrême réaction corporelle mais on ne peut encaisser plus que la boite qu’est ce qu’une vie hein ! pour vous un mot croisé ? • novembre 8, 2009 à 12:11 encore un mot à 10 ans et demi l’obsésité représentait l’arrêt définitif de toute sexualité devant l’horreur pur et brute non pas l’obésité créative mais ma négation non du paysage gelé mais de ma moelle gelée et vous en riez et de plus la vrérité est que cette personne meurt en ce moment dans la réalité vos images pré établi tenez en vous écrivant même j’en temble encore et je me gèle les mots hein croisé hein ! c’est pour cela qu’elle s’est tuée aussi • novembre 8, 2009 à 12:12 du sang et sans limite • novembre 10, 2009 à 5:17 paris le 10 novembre 2009 à 6 H o9 je vous ai payé 27 ans pour m’aider la police fera une enquête il lui sera facile sous couvert de regard sur les deux psychanalyses effectuées les mêmes parcours, d’atteinte à une vie humaine que vous vous amusez à faire régresser et faire marche arrière en lui disant qu’il n’est qu’un tuyau de survie de décharge public vous aimez l’horreur et la déchéance humaine au plus haut point de son moins que rien 27 ans non pas d’une vie respectée mais d’une vie que vous réduisez en silence , de vos porte de cabinet dont d’ailleur identique au gadem bold chiott identique au votre personne n’a le droit d’épuiser comme une sangsue une vie par vos jeux de maitrise humain dont vous piller tous les morceaux pour continuer à tuer de brave gens profil-supprime ehret • novembre 10, 2009 à 10:34 il y a des gens comme moi Qui auront été manipuler mais qui ne marche plus la police doit savoir cela une vie ne se détruit pas et ne s’oriente pas pourir d’indignité est pire que survivre porter peindre à la place de porter plainte petite pute, ingrate, accusation il faut qu’il y ait une personne qui pait pour ça, meme la manipulation de miller qui sur écrivez point org continue a jouer avec mes pulsions je ne peux aller contre moi et c’est ce qui se passe les analystes dieu qui se donne bonne conscient à travers le mépris d’autre vont le payer on m’enlève une création on m’enlève une sublimation pour m’en donner des autres non basés sur ma vie, mon trait unaire et le non respect de ma vie en fait vous continuer même après hier à me faire dégueuler encore…..votre petit jeu pour moi, s’arrête ici on ne vas pas recommencer à vie à jouer au chat à la souris sur ce site méprisant. en fin de compte vous m’aurez eu dans le sens qu’il n’y a aucun recommencement possible sur toutes les crasse même avenir et présentement l’irresponsabilité et le mépris même d’une professionnelle ça va… les pulsions agressives que vous me renvoyer je ne peux que les retourner contre moi et vous avez tout fait pour cela meme encore aujourd’hui l’être humain n’est pas fait pour être manipullé non seulement un pschanalyse mais aussi toute une corporation qui se fou de sa gueule vis ta vie n’est plus possible non le silence la mort l’hégémonie même de l’extérieur que vous manipuler. je ne vous en veux pas dans un sens ce n’est sans doute pas de votre faute restez en paix je vais dans la mort de la paix parce qu’avec vous je ne pourrait jamais l’avoir c’est ce que j’ai compris peut etre simplement parceque je suis différente de vous . Pourquoi avez vous fait ça ? Pourquoi psychanalyste vous en prenez vous même à vos professionnel ? merci dommage l’inconscient par lui même était intéressant ce sont les psychanalystes eux mêmes qui gachent tout • novembre 10, 2009 à 10:50 on ne peut pas dire vis ta vie à quelqu’un dont vous détruisez même le désir et les désir le recommencement trois ça va comme ça, je ne vous demandais pourtant pas la mer à boire c’est peut-être ça qui ne vous plait pas je ne sais pas ou une incompatibilité avec ma façon de penser n’étant pas la votre je pense qu’une de mes collègues est morte aussi dans les mêmes conditons où même dans un métier vous intervenez je ne sais pas…je ne comprends pas…ces choses là me dépasse me dépasse et me ruines un peu plus chaque jour hier et vous recommencer aujourd’hui ? je ne me bats plus envers ça , ça détruit meme ma facon d’etre au naturel …dans le fond l’exclusion et le silence permet d’éliminer les vilains petit moutons ou canards je ne me bats plus pour vivre avec tout ça non je ne me bats plus et n’avance plus ici et là profil-supprime ehret quand je pense que je suis arriver deux fois chez vous et que vous vous acharner à détruire meme la sublimation, on ne peut pas travailler en paix, j’ai donc détruit mon portable ainsi vous irez en paix et moi avec mes deux fois moin vide, sur une page blanche ou noir on ne peut plus rien écire sur un lit de sang non plus adieu puisque vous manipuler même ce mots une organisation sectaire, ou il ne me reste même pas la fuite, sans papier je n’ai même pas le droit que quittez ici, oui les femmes isolée cela permet de les maltraitées plus qu’elle ne peut supporte… parce que dans sa vie ses mots et maux elle est seule à les porter, une proie fragile hein……………;;;;;;;; l’intrusion dans le transfert de mot d’autres devient une véritalbe calamité…. mais n’aimeriez vous que la mort ? vous ne savez même pas où se trouve la joie profil-supprime trop perturbé par vos façon d’agir • novembre 11, 2009 à 8:37 voilà je pars et vous laisse la place j’ai laissé des documents à l’intention de la Gendarmerie Nationale aini que téléphone et portable vous magouilles cynique sur écrivez point org aussi j’ai demandé qu’un enquéte soit faite moi personne ne me reverra profil-supprime hret • novembre 11, 2009 à 9:26 tuer vos collègue hein vous aimez ecrivez.org tout vos coordonnées son sur mon portable y compris les mails et le taré qui m’a appelé je garde tout le but de la psychanalyse et même de me détruire sur l’autre site et je ne vais pas dégueuler tous les jours de vos manigances il y aura certainement une enquête mais je ne serai plus la pour la voir 27 ans je vous fais cadeau de ma vie en chair en os et en esprit comme ça vous pourrez vous marrer je pense que ce n’est m^me pas la peine ……..;;; non plus la peine de • novembre 11, 2009 à 9:31 je suis encore en train de dégueulet et perdre connaissance ça peut plus continuer ça peut. • novembre 11, 2009 à 10:41 enfin quoi je viens de m’ouvrir la tête en faisant en faisant des crises d’épilesie c’est ça freud ou lacan c’est pire pire pire vous allez me faire crever sur place a quoi ça vous sert hein à quoi a quoi a quoi en fin de compte hein l’épilepsie ce n’est que la mort des autres exercer dans la réalité vous me faite en fin de comte réavaler chaque mort des autres fredu ou lavan s’est pareille pour vous c’est un jeu mais pour moi c’est mon corps et ma tête ça sert à quoi à quoi à quoii après le sang des veines et artère le sang de l’extérieur du corps j’ai déjà connu ça avec freud dans la vie de tout les jour j’ai pas de crise d’pilepsie y a qu’en analyse aussi ça les os qui claque c’est tout moi qui prend c’est pas normal c’est pas normal • novembre 12, 2009 à 4:26 je suis désolée j’ai rien à dire hein j’ai rien à dire , correctionnelle, mise en garde à vue, un an de prison 15 000 euros d’amende, il suffit d’un appel de ce **** pour me retrouver en taule, j’ai pas le droit de quitter le domicile -5 plaintes en gradation -harcèlement téléphonique -dommage à son domicile -folie j’ai échappé à la HO de justesse -menace de mort (je rêve je tiens pas debout) ************* - si je quitte chez moi(j’ai pas le droit je serai rechercher (deux fois fiché et au commissariat 13 et au grand palais photo empreinte et numéro comme une criminelle -la première fois où j’ai pas voulu m’y rendre ils sont bien venu me chercher d’office devant même un de mes analysant Ils peuvent débarquer n’importe quand même en pleine nuit , je sais… une garde à vue remise à zéro Un psychiatre du procureur je ne sais même pas ce qu’il a signifié un de ses analysants a déposé chez son gardien aussi ses affaires, je me suis dit tu vois tu n’est pas la seul et lui c’est un homme…nous sommes donc deux en fin d’anlyse. je n’ai pas de nouvelle du procés de la correctionnelle du 7 septembre 2009 j’ai pas voulu aller à ce procès russe ou j’étais perdante d’avance mais ils ne sont même pas venus me chercher et je n’ai aucune nouvelle au 12 novembre 4 jours de taule , trois fouille au corps, mon divan de mon cadre couvert de sang je suis fatiguée de toutes ces histoires je pense simplement que la résistance de mon psychanalyste JML parle d’elle même Freud m’exclu d’ailleurs elle n’a pas daigné transmettre Et lacan c’est du patacaisse, menace de mort hein moi…un véritable cauchemar et je n’ai rien ni nouvelle de ce qui s’est dit au procès ni du jugement rendu à ce jour Je ne sais plus rien ça n’a plus rien à voir avec de la psychanalyse tout ça Il a dit au commissariat que je lui devait de l’argent , je jure sur ce site et sur mon honneur l’avoir payé entièrement 2000 euros ligquide et deux chèque de 1000 euros à moi et des chèques de patient (je ne comprends plus rien plus rien du tout, ) celle-là hein elle en a mare vraiment • novembre 12, 2009 à 6:26 allez ça suffit le cirque ehret écrivez .org …tout ça ça me rend malade gardez la psychanalyse j’en ai plus rien à faire 27 ans pour rien que de la violence là dedans non il n’y a pas de mots à apprendre même mon langage est bouisillé et vos histoires me font chier je connais déjà l’appat d’occupe toit des autres et du vidage de freud pas deux fois gardez vos silence votre fric vos désir les lapsus du psych lacanien porter peindre à la place de porter plainte en fait y a aucun choix nul part à défaut d’avoir bousiller mon langage et mon imaginaire hein c’est facile vous êtes tous miller compris en train de me pousser chaque jour un peu plus vers le suicide ça vous arrangera bien comme ça vous aurez la paix hein…peut-être vous avez raison après tout hein quand la victime devient boureau hein ! je suis fatiguée je suis une femme je suis pas faite pour jouer comme ça… et je me dis même que vous attendez tous que ça. profil-supprime ehret le calque du transfert du psychanalyste hein identiques aux agresseurs comme ça il ne se mouille pas non plus la folle de chaillot la taule ou la psychiatrie c’est toujours pour les mêmes ………; j’men fou maintenant • novembre 12, 2009 à 7:04 non ce n’est pas un prototype infantile c’est un être humain que vous avez décentré et dont vous avez divisé le moi avec un faux self un être décentré par des histoires inventé que vous avez écartélé pendant 17 ans même quand il allait bien surtout quand il y en a eu 10 avant d’une autre thechnique et dont vous jouez avec les pulsions un langage appris pourquoi la psychanalyse apprend un langage qui était d’origine… trop de violence trop de négationnisme trop de vécu dont personne n’a entendu ni tenu compte chacun avance avec sa théorie et l’autre là dedans il s’aperçoit que vous n’avez même pas suivie sa vie…vous enclencher une machine sans la vie de l’autre les voix sont détourner à tous les temps du moment on me fait même accuser par écrits et par dit le langage que vous apprenez comme la parano injectée vous savez le dring dring hein, ne sert qu’à vous louer qu’en est-il pour ceux dont vous prenez un calque qui n’est pas le sien …. il ne s’y retrouve plus…il ne s’y retrouve plus parce que sa réalité est mêlé au fantasme et vous en faites un mythe hein d’où ça vient hitler moi j’ai jamais eu ça dans ma vie je le saurais au bout de 55 ans et avec la théorie de freud y a pas ça, c’est le faux self moi je me trouve à l’heure actuelle divisée, divisée alors que je ne l’étais pas divisé parce que je suis venu vers vous en poésie et en peinture et je croyais en la psychanalyse mais en fin de compte elle m’a trop décentré divisée en quatre pour un parler normer théorique et conventionnel orateur puis rhétorique qui dissous l’être et son langage volontairement en fait j’ai tout perdu et en 74 et en 2003 meme les recherches que j’ai faite n’ont servi à rien oublier je ne peut pas tueurs de vie tueurs de voix vous me donner là un langage faux orienté psychanalyse mais je sais qu’il ne m’appartient pas c’est encore pire. pire pire pire tout le monde peut disparaitre hein, chacun prend sa destinée en main tout cela ne veut plus rien dire, par votre faute le métier précédent détruit au début par l’analyse lacanienne hein non ce n’est pas enfantin mes poèmes n’était pas enfantins écartélé l’individu pour mieux règner vous ne permettez qu’une voix pas deux la votre celle de votre cause Saud qu’en 2005 je faisait tout en même temps la moire et son enfant mort veulent simplement dire que la résistance du psychanalyste à transmettre ne permet pas point… qu’est ce que vous voulez que je fasse d’une vie de ruine et de clocharde vous voulez voir mon corps…. vous ne répétez que la face négative de mon histoire….et encore celle-là la petite pute la photo de la femme à quatre patte cul en l’air (de l’art dira t-il )bien tiens donc… en fin de compte j’avais pas tous ces problèmes avec freud au moins cela ne s’était pas terminer comme ça et il y avait pas tout ce sang hein retrouver le désir mais voyon il a été retourner avec la sublimation en 2005 pourquoi un jeu, un jeu de qui pourquoi…. non les psychanalystes n’aiment pas l’union ils ont une double vie une au travail et une je ne sais pas.. mais moi j’étais uni dans mon travail précédent plus rien ne correspond à ma personalité, plus rien entre freud et lacan cela s’appelle rendre les gens deux fois fous, les ruiner, même pas le choix du désir, même que je m’aperçois que personne ne m’a entendu ce langage là n’est pas à moi non plus et cette division que vous m’avez injecté 17 années n’était pas à moi • novembre 12, 2009 à 7:27 en fin de compte je peux plus rien retrouver et vous jouez avec le suicide exactement comme la société à jouez au suicide avec moi vous tuez aussi vos propre sorcière je vais crever parce qu’entre freud et lacan lacan qui donne un désir mais contre ma conscience et la maitrise de l’autre en fin de compte vous jouez au même titre que vous faites le jeu de la société en remettant toujours en arrière la personne qui vient vous voir vous m’avez même fait insulté le seul trait unaire que j’avais si pour vous c’est un jeu pour moi il faut mieux que je me tire une balle et c’est vous qui en êtes responsable hein me faire coincé avec un métier a morale et immorale ou la victime devient boureau oui, je suis fatiguée de vos histoire vous n’aimez pas la vie d’ailleurs je protesterai avec le lacanien comment ce tableau rouge et noir en me faisant insulté claquer la porte au nez comment ce sang sur mon propre cadre hein sur mon divan même que j’avais créer à ma manière comment les murs sont devenu plein de sang plus rien n’est maintenat reconstructible une supervision d’un dingue à qui j’avais demandé si il était controlé la fuite hein bien tiens donc 27 ans de psychanalye pour rien et si vous êtes bien et parfaitement guéri et bien non alors on repassera quatre ans à vous détruire si bien qu’on ne sait plus ce qu’elle veut la spychanalyse j’avais cousu moi même le tissus de mon divan j’avais peint moi même un cadre généreux à offrir aux autre j’ai plus rien que du sang…meme sur le tissus que j’ai moi même cousu à la main en fait ce psy fait ça aussi je sais je l’ai vu avec un homme hein, la freudienne avait au moin le mérite de pas prendre.. je crois que je vais me flinguer comme ça vous aurez votre silence bon débarras • novembre 12, 2009 à 7:50 je soussignée profil-supprime Ehret me déclare incompétente à exercer le métier de psychanalyste en sachant que je peux envoyez des gens dans la mort à mon identique n’est ce pas de deux générations de psychanalystes je me déclare incompétent à exercer pour la simple raison que je ne peux être diviser en permancence pour cette emploi et être confronter à chaque analysant à ma propre hégémonie. je me déclare inapte à toute pratique contraire à ma morale et à la morale divisé pour mieux règner ça n’a jamais été ma façon d’agir je suis désolée et le pire est que je ne peux rien oublier une vie détruite oui, par vos orientation successive en me faisant parler justement pour votre cause un langage présent qui n’était pas le mien le mien était poétique interne et externe présent et passé bref tout lien unaire a été volontairement brisé parler en psychnalyse ne sert que sa cause et elle méprise le langage particulier de 74 et 2003 la création est en continue jamais en point virgule un métier vous l’oubliez n’a rien de subjectif c’était toute les créations autour qui n’étaient pas copiage… tout lien unaire arraché est un lien perdu définitivement pour toute création à venir et me faire parler ce langage est bien machiné pour louer une rhétorique commune professionnel (qui n’a rien à voir avec moi, je faisais des séminaires en poétisant dans ma tête. y a plus rien) je ne parlerai plus jamais je n’écrirait plus jamais parce que vous avez orienté cette voix pour vous donner bonne conscience levi , camus avaient raison , ma voix a au moins été coupé en quatre comme le déplacement symbolique chez lacan on appelle cela tuez la mémoire et l’histoire de mémoire de quelqu’un par déviance j’ai plus d’accord nul part avec moi je vous maudit vous avez vu l’entité que vous m’avez refourgué c’est une honte vous savez celle que freud m’a refourgé avant c’est une honte perte sèche de 27 ans de vie je ne peux voler le désir de l’analyste parce que sa violence terminale dit bien ce qu’elle veut dire même dans mon quartier les gens ne me reconnaisse plus six ans avant n’est-ce pas je vous ai loué, mais qu’en est -il après le retour du noyau , plus rien n’est recentrable par rapport à moi
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Profile-supprimé — 08-01-2010 13:35 |
• novembre 8, 2009 à 11:31 je sais que vous faites tous beaucoup de mots croisés que vous ne savez même plus ce que veux dire dans la réalité ci git moi les mots croisés je ne sais pas les faire et ces mots n’ont rien de littérature considérer que vous avez assassinée je dis bien pas pas plaisanterie ou cinisme non ça ne vous dit rien dans l’histoire de la psychanalyse une certaine suicidée sous lacan ? ainsi fut fait ainsi fut dit profil-supprime ehret qui n’aura même pas eu le temps d’exercer de négation freudienn puisque je n’ai rien “je”vais la rejoinde là ou elle est si vous êtes pas con mais intelligent vous aurez compris • novembre 8, 2009 à 11:33 vous devez savoir que le sans limite a un pris l’humiliation et l’emprise sur l’humain aussi on ne peut lui demander plus qu’il ne peut encaisser • novembre 8, 2009 à 11:37 n’oubliez jamais que dans le mot fuite il y a deux signifiacation la fuite dans la mort pour avoir une paix définitive une paix morale une paix avec soi et la fuite de son quartier en courrant de peur dans l’impasse cette fois je vais faire comme ma collège celle que lacan a connu rendre l’autre fou a des limites humaines • novembre 8, 2009 à 11:49 souvenez vous peuple singe vous aurez eu jusqu’au mépris de me faire pousser des chansonnette pendant que cette peronne une vie est en train de disparaitre une vraie vie d’obésité réalité de mort réalité non , souvenez vous de cette analyste du temps de lacan que vous avez tué pour de vrai ! • novembre 8, 2009 à 11:51 ce n’est plus du vis ta vie hégémonique cela se passe ici en 2009 le 7 novembre riez , riez • novembre 8, 2009 à 11:59 encore un mot depuis cent ans vous méprisé cetaine psychanlyste qui ne résonne et raisonne pas comme vous et vous mépriser même leur vécu actuel là présentement c’est pour cela qu’elle s’est tuée aussi et après vos gloire en feront des étendars d’autres singeries et pour ce vous êtes prêt à en pousser l’extrême réaction corporelle mais on ne peut encaisser plus que la boite qu’est ce qu’une vie hein ! pour vous un mot croisé ? • novembre 8, 2009 à 12:11 encore un mot à 10 ans et demi l’obsésité représentait l’arrêt définitif de toute sexualité devant l’horreur pur et brute non pas l’obésité créative mais ma négation non du paysage gelé mais de ma moelle gelée et vous en riez et de plus la vrérité est que cette personne meurt en ce moment dans la réalité vos images pré établi tenez en vous écrivant même j’en temble encore et je me gèle les mots hein croisé hein ! c’est pour cela qu’elle s’est tuée aussi • novembre 8, 2009 à 12:12 du sang et sans limite • novembre 10, 2009 à 5:17 paris le 10 novembre 2009 à 6 H o9 je vous ai payé 27 ans pour m’aider la police fera une enquête il lui sera facile sous couvert de regard sur les deux psychanalyses effectuées les mêmes parcours, d’atteinte à une vie humaine que vous vous amusez à faire régresser et faire marche arrière en lui disant qu’il n’est qu’un tuyau de survie de décharge public vous aimez l’horreur et la déchéance humaine au plus haut point de son moins que rien 27 ans non pas d’une vie respectée mais d’une vie que vous réduisez en silence , de vos porte de cabinet dont d’ailleur identique au gadem bold chiott identique au votre personne n’a le droit d’épuiser comme une sangsue une vie par vos jeux de maitrise humain dont vous piller tous les morceaux pour continuer à tuer de brave gens profil-supprime ehret • novembre 10, 2009 à 10:34 il y a des gens comme moi Qui auront été manipuler mais qui ne marche plus la police doit savoir cela une vie ne se détruit pas et ne s’oriente pas pourir d’indignité est pire que survivre porter peindre à la place de porter plainte petite pute, ingrate, accusation il faut qu’il y ait une personne qui pait pour ça, meme la manipulation de miller qui sur écrivez point org continue a jouer avec mes pulsions je ne peux aller contre moi et c’est ce qui se passe les analystes dieu qui se donne bonne conscient à travers le mépris d’autre vont le payer on m’enlève une création on m’enlève une sublimation pour m’en donner des autres non basés sur ma vie, mon trait unaire et le non respect de ma vie en fait vous continuer même après hier à me faire dégueuler encore…..votre petit jeu pour moi, s’arrête ici on ne vas pas recommencer à vie à jouer au chat à la souris sur ce site méprisant. en fin de compte vous m’aurez eu dans le sens qu’il n’y a aucun recommencement possible sur toutes les crasse même avenir et présentement l’irresponsabilité et le mépris même d’une professionnelle ça va… les pulsions agressives que vous me renvoyer je ne peux que les retourner contre moi et vous avez tout fait pour cela meme encore aujourd’hui l’être humain n’est pas fait pour être manipullé non seulement un pschanalyse mais aussi toute une corporation qui se fou de sa gueule vis ta vie n’est plus possible non le silence la mort l’hégémonie même de l’extérieur que vous manipuler. je ne vous en veux pas dans un sens ce n’est sans doute pas de votre faute restez en paix je vais dans la mort de la paix parce qu’avec vous je ne pourrait jamais l’avoir c’est ce que j’ai compris peut etre simplement parceque je suis différente de vous . Pourquoi avez vous fait ça ? Pourquoi psychanalyste vous en prenez vous même à vos professionnel ? merci dommage l’inconscient par lui même était intéressant ce sont les psychanalystes eux mêmes qui gachent tout • novembre 10, 2009 à 10:50 on ne peut pas dire vis ta vie à quelqu’un dont vous détruisez même le désir et les désir le recommencement trois ça va comme ça, je ne vous demandais pourtant pas la mer à boire c’est peut-être ça qui ne vous plait pas je ne sais pas ou une incompatibilité avec ma façon de penser n’étant pas la votre je pense qu’une de mes collègues est morte aussi dans les mêmes conditons où même dans un métier vous intervenez je ne sais pas…je ne comprends pas…ces choses là me dépasse me dépasse et me ruines un peu plus chaque jour hier et vous recommencer aujourd’hui ? je ne me bats plus envers ça , ça détruit meme ma facon d’etre au naturel …dans le fond l’exclusion et le silence permet d’éliminer les vilains petit moutons ou canards je ne me bats plus pour vivre avec tout ça non je ne me bats plus et n’avance plus ici et là profil-supprime ehret quand je pense que je suis arriver deux fois chez vous et que vous vous acharner à détruire meme la sublimation, on ne peut pas travailler en paix, j’ai donc détruit mon portable ainsi vous irez en paix et moi avec mes deux fois moin vide, sur une page blanche ou noir on ne peut plus rien écire sur un lit de sang non plus adieu puisque vous manipuler même ce mots une organisation sectaire, ou il ne me reste même pas la fuite, sans papier je n’ai même pas le droit que quittez ici, oui les femmes isolée cela permet de les maltraitées plus qu’elle ne peut supporte… parce que dans sa vie ses mots et maux elle est seule à les porter, une proie fragile hein……………;;;;;;;; l’intrusion dans le transfert de mot d’autres devient une véritalbe calamité…. mais n’aimeriez vous que la mort ? vous ne savez même pas où se trouve la joie profil-supprime trop perturbé par vos façon d’agir • novembre 11, 2009 à 8:37 voilà je pars et vous laisse la place j’ai laissé des documents à l’intention de la Gendarmerie Nationale aini que téléphone et portable vous magouilles cynique sur écrivez point org aussi j’ai demandé qu’un enquéte soit faite moi personne ne me reverra profil-supprime hret • novembre 11, 2009 à 9:26 tuer vos collègue hein vous aimez ecrivez.org tout vos coordonnées son sur mon portable y compris les mails et le taré qui m’a appelé je garde tout le but de la psychanalyse et même de me détruire sur l’autre site et je ne vais pas dégueuler tous les jours de vos manigances il y aura certainement une enquête mais je ne serai plus la pour la voir 27 ans je vous fais cadeau de ma vie en chair en os et en esprit comme ça vous pourrez vous marrer je pense que ce n’est m^me pas la peine ……..;;; non plus la peine de • novembre 11, 2009 à 9:31 je suis encore en train de dégueulet et perdre connaissance ça peut plus continuer ça peut. • novembre 11, 2009 à 10:41 enfin quoi je viens de m’ouvrir la tête en faisant en faisant des crises d’épilesie c’est ça freud ou lacan c’est pire pire pire vous allez me faire crever sur place a quoi ça vous sert hein à quoi a quoi a quoi en fin de compte hein l’épilepsie ce n’est que la mort des autres exercer dans la réalité vous me faite en fin de comte réavaler chaque mort des autres fredu ou lavan s’est pareille pour vous c’est un jeu mais pour moi c’est mon corps et ma tête ça sert à quoi à quoi à quoii après le sang des veines et artère le sang de l’extérieur du corps j’ai déjà connu ça avec freud dans la vie de tout les jour j’ai pas de crise d’pilepsie y a qu’en analyse aussi ça les os qui claque c’est tout moi qui prend c’est pas normal c’est pas normal • novembre 12, 2009 à 4:26 je suis désolée j’ai rien à dire hein j’ai rien à dire , correctionnelle, mise en garde à vue, un an de prison 15 000 euros d’amende, il suffit d’un appel de ce **** pour me retrouver en taule, j’ai pas le droit de quitter le domicile -5 plaintes en gradation -harcèlement téléphonique -dommage à son domicile -folie j’ai échappé à la HO de justesse -menace de mort (je rêve je tiens pas debout) ************* - si je quitte chez moi(j’ai pas le droit je serai rechercher (deux fois fiché et au commissariat 13 et au grand palais photo empreinte et numéro comme une criminelle -la première fois où j’ai pas voulu m’y rendre ils sont bien venu me chercher d’office devant même un de mes analysant Ils peuvent débarquer n’importe quand même en pleine nuit , je sais… une garde à vue remise à zéro Un psychiatre du procureur je ne sais même pas ce qu’il a signifié un de ses analysants a déposé chez son gardien aussi ses affaires, je me suis dit tu vois tu n’est pas la seul et lui c’est un homme…nous sommes donc deux en fin d’anlyse. je n’ai pas de nouvelle du procés de la correctionnelle du 7 septembre 2009 j’ai pas voulu aller à ce procès russe ou j’étais perdante d’avance mais ils ne sont même pas venus me chercher et je n’ai aucune nouvelle au 12 novembre 4 jours de taule , trois fouille au corps, mon divan de mon cadre couvert de sang je suis fatiguée de toutes ces histoires je pense simplement que la résistance de mon psychanalyste JML parle d’elle même Freud m’exclu d’ailleurs elle n’a pas daigné transmettre Et lacan c’est du patacaisse, menace de mort hein moi…un véritable cauchemar et je n’ai rien ni nouvelle de ce qui s’est dit au procès ni du jugement rendu à ce jour Je ne sais plus rien ça n’a plus rien à voir avec de la psychanalyse tout ça Il a dit au commissariat que je lui devait de l’argent , je jure sur ce site et sur mon honneur l’avoir payé entièrement 2000 euros ligquide et deux chèque de 1000 euros à moi et des chèques de patient (je ne comprends plus rien plus rien du tout, ) celle-là hein elle en a mare vraiment • novembre 12, 2009 à 6:26 allez ça suffit le cirque ehret écrivez .org …tout ça ça me rend malade gardez la psychanalyse j’en ai plus rien à faire 27 ans pour rien que de la violence là dedans non il n’y a pas de mots à apprendre même mon langage est bouisillé et vos histoires me font chier je connais déjà l’appat d’occupe toit des autres et du vidage de freud pas deux fois gardez vos silence votre fric vos désir les lapsus du psych lacanien porter peindre à la place de porter plainte en fait y a aucun choix nul part à défaut d’avoir bousiller mon langage et mon imaginaire hein c’est facile vous êtes tous miller compris en train de me pousser chaque jour un peu plus vers le suicide ça vous arrangera bien comme ça vous aurez la paix hein…peut-être vous avez raison après tout hein quand la victime devient boureau hein ! je suis fatiguée je suis une femme je suis pas faite pour jouer comme ça… et je me dis même que vous attendez tous que ça. profil-supprime ehret le calque du transfert du psychanalyste hein identiques aux agresseurs comme ça il ne se mouille pas non plus la folle de chaillot la taule ou la psychiatrie c’est toujours pour les mêmes ………; j’men fou maintenant • novembre 12, 2009 à 7:04 non ce n’est pas un prototype infantile c’est un être humain que vous avez décentré et dont vous avez divisé le moi avec un faux self un être décentré par des histoires inventé que vous avez écartélé pendant 17 ans même quand il allait bien surtout quand il y en a eu 10 avant d’une autre thechnique et dont vous jouez avec les pulsions un langage appris pourquoi la psychanalyse apprend un langage qui était d’origine… trop de violence trop de négationnisme trop de vécu dont personne n’a entendu ni tenu compte chacun avance avec sa théorie et l’autre là dedans il s’aperçoit que vous n’avez même pas suivie sa vie…vous enclencher une machine sans la vie de l’autre les voix sont détourner à tous les temps du moment on me fait même accuser par écrits et par dit le langage que vous apprenez comme la parano injectée vous savez le dring dring hein, ne sert qu’à vous louer qu’en est-il pour ceux dont vous prenez un calque qui n’est pas le sien …. il ne s’y retrouve plus…il ne s’y retrouve plus parce que sa réalité est mêlé au fantasme et vous en faites un mythe hein d’où ça vient hitler moi j’ai jamais eu ça dans ma vie je le saurais au bout de 55 ans et avec la théorie de freud y a pas ça, c’est le faux self moi je me trouve à l’heure actuelle divisée, divisée alors que je ne l’étais pas divisé parce que je suis venu vers vous en poésie et en peinture et je croyais en la psychanalyse mais en fin de compte elle m’a trop décentré divisée en quatre pour un parler normer théorique et conventionnel orateur puis rhétorique qui dissous l’être et son langage volontairement en fait j’ai tout perdu et en 74 et en 2003 meme les recherches que j’ai faite n’ont servi à rien oublier je ne peut pas tueurs de vie tueurs de voix vous me donner là un langage faux orienté psychanalyse mais je sais qu’il ne m’appartient pas c’est encore pire. pire pire pire tout le monde peut disparaitre hein, chacun prend sa destinée en main tout cela ne veut plus rien dire, par votre faute le métier précédent détruit au début par l’analyse lacanienne hein non ce n’est pas enfantin mes poèmes n’était pas enfantins écartélé l’individu pour mieux règner vous ne permettez qu’une voix pas deux la votre celle de votre cause Saud qu’en 2005 je faisait tout en même temps la moire et son enfant mort veulent simplement dire que la résistance du psychanalyste à transmettre ne permet pas point… qu’est ce que vous voulez que je fasse d’une vie de ruine et de clocharde vous voulez voir mon corps…. vous ne répétez que la face négative de mon histoire….et encore celle-là la petite pute la photo de la femme à quatre patte cul en l’air (de l’art dira t-il )bien tiens donc… en fin de compte j’avais pas tous ces problèmes avec freud au moins cela ne s’était pas terminer comme ça et il y avait pas tout ce sang hein retrouver le désir mais voyon il a été retourner avec la sublimation en 2005 pourquoi un jeu, un jeu de qui pourquoi…. non les psychanalystes n’aiment pas l’union ils ont une double vie une au travail et une je ne sais pas.. mais moi j’étais uni dans mon travail précédent plus rien ne correspond à ma personalité, plus rien entre freud et lacan cela s’appelle rendre les gens deux fois fous, les ruiner, même pas le choix du désir, même que je m’aperçois que personne ne m’a entendu ce langage là n’est pas à moi non plus et cette division que vous m’avez injecté 17 années n’était pas à moi • novembre 12, 2009 à 7:27 en fin de compte je peux plus rien retrouver et vous jouez avec le suicide exactement comme la société à jouez au suicide avec moi vous tuez aussi vos propre sorcière je vais crever parce qu’entre freud et lacan lacan qui donne un désir mais contre ma conscience et la maitrise de l’autre en fin de compte vous jouez au même titre que vous faites le jeu de la société en remettant toujours en arrière la personne qui vient vous voir vous m’avez même fait insulté le seul trait unaire que j’avais si pour vous c’est un jeu pour moi il faut mieux que je me tire une balle et c’est vous qui en êtes responsable hein me faire coincé avec un métier a morale et immorale ou la victime devient boureau oui, je suis fatiguée de vos histoire vous n’aimez pas la vie d’ailleurs je protesterai avec le lacanien comment ce tableau rouge et noir en me faisant insulté claquer la porte au nez comment ce sang sur mon propre cadre hein sur mon divan même que j’avais créer à ma manière comment les murs sont devenu plein de sang plus rien n’est maintenat reconstructible une supervision d’un dingue à qui j’avais demandé si il était controlé la fuite hein bien tiens donc 27 ans de psychanalye pour rien et si vous êtes bien et parfaitement guéri et bien non alors on repassera quatre ans à vous détruire si bien qu’on ne sait plus ce qu’elle veut la spychanalyse j’avais cousu moi même le tissus de mon divan j’avais peint moi même un cadre généreux à offrir aux autre j’ai plus rien que du sang…meme sur le tissus que j’ai moi même cousu à la main en fait ce psy fait ça aussi je sais je l’ai vu avec un homme hein, la freudienne avait au moin le mérite de pas prendre.. je crois que je vais me flinguer comme ça vous aurez votre silence bon débarras • novembre 12, 2009 à 7:50 je soussignée profil-supprime Ehret me déclare incompétente à exercer le métier de psychanalyste en sachant que je peux envoyez des gens dans la mort à mon identique n’est ce pas de deux générations de psychanalystes je me déclare incompétent à exercer pour la simple raison que je ne peux être diviser en permancence pour cette emploi et être confronter à chaque analysant à ma propre hégémonie. je me déclare inapte à toute pratique contraire à ma morale et à la morale divisé pour mieux règner ça n’a jamais été ma façon d’agir je suis désolée et le pire est que je ne peux rien oublier une vie détruite oui, par vos orientation successive en me faisant parler justement pour votre cause un langage présent qui n’était pas le mien le mien était poétique interne et externe présent et passé bref tout lien unaire a été volontairement brisé parler en psychnalyse ne sert que sa cause et elle méprise le langage particulier de 74 et 2003 la création est en continue jamais en point virgule un métier vous l’oubliez n’a rien de subjectif c’était toute les créations autour qui n’étaient pas copiage… tout lien unaire arraché est un lien perdu définitivement pour toute création à venir et me faire parler ce langage est bien machiné pour louer une rhétorique commune professionnel (qui n’a rien à voir avec moi, je faisais des séminaires en poétisant dans ma tête. y a plus rien) je ne parlerai plus jamais je n’écrirait plus jamais parce que vous avez orienté cette voix pour vous donner bonne conscience levi , camus avaient raison , ma voix a au moins été coupé en quatre comme le déplacement symbolique chez lacan on appelle cela tuez la mémoire et l’histoire de mémoire de quelqu’un par déviance j’ai plus d’accord nul part avec moi je vous maudit vous avez vu l’entité que vous m’avez refourgué c’est une honte vous savez celle que freud m’a refourgé avant c’est une honte perte sèche de 27 ans de vie je ne peux voler le désir de l’analyste parce que sa violence terminale dit bien ce qu’elle veut dire même dans mon quartier les gens ne me reconnaisse plus six ans avant n’est-ce pas je vous ai loué, mais qu’en est -il après le retour du noyau , plus rien n’est recentrable par rapport à moi
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Profile-supprimé — 08-01-2010 13:36 |
oh non ce ne sont pas mes rémiscence d’enfant c’est ma réalité que je dégueule les crises d’épilepsie réalité j’ai retrouvé les séminaires du psy lacanien pas étonnant qu’il me fasse rober et pantalonner hein j’ai voulu me pendre dans la nuit la corde à lacher mais je recommencerai non ce n’était pas l’image de mon miroir mais celle du psy que j’ai là sous le nez et dont la gendarmerie nationale en aura la totalité les séminaire d’un homme qui n’a pourtant que 10 ans de plus que moi hein ! c’est pourquoi il ne m’a pas accepter à son école à trois reprise il en est encore à l’hystérie de 1914 hein moi j’y ai le trait unaire là je comprends pourquoi sa haine envers moi réalité psychique hein c’est pourquoi il accuse et me fait accuser et par la voix et par écrit de cette hégémonie là que vous me faite tous dégueuler le problème juif quoi il pratique soit disant le lacanisme mais oui ça aussi je m’en était apprerçu il mélange les deux théories. les rêves hein et les fantasme quand ils ont de la réalité vécue… c’est ce que vous me faite vivre là maintenant 13 + 4 de controle pour rien 10 de freudienne pour rien ce avec quoi vous jouer pendant tant d’années c’est mon vécu avec le miroir de l’hytérie hein Monsieur jean michel Louka assassin en puissance le symptome là n’a rien avoir avec des fantasmes d’enfant…. psychique Réalitât il appel ça à ses séminaires, il en est encore à freud en prenant le voil de lacan se prend pour maitre dieu… je ne peux plus supporter ça, je me disais qu’il y avait quelque chose qui clochait en lui c’est l’utilisation justement de deux théories mélangeés aussi 1901 et 1904 parle t-il alors je comprend pourquoi il projette sur moi sa propre hystérie • novembre 15, 2009 à 8:31 DANS UN TRANSFERT DETOURNE d’une personnalité par la confiance sur un faux self alors qu’il était vigilent cela ne sert que la psychanalyse pas l’analysant deux travaux dont on a divisé la personnalité et alors ? la grande boucherie des couteaux à la fin n’est que la résistance et le contre transfert du psy et comme je ne suis pas la seule qu’il ait dévalisé (un homme même) j’ai retrouvé ses séminaires sur l’hystérie hein de 1914 ce qui remet en cause justement (les vieux qui ont incrit ce trait unaire) bref ce n’est que de” l’art” dramatique du discours de l’argumentation et de la persuasion dont les perdants sont toujours les mêmes. refaire un travail de réparation en sachant que l’autre travail me remettra exactement hors du baquet… réparer les réparations de freud de lacan j’en aurait pour combiem de temps c’est de plus en plus long… non, vos recommencemetn au moins que rien je connais déjà trop bien ça a été avec freud mais maintenant hein à quoi bon j’en ai pour combien de temps à réparer ce corps que déjà en 2005 était valdinguer dans la mort hein ? tout ça est un travail de logicien pas humain combien de temps de vais retrouvé une équilibre non divisé qu’il l’a été pendant tant d’année quel est l’impact sur un humain de le faire rire cynique sur sa propre mort réalité hégémonique hein ? on peut m^me lui faire louer la psychanalyse avant le retour du noyau personne ne risque rien , mais le noyau c’est aussi tout ces longs travaux raisonnement faux de sophisme ou cette violence de fin pour encore prouver si on est pour ou contre cette refente vicieuse qui décrète non pas de l’agir ni de l’investissement d’un humain dans son hunité créative mais oriente vers un métier seulement non subjectif .. la sublimation elle était subjective salie déjà au début du travail tout comme la régression ne sert que de moyen d’emprise sur un être et l’isolement pour régresser autant d’année oui le coupe de son milieu de vie. que veux la psychanalyse on ne sait plus elle efface même les début de recherche. en retournant comme une crêpe l’être elle ne fait que le distordre par raport à lui même et pourquoi quand il va bien on decide rebellotte de reverser le sang sur même le travail de bien être… la psychanalyse joue… mais l’homme n’est pas un jeu. Il a des sentiments véritables Et franchement c’est de trop connaitre ces altérités que j’en ai mare de répéter au plus bas déjà en 2005 et maintenant vous voulez voir les dégat non pas inconscient mais de ceux qui pour moi étati inscrit dans ma chair vraie réalité peut-être que l’effacage des traces et pousser au suicide n’est qu’une façon de dire à l’identique violence digne de la Curie romaine ! légat de l’effet n’en est que dramatique d’une théorie alambiquée programmée et en plus y mêlant le retour à freud vous ne pensez même pas qu’il y en a qui ne peuvent être hystèrique vous n’imaginez même pas que vous jouez avec la réalité d’un individu comme vous joueriez avec les trois reprises de ses écrits bref c’est immobilier l’individu dans son propre chemin de vie 13 et 4 de controle controle qui ne sert à rien par lui même comment je recommence ma vie moi à 55 ans hein le corps (parce que vous l’avez embarqué aussi hein ) et la psyché détourné de tous côtés j’en ai comme avec freud 10 ans à remonter la pente pourquoi je serai crever avant, et le pire c’est que je m’étais adressé à la psychanalyse pour prévoir un autre métier allant vers l’avenir après tout le monde veut le pardon comme si rien ne s’était passé. qu’en devient la correctionnelle ou je n’ai même pas de nouvelle ou je ne sais même pas ce qui a été décidé où on peut venir m’arrêter (même la nuit) je sais, menace sur sa vie hein , moi qui ne tien pas debout… qu’est-ce que je fais de tout ce merdier on dirait même que mon suicide vous arrangerai quelque part • novembre 15, 2009 à 8:52 au final ce n’est que votre oeuvre et n’a plus rien à voir avec moi votre art et oeuvre moralisatrise hors de “moi” le moi divisé sans défense une antropologie fondée sur l’observation et le maniement de votre expérience mais pas la mienne (union) observation d’un être chimère qui n’a rien à voir avec moi. ça fait deux fois que je me retrouve au plus bas et ce n’est pas pour rien si ce dogmatique remet en cause Aristote, ces altérités je les ai connu bien avant la psychanalyse qui se garde bien de me dire ce c’est pas pareille mais pire que freud comme une vieille guère entre copernic et galilée hein ? si la psychanalyse montre ou veut montrer comment un homme peut bien vivre et doit bien vivre déjà elle aurait du oter la religion et la philo liasse de vanité et de divertissement en riant hein Que me reste-t-il hein on efface les traces jamais vu jamais entendu, jamais connu.. ou bien c’est trop cher payé en poid de vie Elle oublie qu’on ne peut étudier un être vivant sans tenir compte de sa réalité mettre une machine et un système en route en laissant tourné l’autre seul. Et qui plus est n’est pas mon miroir mais le miroir de tout les pervers parce que le psy agit de la même façon il a même prévu et le langage que j’aurai pour son témoignage et pas le mien avec mon style et ma poèsie non le sien celui là pourquoi justement pour témoignage ou moi ça ne peut même pas me soulager, mais vous par contre vous dédouaner à tous les niveaux et de tous les temps vous attendez seulement que le temps passe pour que l’être oubli bien tiens donc il ravale son hégémonie, vous effacer toute les traces parce que le psy à en voir ses séminaires est hystérique mais qu’en est -il pour le non croyant ? qu’en est -il quand vous jouez avec la réalité d’une vie en y salissant jusqu’au métier précédent et ceux du trait unaire. après vous direz qu’il a la haine hein vous ne pensez même pas que c’est la paix dans sa tête hein qu’il voudrait des dettes hein ? dette de quoi du devoir survivre le forcage au pardon que je ne peux donner hein le donner est m’anuler moi même il faudrait un travail pour réparer les deux autres bien tien donc plus il y a de travaux plus vous avez divisez l’être plus sa conscience et morale en a été dévié personne ne grandit dans la honte même qu’il ne peut avoir par rapport à la vie fuire hein où ? sans papier sans identité j’ai ordre de rester chez moi sous surveillance judiciaire vous allez faire quoi me coller en HO , en prison, plus la refente hein… non on ne sait plus ce que veut la psychanalyse bref je suis bonne pour qu’on m’utilise pour faire une psychanalyse mais à la fin la résistance du psy dit non (porter plainte non mais porter peindre) un témoin sans témoin (elle me doit de l’argent – comme si je luis devait la vie mais ma vie était plus en accort que maintenant • novembre 15, 2009 à 9:08 en fin de compte c’est identique à la spirale dramatique de construction du dernier mouvement prévu d’avance d’une parole tellement éloigné de son but premier et en cercle fermé entre temps entre 2005 le noyau a été dramatique , mon corps plus que diminué, et matériellement encore pire… plus de vêtement plus de linge de maison , coupure de courant dans une pièce , plus de nouriture convenable un corps passé par cinq morts plus une boucherie en un an, les antibio ne fonctionne plus, les artères des james et reste foutu (parce que vous écartelé le corps plus que le réunir) le sursaut de survie était en 2005 et la renaissance aussi mais il s’en est bien passé des chose hein depuis… tout a été prévu aussi envers toutes les lois et ses propres dépassement de limite le stress ça n’a plus rien à voir avec prendre sa destinée en main ma démarche naturelle brisée et l’épuisement financier feront le reste des cinq dépots de plaintes en gradation. je suis fichée deux fois, si je fuis je ne peux rien emmener ni argent chèque papier et je serais rechercher comme une criminelle tout ça par rapport au métier précédent non je ne méritais pas… oser ses désir ne veut plus rien dire non plus parce que c’est le psychanalyste qui a décidé pour moi, on ne peut faire tout à la fois hein…. les plantes on crevé comme le légat en connait à ma place et décide du langage et de l’orientation avenir que j’aurai. pas la mienne, et cynique il dira la vien on en fait ce qu’on veut • novembre 15, 2009 à 9:10 c’est ce que l’on appelle tu as un bon comportement humain ou un mauvais comportement pas humain pas psychologique • novembre 15, 2009 à 9:32 qu’est ce que la psychanalyse si ce n’est que prendre un moi sain pour en avilir l’autre moitié diviser le problème c’est que j’y ai participer sans le vouloir dans vos commandes de manigances et ce moi là en salissant même ma propre personnalité est irréparble à jamais trop de fois 10 ans freud sous couvert de religion que je n’ai pas et Lacan 17 ans trop de négationisme que vous m’avez fait vous même cautionné ce moi là divisé et annihiler durant tant d’année est irréparable et physiquement et moralement et qu’en plus tout était prévu et voulu et c’est pour cela que vous aurez sur les bras comme une certaine femme sous lacan votre propre négationisme sur les bras il ne suffit pas de dire c’était un jeu parce que vous avez là toucher comme avec freud certain point de dignité humaine que jamais je n’aurai toucher moi même et que ce moi-même est bien détruit à votre profit quand je dis que je me suis foutue la corde au coup tout le monde rit pas un seul psychanalyste même lorsque ça allait n’a daigné me rencontrer le mépris partout Pommier, qui me hule dessus, louka qui porte plainte, Mégglé qui prend vérité ce que louka m’a fait dire écrits et parlés salis pour toujours cordon ombilicale hein vide déchirures vous ne croyez pas que j’en avait assez eu comme ça et même quand je serai bien on me renversera de l’autre coté bon ou mauvais mouton soit tu crèves soit tu vis personne hein parler à des murs à la cave comme avec freud plus de la moitié d’une vie perdu et le pire c’est qu’il ne me reste plus que cinq ou six ans joyeux noel à vous au nouvel an je ne serai plus • novembre 15, 2009 à 9:46 et que si vous parlez bien des suicides au travail vous pouvez être fier de l’exercer chez vos professionnelles vous feriez mieux de vous taire ce que vous montrer n’a plus rein à voir avec respect de l’être que vous proclamer ni le mot aimer ni expérience on ne peut pas transmettre la violence vous êtes en fait libre mais de vos propres exclusions et suicides chez vous aussi une morte qui refuse d’être une morte vivante à vie. le sacrifice de toute une vie vous en aurez les repercution non pas par haine non par mépris, une expérience inconsciente hors de la vie de l’être détourner autant d’année n’est pas récupérable et vous le savez faire parler ou écrire n’est en rien agir par contre me faire accuser et écrire mes tripes à dégueuler d’hégémonie encore vivante et sans droit aucun c’est bien porter atteinte à son intégrité même parlez donc du suicide … vous êtes les premiers à bruler vos sorcières comme dirait louka hystèrique lui même qui ainsi justifie comme avec l’homme chez le gardien du dépouillement de toute une vie de labeur plus rien n’est repérable même dans la transmission la moire et l’enfant mort plus rien n’est discible ni écrivible c’est votre propre négationisme juifs. rien n’est plus utilisable ni chez moi ni chez vous effectivement j’ai plus qu’à crever • novembre 15, 2009 à 9:57 et si vous vous en prenez à des femmes isolées ou seule vous savez ce que vous faites la régression sous prétexte avec un faux self hitler dans la réalité je n’ai jamais eu il vient de là votre haine comme me dira le superviseur en me claquant la porte au nez hein ! vous haissiez la psychanalyse vous avez toujours raison à tout vous avez même prévu mon suicide et pris les devant au commissariat 13 vous ne vous attaquez pas à n’importe qui l’inclusion de choses autres ce qui permet de tourner en cercle fermé Quand le superviseur à voulu la refente et l’apprentissage d’une langue juste pour vous servir en témoignage, je lui ai dit non ça ce n’est pas la vie, il l’à fait quand même comme à sa tête hein, ah si je vis c’est grace à vous mais voyons avec freud c’était pareil le pardon de tout dépassement la transformation du début de ma vie et lacan hein, utiliser son inconscient voudrai qu’il n’y ait pas vos meurtres suicidaires dedans même vos propre consoeur hein ? peut-être que oui il faut une vie pour vous dire stop ça suffit • novembre 15, 2009 à 10:10 vous utilisez orange mécanique aussi c’est à dire que vous utilisez des vies vivantes pour prouver tout ce que vous voulez prouvez mais pas vos actes parce qu’orange mécanique et qui a tué virginia wolf je l’avais déjà en 74 en fait avec des vivants en utilisants des vies vivantes vous les utiliser pour en faire des films et des romans vous oubliez de voir celui qui est venu simplement vous voir humainement et non à travers un kaléidoscope parce que c’est bien ça je ne sais plus ni ce que je vaux en valeur humaine ni en poid de vie bientôt vous allez inventer l’histoire d’un extra terrestre avec une théorie psychotique et la glace d’être des paillettes de procréation l’observation humaine ne vaut rien quand on n’écoute pas la vie des êtres pendant 27 ans parce que le littéraire n’est pas humain soljenistine vous l’aurai dit et levi aussi jouer avec des humains machiné par une théorie ça fait du lacan psychotique qui prend ses désirs pour la réalité tout le monde. et c’est pour ça qu’il a été exploité par tous et s’est fait viré, le manque de réalité vos en ête encore à orange mécanique mais quand vous m’avez foutu en taule j’ai vu un homme muselé vous voyez faites en un roman à ricanner ou un filme vous avez même prévu que je ne puisse pas porter plainte contre vous et vous attendez bien que je me foute en l’air le dépassement de limite est chez vous comme le dépassement humain vous ne savez plus faire la différence entre une vie et sa mort je vais vous l’offrir non pas comme goethe ça aussi c’est du roman mais parce que non seulement vous avez déformé mes image que les cauchemars sont réalité, et non filmique ou christianisme parce que la vie des gens à vraie dire vous les utilisez mais vous les détester • novembre 16, 2009 à 1:47 et que confondre une vie a une pièce de théatre ou un film qui plus est ancien c’est bien vous rendre maitre de temps de vie de l’autre parce que vous faite et le metteur en scène le scènariste le caméraman et qui plis est en divisant le corps de l’indivivu et que cet arts et ses arts se font en équipe et milieu ouvert et vous tout le contraire pour écrire un livre a la fin identique comme vian et pévert avac lkes memes lapin perroquet et le reste avouez que ce que vous appelez art est plutot et régressif et que cel ne valai pas la moitié d’une vie • novembre 16, 2009 à 1:58 vous appelez ça de l’art en détruisant même les recherche sur l’art en foutant à la poubelle masque poèmes dessin grattage ect depuis 74 et 2003 plus de 900 poème on été mis à la poubelle analytique parce que vous n’aimez que la création dans la souffrance plutot que dans la vie et l’union à soi freud malade eih oncologir de lz renaissance biologiqe par renouvellement du sang et sans dans la souffrance religieuse un art c’esr oublier ne se cré pas ainsi mais comme vous n’aimez que la création dans la souffrance la misère les larmes à ce que vous appelez à l’ombre de votre père excusez moi j’écris sue le portable parceque l’ordinateur fixe ne passe plus internet et que mes doigt ne peuvent plus bouger correctement tous comme le sang de la jambe gauche à vos ouverture d’artère ne circule plus pleine d’eczéma hein vider l’imaginaire et lui napprendre un langage commun de pardon forcé et religieux laisse la porte ouvete à la légitimité de votre droit de tuer depuis 74 et 2003
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Profile-supprimé — 08-01-2010 13:38 |
Meme Le Desir Detruit Ne Veut Plus Rien Dire
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Profile-supprimé — 08-01-2010 13:40 |
un homme , un humain peut-il etre détenu ainsi pour le reste de ses jours à votre bon vouloir ? profil-supprime ehret // novembre 19, 2009 à 6:14
eh là vous attendez que je me la ferme même mon site poétique à été fermé par vos soins
L4ATTRAPPE NIGAUD ET LE PORTE DRAPEAU DE LA LOI
DU DROIT ET POUVOIR SUR LA DETERMINATION ET LIMITE D UN ETRE HUMAIN
BON ALORS VOUS FAITES QUOI DE MON
SORT
PRISON : UN AN ET 15000 EUROS D’AMENDE
HO : C’est qu’il n’est pas normal que vous attendiez que j’éfface mes écrits hein
LA LOI dont vous vous servez qui ne m’a pas encore rendu compte du résultat de votre correctionnel
LA MISE SOUS SURVEILLANCE JUDICIAIRE avec deux fichage à la police et au tribunal
ALORS POURQUOI AVEZ VOUS POURVOIR me faite effacer avant pour montrer que vous ne craignez rien
et MOI dites donc dans votre bordel qu’est-ce que je deviens
EST CE NORMAL DE DETENIR LA VIE DE QUELQU UN PAR DES TACHES JUDICIAIRE
DE QUELS DROIT
ASSIGNEE à résidence IL FAUDRAIT PEUT-ETRE VOUS MAGNER LE TRAIN
Comment se fait -il que vous fassiez trainer je jugement plus de deux mois après est-ce normal de détenir des procureur sans même avertir de la décision prise il y a plus de deux moi bientot et demi ?
a quoi jouez vous vous parlez évidemment à merveille attendez vous que j’efface toute trace de voix pour votre cause ?
un homme , un humain peut-il etre détenu ainsi pour le reste de ses jours à votre bon vouloir ? profil-supprime ehret // novembre 19, 2009 à 6:14
il ne faudrait peut-être pas que vous jouez trop avec mes nerfs hein
L4ATTRAPPE NIGAUD ET LE PORTE DRAPEAU DE LA LOI
DU DROIT ET POUVOIR SUR LA DETERMINATION ET LIMITE D UN ETRE HUMAIN
BON ALORS VOUS FAITES QUOI DE MON
SORT
PRISON : UN AN ET 15000 EUROS D’AMENDE
HO : C’est qu’il n’est pas normal que vous attendiez que j’éfface mes écrits hein
LA LOI dont vous vous servez qui ne m’a pas encore rendu compte du résultat de votre correctionnel
LA MISE SOUS SURVEILLANCE JUDICIAIRE avec deux fichage à la police et au tribunal
ALORS POURQUOI AVEZ VOUS POURVOIR me faite effacer avant pour montrer que vous ne craignez rien
et MOI dites donc dans votre bordel qu’est-ce que je deviens
EST CE NORMAL DE DETENIR LA VIE DE QUELQU UN PAR DES TACHES JUDICIAIRE
DE QUELS DROIT
ASSIGNEE à résidence IL FAUDRAIT PEUT-ETRE VOUS MAGNER LE TRAIN
Comment se fait -il que vous fassiez trainer je jugement plus de deux mois après est-ce normal de détenir des procureur sans même avertir de la décision prise il y a plus de deux moi bientot et demi ?
a quoi jouez vous vous parlez évidemment à merveille attendez vous que j’efface toute trace de voix pour votre cause ?
un homme , un humain peut-il etre détenu ainsi pour le reste de ses jours à votre bon vouloir ? profil-supprime ehret // novembre 19, 2009 à 6:18
parce que quand même si lacan a dit que celui qui parlait trop se mettait en danger
il n’a pas parler du danger de sa vie même hein profil-supprime ehret // novembre 19, 2009 à 6:18
vous êtes qui pour détenir le droit de circuler et le fichage des individus ? profil-supprime ehret // novembre 19, 2009 à 6:33
on ne peut pas lier quand il y a la merde de la prison avec profil-supprime ehret // novembre 19, 2009 à 6:35
vous oubliez un peu trop que le langage là sans moralité et normalité ne peut faire la tambouille d’un psychanalystes connards profil-supprime ehret // novembre 19, 2009 à 6:35
qu’est ce qu’écrire et parler avec les flics au cul profil-supprime ehret // novembre 19, 2009 à 6:36
vous vous croyez un peu trop au cinéma et au fait divers hein freinnnne fresnes profil-supprime ehret // novembre 19, 2009 à 6:51
et olivares du site psy en mouvement parce que je n’ai pas voulu m’inscrire chez eux qui me bloque le site écrivez.org vous ne pouvez rien faire vous pourtant il a un nom à choisir son psy non, profil-supprime ehret // novembre 19, 2009 à 6:54
,
vous pourtant les tous puissant pourquoi égorgez vous les petits hein
cela ne vous couterait rien hein paradoxa de faire en sorte que la poésie refonction avec la recherche il vous suffit à vous de passer un coup de fil salopards vous m’avez jusque dans les écrits profil-supprime ehret // novembre 19, 2009 à 7:17
tiens j’essaie de joindre le webmaster de choisir son psy et psy-en mouvement les mails me reviennent hein ?
mais qu’est-ce que ce merdier pourtant pour nous inscrire avec leurs mensonges de tant de passage par moi dont on n’a jamais aucun appel hein et là par contre pas de réponse
mais voyons contre transfert vous voudriez que je lie la merde avec le propre en travaillant
pas question pas d’éthique morale minimum
vous trouvez ça normal plus un patient rien parce que ce la marée psy en a décidé autrement
la liberté vous défendez soit disant ni ni ni hein profil-supprime ehret // novembre 19, 2009 à 7:23
et qui n’a pas les moyens d’un tribunal hein salopards de tous bords on ne s’attaque pas à n’importe qui hein ?
ah la femme mioche d’il y a cinquante ans hein connards d’encrasse profil-supprime ehret // novembre 19, 2009 à 7:24
c’est facile hein une femme seule ce serait mon mari il aurait été vous casser la gueule profil-supprime ehret // novembre 19, 2009 à 7:25
attendons qu’elle ce calme cette cinglée hein qu’elle se la boucle sa vérité profil-supprime ehret // novembre 19, 2009 à 7:29
la bonne société civilisé ou le parler correcte hypocrite est de mise ou je ne veux pas faire votre potiche vous avez oubliez que la femme n’est plus en 1900 mais que nous sommes en 2009
ça va aller la femme rat et oiseau et vampire et saloppe hien profil-supprime ehret // novembre 19, 2009 à 7:32
la gente hein ah la gente lacan vous en aurait parler aussi bien que moi des lèches culs que je ne veut pas être j’étais trop bien hien trop gaie trop vivante connards
si tu veux pas acheter mon site mes livres mes séminaires tu dégages t’es pas rentable profil-supprime ehret // novembre 19, 2009 à 7:36
et vous êtes tous là à regarder la femme dans la merde hein la pauve fille pauvres cons méprisant vous mêmes pas un seul n’a eu les couilles en cinq ans de m’écrire ou passer un coup de fils et moi oui hein pommier hein louka hein miller je suis pas assez bien pour votre gueule vous désirez même pas répondre profil-supprime ehret // novembre 19, 2009 à 7:44
elle n’a qu’a parler comme il faut hein lyrique ou cynique hein ? pauvre cons profil-supprime ehret // novembre 19, 2009 à 7:46
c’est comme la psychanalyste qui se permet de m’insulter en pleine rue parce que je distribue mon courrier vous vous prenez pas pour de la merde il y en a qui ont oublié d’où ils viennent et qu’au chiotte tous les jours ils vont et que si ils avaient été malade je leur aurait peut-être nettoyé leur propre merde profil-supprime ehret // novembre 19, 2009 à 7:47
vous oubliez tous qu’un jour vous pourriez avoir besoin de gens simples vous n’avez pas assez vécu mais un jour aussi vous serez vieux et qu’est-ce que vous croyez vous aurez besoin d’aide comme tout le monde alors votre orgeuil vous pourrez la ranger profil-supprime ehret // novembre 19, 2009 à 7:48
même les président sont content qu’on ramasse leur merde et qu’on les lave hein ? profil-supprime ehret // novembre 19, 2009 à 7:50
il fut un temps où vous avez créer des psychanalystes à la pelle hein ? il aurait mieux fallu en créer moins plutot que de les balancer les uns contre les autres
comme des animaux qui se battent pour un place parce que qu’est-ce qu’un psychanalyste hein quand même je l’ai été toute ma vie sans savoir et pas comme vous profil-supprime ehret // novembre 19, 2009 à 8:07
il a bon dos le portrait de la fatalité et du hasard quand c’est vous qui le provoqué et la panthère en plus qui tourne dans sa cage sans l’objet a hein comme si elle n’avait jamais eu le mot aimer pauvre **** de la moire qui met un enfant mort au monde non mais hein profil-supprime ehret // novembre 19, 2009 à 8:08
elle est jolie la théorie psychotique que l’on se paie de famille en famille chez les psy hein profil-supprime ehret // novembre 19, 2009 à 8:16
et que personne n’a droit d’emprise légale judiciaire et civil sur une vie globale deux fois qui plus est le bon comportement hein comme tout ceux de ce site ?
vous pouvez mettre la tête de lacan sur ce site vous êtes des merdes par rapport à lui profil-supprime ehret // novembre 19, 2009 à 8:23
Il est vrai que quand on donne de l’art que l’on a passer des mois à faire et que tout part à la poubelle il ne faut pas s’attendre de votre part un petit geste d’humanité hein celui qui ne sait pas lire klee, mes poémes , jiacometti, doisneau pévert et l’enfant et l’orage il ne faut pas s’attendre à ce qu’il est un élan du coeur vous ne voyez que picasso qui avait un mépris des femmes et en usait comme monsieur louka ou les psychiatre pendore salomé-hérodiate profil-supprime ehret // novembre 19, 2009 à 10:54
et après vos témoignages dégradant qu’est-ce que vous aurez eu de plus humainement ? comme étude ? de l’être rien vous les aurez juste obliger à prendre un chemin qui n’était pas le leur hein comme freud m’a relégué au fond d’un bureau vous appelez cela grandir l’être ? profil-supprime ehret // novembre 19, 2009 à 10:57
vous croyez que faire du dessin animé de petire souris de 27 ans de vie c’est humain pour rien ?
il est où votre respect de l’autre ?
Parce que les vrais pervers eux ils se marent même après ma mort hein , les cinq là dont vous me faite payer le prix de la mort de sainte tenaille et du clou et de la marge vous avez vu l’entité que cela me fait vos conneries sauf que c’est comme ci vous aviez tourner levy et celan en souris de dessin animé profil-supprime ehret // novembre 19, 2009 à 11:18
alors à quoi cela sert la preuve d’une expérience mais franchement l’expérience de l’enfant qui se vampirise lui même la base du cerveau vous manquez pas d’air hein comme dieu à l’intérieur du corps? ????? ça va pas non ?
en parlant normé laplanche pontalis leclaire et tous les suivant en rajoutent un peu plus mais plustôt de comptabiliser les témoignages
et puis merde vous êtes psychotique et tarés
et en plus vous me faites parler pour rien
je n’écrirai plus jamais et ne parlerai plus jamais parce que votre cirque y en a marre parler avec des morts hein
autiste parler à un mur ou le psychanalyste n’entends rien ne voit rien vous êtes des malades
et que oui dans un sens vous pousser au suicide avec un j’men foutisme à la grace de dieu connards
vous allez l’avoir sur le cul et le dos ma mort , cous etes des gens sans morale sans humanité sous couvert de leur apprendre à mieux vivre vous croyez que l’indifférence c’est ça mieux vivre ? profil-supprime ehret // novembre 20, 2009 à 12:04
pas ma faute si…
Pas ma faute, si�
Sur le trottoir un enfant dort, Un r�verb�re chauffe son corps, Cette nuit encore il aura froid, C�est pas ma faute s�il a pas d�toit !
Le squatte est tout d�sempar�, Sur un lit mal appropri�, Une jeune femme vient d�accoucher, C�est pas ma faute je fais qu�passer!
L�usine a ferm� son portail, Les ouvriers sont sur la paille, Il ne leur reste aucun espoir, C�est pas ma faute s�ils broient du noir !
Ton bel amour s�en est all�, T�as rien pu faire pour le garder, Si tu te jettes dans un ravin, C�est pas ma faute j�y suis pour rien !
Au pays des quarante voleurs, R�gne la mort s�me la peur, Tout �a pour remplir nos bagnoles, C�est pas ma faute bandes de guignols !
Le monde s�enfonce dans l��go�sme Les yeux se ferment sur l�humanisme La faute � qui, je n�en sais rien Peut-�tre � tous mais pas certain !
BOKAY Vincent Joly // décembre 21, 2009 à 11:36
Les commentaires de Marie Lise ehret ne seront plus acceptés. Vincent Joly // décembre 22, 2009 à 1:58
Marie Lise Ehret. Vous êtes sur un blog personnel non sur le votre. Veuillez donc ne plus laisser de commentaires. Ils seront automatiquement supprimmés quotidiennement.
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Profile-supprimé — 08-01-2010 13:42 |
c’est se foutre de ma gueule de mettre méglé sur ma page elle qui dit que je doit me pardonnée d’avoir survécue aux pervers avec sa généalogie héréditaire que je ne connais pas et ses femmes de mythe #1991 profil-supprime Ehret January 1st, 2010 at 11:08 am
faire accuser les gens par la voix et par l’écrit ça me dégoute d’internet #1992 profil-supprime Ehret January 1st, 2010 at 4:43 pm
quel désordre dans les écrits, je n’ai plus que des morceaux je fais le tri de la poésie et les mets vous clé deux année de recherche petdu et en plus refaire circuler mon nom dans les deux cas j’ai six années d’analyse en trop #1993 profil-supprime Ehret January 1st, 2010 at 4:49 pm
personne n’a le droit d’immobiliser des vies pour rien ! surtout à mon age mon coprs n’étati pas fait pour recevoir autant de générateur de stress, je m’y était prise suffisamment tôt pourtant! #1994 profil-supprime Ehret January 1st, 2010 at 4:51 pm
1994 profil-supprime Ehret January 1st, 2010 at 4:51 pm
ça ne valait pas 27 ans d’une vie, une vie gachée #1995 profil-supprime Ehret January 1st, 2010 at 5:00 pm
ce genre d’emprise sur l’autre avec un moi divisé doit cessé le controle et les formations n’étant qu’un droit de cuissage pour retarder notre évolution dans la vie courante volontairement Tout comme certaines confrèries n’admette qu’un patient et jusqu’à la fin les freudiens par exemple La situation matérielle des psychanalystes ne permet plus ce genre de comportement abusif des ainés sur leur confrères #1996 profil-supprime Ehret January 1st, 2010 at 5:12 pm
quant à moi je n’aurait la paix qu’après le jugement de correctionel où est-il ce bon psychanalyste qui m’a tendu un premier carnet hein ? je ne vais pas traverser la rue si je le rencontre #1997 profil-supprime Ehret January 1st, 2010 at 5:14 pm
il était du devoir de la hiérarchie de prendre position #1998 profil-supprime Ehret January 1st, 2010 at 5:17 pm
un peu trop facile de se réfugier derrière la faiblesse humaine le pillage ne faisant pas partie à la base de freud et la violence non plus #1999 profil-supprime Ehret January 1st, 2010 at 6:39 pm
j’ai eu tort de mettre sur écrivez .org pentacle qui différneciait les sensations vu toucher oui odeur, il ne reste rien #2000 profil-supprime Ehret January 1st, 2010 at 6:42 pm
c’est la dernière fois que je met quelque chose sur internet toute les recherches sont parties elles aurait pu être utiles aux artistes, je ne les recommencerait pas #2001 profil-supprime Ehret January 1st, 2010 at 6:45 pm
je donnais mes travaux de suite exploitables pour les autres tant pis c’est une erreur je ne sais pas qui cela dérangeait ? #2002 profil-supprime Ehret January 1st, 2010 at 6:52 pm
pour une fois que j’avais des sensations par rapport à un individu globale ça m’écoeur trop de travail de recherche perdu il n’auront qu’à aller acheter des bouquins d’universitaire girgueil et les gros bonnet je ne me battrai pas avec. ils n’auront pas un sou de ma part #2003 profil-supprime Ehret January 1st, 2010 at 8:32 pm
vu les dégâts je ne serai prête qu’n mai #2004 profil-supprime Ehret January 1st, 2010 at 8:36 pm
il est même probable que je ne fasse plus rien puisque tout va à la poubelle à chque fois #2005 profil-supprime Ehret January 1st, 2010 at 8:43 pm
d’ailleurs ça en arrangerai plus d’une le silence éternel c’est pour cela que ma résistance à moi se doit de parler et dire ce qui s’est passée le mépris des silencieux et sous mon nom je numéroterai mes poèmes comme je le faisait avant vu me mépris de tous je ne leur ouvrirai pas ma porte et m’abstiendrai de séminaire de rassemblement j’en ai mare que chacun marche pour sa pomme et se foute des autres #2006 profil-supprime Ehret January 1st, 2010 at 8:48 pm
en presque six ans il n’y a même pas eu un seul appel pour me soutenir face à la correctionellle c’est toujours les autres qui se défoncent et prennent les risques pour les autres seulement ça tue ma voix vive vous êtes trop imbu de vos ego la politique du silence éthique est monstrueuse #2007 profil-supprime Ehret January 1st, 2010 at 8:55 pm
isolé des gens dix sept ans pour leur foutre un coup de pied au cul aussi, ni lacan ni freud aurait permis ce comportement ça ne s’est jamais vu à moins de pousser les gens au suicide organisé La correctionnelle non plus interdire des lieu de paroles site oedipe et séminaire non plus #2008 profil-supprime Ehret January 1st, 2010 at 9:00 pm
je me réserve le droit de la suite après le jugement une décadence exceptionnelle des sans couilles qui se sente fort à agresser une femme seule comme celle qui s’est suicidée du temps de lacan #2009 profil-supprime Ehret January 1st, 2010 at 9:06 pm
à force de vous foutre de tout et de passer votre temps à faire des mots croisés vous en oubliez le mot humanité
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Profile-supprimé — 08-01-2010 13:52 |
Casser Ses Conseours Cela Existe Aussi En Toute Impunite
Des Psychanalystes Qui Justifie Leur Refente Et La Degradation De Leur Consoeur Devant La Loi Hors Cabinet Et On Recours A La Loi Pour Prouver Leur Theorie De Boucher De Paris
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Profile-supprimé — 08-01-2010 13:55 |
Puisque tout le monde fait semblant de ne pas m’entendre je vais aller porter plainte ainsi peut-être je serais entendu je me défendrais seule
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Profile-supprimé — 08-01-2010 13:56 |
je ne suis pas un mythe moi megglé
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Profile-supprimé — 08-01-2010 13:59 |
Personne n’a le droit d’immobiliser et de ruiner une vie en toute impunité durant 17 ans
ruiner toute les économies d'une vie 27 ans la moitié de ma vie immobiliser pour rien
deux analyses comment ose-t-on dire après que ça ne sert à rien
un jeu hein un jeu pour quoi ? vous appelez ça un jeu la correctionnelle il a fallu que j'attende 55 ans pour voir ça
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Profile-supprimé — 08-01-2010 14:02 |
Puisque tout le monde fait semblant de ne pas m’entendre je vais aller porter plainte ainsi peut-être je serais entendu je me défendrais seule Personne n’a le droit d’immobiliser et de ruiner une vie en toute impunité durant 17 ans
je suis une femme vivante et non ismène ou antigone ça fait trente ans que vus ne savez chanter que ça
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Profile-supprimé — 08-01-2010 14:13 |
On Se Demande Bien Ce Que Vous Appelez Amour
L Affection N Est Pas Amour
On Se Demande Bien Ce Que Vous Appelez Sublimation
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Profile-supprimé — 08-01-2010 14:18 |
Elle Coupe Toute Voix Vivante Sous Couvert De Silence
C Est Parceque Le Silence L Arrange Elle
Pas Celui Qui Vient Le Voir
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Profile-supprimé — 08-01-2010 14:30 |
Le Fantasme Dans Lequel Il Y A De La Realite Retourne En Mythe Qui N Est Pas De La Realite C Est Sa Vie En Pleine Poire Que L Individu Pren
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Profile-supprimé — 08-01-2010 14:31 |
Ecrire N A Rien A Voir Avec La Langue Vivante
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Profile-supprimé — 08-01-2010 14:33 |
L Angoisse Ne Se Deplace Et Depasse Jamais Il Est Brut Et Il Y En A Plusieurs Brut Pour Ceux Sans Religion
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Profile-supprimé — 08-01-2010 14:35 |
L'angoisse pour les gens sans religion
ne se deplace et depasse jamais
il est brut d'ailleurs il y a plusieurs angoisse
elle fige plus qu'elle ne fait évoluer
cela ne valait pas la peine de tourner 17 ans
elle survient aussi bien de chose positive
que de chose négative
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Profile-supprimé — 08-01-2010 14:37 |
la renaissance etait la vrai
en 2005 et pourquoi l'avoir bousiller volontairement
pourquoi decider pour moi que je dois ecrire plutot que de parler
la psychanalyse s'attaque bien au langage vivant de l'être
le verbe n'en est pas la chair
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Profile-supprimé — 08-01-2010 14:42 |
en montrant simplement le cote avilissant et peu noble de l'homme
elle en fait un être devaloriser avec une entité vidé de tout espoir avenir
l'homme ne peut vivre sans devenir et illusion vers l'avenir
ce n'est pas un être vil et de rien
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Profile-supprimé — 08-01-2010 15:03 |
S OCCUPER DE SON PROCHAIN EST AUSSI DANS L INCONSCIENT COLLECTIF D APRES GUERRE DE LA RELIGION MAIS N APPORTE AUCUNE SATISFACTION PARTICULIERE JE LE SAIS PARCE QUE J AI PASSE MA VIE A AIDER LES AUTRES
UN METIER N A PAS VALEUR DE SUBJECTIVITE HUMAINE
ET LE PRESENT NON PLUS SANS DEVENIR
UN METIER SANS AVENIR ET SANS ILLUSIONS NON PLUS IL RESTE VIDE DE SENS
ENCORE PLUS QUAND ON S AMUSE PAR JEU IDIOT A REFENDRE ET REMETTRE A ZERO LES SUBLIMATION RESPECTIVE ET PASSE ET PRESENTE PAR UN JEU DEBILE
Le problème est plus complexe pour moi ce qui était naturel en 2005 refendu après sur un langage appris, or je dis non je veux vivre maintenant et lui réponds attendez vous en êtes à la moitié, mais ce n’était pas tenir compte de la suite et de la remise à zéro, l’idéologie par elle-même couvrant l’ouverture que j’avais, donc plus rien n’est retrouvable après la deuxième mort, même les phrases qu’il a dites, n’ont qu’une valeur passagère, mais ne correspondent plus avec le temps après. Je n’ai pas bien compris cette remise en arrière pourquoi ? Attendre ne veut plus rien dire, je regardais mon calpin de 2005 c’est vrai j’avais 19 patients alors pourquoi avoir remis tout ça à zéro avec un extérieur fermé ? Pourquoi tous ces drames après, ce n’est quand même pas normal que je n’aie pas de nouvelle d’un procès s’étant déroulé le 6 septembre, ce n’est quand même pas normal de dépouiller même l’intérieur de ma maison ? Il y a vraiment dans toutes ces démarches quelque chose que je ne comprends pas parce que d’aucune utilité ni apprentissage, ni pour moi. Je disais dans l’atypique que j’étais plus habile dans l’action, d’une part, et d’une autre jamais deux tableaux même si j’essaie de les refaire ne seront jamais les mêmes, son il y en aura d’autres, mais non depuis c’est le statu quo.Pourquoi par une refente, un repassage à Freud, etc. détruit-on ainsi une professionnelle, quel intérêt lui a-t-il à me ramener au point de départ ? Ne voulait-on pas là que je joue un jeu en psychanalyse devant ce procès russe où de toute façon devant cinq plaintes, j’étais condamnée d’avance ? Quel intérêt cela a-t-il pour lui ? Pourquoi en 2005 tient-il un langage et ensuite durant 5 ans un autre ? Comment voulez-vous que je m’y retrouve puisqu’il a refendu jusqu’à la création de mon cabinet, d’où viennent ce sadisme et cette perversité ? Si je m’étais rendu au tribunal c’était déjà par la même le valoriser, mais cette fois ils ne sont pas venus avec les menottes me chercher, quel intérêt peut-on avoir à démolir son propre travail si ce n’est la psychanalyste que l’on a formée ? Ici là je ne comprends pas la psychanalyse ? On ne sait plus à la fin ce qu’elle veut ! Non seulement je ne le situe plus ni au début ni à la passation de la transmission ni à la fin de la refente non plus.Quel plaisir prend il à détruire son propre travail, pas seulement le mien ? Ce n’est même plus oublier le travail analytique, c’est aussi oublier l’injustice après inadmissible. Ne voulait-il pas que j’assume un certain rôle au tribunal pour me valoriser d’autant plus ? Jusqu’à quelles limites peut-on aller en fin d’analyse ? En foutant un coup de pied au cul et claquant la porte, avec SMS FINI, ce n’est pas ce que l’on peut appeler une fin correcte, ni avec la Noire ni la fuite, fuite reliée sur les deux traits unaires qui plus est.peut-on clore quelque chose que l’on ne comprend pas ? Non ! Peut-on clore deux remises à zéro dans une même analyse avec son désir programmé qui est de peindre à la place de porter plainte, comme si il avait déjà tout ordonné pour moi. Pourquoi un langage d’humain à humain après la transmission n’était pas possible pour moi si, je ne comprends pas donc ne peut le régler, pourquoi un langage de confrère à confrère n’at-il pu avoir lieu ? Et c’est même le contraire ! N’est-ce pas là justement tant que je n’ai pas la réponse de détenir la vie d’une consoeur et pourquoi ? On ne peut résoudre ce qui dans la vie là n’est justement pas résolu et plus le procès trainera plus pour moi il sera un handicap, comment un boucher qui ne l’était pas à la transmission peut-il aller aussi loin, si je suis condamnée alors je serais obligée de prendre un avocat, mais spécialisé en psychanalyse sinon il n’y comprendra rien, personne apparemment même Vaguerèse n’ont l’air étonner hein mime ? Sauf que la prison n’a rien d’un jeu et que pour celui qui est deux fois remises à ne pas pouvoir manger non plus apparemment ces grands pontes ont l’habitude hein ? l’un me demande de ne pas témoigner sur son site et l’autre risque de me foutre en taule, mais pour qui se prennent –ils ? Deux remises à zéro dans un même travail déjà ce n’est pas normal ! Mais deux vidage et moral et financier non plus croyez vous que quelqu’un ait encore envie de pratiquer avec ce qui s’est passé là et qui n’est pas encore réglé ? L’investissement de 2005 a été perdu financièrement et moralement. On voudrait dégouter une professionnelle qu’on ne s’y prendrai pas différemment ?Après ça n’importe qui serait dégouté de la profession et mes patients à force d’être lacés et sans pouvoir les prévenir, et pour l’hôpital, et pour la prison et pour le re hôpital quatre séparations en plein milieu de leur travail ce n’est pas sérieux même un patient m’a vue embarquée par les flics….On voudrait sanctionner quelqu’un que l’on ne ferait pas mieux pourquoi, parce que je refuse de me taire ! Ou peut-être simplement parce que ça l’aurait arrangé que je me présente pour protester à ce procès machiné d’avance ? N’importe qui après en être arriver à deux fichages policiers, trois fouilles au corps, des jours de prison, deux gardes à vue remises à zéro, interdiction de quitter le domicile, maintient sous garde policière ? Qui après en être arrivé là exercerait encore, quand on sait que tout affaiblissement moral nuit à la pratique de ce métier ? Qui voudrait encore de ce boulot après cela ? Deux fois clocharde hein ? Non il y a des limites à respecter et une éthique même vis-à-vis d’une consoeur à respecter.Je ne peux pas me concentrer sur un métier en ayant l’épée de Damoclès sur la tête et avec peut-être à l’issue condamnation même à une amende d’exercer un métier à relation humaine, il a fallu que j’attende 55 ans pour voir ça, comment je peux passer à autre chose sans savoir si je vais faire un an de taule et sans savoir ce qu’à mis dans mon dossier le psychiatre du procureur, c’est que ça va loin cette histoire, comment en rendant quelqu’un clocharde peut –on lui demander en plus 15000 euros , ce n’est pas de la parano c’est la réalité présente dont je n’arrive à me détacher actuellement et pour cause, si je reprends des patients et qu’en plus je suis condamnée je devrai de nouveau mettre la clef sous la porte, n’est-ce pas ce qu’il espère finalement, sauf que si je vais en taule là oui j’aurai le temps d’écrire en long et en large mon histoire analytique et avec Freud et avec Lacan !
Ça n’engage à rien hein de dire après à l’autre qu’il ferait mieux de peindre ? Quand lui-même utilise la violence Il faudra que l’on me dise comment une personne qui sort de l’hopitale avec trente six kilos et une opération peut se faire embarquer en garde à vue et comment elle peut menacer quelqu’un de mort alors qu’elle ne tient pas debout Il ne faut pas oublier que j’étais tellement anémiée et vide de sang qu’on m’a fait des transfusions il y a un moi seulement et y en a mare de toutes ces conneries hein ! De surprises de paquets de lessive hein j’en ai assez moi des lessives quand il s’agit de mon corps et d’accusations morales, sans compter que cela a nuis à mes patients, et que je me mets en danger aussi en parlant tandis que d’autres se marre. Et si cocmme il dit laisser tomber la théorie elle vous rend dingue, il faudrait bien voir pourquoi elle me rend dingue c’est parce que je porte à faux partout où elle passe la théorie et travailler sans théorie qu’est-ce qu’il me reste alors ? C’est comme si on me demandait d’exercer les yeux voilésElle n’a fait que me diviser et en exerçant de même, en fait elle s’en fou des gens qu’elle reçoit, de l’état dans lequel elle les laisse, vider l’imaginaire et la pensée est la fermeture de l’être sur l’espace et lui-même. Les écrits et peinture iront à la cave comme avec freud, celui qui n’a jamais eu de valeur dite par un tiers ne peu pas construire ça ira à eumaus après ma mort point basta, ça ne valait pas 27 ans pour ça, l’emprise sur une vie et légale aussi puisqu’elle se sert de la loi, l’être qui ne peut construire en regard de quelqu’un sa production et nul et non avenue Ça ne mérite même pas d’être vendu, vu, regardé ou lu, la psychanalyse prêche l’absence dans tous les sens du terme, elle divise si bien, qu’une balle dans la tête ferait le même effet ou un court circuit d’oubli, qu’est-ce que je vais publier des mots même pas à moi, elle met un terme à tout même la pensée. Elle m’a trop divisé durant trop d’annéeQuand on commence à piller les liens créatifs rien n’est récupérable, comme le langage n’est pas récupérable, Elle m’a trop trainée dans sa co –morbidité celle de freud, la psychanalyse et cela le prouve en 2005 n’aime pas les gens gais il leur faut une tête qui joue le mort j’ai toujours dit qu’il ne fallait pas me ramener à falaise de nacre c’est pourtant ce qu’elle fait et en 74 et 2003 et si je proteste parce que je voulais garder ma colère, alors ça ne va pas. Sans comter que le site écrivez s’est chargé du reste enlevez 27 ans de poésie et ça ne ressemble plus à rien, l’imaginaire vidé est la pire des choses, un petre ne vit pas au présent, le présent n’a aucune valeur intrinsèque Celui qui a eu une expérience analytique ça peut passer l’oubli mais celui qui en a eu deux ça ne passe plus du tout On s’aperçoit vite qu’en trente ans aucune avancée tangible n’a été effectuée Et c’est même le contraire orange mécanique c’est vieux et dépassé, comme qui a tué virginia wolf, et prévert on s’aperçoit que les erreurs sont plus dramatique et flagrandes en pire et non en mieux. Et le pire avec les mensonges de tous cela ne devait pa s être pareille m’a-t-on dit mais vous ne pouvez réagir à cause du moi coupé de sa résistance première, un moi divisé pour l’occasion Donc la compréhension ne vient que plus tard, avec lacan la déconstruction du langage et dramatique et quand je pense que les linguistes y ont participé ça me fait froid dans le dos. Elle est où la valeur du psychanalyste si personne n’essaie de remédier aux boucheries ? Et pire s’en justifie depuis trente ans. C’est bien pire qu’un comportement pervers parce que vous savez ce que vous faites les pervers eux n’en ont pas conscience, à théorie psychotique, prolifération psychotique et psychopates. La preuve en est qu’aucun appel téléphonique n’est venu d’un seul psychanalyste ou psychanalysé pourtant je sais que je ne suis pas la seule dans ce cas, et qu’il y a quand même des psychanalystes qui savent hein vaguerese ? hein Miller, on ne vous a pas transmis la psychanalyse pour faire du cinéma ou du théatre, vous avez même vendu à la mort de lacan miller des séminaires qu’ils ne voulait pas publier, ça vous rapporte combien (ceux que j’ai acheté ?) non lacan ne vous a pas transmis la psychanalyse pour en faire ce merdier, vous n’allez pas me dire que vous n’étiez pas au courant des retours de noyau de plus en plus dramatique, vous deviez et aviez le devoir de préparer le terrain, non de vous adresser à la loi d’état quand vous ne pouvez plus vous en sortir ! Personne ne vous a demande de vous éloigner autant de l’humain ! Même avec une psychanalyse profane ! Une psychanalyse ne doit pas durer plus de cinq ans, sinon les dégâts sont plus lourd qu’il n’y paraisseent, et ne compter pas sur moi pour prendre la place du mort et laisser tourner l’autre seul avec son inconscient au rique qu’il aille embrasser la mort, j’écoute moi, je peux changer de place, et mes analysant délire moins et guérissent plus vite, un être humain qui s’adresse à vous et en payant à le droit d’être entendu et vu. Parce que deux fois ça fait beaucoup de vibrouze Cela ne me fait pas rire parce que pour moi c’est la bourse et la vie que j’y laisse à chaque fois. Et plusieurs fois qui plus est , et cette fois la correctionnelle j’atends pour dire ici ce qu’il en sera et à quoi je serai condamné, on aurait voulu me tuer pour de vrai que cela ne m’aurait pas étonné, plus de cinq ans de supervision c’est trop, n’aurait on pu tenir compte que j’en avais une autre avant, n’aurait-on pu tenir compte du métier que je faisais avant, parce que quand même c’est cher payer pour un outil de travail qui plus est sans travail. On aurait pu aussi tenir compte de l’age que j’avais non, isoler les gens aussi longtemps pour quoi ? Hein ? Que’est ce que je vais faire de repartir à zéro démunie au plus au point et sur tous les points à 55ans Je m’y étais prise suffisemment à l’avance non, à quoi cela sert si vous n’écoutez meme pas mon histoire ? Si je fais un an de taule ce sera le pompon j’ai meme plus un livre et à manger ça rime à quoi ce cirque de formation de psychanalyste en l’empechant de vivre et figeant sa vie ? Je suis désolée mais je n’ai pas votre humour, quoi qu’avec freud j’ai pas eu autant de problème de fin d’analyse mais corporellement c’est idem, l’inconscient est un outil dangereux il faudrait voir à un peu mieux l’utiliser.vagurese et miller et louka vous pourrez m’apporter des oranges à fresnes entre deux séminaire de rigolade ou deux bouquins pommier aussi à la place de sa chair d’osiris hein ? Je me demande si vous arrivez encore à vous regarder dans une glace ! Ainsi que tous ceux qui savent et qui n’on meme pas le courage de prendre leur téléphone illimité, on a peur de quoi ? Hein ! Je ne vois pas monsieur joly dans la refente et la mise en taule la petite pute et l’ingrate que ce soit un outil de guérison de quoi que ce soit, la supervision a été un deuxième travail qui m’a remise à zéro après le premier travail lacanien en quoi tout ce bordel serait guérison il est plutôt une dégringolade de consoeur. Vous utilisez en vous grattant la tête des mots bien correctes moi je vais droit au but sans tergiverser c’est plus clair.Et que vous non plus vous n’avez pas de couilles pour répondre à mon mail.Les hommes se féminisent bien quand ils veulent hein, mais pour la taule on sait agir
C’est bien monsieur Weil vous m’inviter au spectacle, de 1913, mais je préfère manger d’abord hein parce que pour aller au spectacle il faut un peu d’argent non ! Vous feriez mieux de faire la quête pour psychanalyste fauché ça pourrait aider dans la corporation certains, ou monter avec une anpe pour psychanalystes.Ou pour payer un colis à ceux en taule, l’art au service de l’art de freine ça vous dit ? À la place de salomé-hérodiate hein ? S’appelle agir.ou des colis de Noêl pour psychanalyste dégradés hein ? Vous voulez que je vous parle de l’inconscient collectif du temps de Queneau et Vian pas de Prévert lui il est correcte, la rigolade phallocentrique hein : Ils nous révèle le monstrueux pays qui nous entoure (ça, c’est du travail inconscient bien noir de Freud)celui de nos désirs les plus implacables ou chaque amour cache la haine (comme si qu’il n’y avait qu’amour et haine et pas de milieu !) ou les hommes rêvent de navires, et les femmes de murailles (et bien c’est pas de peau parce que moi j’avais mon voilier à 4 ans) la muraille c’est pour la fondation de rome ou de la grèce moi je ne sais pas ce que j’ai mais l’inconscient collectif qui ne change pas pour les femmes ça ne me plait pas nous ne sommes pas en 1950 mais en 2010 les femmes sont indépendantes et ont un peu changer quand même mais pas l’inconscient collectif, cet humour masculin on le traine encore hein ? Je n’y peu rien mais avec mes deux travaux je ne supporte plus les femmes en vie en boite Même en psychiatrie ils en sont encore à la femme sainte ou antigone ou salomé pas possible ! Ah puis alors le délire de la prison, la folle qui faut enfermer hein correctionnelle et tout le sain fouin, je devrai porter plainte quand même rien que pour dire que je n’y survivrai pas et de plus il le sait je lui ai dit, ni la guerre ni la prison, il veut ma mort et l’amende hein ? Mais c’est quoi cet inconscient tordu qu’il a ? A cause de la cave je ne supporte pas d’être enfermée Rouge et noir, rouge et noir il est malade !ça pourrait paraitre du flaubert mais ne vous y fiez pas c’est de mon sang qu’il s’agit alors ! Là c’est carrément la mise à mort D’ailleurs qu’est-ce que ça vient faire après la supervision et la comparaison des deux travaux pourquoi ça vient à la fin là ? Quoiqu’avec freud sans tout ça j’y suis passée deux fois aussi hein mais c’était moins espacé. Avec lacan j’aurai le droit en plus tout ça en 2009, ce qui explique mon état à cinq autres « petites » morts (cinq agresseurs) cinq morts heureusement qu’il n’y en avait pas une vingtaine j’aurai pas eu le temps pour le grand carnage. Ça va pas non, vous n’allez pas me dire que vous ne le saviez pas hein ? Plus tout ça les petites lessives d’opération à l’hopital non mais ça ne va pas morceaux de chair d’osiris rangez moi donc tous vos scalpel et vos couteaux je ne veux plus en voir un trainer. Et le mieux dans l’affaire c’est qu’il n’y a qu’en psychanalyse que je passe à l’acte jamais dans la vie normale ! jamais je n’ai été malade autant qu’en analyse ! Et le pire dans l’histoire c’est que je conteste par téléphone ce carnage corporel (la machine à laver qui avale tout sur son passage l’extérieur comme l’intérieur, le séchoir intérieur, celui extérieur à la maison, le juste au corps noir, le ceintre, la personne à qui j’offre du thé tout quoi) alors comme je conteste je me retrouve en taule pas possible cette violence alors ! On en vient à la limite même de la psychanalyse du soma et de la psyché chez moi ça ne se passe jamais bien, et le self ne sert à rien Même que je ne veux plus l’écrire c’est loin de me faire rire, je revois la sène sous mon nez, ce n’est pas possible il faut arrêter cela ! Plus jamais ça ! Hein ! Plus jamais ! Si on s’était arrêter en 2003 ou 2005 maxi, jamais tout cela ne serait arrivé ! puisque en 2005 j’étais déjà aller bien droit à peu de chose prêt dans les paquerettes et ai failli à trois minutes près y rester dessous définitivement in éternam Au début de l’analyse je dis que je ne veux pas marcher sur les fleurs ! Parce que mes fleurs sont à la première porte de l’alter ego Comme je le dis je ne veux pas à la division du moi laisser le deux celle du milieu des trois Le deux celle qui en prend plein la tronche est le moi réalité, c’est celle qui a ses défenses pour faire face. C’est pour cela qu’il me faudrait pour me défendre au tribunal un avocat spécialisé dans la psychanalyse, parce que sinon il faudrait que j’explique de a à z le fonctionnement d’une analyse et qu’un avocat ordinaire ne comprendrait pas. Contre cinq plaintes déposées avant je n’ai aucune chance car si c’est moi qui tiens la lame, c’est aussi parce que l’on m’a fait délirer un peu trop rendre l’autre fou à ses limites. Le transfert calqué sur mon vécu est toujours dramatique parce que freud lui se dit qu’il n’y a pas de réalité dans l’inconscient mais voilà, pour moi si. Et que si les freudiens avaient bien voulu entendre lacan, plutôt que de faire la guerre, je dis depuis trente ans que mon symbolique n’est pas là et l’imaginaire non plus, que mon inconscient fait la différence entre féminin et masculin, si les freudiens avaient bien voulu se remettre en cause, et bien la psychanalyse aurait pu avancer, mais non , le père de la psychanalyse il ne faut pas y toucher, résultat, freud ou lacan, je vais à chaque fois droit dans le mur deux fois. Hors du baquet bébé hors du bain, les opérations après, et ravaler mon paquetage (cinq en plus) ce n’est plus possible, mes patients ne se bousillent pas moi ! Il ne faut jamais toucher mon totem de vie, il n’est pas celui de freud ni de lacan, bon sang ! Je conteste totem et tabou de freud, oui cela fait trente ans Et que les cauchemars sont pour moi, ce qui préserve ma survie en permettant de garder le sommeil profond, après le réveil Et que cela ne sert à rien que je le dise parce que tous vous le savez, mais vous préférer faire vos psychanalyses quand même plutôt que de m’écouter quitte à ce qu’au bout je meure, plutôt que de me dire que ce n’est pas un travail pour moi, parce que la deuxième je dis les déboires que j’ai rencontré avec la première, mais on me dit que ce n’est pas pareil alors je vous fais confiance. Ça ne sert à rien de répéter depuis trente ans les mêmes choses, parce que vous n’en tenez pas compte et le pire c’est que vous n’écouter ni au début les séances préliminaires, ce n’était pas pour cela que je m’étais adressée à la psychanalyse, mais un tout autre problème qui de toute façon on n’en parlera pas après, je le dis aussi dans ces premières séances, les risques, j’ai même peur de faire ce deuxième travail, et en plus je m’aperçois qu’il n’a pas écouter mon parcours de vie. Oui, il était plus simple alors de dire que je n’en fasse pas de toute façon ce que l’on peut dire tout le monde s’en fiche, et même les lâches à qui cela arrive se taise pour exercer en paix. Il y a des faux culs partout, on veut bien que les choses soient dites, mais si d’autres en prennent la responsabilité, mais dans le secret du confessionnal comme le curé à qui je suis allée parler et qui était bourré, plus tard mon enfant dieu reconnaitra les siens, alors je suis partie en levant le poing dans l’église, de l’aide c’était au temps présent que j’en avais besoin, pas plus tard. Il savait lui aussi, mais le secret des prêtres est identique au vôtre. Un prêtre qui laisse cinq adultes agresser une enfant de dix ans et demi devrait être passible de la loi de l’état. Mais qu’est-ce que la loi de l’état, puisqu’elle-même actuellement ne tient pas compte du sac noir Pas plus que les deux psychanalystes apparemment les seules personnes à qui je l’ai dit dans ma vie n’étaient pas les bonnes, les psys font, mieux même ils me font, accuser moi-même. On ira jusqu’à me faire foutre peut-être en correctionnelle, les lois du silence hein j’en ai soupé aussi, Aucun n’a eu des couilles pour dire qu’ils m’avaient entendue et pourquoi je me faisais soigner non au contraire on fou cela sur le dos d’un phantasme, c’est plus facile ça coute rien sauf pour moi. Pour tous il y a prescription sauf qu’avec la première analyste il n’y avait pas encore prescription. On appelle cela ironiquement manger son paquetage hein ? L’humour et l’ironie vont bon train puis ensuite c’est quand l’accusée devient coupable bien tien donc ! Alors pourquoi m’avoir fait parler ? Cela s’apparente à de la torture morale. Torture morale pas seulement parce que le calque de ma vie si vous savez ce que c’est, c’est bien le calque des pervers que vous copier les mêmes paroles, les mêmes faits, va te faire voir ailleurs, et la petite pute là dans quel sens je la prends, et l’ingrate dans quel sens je le prends ?On prend des comprimés pour parler, on prend des comprimés pour se taire hein ? la catharsis ne soigne pas, le renouveau il fallait le laisser où il était et mégglé qui me dit en plus que je dois me pardonner, et Lacan qui me colle cinq petites morts à la place de la vérité, vous êtes des gens quand même très compliqué hein ? Moi là dedans qu’est-ce que je suis un objet d’étude pour voir comment je n’ai pas mal tourné ? Il n’est pas bon de retourner tout cela tout le temps et pour rien, lorsque l’on fait une analyse encore passe, elle a pu se tromper, mais deux ça fait beaucoup et avec plus de dégâts encore. En fin que compte quoi que je dise cela se retourne contre moi, et Freud et les soldats de la guerre 14 hein, les gueules cassées, la protection de la mère pour pas aller au front, c’était se faire fusiller ! Ne me demandez pas de retourner à Freud et arrêter avec toutes ces guerres passées j’en ai tellement sur le dos vu mon passé. Et le site oedipe et dupin là derrière mon dos, internet ce n’est pas du joli joli non plus hein ? Et nous sommes en 2010 Oui j’en ai mare des vieilles têtes ! Une question se pose, quand même pourquoi aucun progrès n’a été fait en psychanalyse, sur de tout petits points comme cela ? Malgré des points tellement évidents ? Il est inadmissible de nos jours que l’on fasse accuser des gens sur la base d’un moi inconscient, je n’ai jamais pratiqué ça sur le terrain quotidien. J’avais réglé mes problèmes toute seule avant la psychanalyse et mieux que cela. D'ailleurs, je disais que c’est une porte noire qu’il ne faut pas ouvrir, mais avec Freud il faut pousser l’inconscient le plus loin possible, je ne suis pas d’accord en ce qui concerne la réalité. Pourquoi je suis psychanalyste je ne sais même pas moi-même tout dépendra si je suis condamnée e d’ailleurs demain je vais écrire au procureur parce que je trouve un peu long les débats pour savoir ce que l’on va faire de moi ! Depuis le jugement du 6 septembre, ça fait un peu long pour m’envoyer le simple compte rendu. Je pensais la psychanalyse hors jugement, idéologie, religion, etc., mais on s’aperçoit que même l’inconscient du commun n’évolue pas, où est le problème ? Répétez ce qui se dit depuis cinquante ans oubien cent ans ne m’intéresse pas Pour exercer un métier ou faire quelque chose moi j’ai besoin de sublimation pas de déchéance Et en plus quoi que je fasse, vous l’aurez décidé, à ma place, quoi que je fasse ce sera grâce à vous, quoi que je dise tout le monde s’en fout, ce n’est pas très amical comme corporation ou chacun ne pense qu’à sa petite soupe et se fou de ses collègues….Je suis fatiguée je vais me coucher, mais vous m’avez ôté avec vos conneries, le meilleur de moi-même. Ça vous amuse donc tellement de dégrader les gens ? Ça ne vous allait pas hein comme j’étais en 2005 La psychanalyse n’aime pas l’affectif, elle trouve les sentiments nuisibles, c’est là son problème comme le passé aide à grandir et n’aggrave pas forcémement le présent.pour en faire de l’horreur du vécu au contraire on le range et en tire profit pour l’avenir, le deuil est partout chez Freud, les retours en arrière aussi, comme si les sentiments devaient avoir l’air culpabilisateur, tout le monde ne rêve pas d’être un demi dieu, partout il y a faute, honte, culpabilité , jamais joie, bonheur et harmonie avec soi, toujours des divisions, comme si l’être humain n’était qu’un dileme. L’abandonique au contraire à la faculté de ne pas s’attacher si on lui laisse sa personnalité intègre créer des liens qui n’étaient pas en lui est introduire quelque chose qui ne connaissent pas à l’origine et devant lesquels il est démuni , le passé marche en continuité et non sans arrête à un premier trauma tel les mots nous servent à parler dans une continuité et non en retour au même point arrière, nous utilisons des mots passés pour expliquer le présent et ne parlons pas en babiche. On ne construit rien sur des cendre et de l’oubli permanent, sur l a culpabilité et la violence, sur la guerre et la honte, on ne construit que sur du positif et non du négatif, la vie est faite d’un mélange des deux quand les psychanalystes arrêteront leur propre pessimiste alors le monde ira mieux dans l’inconscient collectif aussi. Ceci est du à la période de guerre et d’après guerre dont il faudrait peut-être sortir car nos enfants actuels l’on largement dépassé et que pour bien travailler l’inconscient mérite que l’on en tienne compte.Ce sont leur collé des problèmes sur le dos qu’ils n’ont pas. Tout est en pièces sans plus de cohérence et que la psychanalyse s’intéresse peu à ses propres moyens de pensée
CASSER SES CONSEOURS CELA EXISTE AUSSI EN TOUTE IMPUNITE
DES PSYCHANALYSTES QUI JUSTIFIE LEUR REFENTE ET LA DEGRADATION DE LEUR CONSOEUR DEVANT LA LOI HORS CABINET ET ON RECOURT A LA LOI POUR PROUVER LEUR THEORIE DE BOUCHER DE PARIS
Puisque tout le monde fait semblant de ne pas m’entendre je vais aller porter plainte ainsi peut-être je serais entendu je me défendrais seule Personne n’a le droit d’immobiliser et de ruiner une vie en toute impunité durant 17 ans
LA CORRECTIONNELLE EMPECHANT TOUT DROIT D EXERCER VIS-A-VIS DE L HUMAIN MA MAISON VIDE JUSQU A LA BIBLIOTHEQUE INTERNATIONALE IL FAUDRA QUE J ATTENDE 55 ANS POUR VOIR CA
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Profile-supprimé — 08-01-2010 15:04 |
La Psychanalyse Est Un Metier Passif Et Non Actif
Qui N Apporte Aucun Mouvement En Soi
Ni Evolution Positive C Est Un Metier D Enfermement Au Present
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Profile-supprimé — 08-01-2010 15:07 |
Elle Donne Des Outils Aux Psychologue Rien De Plus
Et Justifie Par La Negativite Toute Positivite Evolutive De L Etre
C Est Une Theorie Tare Depuis Deux Generations Formes Sur Le Modele Psychotique
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Profile-supprimé — 08-01-2010 15:14 |
Je Pete A Rire Mais Vous Donne A Penser
Pourquoi Les Femmes Analystes Jouent Au Chef Et Se Taisent
Il Faut Tourner La Page
Le Temps Est Un Serial Qui Leurre
Dans Le Reflet Ironique Des Apparences
Que Peut-on Quand On Ne Peut Rien Pour Soi ?
En Avant Doutes
Revenue De Tout J Y Suis Retournee
En Verge Et Contre Tous
Par Quelle Phrase Incertaine Toujours Effacee
Oser Dire Aux Murs Que D Autres Se Taisent
Creer C Est Resister
Fais De Moi Ce Que Je Veux
Je N Attends Rien De L Amour C Est Lui Qui M Attend
Un Langueur De Lit D Avance
Tu Es La A Mepier
Redouter Ce Qu On Souhaite Ce Qu On Redoude
Pas D Ideaux Juste Des Idees Hautes
De Pere En Pire
Il Y A De La Rage Dans L Ere
Le Plus Fort N Est Pas Celui Qu On Pense C Est Celui Qui Pense
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Profile-supprimé — 08-01-2010 15:19 |
Regarde La Realite En Farce
L Homme Est Le Passe De La Femme
Entre Volupte Et Vaisselle Je Menage Ton Bricolage Existentiel
Eros Est Rosse
Quand Le Vain Est Tire Il Faut Le Boire
Reclusion Conjugale Le Domestique S Evade
Mon Amour Tu Me Prends Pour Une Autre
Mieux Que Rien C Est Pas Assez
J Ai Des Heures De Vol Et De Vertiges
On Ne Badine Pas Avec L Amour
Cueillir Leros De La Vie
J Ai Traverse Des Pays Et Des Hommes
Sorciere Egaree Dans Un Monde Sans Magie
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Profile-supprimé — 08-01-2010 15:26 |
Je Cherche La Verite Et Un Appartement
Comment Taire Comment Dire
La Terreur Est Humaine
Faut Il Plier Ou Resister ?
Depasser Le Passe Toute Une Histoire
Apres Des Histoires A Dormir Debout Des Histoires A Coucher Dehors
Faut Il Prier Pour Que Dieu Existe ?
Le Monde Est D Humeur Massacrante
Les Individus Sont A La Masse
Impots Sur L Infortune
J Ai Depense Tous Mes Reves Et Je Vis Aux Crochets Des Mots
Descendre Dans La Rue Ou Y Finir ?
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Profile-supprimé — 08-01-2010 15:32 |
Cecites Urbaines
Ce Qui Nous Creve Les Yeux Nous Rend Aveugle
Devenir Simple C Est Si Complique
Femme D Esprit Je Redonne Du Corps A La Langue
Une Chansonnette Un Chance Honnete
Tout Achever Sauf Le Desir
Ca N Arrive Qu Aux Autres Tant Mieux
Suivre Son Desir Pour Ne Pas Le Rencontrer
Le Temps Est Il Un Crime Parfait ?
Art Du Desir Ardu Desir
Je N Ai De Maternelle Que La Langue
Je Mourrai Sauf Accident
Femme De Letre Avec Les Mots De L Ame
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Profile-supprimé — 08-01-2010 15:39 |
Je Ne Croyais A Rien Mais Je N Y Crois Plus
La Poesie Est Un Sport De L Extreme
J Ai Le Mal De Taire Et Mes Ailes En Reclament Encore
Je T Aime Temps
Apres Repentir Le Rementir
Je Domine Ce Qui Me Domine
Je Joue Oui
Je Resonne Tu Raisonnes
Est Ce Que Ca Calemerait La Mienne ?
Je M Ecrie Tu Me Lies
Je Medite Tu Medites
Faire D Un Mot Le Bel Amant D Une Phrase
Oedipe Ta Mere
Posseder C Est Se Faire Posseder
Les Actes Gratuits Ont Ils Un Prix ?
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Profile-supprimé — 08-01-2010 15:44 |
Apprendr A Prendre
Ce Qui M Eloigne De Moi Me Separe Des Autres
Fendue Defendue
Jouer La Fille De L Art
Nos Peaux Aiment D Amour
Cet Instant Ou Tout Con Verge
Pour Des Vits Meilleurs
Je Donne A Profusion Je Prete A Confusion
A Lacan Ses Lacunes
Soyons Heureuses En Attendant Le Bonheur
Ce Qu On Ne Ma Pas Donne Je L Ai Pris
Je Divague Tu Freudonnes
Aimer Dire Et Medire
Je Revendique L Absolu Minimum
J Ecris A Hauteur D Homme
Le Soleil Nous Laisse A Des Jours Plus Vieux
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Profile-supprimé — 08-01-2010 15:57 |
Peaux Cassees
Avec Qui Mettre Son Ame A Table ?
Tu Me Sauves Et Je Me Sauve
Allez Faire Le Male Ailleurs
Soyons Des Gueux
Le Beton Est Arme Moi Aussi
Cet Amour Il Faudrait Le Repeindre
Le Manque C Est Un Oiseau Qui Cherche Ses Ailes
Pends Mes Jambes A Ton Cou
Je T Aime Profond Dement
Est Ce Que L Homme Descend Du Songe ?
L Ethique C Est L Esthetique Du Dedans
Nous Sommes Tous En Situation Irreguliere
J Ai Zone Dans Les Magnifiques Bordels De L Absolu
Vain Coeur Vain Cul
Je T Ai Fait Marcher Je T Ai Fait Courir
Je Te Ferai Tomber
Dire Aux Murs Que Les Pierres Ont Un Ame
Nous Qui Sesirons Sans Faim
Silence On Detourne
Le Mur A Un Grain Moi Aussi
Tes Faims De Moi Sont Difficiles
Le Pouvoir Ne Protege Pas Il Se Protege
Je Ne Me Rends Jamais MËme A L Evidence
Peut On Reussir Ce Qu On Rate ?
Ton Absense Me Ravauge
La Belle Au Moi Dormant
J Ai Couche Avec Une Armee De Sentiments
Tu Le Desires Tue Le Desir
Ni Fees Ni Affaires
J Aime Les Hommes Avec Etonnement
Tomber En Amour Une Chute Vers Le Haut
Vivre Avec Des Espoirs
Trop Heureuse Pour Etre Peureuse
On Touche Le Fond Sans Les Pensions
Gouverner Nuit Gravement A La Sante Mentale
Le Droit D Asile Une Histoire De Fou
Des Lendemins Qui Chantent Faux
L Ado Au Mur Une Bombe A Retardement
Dangeruese Sous Tous Rapports
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Profile-supprimé — 08-01-2010 16:08 |
Eros erosion
Je te dois quelques péchés capiteux
Pour des ébats participatifs
J'ébranlais tes nuits à coups de compromis
J'ai vendu ton âme au diable
L'avenir a une excellente mémoire
Je crois en l'eternel féminin
Strip-tease poiétique je me dérobe
J'ai des chambres de silence avec vue imprenable sur le doute
Des rêves d'anges heureux
Permis de se reconstruire
Femme au bord d'elle - même
J'aime sans pitié
Je fais marcher les rêveurs
Le chagrin tapine sous mes paupières
Je suis accro tu es à cran
La vie en dose
Armée jusqu'aux dentelles
Nos corps sont des colis piégés
Une vie bien fête
L'art nuit à la bêtise
Appâts de louvre
Avec l'amour le temps passe vite avec le temps l'amour passe moins souvent
Je laisse a désirer
Egérie et j'ai pleuré
J'ai des réserves d'Indienne
Idéaliste devenez idéal
Pourquoi miauler quand nous pouvons rugir ?
Le travail nous retraite la retraite nous travaille
Passez moi l'expression
Dans mes asiles intérieurs l'humour four
bricole moi un été
Un remède à l'amour aimer encore
Je suis dans la lune ne la décrochez pas
Go homme
Trouver du rose dans le morose
Je joue avec le feu sacré
C'est la vie ça va passer
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Profile-supprimé — 08-01-2010 16:56 |
je suis désolée mais pardonner les erreurs toujours les mêmes et programmées d'avance n'est pas signe d'intelligence mais de déchéance forcée
je pense que je ne vais pas cette fois me laisser faire
l'avilissement plusieurs fois répétés sur des cercles voulu
mérite que cela se dénonce
ne serait-ce que pour une question de dignité humaine
et de non mépris de l'être
faire rentrer dans le métier quelqu'un pour conforter une théorie
après la faire critiquer volontairement avant le retour du noayau est de la manipulation mentale
je te donne le métier tu me loue dans tout le quartier
ensuite je t'obliges à crituquer puis je te reprends le désir et refend volontairement le désir
là dessus s'ajoute la fin du noayau dont on n'avait pas conscience
ainsi toute les étapes sont prévues
avant que l'être n'est le temps de savoir de quoi il s'agit
je pense que reprendre un désir est aussi néfaste pour la psyché
rire et faire plaisanter avant l'égémonie est du même type
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Profile-supprimé — 08-01-2010 17:02 |
tout ce qui est calculé et prévu en vue d'une idéologie sans que la personne ne puisse comprendre en même temps de quoi il s'agit est nocif pour son mentale
cela veut dire que l'on prévoie et organise avant tous ses modes de réactions non pas pour elle mais pour une cause, une idéologie et un devoir
ce qui est bien différent que de donner ou offrir un désir sans calcul et arrière pensée
à la limite c'est prendre l'individu pour un con
après avoir fait la pub parceque j'étais bien et qu'elle m'avait alors mener à la guérison on ne m'a pas dit qu'une deuxième fois on allait me dégringoler et en forcant une critique et en reprenant ce qu'on m'avait donné
on ne m'a pas dit que j'allai passer par une seconde mort et opération corporelle alors que je l'avait déjà eu avant quel bien et quelle intelligence là , la soumission et casser une professionnelle volontairement pour etre le maitre du quartier, il y a plein de psyc qui en subisse les affronts dans le secret professionnel
cela n'a rien à voir avec la nature de l'homme tout comme l'art n'avait rien à voir avec ses manigance puisque j'avais la poésie avant l'analyse
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Profile-supprimé — 08-01-2010 17:13 |
je ne pense pas qu'apprendre à l'être humain ses moindres retranchement en étant deux fois clochardes soit une façon de grandir l'être humain dans la dignité humaine
le recommencement est une question de superstition et d'hédonisme que tout le monde n'a pas
enfin quel bien peut tirer hors le religieux qui sacrifie tout désir depuis verlaine très religieux on retrouve ce que freud a fait de moi en 74 meme la poésie a été volé et saccager comme si l'art devait être un point achevé de l'être humain
or la pensée humaine n'est jamais achevé ce que vous faite de l'art thérapie n'a rien à voir ni avec l'artiste véritable qui se trouve en sublimation sur l'autre coté de la plaque ni avec le grandissement de l'être c'est le religieux qui décrète que l'on doit livrer à la mer au deuxième fond de mer tous ses biens et tous ses espoirs, ce n'eest pas dans l'apprentissage ni dans le fond de l'être humain
savez vous ce que vous faites d'une voix déconstruite le style ne s'apprend pas la façon de parler non plus tout ce qui est programmé pour une théorie vient empiéter gravement sur la façon naturel d'un individu qui ne retrouvera jamais son style et rytme poétique
je déconseille formellement aux artistes de pratriquer la psychanalyse la seule chose qu'il pourront dès lors produire c'est le langage vicié et profondément noirci de l'inconscient analystique un langage autre que le leur mais programmé et pré disposé non un langage particulier depuis plus de cent ans les témoignages analystiques se ressemblent tout que l'on prenne prévert vian ou les suisvant , le style baudelairein est bien programmé de la même façon que le style analytique , la femme là dedans il n'y a qu'à regarder ses déformation dans la description de ses chats pour comprendre que la psychanalyse formate ses propres témoignages .
comment en effet en 50 ans de différence nous retrouvont les mêmes symbole lapin chapeau, miroir et chez les hommes et chez les femmes
alors que le lapin pour moi était grave trauma sexuel vrairment violent comment peut-il advenir dans des paysages gelés et plusieiur ce que dit mon inconscient est très net. et n'a rien à voir avec le lapin liberté
la noire viendra après la refente parce que la psychanalyse ne m'accorde même pas ce que l'on nomme fonction.
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Profile-supprimé — 08-01-2010 17:21 |
je suis désolée mais je ne peux pas me taire
on ne peux pas rendre clochard les gens et après ironiquement leur dire qu'on les coinces et qu'en plus ils doivent pardonner ou passer l'éponge comme si rien n'était
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Profile-supprimé — 08-01-2010 17:33 |
ou alors il faut dire au gens clairement qu'on va les dépouiller les endetter pour des années en leur prenant même ce qu'il possèdent chez eux
croyez vous que si on s'attaque aux gens seuls il n'y a pas une raison bien sur que si et c'est pourquoi on ne s'attaque pas à n'importe qui
des gens faible isolé , déjà indépendant, c'est mieux pour les isoléer de leur travail par la suite et de les rendre dépendants par des rythme de séance de plus en plus rapprocher et d'un cout de plus en plsu honéreux cela ne se fait pas de suite on attend que la personne soit bien chauffée préte pour la régression qui la met dans un êtat d'extrème faiblesse et réduite à des habitudes et de paiement et de rythme de séance
faire régresser les gens c'est les mettre justement dans une position de prime enfance le faux self ne sert qu'à cela réduire l'individu à une extrême dépendance vis à vis de l'autre
croyez vous qu'au bout de 27 ans de ce système il n'en reste pas des troubles on fait parler l'individu avec des médicaments et si il n'est pas un individu correcte c'est à dire celui qui parle et qui dit il est lamentablement jetté la refente en est la preuve
je te donne mais je te reprend le désir parce que tu es un mauvais élément et ceci se terminera au bout de 17 ans par un coup de pied au cul et porte claquée
où est là le mot amour dont vous vous atribuez tous la panoplie majeur de votre égo super savoir ? comment puis je réagir quand après cela se termine par une autre mort comme une bête ou un animal que l'on achève après l'avoir vidé et pris son expérience et son imaginaire et le vidage de sa maison et de tous ses bien
pour celui qui n'est pas religieux en sachant que j'avais déjà dix années d'analyses derrière moi et que j'avais averti clairement de la façon dont cela s'était déroulé à la fin mais non dira t-on ce n'est pas pareille mais si c'est pareille meme pire la vraie boucherie, avec un tableau horrible qui pue la mort à cent lieu à la ronde rouge et noir d'un malade mentale et dont meme la hiérarchie maintien le pouvoir
personne n'a demander de pousser aussi loin l'expérience quand on pense que ce psypchanalyste n'a meme pas été témoin de mon histoire puisqu'il ne l'a meme pas entendu
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Profile-supprimé — 08-01-2010 17:36 |
faire rire les gens cyniquement avant de les rendre dans la rue n'a rien d'une gloire
c'est la belle souffrance du religieux je crois que je vais me flinguer oui je crois que
je vais le faire comme cela au moins on m'entendra une bonne fois en trente ans
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Profile-supprimé — 08-01-2010 17:39 |
je pense QUE LA PSYCHANALYSE A BESOIN D UNE LECON
SI IL FAUT LE PAYER PAR MON SUICIDE ELLE VA L AVOIR AINSI CELA LUI SERVIRA
DE RAPPEL A L ORDRE SUR LA FACON DE TRAITER L HUMAIN UN PEU MIEUX QUE
CELA
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Profile-supprimé — 08-01-2010 17:45 |
Ce N Est Pas La Premiere Fois Dans L Histoire De La Psychanalyse
Que L On Pousse Une Femme Au Suicide Pour Stopper Un Peu Les Abus
Il Y A Des Femmes Sur Cette Terre Qui Ne Meritait Pas Ce Genre De Traittement
Comment A Cinquante Cinq Ans Avec Le Corps Lacere De Partout Je Vais
Recommencer Ma Vie A Zero Je N Ai Meme Plus De Quoi Bouffer
Pousser Les Gens Au Suicide Apres Deux Fois Dans Une Meme Analyse De
Cloqhe Repeter Ca Rime A Quoi Meme A Vos Enfants Vous Ne Supporteriez
Pas De Voir Ca Ni Qu On Ne Les Utilise De Cette Facon
Cela A Un Nom Achever L Individu Pour Avoir La Paix Apres L Avoir Vide
Et Epuise Et Ce A Deux Reprise Je Pense Oui Que Mon Suicide Porrait
Remettre Un Peu Les Pendule A L Heures Chez Certains Psy Qui Se La Ferme
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Profile-supprimé — 08-01-2010 17:50 |
Attendre Que Le Temps Passe Pour Que Les Gens Se La Ferme
Moyen Facile Et Si Je Parle C Est Prevus Aussi Il Y A Un Mythe Pour Chaque
Cas Sauf Que Ma Vie Je Vous Le Rapelle N Est Ni Un Conte Ni Un Film De
Cinema Mais Une Vie Humaine Vivante Qui N En Peut Plus
Vous Oublier De Dire Combien De Personne Apres Une Refente Combien De
Personne Se Suicide En Silence
Croyez Vous Humain Qu En Cinq Ans De Supervision On M Ait Remise
Encore Une Fois A Zero Anna Freud Alice Miller Melanie Klein Sont Elles
Devenues Deux Fois Clochardes Pour Exercer Une Profession ,
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Profile-supprimé — 08-01-2010 17:53 |
Vous Oubliez Que L Etre Humain A Des Limites Aussi Dans Ce Qui
Concerne Le Supportable
Le Meurtre Dans La Chambre Jaune Hein Passe Sous Silence
Pas Cette Fois C Est Une De Trop
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Profile-supprimé — 08-01-2010 18:05 |
On Ne Peut Pas Jouer Impunement Au Jeu De La Roulette Russe Deux Fois
Dans Ce Meme Travail Pousser Les Gens Au Suicide Cela Porte Un Nom
Jouer Au Jeu De La Mort Avec Eux Non Plus
Chaque Etre Humain A Des Limites Qu Il Ne Peut Supporter
Un Personne Seule Et Une Femme En Plus Est Une Cible Parfaite Hein
C Est Oublier Que J Avais Un Metier Tout Aussi Et Meme Plus Complet
Que Le Votre Cela Ne Valait Pas 17 Ans De Ruine Et De Ma Maison
Biblitheque Entiere Pillee Jusqu Aux Economies De Toute Une Vie De
Labeur Durement Gagne
Cynique Vous Direz Oh Mais Tout Le Monde Peut Se Suicider Il Y A Meme
Des Psychanalystes Qui Se Suicide
Vous Oublier De Dire Que Si C Est Moi Qui Tien Le Couteau C Est Bien
Manier Sur Vos Instigations Morale Et Physique
Avec La Psyche Sans En Connaitre La Delimitation Corporel? La Ruine
Humaine Que Vous Calculez Et Programme En Theorie Il Y A Des Gens Qui
Ne Peuvent Plus La Supporter
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Profile-supprimé — 08-01-2010 18:09 |
Je Vais Laisser Les Documents A La Maison Ils Parleront D Eux Meme
Trop C Est Trop
On A Jamais Vu Ca En Psychanalyse Le Tribunal Le Commissariat J En Ai
Marre De Vos Histoires
Elles M Embourbent Un Peu Plus Chaque Jour
Je Pense Que C Est Justement Le Role Que Voulait Me Faire Jouer La Psyc
Canalyse Pour Redorer Son Blason
Ce Ne Sera Pas Le Cas Moi Vos Histoires J En Ai Marre Et Cette Fois On Ne
Peut Pas Me Demander De Me Taire Encore Une Fois C En Est Trop
Oui C En Est Trop
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Profile-supprimé — 08-01-2010 18:19 |
je trouve un peu dégeulasse de faire rire les gens
après 17 années d'emprise et de déchéance
j'avais déjà recommencer ma vie sans toutes ces histoires
je suis désolée c'est plus une question morale pour moi
apparemment il n'y a plus de morale en psychanalyse
c'est facile de coller du deuil et de la séparation
on ne joue pas avec la vie des gens 27 pour rien cette fois ci est une fois de trop
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Profile-supprimé — 08-01-2010 18:26 |
la seule chose que vous faites c'est maintenir les gens dans l'angoisse et la dépendance
et quand ils sont vidés de tout et de tout bien
vous les jettez à la rue comme des chiens
l'etre humain mérite mieux que ça
et a été détourné du but premier dont je m'étais à elle adressée
bien loin de moi de demander ce à quoi elle m'a conduite
jamais je n'ai demandé d'être vidé de tout bien et intérieur de mon chez moi non
corporel aussi il y a là une grande différence entre ce pour quoi je me suis adressé
à elle et là où elle m'a donduite
je n'ai pas demander ni d'aller en prison ni en correctionnelle ni d'etre réduite au
de clocharde deux fois en une seule analyse
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Profile-supprimé — 08-01-2010 18:39 |
ce genre d'altérité vide je n'ai pas attendu après elle pour savoir ce que c'était
à neuf ans je le savais déjà et ça m'a plus l'air d'une altérité psychologique qu'une
altérité analytique
peut-on faire dire n'importe quoi à l'être humain sur des temps différents à chaque
fois, non, peut on faire rire avant la déchéance, les déchéances successive là où il
y avait la vie et le bien être il ne faut jamais toucher le totem de vie mais il ne
faut jamais jouer non plus meme quand ça va bien en 2005 jouer encore pour
s'amuser tout simplement à redescendre un être qui avait retrouvé un bien être
avec soi, apparemment la psychanalyse n'aime pas les gens qui aime la vie
ça ne lui convenait pas il a fallu qu'elle utilise une refente, c'est à dire un
reversement théorique et une façon de parler et d'être simplement pour servir
sa propre cause, là où j'étais bien il a fallu me redescendre une deuxième fois
je ne supporte plus celui qui tient le couteau n'est pas toujours le responsable
où avez vous vu que la déchéance faisait grandir, bien dommage que les gens
qui parlent si bien avec soi disant autant d'amour utilise la violence et la dégradation
de certain être pour servir leur causes mensongères.
plus vous avez théoriser plus vous en avez réduit l'être à un simple animal de pulsion
ou objet d'étude et d'étude de vos porte monnaie aussi
je suis fatiguée, la psychanalyse est devenu un mic mac psychologique psychiatrique
lunguiste , philosophie, religieux , biologique sans plus rien de sérieux regardez vous
tpis qui écrivez le nombre de conneries que vous dites, écrire pour vendre, vendre à
tout prix vous en avez tellement diviser l'homme que vous le mépriser par vos écrits
bien pensants trop bien pensants justement
vous oublier l'être qui était simpelement venu là vous voir d'homme à homme et non
pas de culture contre nature, vous oubliez de regarder celui qui était simplement
vous demander de l'aider non vous demander de l'enfoncer un maximun.
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Profile-supprimé — 08-01-2010 18:40 |
vous avez oublier votre egal tout simplement
celui là ne s'était pas adresser à vous pour voir la mort mais simplement parce qu'il
vou
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Profile-supprimé — 08-01-2010 19:46 |
de toute façon quoiqu'on dise ça ne sert à rien
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Profile-supprimé — 08-01-2010 19:48 |
puisque l'inconscient collectif là déjà formaté
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Profile-supprimé — 08-01-2010 19:51 |
que dit l'inconscient de freud
que c'est la société qui frustre et alors ?
cela ne vaut pas l'immobilité d'une vie durant 27 années
c'est la seule chose que j'ai toujours
et je n'avais même pas besoin de coupure de cordon pour savoir cela
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Profile-supprimé — 08-01-2010 20:42 |
Amie
Amie, tu l’as bien dit : en nous, tant qu nous sommes, Il existe souvent une certaine fleur Qui s’en va dans la vie et s’effeuille du cœur Il existe, en un mot, chez les trois quarts des hommes Un poète mort jeune à qui l’homme survit Tu l’as bien dit, amie, mais, tu l’as trop bien dit.
Tu ne prenais pas garde, en traçant ta pensée Que ta plume en faisait un vers harmonieux Et que tu blasphémais dans la langue des dieux.
Relis–toi, je te rends à ta Muse offensée Et souviens-toi qu’en nous il existe souvent Un poète endormi, toujours jeune et vivant.
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Profile-supprimé — 08-01-2010 21:03 |
Elle n’est pas morte, amie
Elle n’est pas morte, amie, cette poète, en mon âme ! Elle n’est pas morte, amie, tue le dit, je le crois. Elle ne dor pas, elle veille, étincelle sans flamme La flamme, je l’étouffe, et je retiens ma voix.
Que dire et que chanter, quand la plage est déserte, Quand les flots des jours pleins sont déjà retirés, Quand l’écume flétrie et partout d’algue verte, Couvent au loin les bords aus matin si sacrés ?
Que dire des soupirs que la jeunesse enfuie Renvoie à tous instants à ce cœur non soumis ? Que dire des banquets où s’égaya la vie, Et des premiers plaisirs, et des premiers amis ?
L’amour vint sérieux pour moi, dans son ivresse Sous les fleurs tu chantais, raillant ses dons jaloux. Enfin, un jour tu crus ! Moi j’y croyais sans cesse, Sept ans entiers, sept ans ! Sylvie y croyons nous ?
L’un ardent, vous prend dans sa soif et vous jette Comme un fruit qu’on méprise après l’avoir séché. L’autre tendre et croyant, un jour devient muet Et pleure et dit que l’astre en son ciel s’est couché !
Le mal qu’on savait moins se révèle à toute heure Inhérent à la terre, irréparable et lent On croyait tout changer, il faut que tout demeure Railler, maudire alors, amer et violent
A quoi bon ? Trop sentir, c’est bien souvent se taire C’est refuser du chant l’aimable guérison C’est vouloir dans son cœur tout son deuil volontaire C’est enchainer sa lampe aux murs de sa prison !
Mais cependant, amie si ton luth qui me tente Si ta voix d’autrefois se remet à briller Si ton frais souvenir dans ta course bruyante Ton chant gai chasseresse me revient appeler
Si de toi quelque accent léger, pourtant sensible, Comme aujourd’hui m’apporte un écho du passé, S’il revient éveillé, à ce cœur accessible Ce qu’il cache dans l’ombre et qu’il na pas laissé,
Soudain ma voix renaît, mon soupir chante encore, Mon pleur, comme au matin, s’échappe harmonieux Et tout parlant d’ennuis, qu’il vaut mieux qu’on dévore Le désir me reprend de les conter aux mieux.
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Profile-supprimé — 08-01-2010 21:49 |
Si quelqu'un peut rire d'être passer pour un con
1O ANS DE SA VIE
Il rira beaucoup moins quand il y aura passer 27 ans
Le cynisme il ne peut pas se le premette
VU LES DEGATS
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Profile-supprimé — 08-01-2010 21:55 |
les altérités sont identiques à 9 ans
elles sont psychologique et non analytiques
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Profile-supprimé — 08-01-2010 21:58 |
les grands pontes psychanalystes
ont bien ri et ont mangé l'argent et l'argent du beurre
en se foutant pas mal du légue aux suivants
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Profile-supprimé — 08-01-2010 22:17 |
Le devoir de résilience n'existe pas
ce mot n'existait pas à mon époque il n'y a aucun devoir là
on l'a ou on l'a pas
ma liberté d'être se garde de droit de non pardon
face à l'hégémonie réalité c'est le seul droit que je détiens
l'art ne doit pas servir en fin de résilience
on est poète avant ou on ne l'est pas point barre
l'art ne sert pas un but il est naturel ou ne l'est pas
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Profile-supprimé — 08-01-2010 22:23 |
l'art est plus complexe
Il ne doit pas servir une psychologie qui arrange tout le monde surtout de faire accuser à tort et par écrit et par voix un moi inconscient en plus divisé
l'art n'a pas de but psychologique ni de guérison il n'a par le but du devoir être bon ou pas, mauvais ou pas , normé ou pas
l'art n'a pas le but psychologique de résilience, de devoir et vouloir
l'art est détenant d'un lien de l'alter ego , lien en continuité ascendante et non en résilience comme l'art thérapie
Je me revendique poète libre d'aimer ou de mépriser c'est le seul droit individuel de ma liberté d'être là où je n'avais pas le droit à la vie point basta
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Profile-supprimé — 08-01-2010 22:28 |
Personne n'a le droit de mettre le mot de résilient sur Primo et Celan, ni karakachian qui est mort sans reconnaisse du génocide pourtant il y a laisser deux enfants en bas âge, ni de ma propre personne dont les pervers me rient au nez à l'heure actuelle.
leur liberté d'être est justement de ne pas permettre au raisonnement
de leur enlever leur première liberté individuel
le raisonnement pervertis la raison humaine
on trouvera toujours des excuses à l'autre
l'homme n'a pas de pensée arrêter
il doit garder le devoir et pouvoir de dire non !
Personne n'avait le droit pour ça.
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Profile-supprimé — 08-01-2010 22:34 |
Un devoir de résilience coupabiliserait à tort la victime qui ne veut pas donner le pardon, ni l'oublie, c'est tout à fait psychologique de vouloir des hommes qui oublie et pardonne les pires crimes, c'est une erreure profonde elle culpabilise la victime qui ne peut le donner, arrêtons donc de vouloir donner à mauvaise escient , tout comme il faut arrêter avec le don des naïfs exploités depuis des temps
le don doit figurer dans un echange non une obligation
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Profile-supprimé — 08-01-2010 22:41 |
Il y a de nombreux êtres humains qui n'auront jamais aucune reconnaissance personne n'a le droit de leur demander ce qu'ils ne peuvent donner
beaucoup de particulier et beaucoup de groupe humains aussi
Il est aussi criminel de vouloir passer sous silence sous couvert de résilience le mal se propageant et en amont et en aval, le pardon mal donné contribue à perpétuer certains crimes non reconnu, pourquoi alors l'homme serait-il bon si le pardon est automatiquement donné.
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Profile-supprimé — 08-01-2010 22:48 |
l'art est une forme d'expression multiple , il décrit aussi bien les moments de calme, de colère, d'angoisse ou de bonheur, l'artiste n'a pas à avoir une humeur égale il doit pouvoir traduire par son art tous les instants qu'il ressent au moment ou il les ressents, il y décris aussi bien des moments passés, présent ou avenir
l'art figé comme la voix figé n'est pas artistique
pour un artiste le passé n'est pas une problèmatique.
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Profile-supprimé — 08-01-2010 23:06 |
Je ne vois pas très bien ce que l'art vient d'ailleurs faire avec pardon et résilience cela enlève par devoir un valeur humaine que certains être avait naturellement Staline aussi était bon père de famille, quel art pratiquait -il ? lui aussi analysé avait un art terminatif non ? Si !
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Profile-supprimé — 08-01-2010 23:10 |
toute personne faisant une analyse à ce point imaginaire à son terme sauf que c'est du vidage imaginaire sans création ouverte, mais fermé vidé, désoudé de son socle. les formes géométriques en est la preuve flagrande, qu'appellet-on art c'est bien différent parce qu'il se situe sur un autre plan de sublimation que le volontaire.
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Profile-supprimé — 08-01-2010 23:18 |
l'homme dans son essence n'a pas à aimer tout le monde ceci fait parti de son bien être à soi, et en soi, et nous avons tous des moyens différents pour l'exprimer. Dire aimer ses ennemis est pur affabulation, et heureusement qu'il détient cette liberté et de pouvoir aimer et de pouvoir hair, comme il détient la liberté de pouvoir etre de bon ou mauvaise humeur, chaque jour étant différent, les interactions avec d'autres non semblables d'un jour sur l'autre. A l'heure actuelle une tendance à la normalisation des humeurs est domageable. c'est une interaction non seulement avec l'extérieur, mais aussi avec soi. Je peux aimer ou détester avec plusieurs moyens de l'exprimer, comme je peux rire ou pleurer de mes ressentis ou de l'interactions à d'autres ressentis ou événements interactifs.
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Profile-supprimé — 08-01-2010 23:25 |
ce livre que je vois à l'instant sur le féminin meme l'art actuel utilise comme en psychanalyse ces mots tout fait
"féminin pluriels"
Mon inconscient distingue le féminin du masculin des autres (les deux substituts)
le féminin masculin est à distinguer du féminin féminin et de la féminité
leur imaginaire n'est pas le même
la passivité masculine et l'activité masculine n'étant pas identique la passivité de la femme et l'activité de la femme
ce qui me gêne dans la théorie c'est toujours la division entre ceci ou cela instinctive je ne résonne pas aussi catégoriquement et c'est pour cela que le superviseur dit que la théorie me rend malade je ne m'y retrouve pas puisque mon but n'est pas d'opposer.
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Profile-supprimé — 08-01-2010 23:32 |
tout différencie ces deux formes de féminité
les vetements , les voix , les corpulences corporelles, les fantasmes, l'action
et j'en reviens au fantasme et l'inconscient collectif sur la féminité de l'homme et de la femme puisque les théories et de freud et de lacan sont phallocentrique, comment dès lors concevoir une "féminité" masculine quand nous trouvons dans nos inconscients homme et femme les mêmes images en témoignages ?
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Profile-supprimé — 08-01-2010 23:40 |
si la féminité c'est se plier à la loi
alors ou va t-on ?
et j'en reviens au je prête à rire et je donne à penser
mais un homme se pliant à la loi pour partir à la guerre je ne pense pas qu'un homme s'occupant de ses enfants se féminise outre mesure
parce que franchemement
et c'est là qu'intervient aussi l'écrits beaucoup de femme de ce siècle dernier pour être reconnu (sans être féministe pour autant devait écire pour les hommes )
en psychanalyse deux têtes s'impose
personnellement je garde mon tempéremment d'enfant (neutre )pour la création
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Profile-supprimé — 08-01-2010 23:44 |
le problème c'est que nous sommes bombardé de livre qui plus est
plus psychologique qui parlent de tout et n'importe quoi
mais la psychanalyse n'en est pas indemne , la psychiatrie non plus
beaucoup trop d'emmargement d'une profession sur une autre
comment il faut être , comment penser, comment être heureux comment baiser, comment avoir un enfant, comment penser positif etc. etc.
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Profile-supprimé — 08-01-2010 23:50 |
un tas de ficelles d'interprétations pour emmêler les pieds des suivants il aurait mieux fallu un peu plus de resserrement plus près de l'homme
j'ai tellement de morceaux de textes tout de guingois en psychanalyse que je n'y retrouve plus rien
entre les deux travaux freud et lacan plus ça va plus on est nano et mano multiplié sur toutes les coutures
et avec ça je n'ai plus mon style pour parler et écrire tellement j'ai été décortiquée , dissolue, décontruite
je ne sais plus m'exprimer ni quel langage utiliser
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Profile-supprimé — 08-01-2010 23:53 |
C'était sans compter qu'un style ne s'apprend pas
mais qu'il était présent en 74 et 2003
revirer à zéro par théorie
Pour le retrouver je devrai logiquement faire une autre analyse
et une fois retrouvé fiche vite le camp
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Profile-supprimé — 08-01-2010 23:55 |
Que ceux qui parle d'art en psychanalyse
ne sont justement pas ceux qui crée
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Profile-supprimé — 09-01-2010 00:09 |
j'ai parlé avec une "artiste" qui a eu la même chose que moi
elle m'a donné l'adresse de quelqu'un à alésia qui connait ce problème
seulement voilà je n'ai plus les moyens
je perds quand même beaucoup de plumes moi en psychanalyse
et avec freud et avec lacan
il y a eu cette refente, mais avant il y avait la droite de pilaste ensuite plein de problèmes moraux
je vois bien ce qui est de moi et ce qui n'est pas de moi et par rapport à 2003 et 74 puisque j'ai reconstituer la mer et falaise de nacre
les problèmes sont là.... et 74 900 poèmes disparus à la poubelle analytique et 2003 rebelotte
je ne dépouille pas les liens créatifs chez mes patients (j'y tiens) aucun lien de création ne doivent être enlevé, je me rends bien compte que ce langage là ressemble plus à un langage quotidien bonjour, bonsoir
le manque qui cherche ses ailes hein ? ses plumes avec ! comme le tableau superposé quatre fois avec des sujets dessous différents
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Profile-supprimé — 09-01-2010 00:11 |
je n'arrive même plus à retrouver des poèmes simples de 2009
comme silure à barbillon, la panthère etc.
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Profile-supprimé — 09-01-2010 00:13 |
Et de plus exercer ce métier
Maintien dans une division permanente
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Profile-supprimé — 09-01-2010 00:16 |
je vois bien d'après les derniers textes
phénix et mémoire de mer
où est la réduction de mots (entité) en est là flagrant
ce qui n'a absolument rien à voir
avec 74 et 2003
je vais essayer de les publier d'ailleurs tels qu'ils sont la différence est visible à l'oeil
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Profile-supprimé — 09-01-2010 00:18 |
pour les écrits théorique j'ai pas le choix
ils me rendent malade de contradiction
je ne sais pas mentir donc je ne peux théoriser
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Profile-supprimé — 09-01-2010 00:20 |
d'où la reflexion censé du superviseur
laisser tomber la théorie elle vous rend malade
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Profile-supprimé — 09-01-2010 00:21 |
Pourtant j'en aurai des chose à dire sur 27 années
non ?
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Profile-supprimé — 09-01-2010 00:24 |
ce serait dommage que vous ne profitiez pas de mes expériences
Non ?
Avec une femme freudienne
Avec un homme lacanien
j'ai la panoplie des théories les deux
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Profile-supprimé — 09-01-2010 00:26 |
Mais c'est vrai entre freud et lacan
ça me rend malade
Ils ont le même axe et les mêmes défauts
mais théoriser différemment
ça fait beaucoup Non ?
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Profile-supprimé — 09-01-2010 00:29 |
et avec cette fin bizarre et la corectionnelle sous le nez
en guise de menace forcément ça me divise un peu plus
même le oser ses désirs ça ne veut plus rien dire
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Profile-supprimé — 09-01-2010 00:32 |
et je n'arrive pas à passer à autre chose
j'ai la prison et l'amende sur la tête
c'est un peu gonflé de dire oubli 27 ans d'une vie
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Profile-supprimé — 09-01-2010 00:36 |
un esprit normal
en ferait autan Non ?
le pire est quand on ne comprend pas
le raisonnement de l'autre
quel est son intention ? je ne comprends pas son but !
je ne peu cloturer ce que je n'ai pas compris
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Profile-supprimé — 09-01-2010 00:38 |
parce que là en guise de violence ça bat tout les records
et je n'ai pas eu tous ces problèmes avec la freudienne
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Profile-supprimé — 09-01-2010 00:41 |
elle ne m'a pas foutu de coup de pied au cul
ni claqué la porte, ni fait ce genre de boucherie
ni terminé avec un SMS
Mais elle a espacé ses séances normalement
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Profile-supprimé — 09-01-2010 00:47 |
mais les envois dans le décors ont été les mêmes
et les opération sur le corps idem
c'est pourquoi c'est le même axe
il y a trop eu de complication à la refente et après
chez lacan avant hartman et leclaire ça se complique drolement
mais personne ne lui a demandé de pousser si loin le travail
le dépouillemnt ici fut total moralement quelque chose ne passe pas
en sachant que j'en avais déjà fait une avant
je ne comprends pas pourquoi aussi longtemps
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Profile-supprimé — 09-01-2010 00:51 |
avouez que 27 ans pour écrire ces conneries
que l'on m'a fait écrire sur des temps différents
c'est vraiement lamentable j'écrivais mieux en 2003
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Profile-supprimé — 09-01-2010 00:54 |
Quoi qu'avez freud c'était pire
même pas un mot d'écrit
tout à la poubelle trois mot à la cave
pas de transmission non plus
(quand on travaille trop l'inconscient on est déstabilisé de partout )
en plus la comparaison des deux non c'est trop je suis maintenant divisée)
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Profile-supprimé — 09-01-2010 00:56 |
je dis aux psychanalystes
pas plus de cinq ans sinon des dégâts sont trop lourd
si on regarde les poèmes de 74 et 2003
je n'avais même pas besoin d'analyse s'était déjà écrit noir sur blanc
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Profile-supprimé — 09-01-2010 01:00 |
pour avoir la paix morale avec moi il faudrait que je porte plainte
je n'ai pas les moyens de prendre un avocat de pro
et peut-on porter plainte contre un transmetteur
qui lui même a déposé cinq plaintes
je suis perdante d'avance et c'est pourquoi
le procès russe je ne suis pas aller
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Profile-supprimé — 09-01-2010 01:04 |
mais cela me mine parce que je ne peux avoir la paix
et parce que je n'ai pas combattu la violence
illégale parce que c'est pousser les gens au suicide carément
et que ce genre de dépassement de limite est un an de prison
même les 15000 euros je n'ai pas les moyens
si ça en fait rire certain avec le corps que j'ai bravo
ça n'a plus rien à voir avec la souris du dessin animé hein ?
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Profile-supprimé — 09-01-2010 01:08 |
on ne refent pas parce que à l'heure actuelle ça a été cinq ans
d'investissement dont je ne me remettrait pas et cinq ans d'effort
plus les morts par dessus donc un afaiblissement corporel
un affaiblissement matériel également devenu pour la deuxième fois précaire
même que je commence à en avoir mare du précaire et du corps
qu'est-ce que c'est que cette sauvagerie jusqu'au pillage de mes livres ?
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Profile-supprimé — 09-01-2010 01:13 |
bien sûr que je ne pardonne pas
je suis désolée vous saviez ce que vous faisiez
mais si je ne porte pas plainte je ne pourrais plus me regarder dans une glace
la division et le cassage d'une professionnelle hein ?
pourquoi ? bien sûr que je proteste contre cette violence
n'importe qui le ferai d'ailleurs je me demande pourquoi l'autre
qui a fini son analyse en même temps que moi ne se montre pas
je n'ai pas son nom
je ne peux faire l'impasse sur dix sept ans de ce régime là
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Profile-supprimé — 09-01-2010 01:17 |
maintenant j'ai vraiment un problème de conscience
ça me bouffe la santé de ne pas savoir ce que
le tribunal a décidé
je devrai porter plainte pour mon morale même perdante
ça éviterait certains psychanalyse de dépasser les limites
de ce que l'on nomme humanité
mais comment faire parce qu'il a transmis
ceci pose une double question morale
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Profile-supprimé — 09-01-2010 01:21 |
je me suis même demandé puisqu'il me connait bien
si inconsciemment il ne voulait pas faire passer un message
mais après réflexions si ça avait été inconscient
il n'aurait pas mis se tableau horrible rouge et noir
comme porter peindre à la place de porter plainte
donc c'était bien voulu, mais le désir là dedans il n'y a plus
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Profile-supprimé — 09-01-2010 01:30 |
je continuerai à l'appeler et lui dire que je ne suis pas d'accord
c'est une façon comme une autre au moins je me minerai pour quelque chose
trop facile de bousiller une vie et après de claquer les portes hein ?
chacun est responsable de ce qu'il fait et ce psychanalyste est dangereux
n'était-ce pas un appel d'ailleurs ? j'en sais rien ! je suis fatiguée
je vais me coucher
je pense qu'après la supervison sachant que j'allai parler cette fois
il ne tenait pas à ce que j'exerce ce métier
d'ailleurs il a recouper (mais je pensais que c'était pour comparer avec freud ça fait trop de salade tout ça)
trop de travaille tout ça, pour rien absolument rien
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Profile-supprimé — 09-01-2010 01:33 |
oui vu la violence je pense qu'il ne tenait pas à ce que j'exerce
ça fait la même impression que si 2005 lui plaisait pas
d'ailleurs j'avais protesté à l'apprentissage du langage et la refente
il m'a dit mais non, mais voilà il a tout foutu en l'air
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Profile-supprimé — 09-01-2010 01:39 |
c'est que je sais bien moi que je vais embrasser la mort deux fois à chaque
travaux freud et lacan et belles en plus pas de la rigolade
ça dérange bien sûr hein ? les opérations sur le corps aussi
je peux comparer les deux travaux et leurs points communs
ce n'est pas comme si je n'avais été psychanalysé qu'une fois
non une fois 10 ans et une fois 16 avec la supervision
ça dérange j'ai deux générations d'analystes sur le dos
je suis atypique mais correspond parfaitement à nos enfats actuels
pas la peine pour moi de retourner à freud j'ai fait une fois
je suis fatiguée je vais me coucher ne pas savoir ce qui
m'attend ne m'arrange pas
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Profile-supprimé — 09-01-2010 01:43 |
jusqu'à la transmission ça c'est bien passé
peut-être se sent-il mal à l'aise avec ou obligé de
les atypiques on les crains plus ou moins freud n'avait pas voulu de moi
oui bien sûr il attend que je me taise mais je me tairais pas c'est trop grave
et trop dégradant pourquoi deux remises à zéro
même le occupe toi de ton désir de lacan veut plus rien dire
ça n'a plus aucun sens cette histoire
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Profile-supprimé — 09-01-2010 01:47 |
même ce psychanalyste que j'estimais je ne le reconnais pas
non plus rien n'a de sens là dedans
on ne doit pas ruiner des vies aussi longtemps je suis désolée
et quand ça va alors ce n'est pas bien non plus on vous redescend
durant cinq ans, c'est une jeu pour moi cela ne l'est pas
non seulement on pousse au suicide ça devrait être puni par la loi
mais en plus on donne un désir que l'on reprend pendant cinq ans
c'est quoi ce jeu ? je suis désolée ça ne va pas en rester là
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Profile-supprimé — 09-01-2010 01:52 |
je n'oubli pas moi que je n'avais même plus un drap
ni un dessus de lit ni couverture ni serviette de toilette
je n'oublie pas ma maison qui peuait le sang
les trois jours que je suis restée entre la vie et la mort
dans cette boucherie sanguinaire
je suis désolée mais plus jamais ça !
rien que d'y penser j'ai le sang qui se glace
je n'oublie pas moi que même mon divan est taché
qu'est-ce que c'est que cette violence là
avec freud au moins y avait moins de sang partout
si ça fait marer les gens le paquet de lessive moi pas
croyez vous qu'on aurait voulu me tuer
on ne s'y serait pas pris autrement
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Profile-supprimé — 09-01-2010 01:58 |
déjà en 2005 j'étais passé par un vidage presque totale
de mon sang, j'allais à son école alors ?
non je ne peux pas oublier ça non plus
tout ce sang, c'est facile de rentre l'autre dingue
et de le faire se suicider après
- avec freud ça a été le meme bordel sauf qu'il y avait pas
tout ce sang mais les deux morts sont chez freud et les opérations aussi
(deux comas troisième degré et opération des pieds aussi après hein ?)
ça suffit toutes ces morts j'ai eu plusque mon compte
et on m'avait dit que ce n'était pas pareille
sauf que votre jeu, c'est vraiement ma vie que vous envoyez aux orties
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Profile-supprimé — 09-01-2010 02:04 |
je n'oublie pas que dans ma vie réalité je n'ai jamais porté atteinte à mes jours
je n'oublie pas qu'à chaque fois que je travaille l'inconscient que ce soit
freud ou lacan je vais deux fois dans la mort ce que j'apelle baiser avec la mort parce que vous ne respectez pas mon totem de vie
le soleil estpace temps, vous y foutez un dieu que je n'ai pas en passant
non moi je n'oublie pas tout ce sang inutile , soit disant pour aimer ou soigner
non j'en ai encore l'odeur de cette boucherie dernière monstrueuse
rendre l'autre fou c'est peut-être rigolo, mais moi je ne trouve pas ça drôle
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Profile-supprimé — 09-01-2010 02:07 |
si ça avait été un traumatisme je me serait flinguer enfant ou adolescente
ce ne fut jamais le cas même avec les traumas
laplanche déjà a tout dit strauss aussi foucault également
pourquoi vous entêter au risque de perdre des vies
combien de mort y a t-il en fin d'analyse et au retour du noyau ?
bien sûr on laisse la personne avant comme ça personne n'est responsable
c'est trop facile, et les analystes femmes ne sont pas devenue clocharde
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Profile-supprimé — 09-01-2010 02:37 |
ne croyez pas que je vais raconter cette histoire avec le genre vian
nous voyons bien tous que ce sont les mêmes parcours sauf que lui n'est pas passé dans la mort
prévert non plus
vous pensez peut -être que je veux rire non pas du tout
je n'ai pas de style je vais parler en claire
en claire c'est de dire exactement là ce qui se passe et non par façon poètique
mais avec ces mots là très simples compréhensible de tous
il faut que les gens sache que vous envoyez une personne sur cinq dans la mort
et sans rigolade et sans poésie il faut que ce genre de massacre se sache
j'y suis passée deux fois je sais ce que je dis
le sang ne doit pas couler à flot chez les homme parait-il pour qu'ils se marent et
laisse d'autre se faire tuer avec de joli mot sur papier ensanglanté
la renaissance n'est pas là pour moi c'est terminé
vous aimez hein travestir les dire mais je n'oublie pas que prévert son livre a su sang
plein le bouquin avec freud je l'avais déjà cette fois il
je vais arreter de parler et vais plustot aller au commissariat demain
la voix vivante pour dire les choses sans mensonge est la meilleurs façon
parce que les écrivain avec leur cynisme et lyrisme dont on fait des bouquins du cinéma
JE NE SUIS PAS UNE VIE DE CINEMA , et j'en ai mare de la mort quatre fois grave en psychanalyse
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Profile-supprimé — 09-01-2010 02:52 |
ça fait cent ans que les littéraires se moquent des gens qui vont dans la mort
ça fait cent ans que les gens font du fric en pensant à leur pommes
des littéraire avec le sang qu'ils ont laissé d'autre se faire tuer par la psychanalyse
oh bien sur certain en réchappe comme vian ou prévert
mais ces gens en parlant un langage détourné on permis à d'autres de se faire tuer
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Profile-supprimé — 09-01-2010 02:54 |
sous couvert du mot aimer combien sont mort cette année en faisant une fin
d'analyse hein
combien se sont maré en sachant que d'autre allait passer à trépas à l'hopital ?
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Profile-supprimé — 09-01-2010 12:39 |
la psychanalyse oblige à se placer devant le vide que j'ai toujours eu même en 74 pour moi il était inutile puisque l'angoisse ne se déplace pas ni par rapport à ce temps ni depuis toujours.
je vais refaire circuler mon nom
beaucoup de littéraire se sont maré et on utilisé la psychanalyse en en faisant des écrits pour le cinéma ou de la rigolade, mais embrasser la mort n'a rien de cinémétographe.
un expérience trop près de mon pré conscient
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Profile-supprimé — 09-01-2010 13:02 |
La phénoménologie
Quand s’approche la philosophie on est déjà armé (structure et génèse) souvent surchargés de réminiscences. Le debat qu’on s’apprete à instituer à l’intérieur, ou à partir d’un centre, grille spéculative, où apparait déjà la figure classique d’un antagonisme C'est-à-dire une enquête violente à la phisiologue propre d’une pensée Sans doute le traitement d’une philosophie où l’on introduit le corps étranger, livrer ou délivrer d’un travail latent mais commence par une agression et une infidélité, c’est février la question clore l’attente ou le regard en opposition Le regard phénoménologique est nécessaire pour défaire la psychanalyse de sa causalité familiale imaginaire et ramener l'attention sur l'énonciation elle-même, en tant qu'elle est constitutive et d'abord du symptôme. Il ne s'agit pas, dès lors, de reconstituer une vérité complète du sujet, d'identifier une cause objective, mais bien de ramener la plainte au désir qui la constitue et de mettre en jeu cette responsabilité du sujet en refusant son évidence première.
Les grandes interrogations sur l'identité introuvable masquent les véritables difficultés qui sont sociales, inter-subjectives, difficulté à se mesurer aux autres. Le sujet est toujours social aussi l'unité du sujet et de l'objet ne se réalise pas dans une hypothétique sagesse, ni guérison ou normalité ni même épanouissement mais comme responsabilité dans l'action politique où nous donnons forme à notre réalité sociale.
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Profile-supprimé — 09-01-2010 13:32 |
Le " je " du pas de l'oie, ou le sujet sur mesure Ou comportement résistant "Le nazisme et le comportementalisme ont en commun d'être des socio-biologies. Pour être dénié, le sujet (individuel) se trouve, dans le comportementalisme, déjeté du coté d'une collection hétéroclite et étrange dont " LE trouble des conduites " est le paradigme et dont l'aboutissement ne peut être que l'utopie totalitaire décrite par Skinner dans " Walden 2 ", lequel Skinner rejette explicitement toute psychologie qui ferait appel aux représentations ( conscientes ou inconscientes) pour rechercher les origines des conduites dans l'équipement génétique, et l'environnement physique et social dans lequel vivent les gens. Du coté du mythe nazi, le sujet n'a d'existence que dans un " nous " (volk) qu'illustre la critique heideggerienne du cogito à laquelle il entend substituer la pensée de l'existence comme être au monde et être en commun.
Nazisme et comportementalisme ont encore en commun ceci : d'être des nov-langues. Nouvelles nominations dans le comportementalisme, qui ne font que reprendre des descriptions classiques, mais permettent une appropriation et un escamotage du sujet ( aussi bien freudien que cartésien) Nov-langue nazie admirablement décrite par V. Klemperer dans sa LTI, mais que nous tenterons de débusquer chez Heidegger.(avec Adorno) Nous n'entendons pas faire d'amalgame rapide, mais montrer que le comportementalisme porte les germes d'un sujet totalitaire."
SKINNER ET LE COMPORTEMENTALISME
Je vais tenter de faire ici une lecture en parallèle de deux ouvrages de Skinner
" Par delà la liberté et la dignité " ( ce qui est déjà tout un programme) et " Walden 2 " qui est censé décrire la communauté utopique qui résulterait de l'application des idées développées dans le premier livre cité.
Le credo fondamental de Skinner et du comportementalisme est exposé dès le début (p25&26) de " par delà la liberté et la dignité "
Je cite " La tâche d'une analyse scientifique est d'expliquer comment le comportement d'une personne en tant que système physique est relié aux conditions dans lesquelles l'espèce humaine a évolué et aux conditions dans lesquelles vit l'individu "
Il y aurait déjà beaucoup à dire sur la manière dont Skinner délimite à priori son objet. Je dirais pour l'heure, dont il LIMITE très étroitement ses possibilités d'investigation, limitations qui a elles seules font peser un lourd soupçon sur la " scientificité " de sa démarche en dépit des incantations auto persuasives de son appel à la " science ". Il poursuit " Nous pouvons suivre la route prise par la physique et la biologie en abordant directement la relation entre le comportement et l'environnement et en" négligeant les états mentaux qui servent soit disant d'intermédiaires " " La physique n' a pas progressé en se penchant de plus près sur la jubilation des corps dans leur chute, ni la biologie en examinant la nature des " esprits vitaux ". Nous n'avons pas besoin de découvrir ce que sont vraiment les personnalités, les états d'esprit, les sentiments, les traits de caractère, les plans, projets, intentions et autres attirails de l'homme autonome pour mener à bien une étude scientifique du comportement "
( voyez l'invocation incantatoire du terme " scientifique ", dont Skinner a besoin pour se convaincre, car la science la plus élémentaire aurait pu lui faire observer que la " jubilation des corps dans leur chute " ne peut avoir la moindre signification que si ces corps parlent, et qu'alors rien ne permet d écarter le fait de parler, de l'observation .
Il est évident que si la chute des corps n' a rien à voir avec le fait qu'ils parlent éventuellement, (encore que ..)leur jubilation elle, a le plus grand rapport.
" L'homme intérieur a été crée à l'image de l'homme extérieur " Postulat péremptoire, bien loin en dépit des apparences du discours du Poète " Je est un Autre "
Le " a été crée " postule qu'il s'agit d'un artéfact crée de toute pièce par les défenseurs de la liberté et de la dignité.
Skinner d'ailleurs dénonce sans cesse dans son livre, non pas la liberté et la dignité, dont on comprend bien pourtant qu'il s'en passe au même titre que des états mentaux, mais plus perversement " la littérature de la liberté et de la dignité ", laissant entendre là aussi qu'elle est un artéfact susceptible de perturber l'observation prétendument " scientifique ".Ce qu'il finira d'ailleurs par dire explicitement.
Je vous donne un aperçu de la manière dont Skinner pose des affirmations qu'il n'argumente jamais.
" Il est clair aujourd'hui que nous devons tenir compte de l'action de l'environnement sur l'organisme, non seulement avant, mais après que celui-ci réagisse.
Le comportement est façonné et maintenu par ses conséquences.
Une fois ce fait reconnu, nous pouvons formuler l'interaction entre l'organisme et l'environnement d'une manière beaucoup plus féconde.
Deux conséquences importantes découlent de cette approche. L'une concerne l'analyse fondamentale. Le comportement qui agit sur l'environnement pour produire certaines conséquences( le comportement " opérant ") peut être étudié en aménageant des environnements tels, que des conséquences spécifiques dépendent des comportements de l'organisme.
Or dit il , les contingences soumises à l'investigation sont rapidement devenues de plus en plus complexes, et l'une après l'autre, elles prennent la relève des fonctions explicatives jadis attribuées aux personnalités, états mentaux, sentiments, traits de caractère, buts et intentions.
" Le second résultat est d'ordre pratique : l'environnement peut être manipulé. Il est vrai que l'équipement génétique de l'homme ne peut être changé que très lentement, mais des modifications dans l'environnement de l'individu ont des effets rapides et spectaculaires. La technologie du conditionnement " opérant " est, comme nous le verrons déjà très avancée, et peut être se révèlera t- elle à la mesure de nos problèmes " (p30)
Comme vous pouvez vous en rendre compte, ces réflexions sont vides de tout contenu scientifique et Skinner n'esquisse pas même les contours généraux d'une science du comportement humain, ni ici ni ailleurs.
Il nous assure que la science du comportement avance à grand pas et qu'il existe une technique de contrôle opérationnelle. " Il est établi dit il que tout contrôle est exercé par l'environnement " ( sans nous en donner le moindre début de preuve , ce qui d'ailleurs ne serait pas fait pour nous rassurer). " Lorsqu'il nous semble ajoute t il que nous laissons le contrôle à une personne,( sous entendu, et non à l'environnement) nous changeons simplement de mode de contrôle "
Le seul travail sérieux consiste alors à imaginer des contrôles moins " répugnants " et plus efficaces, bref un problème d'ingénierie.
" Les lignes directrices d'une technique sont désormais claires, nous disposons des techniques physiques, biologiques et comportementales nécessaires pour nous sauver nous-mêmes ".
( Il faut vraiment un don de seconde vue pour déceler dans ce charabia la moindre trace de scientificité.)
En repoussant l' étude des " prétendus états mentaux "Skinner révèle son hostilité à la nature même de la recherche scientifique. Par exemple Skinner croit que la théorie de l'information fut mise en échec dit il " lorsqu'on du inventer un ordinateur interne pour convertir l'input en output " C'est là une étrange manière de décrire le problème.
Supposons que l'on présente à un ingénieur une machine dont il ne connaît pas le fonctionnement, et supposons que grâce à des expériences il puisse obtenir des informations sur les relations d'input- output de cette machine. Alors il n'hésiterait pas à élaborer une théorie sur les états internes de cette machine et de les mettre à l'épreuve, et sa théorie des états internes pourrait bien être le seul guide pour ses recherches ultérieures.
En écartant à priori cette stratégie de recherche, Skinner condamne son étrange science du comportement à être erronée en balayant des données qui NE PEUVENT être écartées à priori de l'observation. Nous ne pouvons pas dire , à priori quels postulats et quelles hypothèses sont légitimes. Les à priori de Skinner sur ce point ne sont pas plus valables que l' affirmation : " La physique classique n'est pas une science parce qu'elle fait référence à la force de gravité occulte ". Si un concept ou un principe trouve sa place dans une théorie explicative, il ne peut être écarté sur des bases méthodologiques, comme le suggère Skinner à plusieurs reprises. Non seulement ses suppositions méthodologiques à priori vont à l'encontre des théories scientifiques les plus triviales, mais il va jusqu'à prononcer d étranges conclusions comme : " Les lois de la science sont des descriptions des contingences de renforcement "
D' après Skinner, mise a part la composante génétique, le comportement est entièrement déterminé par le renforcement.
" L'approbation et l'affection " sont des renforcements, mais Skinner évite toujours de caractériser les " stimuli " qui constituent " l'affection et l'approbation. " On est toujours étonné de l'incroyable naïveté à moins que ce ne soit la canaillerie qui entoure la définition de " faits " réputés scientifiques chez les comportementalistes . (Nous verrons çà également dans le DSM ") Skinner croit se tirer d'affaire avec des concepts de stimuli si peu " scientifiquement définis " que sont " l' affection et l'approbation " en affirmant " le monde verbal ne peut combiner les contingences subtiles nécessaires pour enseigner des distinctions fines parmi les stimuli qui lui sont inaccessibles " Qu'on se le dise ! mais lui-même ne nous dit rien loin s' en faut des " distinctions fines parmi les stimuli ".
Si on examine plus attentivement ce que Skinner veut dire quand il affirme que tout comportement est contrôlé de l' extérieur et qu'il dépend des conditions génétiques et environnementales. Que veut il dire ? qu'une connaissance exhaustive de ces conditions permettrait, en principe, de faire des prédictions spécifiques des actes de la personne ?
Sûrement pas.
Skinner veut dire que les conditions génétiques et environnementales déterminent une " probabilité de réponse ".Mais il est si vague sur ce sujet qu'il est difficile de se rendre compte si ses affirmations sur le déterminisme vont un peu plus loin. Personne ne mettra en doute que la probabilité que j'aille à la plage dépende de la température, ni que je prononce une phrase en français plutôt qu'en chinois soit " déterminée " par mon expérience antérieure, ni encore que la probabilité que je produise une phrase en langage humain plutôt qu' en n'importe quel autre système imaginable mais humainement inaccessible, soit " déterminé " par mon code génétique. Nous n'avons pas besoin d'une science comportementale pour aboutir à ces conclusions. En revanche dès que nous pensons à des prédictions plus spécifiques, nous ne trouvons pratiquement rien chez Skinner. Pire, nous découvrons que Skinner, par ses limitations à priori sur la recherche scientifique, s'est privé lui-même des moyens de formuler des concepts pertinents, à fortiori de les étudier.
Quand les affirmations dites " scientifiques " de Skinner s'interprètent mot à mot, elles sont clairement erronées, quand elles sont interprétées dans leurs sens vague et métaphorique, elles ne sont que de pâles copies de l'usage ordinaire, des trivialités.
La " persuasion " est une méthode de contrôle , nous dit- -il. Si toutefois pour persuader, il s'agissait seulement d'indiquer les stimuli de renforcement, n'importe quel argument persuasif conserverait sa valeur, même si les étapes étaient changées au hasard, ou si certaines d'entre elles étaient remplacées par des descriptions arbitraires de stimuli de renforcement. C' est absurde , bien entendu. Pour qu'un argument soit persuasif, du moins pour une pensée rationnelle, il doit être cohérent ; ses conclusions doivent être la conséquence de ses fondements. Mais ces notions se situent bien au-delà des possibilités de la science de Skinner, lorsqu'il affirme que " la déduction de nouvelles raisons à partir d'anciennes dépend " simplement d'une histoire verbale beaucoup plus longue ".
Dans un des rares moments où Skinner tente de composer avec ce qu'il appelle avec mépris " la littérature de la liberté et de la dignité " qui fait elle, la distinction entre la persuasion et certaines formes de contrôle, Skinner répond que la persuasion est une forme faible de contrôle et qu'en utilisant de faibles formes de contrôles, nous ne faisons que déplacer le contrôle vers d'autres conditions environnementales, et non plus vers la personne elle-même "
On se prend à rêver d'un peu plus de hauteur quand Skinner aborde la question de l'évolution culturelle . On y apprend par exemple que " l'allergie alimentaire d'un dirigeant puissant peut conduire à une loi d'interdiction diététique, une particularité sexuelle à une coutume de mariage, le caractère d'un terrain à une stratégie militaire "(p 159) Voila de quoi révolutionner notre conception de l' histoire. Mais il passe vite à " la planification d'une culture ". Nous retrouvons là nos préoccupations concernant le fascisme.
" Le problème de la conception d'une culture( et Walden 2 est le type même de la conception d'une culture par un seul) est de rendre l'environnement social aussi libre que possible des stimuli répulsif. Pour rendre la vie moins punitive et par la même occasion, libérer du temps et de l'énergie pour des activités plus stimulantes que la production d'inutiles efforts dans le but d'éviter une punition. C'est un problème d'ingénierie et nous pourrions le résoudre si seulement nous étions capables de surmonter la part irrationnelle de la liberté et de la dignité. "
" Ce qu'il nous faut , c'est une utilisation plus efficace de la technique disponible, des contrôles meilleurs et plus nombreux.
De fait on dispose d'une technique du comportement qui réduirait avec plus de réussite les conséquences négatives d'un comportement, immédiates ou différées, et maximaliserait les réalisations dont l'organisme humain est capable. Mais les défenseurs de la liberté s'opposent à son utilisation et contribuent ainsi au malaise social et à la souffrance humaine. "
Je suppose que vous avez déjà la nausée, mais Skinner ne s'arrête pas là. Il pense que le contrôle d'une population dans son ensemble doit être confié à des spécialistes ; à la police, aux propriétaires, professeurs thérapeutes etc…munis de leurs renforcements spécialisés et de leurs contingences codifiées.
LE contrôleur et LE concepteur d'une culture doivent être des membres du groupe contrôlé " Quand la technique de comportement est appliquée à la conception d'une culture, la survie d'une culture opère comme une valeur. Si notre culture continue à prendre comme valeur essentielle, la liberté et la dignité, plutôt que sa propre survie, alors il est possible qu'une autre culture apporte une contribution plus importante aux temps futurs. "
Voilà comme vous pouvez le constater qui ne le cède en rien à la " Weltanschauung " national socialiste.
" Par delà la liberté et la dignité " est paru en 1971, autant dire l'antiquité étant donné la vitesse à laquelle évolue la science, et donc la pseudo science comportementaliste.
Mais en 2004, plus prés de nous, Alexandre Dorna, professeur de psychologie sociale et politique de l'université de Caen, préfaçant une nouvelle édition de " walden2 " écrit : " La psychologie sociale, autant que les sciences politiques et la sociologie, furent jadis confrontés nolens volens , aux rêves de changement de société, mais progressivement ,les recherches ont abandonné, sous l'emprise des approches fonctionnalistes et cognitivistes, les études empiriques et l'expérimentation de laboratoire, dont la beauté formelle est parfois grande, mais faite au détriment de l'observation directe de la réalité et de l'expérimentation sociale comportementale. Le résultat est paradoxal :La foret des micro théories issues des laboratoires nous empêche de voir les arbres de la réalité .et les vrais problèmes sont remplacés par des questions virtuelles. Ainsi le fossé entre les objectifs de la recherche et les questions concrètes qui se posent à tous est en train de se creuser encore davantage.
De fait , l'insoutenable perplexité théorique se transforme en théories compliquées qui se réfugient sous le parasol des hypothèses de la complexité. (il semble que les comportementalistes soient dans le pétrin)
C'est alors que réexaminer, voire réhabiliter, les pensées(celle de Skinner en étant une) mise au placard ou à l'index, remplit non seulement un devoir de mémoire et de culture, mais une possibilité que leurs germes ré-introduisent une pensée critique riche… "
" L'insoutenable perplexité théorique " ne semble pas avoir atteint les auteurs du trop fameux rapport de l'inserm sur " le trouble des conduites " dans lequel on passe sans sourciller : Du " Premier repérage à 36 mois d'un tempérament difficile, d'une hyper-activité et des premiers symptômes du trouble des conduites " à " la prévalence du trouble des conduites très élevé en population délinquante " puis à " Il est prédictif d'une initiation précoce au cannabis en particulier chez les filles " et enfin " Le groupe d'expert recommande de favoriser les interventions dans les familles à risque, en particulier chez les jeunes mères primipares à faible niveau d'éducation et en situation de précarité ".
Je voudrais m'attarder un peu sur la description DU " trouble des conduites " , dans le DSM que le rapport de l'inserm reprend tel que et qui réunit dans un amas hétéroclite ce que nous appelons " troubles du comportement " ( au pluriel)
La supercherie tient ici au singulier : LE trouble des conduites, posant que cet ensemble forme un tout dont on pourrait décrire ensuite les " troubles associés ", alors qu'il se pourrait bien que ce soient les troubles dits " associé " qui soient les troubles types et les troubles " types " qui soient les troubles associés. On le voit , les comportementalistes refusent l' entêtement des " faits " (puisqu'on nous dit que les faits sont têtus " à ne pas vouloir être des " données " premières qui échapperaient au découpage du signifiant.
Le DSM a donné dans sa préface une vertueuse définition du trouble mental : " Ni un comportement déviant ( politique, religieux, sexuel) ni des conflits existant essentiellement entre l'individu et la société ne sont des troubles mentaux "
Et pourtant( p 110 du DSM IV -TR)on trouve ceci
" La caractéristique essentielle du trouble des conduites est un ensemble de conduites répétitives et persistantes, dans lequel sont bafoués les droits fondamentaux d'autrui, les normes et les règles sociales correspondant à l'age du sujet " Je ne vais pas parcourir la totalité des caractéristiques diagnostiques DU " trouble des conduites " Je voudrais simplement souligner deux points : -Elles font appel aux normes les plus moralisatrices -le repérage des symptômes se fait en fonction de l'objet, toute " intériorité " , comme nous l'avons vu chez Skinner , étant écartée.
Je lis : "Les enfants ou adolescents ayant un trouble des conduites déclenchent souvent les hostilités ou réagissent agressivement envers les autres. " " ils peuvent se montrer menaçants ou avoir des comportements d'intimidation "( critère A1) " Ils peuvent commencer des bagarres " (critère A2) " Utiliser une arme susceptible de blesser sérieusement " ( par ex un bâton, une brique, une bouteille cassée, un couteau, une arme a feu "(critère A3)
" Faire preuve de cruauté physique envers des personnes " (critère A4) " ou des animaux "( critère A5) " Commettre un vol en affrontant la victime, vol de sac à main, extorsion d'argent, vol à main armée "(critère A6) " ou contraindre quelqu'un à avoir des relations sexuelles " (critère A7) " La violence physique peut aller jusqu'au viol " Il faudra qu'on m'explique la différence entre " viol " et " contraindre quelqu'un à avoir des relations sexuelles " mais il faut laisser du travail aux avocats.( à moins qu'il ne faille nommer différemment le viol d'une noire par un blanc et le viol d'une blanche par un noir, ce qui aux USA n' est pas la même chose.)
" Un autre trait caractéristique du trouble, est la destruction délibérée de biens appartenant à autrui ; il peut s'agir d'un incendie volontaire avec intention de provoquer des dégâts importants "(critère A8) " ou de la destruction délibérée du bien d'autrui par d'autres moyens.(par exemple briser des carreaux d'une voiture, commettre des actes de vandalisme à l'école "(critère A9) " Les actes frauduleux ou les vols possibles, comprennent par exemple le fait de pénétrer par effraction dans une maison, un bâtiment ou une voiture appartenant à autrui " (critère A10)
" Le fait de mentir ou de trahir des promesses afin d'obtenir des biens, des faveurs, ou pour échapper à des dettes ou à des obligations( par exemple " arnaquer " les autres "(critère A11) " De voler des objets d'une certaine valeur sans affronter la victime( par ex vol à l'étalage, contrefaçon) " (critère A 12) " On peut observer aussi des violations graves de règles établies( par exemples règles scolaires ou parentales) :Les enfants peuvent rester dehors tard dans la nuit en dépit des interdictions de leurs parents, avant l'age de 13ans "(critère A 13)
Je m'arrête ici tant je suis accablé.
On a plus le sentiment d'assister à la rédaction du code pénal délimitant les fautes répréhensibles, qu'a celle d'un manuel de psychiatrie. Où l'on voit bien que ce qui définit ici le symptôme, ce n'est pas la position subjective, l' état d'esprit, l'attitude mentale, la représentation, l'intériorité, appelez ça comme vous voudrez. Ce qui définit le symptôme est l'objet atteint ou l'objet utilisé. L'extorsion d'argent appartient au critère A6, Mais, " mentir ou trahir des promesses pour obtenir des biens " au critère A11.
Et si les objets ont une certaine valeur, alors on passe au critère A 12( il ne faut pas tout confondre !) Nous avons déjà vu que " viol " et " contraindre quelqu'un à avoir des relations sexuelles " n'appartiennent pas au même critère.
Nous sommes ici évidemment très loin du " tout pour l' Objet "( écrit avec un grand O) de Freud. Ici , c'est : " tout pour les objets ", comme s'il y avait là le moindre début de commencement " d'objectivité scientifique " Autant d'objets( écrit avec un petit o évidemment ) autant d'attitudes mentales. De sorte que le raptus qui fait que le schizophrène vole une pomme, sera mis à la même enseigne que le vol d'une pomme par un homme affamé.
Le dernier chapitre du DSM ou " annexe I "est, je cite une " esquisse de formulation en fonction de la culture " où on nous explique, en six lignes exactement, qu'il ne faut pas confondre le " spell " état de transe que l'on rencontre chez les américains d'origine africaine et européenne (sic) du sud des Etats-Unis, avec les autres convulsions. Merci ! (Bienheureux américano-asiatiques qui échapperont à notre confusion mentale) On peut s étonner de ne pas trouver dans ce chapitre des manifestations exotiques, la description elle-même du " trouble des conduites " C'est que les auteurs (américains) ne peuvent reconnaître là leur propre société tant ils sont convaincus de l'universalité de leurs descriptions. Pourtant tout y est : fascination de l’objet, valeur marchande de l'objet, équivalence de l'extériorité et de l'intériorité,et même ; absence d'intériorité.
Equivalence qui n'est pas, loin s’en faut, le " nous " de l'idéal, et encore moins l’Autre de Lacan. On y trouve la normativité la plus étroite où la pathologie se mesure à l'aune de la valeur du bien détruit.
Bref, ne confondons pas la transe du " spell " avec l'épilepsie, mais sachons qu'il existe une téléologie secrète entre l'objet et le moi (ou plutôt le " système physique " , pour parler comme Skinner) qui tient lieu de désir.
Comme il est tout de même difficile, dans un manuel de psychiatrie d évacuer l'intériorité avec autant de désinvolture, elle revient, quelques pages plus loin, sous une forme qui en dit long sur la conception des auteurs, cela s'appelle : " Caractéristiques et troubles mentaux associés " Où l'on voit que tout ce qui est du registre de l'intériorité, comme je l'ai déjà souligné, n' a de statut qu'associé.
N'impliquant pas qu'il appartienne à un ensemble qu'on pourrait appeler " syndrome ", aucune classification dans la classification qui indiquerait des points organisateurs, une structure, mais un bric à brac de conduites dont rien, si ce n' est le discours péremptoire des auteurs, n'indique, qu'elles ont entre elles le moindre lien. (voir p 104 du DSM)
Nous en arrivons donc à ce sur quoi je voudrais conclure.
Cette inversion du rapport " type " " associé " constitue un discours performatif (qui fait exister les choses en les nommant) puisque son premier effet est de promouvoir au rang de " type " le comportement et de reléguer au rang d " associé " l'intériorité. Evidemment sans le dire et sans avoir à le justifier.
Je ne peux que renvoyer ici à mon premier travail sur le DSM, il fourmille d'exemples de ce type.
Skinner ayant écrit un livre sur " le comportement verbal " hélas non publié en français, S'est attiré les foudres de Noam Chomsky, dans un livre non publié en français non plus, dont je n'ai donc pu lire que de courts extraits.
J'en ai néanmoins retenu que ce que Chomsky reproche à Skinner, c'est de confondre science et terminologie. Terminologie qui dit-il ne permet pas de distinguer un pigeon d'un Poète et convient tout autant à l'anarchiste qu'au nazi.
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Profile-supprimé — 09-01-2010 13:34 |
"Ce qui me frappe dans le rapport de l'INSERM, hormis tout ce que l'on peut en contester à juste titre, c'est la méthode et les paradigmes.
La méthode, qui n'est pas une enquête mais une compilation d'enquêtes, d'articles, de rapports qui vont tous dans le même sens, et posent le même regard, sur les mêmes populations, en gros, les pauvres, les immigrés, ce que l'on dit les exclus, populations sans cesse stigmatisées, évaluées, pénalisées, mais rarement entendues, comprises pour ce qu'elles sont dans leurs réalités, leurs contradictions, leurs valeurs, leurs réels, mille fois plus complexes que les comportements visibles évalués.
Plus au fond, c'est la misère qu'il faut supprimer et pas seulement pour des raisons de déviances, de violences, ou tout autre normalisation, mais pour des raisons d'éthiques, de justice et d'à-venir.
La chose est bien plus grave qu'il n'y paraît, et sans transformation radicale des rapports sociaux, je ne vois pas comment des comportements issus de la misère, du manque, pourrait changer, fut-ce par le travail éducatif ou thérapeutique.
Il y a quelque chose que l'on sait mais que l'on ne veut pas savoir, ce sont les dominations financières qui écrasent la planète entière, y compris le gamin de trois ans qui ne plus à quel saint se vouer. Cette question est taboue, pourtant elle est soulevée par bien des populations dans le monde. On pourrait souhaiter que les psychologues et les sociologues s'y rallient autrement que d'un point de vue strictement disciplinaire (ce qui n'est déjà pas mal), mais dans une éthique politique. C'est-à-dire dans la remise en cause de toutes les dominations, y compris celle du discours scientifique qui n'est pas la science.
Autrement, il n'y a pas de solutions réelles, profondes, à long terme.
Que les enfants, les jeunes, subissent de plein fouet la crise de civilisation c'est le prix payé des rapports sociaux basés sur la violence, l'argent, et l'exploitation. Je suis stupéfait du silence de l'étude de l'INSERM sur ce qui pourrait éradiquer les causes et les effets de la misère matérielle, culturelle et politique qui touche toutes les catégories de la population.
"L'essence humaine dans sa réalité, c'est l'ensemble des rapports sociaux", l'illusion de son déni a un avenir."
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Christelle-Moreau PSY — 09-01-2010 14:12 |
Il est interdit et indécent de recopier en intégralité d'autres site internet et les rapporter dans leur intégralité sur un autre. Vous venez de copier en intégralité : http://www.le-point-de-capiton.net/Hebe … istant.htm en ne signifiant ni ne citant leurs auteurs. Pour ceci vous êtes banni.
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