bonjour, vous me posez une colle! depuis hier je gamberge! l'altruisme? je ne l'ai jamais défini! a posteriori , j'ai mis ce mot sur ma façon d'être... et cette façon d'être justement je me demande: l'ai-je apprise , ou est-ce une conséquence, uns structuration psychique .je ne trouve pas les mots..
Je n’arrive pas à définir l’altruisme autrement que par des citations , pas par mes mots à moi !! ma famille( mes parents) était altruiste : par faiblesse me semble-t-il maintenant, par peur de s'affirmer ( moi aussi peut-être ). l'éducation religieuse et très sévère m'a menée à l'altruisme: mais si ça a « pris » sur moi... une autre fillette aurait peut-être réagi autrement à cette culpabilisation du catéchisme catho...car en ce cas tous les cathos seraient altruistes. .d'où ce questionnement : à l'adolescence j'ai fait ce choix de manière plutôt (pré) consciente me semblait-il....mais alors pourquoi cette sensation de poids! et en même temps ça m'est totalement naturel... et pourquoi ne pas accepter ce qui est un côté positif de ma personnalité... pourquoi cette prise de tête? COMPRENDRE COMPRENDRE.. .mais en fait suis-je altruiste ?
je cite : à propos des altruistes " (il) ne mettait pas toutes les "bonnes âmes "systématiquement dans le même sac.(...) il en avait rencontré beaucoup ,amateurs et professionnels,....il s'en trouvait toujours quelques uns pour nier avoir un point de vue quelconque et d'autres encore plus nombreux ,bien embarrassés de discerner en réalité quel était leur point de vue. beaucoup se lançaient là dedans par goût du pouvoir ; il s’y voyaient l'occasion de nouer des relations où ils seraient les maîtres. c'est le genre de gens dont la personnalité et les talents ne risquaient guère normalement , de leur conférer une autorité sur quiconque, à l’exception du chat du bureau. pour eux la compassion était le masque de la condescendance. Le même raisonnement s’adaptait à des gens inadaptés socialement ; ordinairement privés de relations stables, ces handicapés affectifs débutaient avec l’énorme avantage d’être capables de e provoquer des chocs psychologiques. pour la première fois de leur vie quelqu’un avait besoin d’eux. Puis il y avait les romantiques ,le préretraité (……………..) Enfin restaient les rares, les très rares êtres humains remarquables qui, sans conditions, aimaient simplement leur prochain…(de caroline Graham :un corbeau au presbytère )
Définir l’altruisme : Ne pas être le centre du monde, être solidaire, vouloir le bien commun, partager , aider les plus faibles, les plus démunis. être relié.. Oui mais pas être dépendant, s’oublier en chemin……
en gros être altruiste c’est ( c’est catho ça !)" aimer son prochain comme SOI même ! "( je cite encore....comme j'ai bien appris mes leçons n'est-ce pas!!!!)ni plus ni moins…. merci à vous pour ce boomerang !
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bon! ça y est ! j'ai trouvé! pour moi l'altruisme c'est faire pour les autres, aux autres , agir avec les autres comme j'aurais aimé et que j'aimerais qu'on agisse envers MOI! voila! on ne s'est jamais beaucoup occupé de moi quand j'en avais le plus besoin: dans l'enfance..alors peut-être que je me suis soignée ainsi...
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