Lau34000 — 11-04-2013 11:02

Bonjour. Je pense que mon cas n’est pas unique en son genre. Je suis un Homme (35ans) vivant en union libre (depuis 7ans) avec  une femme (34ans) et avec un enfant (2ans ½) notre niveau d’étude Bac +4 (Ingénieur, cadre RH). Ma compagne fut hospitalisée pour une dépression avec psychoses. Ayant vécu avant elle avec une personne Bipolaire ou Schizophrène non traité et ignorant ca maladie me suis toujours dit que le problème de ma compagne est un manque de confiance en elle. Mal grès ses délire de victimisations et de surveillances.
Elle fut hospitalisé 3 semaines et ses parents ont signés ca feuille de sortie plus tôt que prévu, en sortant elle prenait ses médicaments, pour son fils disait-elle. Je l’ai forcé à voir un psychiatre qui lui a changé son traitement et depuis elle ne prend plus rien et a rompu au bous de 2 séances ses consultations.
Face à ses problèmes je suis mis aussi a consulter un psychiatre pour régler mes problèmes d’angoisses et d’incompréhensions. Il en ressort que je ne suis pas malade, mais que je suis une personne qui a était mal construit durant mon enfant, ayant vécu dans une famille monoparentale et ayant comme seul solution la violence ou l’énervement pour m’affirmer dans des quartiers sensibles, et étant un enfant dyslexique (donc différant des autres enfants).  J’ai subi les brimades et humiliations des autres enfants et des professeurs durant toute ma petite scolarité jusqu’en 4eme.
Et je suis personne que le commun du mortel dirait sanguin. Moi je me califat comme quelqu’un ayant un problème de gestion de ses émotions. Je n’ai jamais portée de coup a ma compagne et a aucune autre de mes compagne avant elle.
Apres son hospitalisation je luis ai montré la vérité matériel. Par ce qu’elle croit a un complot sur elle, que je la trompe, que je veux lui retirai son enfant, et que je recommence ma vie ailleurs avec une autre. Elle va même jusqu’à douter de la véracité des papiers administratif (CPAM, Acte de Naissance, Banque….)
J’ai tout fait pour qu’elle prenne son traitement :
Discutions longue, courte, énervement, menace, compréhension. Rien n’y fait.
Elle dit m’aimer mais me repousse pour des embrassades, un bisou, il m’est même impossible de la prendre par la main dans la rue.
Je la vois prendre en otage notre enfant pour son bien sentimentale, et ne l’épargne pas de ses angoisses. J’ai du être très sévère avec elle, je l’ai bloqué deux fois contre le mur en la regardant dans les yeux en lui demande ne plus dire ca a notre fils, rien n’y fait. Que c’est ses peurs qui parle et la maladie que rien n’est vrai dans ses propos et que pour le bien de notre fils elle doit se contrôler.
Un soir je l’ai forcé apprendre son médicaments en lui donnant des petites baffes sur les joues, en lui disant, que si elle retourne a l’hopital on la forcera violemment a prendre son médicaments par des placages et des piqures. Rien n’a fait. Je sais le geste n’est pas correcte, mais je vous assure que même notre fils fait plus mal que les petites tapes sur la joue qu’elle a reçu.
Un bon matin après avoir déposé notre fils a la nourrisse, elle m’a dit que je suis contre elle, que je suis un salop de vouloir lui enlever l’enfant, qu’elle me le fera payer. Face a ca je lui ai dit bon ben on retourne a l’Hopital, elle a tenté de sortir de la voiture en roulant. Je l’ai rattrapé, et me suis énervé en lui disant que nous rentrons a la maison. Mais en roulant elle a retouché la portière et de peur je lui ai donné un coup de coude sur le bras (visiblement fort), et je suis vite entré a la maison.
En gros quand je suis gentil c’est pour mieux la manipuler et que je suis méchant ou indifférant je suis le plus gros salop du monde qui lui veut du mal.
Actuellement je m’en veux de me transformer bourreaux pour elle, de ne pas savoir quoi faire pour l’aider, et de ne pas être l’homme de la situation.
A ca dernière visite son psy lui a dit (face a moi) que si elle continue comme ca il y a des chances qu’un juge pour enfant lui retire son droit de mère et la mette en tutelle curative. C’est la peur absolu, ma mère étant enfant, après la mort de notre père, nous disait toujours si vous n’êtes pas sage je vais vous mettre a la DASS. Et la boom, un coupe rai de plus qui me fait super peur pour notre fils.
Depuis mardi me suis dit que je ne peux rien pour elle, qu’il faut que j’attende ca nouvelle hospitalisation, c’est dure, et ca ne va pas épargner notre fils.
Comment puis-je recoller les pots cassés ? Et quoi faire pour lui montrer que je l’aime car c’est le cas?
J’ai encore beaucoup de force pour nous, mais je commence a être fatigué de ses combats ca fait 2 mois que ca n’a pas évolué, et malgré le temps elle voit que je suis la, elle a des je t’aime, nous avons besoin de toi ici, ta place est ici et pas ailleurs a toutes les sauces. Mais ca ne change pas.
Merci de m’avoir lu.