timoii — 30-10-2011 11:38

Bonjour,

Je ne sais pas quoi faire. Ma cousine est dans un centre pour les personnes atteintes de troubles mentaux.
Elle c'est scarifier, c'est pour ça que ses parents l'ont envoyés dans ce centre. Puis elle est devenu anorexique. Elle a fait plusieurs tentatives de suicide ce qui lui a valu plusieurs jours enfermés dans sa chambre au centre, l'interdiction aux visites pendant plusieurs jours...
Aujourd'hui elle est "shootée" au médicaments, elle a des pertes de mémoire, sa vision diminue, elle a des douleurs dans le dos, des pertes d'équilibre, plus d'énergie, plus de force, elle se fatigue pour rien...
Elle à souvent changer de traitement car ça ne lui convenait pas.
Elle continue ces tentatives de suicides...

Tout ça à cause de ses parents (maltraitances..)... sauf que c'est eux qui la prenne en charge, du coup, ils ne font rien pour qu'elle aille mieux, ils ne lui rendent presque jamais visite, ils ne changent pas de médecin qui d'après moi n'est pas approprié pour elle vu qu'elle continu ces tentatives de suicide...

Mes grands parents aimeraient adopter ma cousine afin de l'enlever de cette spirale infernal qui ne s'arrête pas, mais ils ne peuvent pas vu leur âge.
Mon grand père c'est déjà embrouiller avec son père (mon oncle du coup), mon père va surement s'en mêler s'il laisse ma cousine dans cet état.

J'aimerai l'aider, mais je ne sais pas comment faire.. dois-je appeler ses parents pour m'expliquer aussi avec eux ? Je n'en peux plus de voir ma cousine dans cet état depuis bientôt 5ans et ne voyant que ça ne s'arrange pas mais que au contraire, cela s'intensifie... Elle ne peux plus vivre comme elle veux...

Y a t'il un moyen pour la faire sortir de cette spirale ??

Merci pour votre attention et vos réponses...

Christelle Moreau — 22-03-2012 10:07

Bonjour,

Les problèmes familiaux de votre cousine vous touchent, mais il serait bon que vous ne culpabilisiez pas. Votre cousine est suivi et vous devez vous en remettre au service et aux personnels qui l'entourent.

Je comprends votre douleur et vous invite à ne pas la garder pour vous.
Mais il serait bon que vous vous protégiez de tout cela. Est ce possible pour vous ? Parlez en , évacuez le plus possible. Vous êtes confrontée à deux douleurs, la vôtre dans votre impuissance, la sienne qui lui appartient. La parole libère souvenez vous en.
Bon courage à vous.