romulus — 08-09-2011 17:07 |
bonjour, j'ai entamé une psychanalyse en 2005. Bon, certaines années les scéances on été espacées et j'estime avoir fait 3 années pleines ( à raison d'une scéance semaine). Est venu , le temps aujourd'hui ou : - aller aux sceances me déplait. -je fais maintenant plus(+) confiance à mon instinct et moins confaince aux chemins que l'analyste semble me montrer. -le temps ou je me force a rester et à aller aux sceances. - c'est aussi aujourd'hui, le temps ou, vouloir faire ce que l'on m'indique en analyse (peut etre c'est juste ce que je crois qu'on m'indique) me pese de plus en plus.
Je reconnais que nous avons fait un travail bénéfique pour moi, mais maintenant je crois que je ne veux plus etre influencé meme pour mon bien.
Merci à Christelle, Georges si ils peuvent dire trois mots.
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Thérapeute — 09-09-2011 08:18 |
bonjour,
a écrit:le temps ou je me force a rester et à aller aux sceances.
? parce que "la sensation" d'avoir fait le tour de tout et de ne plus avancer ou prise de conscience d'un éventuel"tournage" autour du pot, fatiguant avec risque que la chose au tout fin fond de l'inconscient qui un jour vous a fait pousser la porte d'un thérapeute ne s'avére enfin?
a écrit:maintenant je crois que je ne veux plus etre influencé meme pour mon bien.
bien sur, surtout quand juste au dessus vous écrivez: a écrit:(peut etre c'est juste ce que je crois qu'on m'indique)
... écrit "par hasard"?? :)
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romulus — 14-09-2011 20:31 |
je vous remercie pour votre réponse. Effectivement, soit il y a encore à découvrir ou bien soit je peux continuer a essayer de decouvrir mon propre fonctionnement. Mais un jour je trouve que ,dans ce cas, on dépasse , je veux dire on ne peut plus penser les choses comme tout le monde (comme ceux qui n'ont pas fait de travail psychanalytique) et alors la seule issue devient la psychanalyse (je veux dire pour aider les autres). Je prends un exemple: le travail en général. Et bien tout le monde pense que c'est la condition numéro un , qu'il faut se donner , bien faire. Mais si on philosophe et si on réfélchit un peu on peut se dire que : le travail peut etre néfaste dans ce qu'il réussit parfaitement , empecher les gens de réfléchir à leurs echecs... Mais cette pensée, peut on la dire à un conseiller emploi ??? non il va dire "lui est à côté de la plaque". C'est en çà que je veux dire que la psychanalyse peut aussi (si on pousse le raisonnement à l'extreme) mener à une coupure d'avec la pensée dominante et qu'il faut faire attention en tant qu'analysant à çà.
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Thérapeute — 17-09-2011 12:50 |
a écrit:mener à une coupure d'avec la pensée dominante
et tous les "on" que vous utilisez sont dominés ou dominent qui? beaucoup de : veux et peut..
a écrit:qu'il faut faire attention en tant qu'analysant
et en tant qu'analysé, en penser quoi?
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romulus — 29-09-2011 09:36 |
Bonjour, Effectivement, si je pars du principe que mes "on" signifient moi est les autres (ceux quui vivent une analyse), alors je peux dire que on (ou je) est dominé par mon surmoi (l'idée que je me fais de ce qui je devrais être idéalement). Maintenant, est ce que le "on" que j'utilise domine autre chose ou quelqu'un d'autre? Je ne sais pas. j'utilise beaucoup les verbe pouvoir et vouloir certainement parceque je voudrais que mes actions soient en adéquation avec mes désirs.
Seulement, je trouve que (meme si ce que je viens de dire plus haut me semble vrai) c'est dur d'appliquer çà à la vie de ts les jours. Pas pour vous , parceque vous etes devenu un professionel donc c'est votre quotidien.
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