Anonyme2 — 25-03-2011 22:08

Désolé, j'ai pesé sur la touche.

Bon...C'est cela, il voulait allé de plus en plus loin, et moi, parce que j'étais curieuse et je l'aimais, je disais à chaque fois oui. Je n'étais pas prête mentalement, ça allait à l'encontre de mes valeurs (  je n'ai rien contre le sexe, en autant que cela soit fait dans un encadrement saint et respectueux.)  et je disais oui...Mais un soir, après lui avoir presque tout donné (sauf ma virginité) il m'a dit trois propros qui m'ont cassé:  1) Ton coeur va-t-il être brisé si je m'en vais étudier à Vancouver?  Il y a une fille qui m'a appelé et était prête à que je lui montre ses seins. 2) Elle a des énormes seins. Il lui dis: Si ma blonde dit oui, c'est oui. Si ma blonde dit non, c'est non. 3)  Je veux attendre avant de te fiancé, prendre plus de temps. (Je lui avais fait un rappel concernant l'allusion au mariage qu'il m'avait fait. Je lui donnais beaucoup de moi-même, mais où était la preuve de sa sincérité. Où était son anneau de fiançaille, que cela soit une bague cheap, cela de m'importait peu.)  Voilà, j'ai compris que je n'avais pas cesser de l'aimer d'un amour aveugle et juste ses propros me prouvaient que je ne pouvais pas  me fier à ses belles paroles, ses actes ne prouvaient en rien qu'il m'aimait.  Incapable de lui en parler en face à face,   je lui envoyé un message le soir même de son départ, après avoir pleuré pendant deux heures entières, lui expliquant tous mes doutes et que peut-être ça serait mieux que je maris un chrétien qui comprends mes valeurs. Le lendemain, il est revenu, bouleversé. Il me disait qu'il avait lut mon message à moitié et il voulait que je lui explique en face. Il voulait que je rompe notre relation radicalement et que je le fasse par e-mail. Je lui dis que je trouvais qu'il m'avais aimé comme un adolescent et non comme un homme. (Il avait 27 ans, au début il m'a dit qu'il en avait 25).  Il m'avait dit aussi qu'il croyait en Dieu, et toutes ses belles qualités me montraient qu'il était aussi bien qu'un homme qui avait mes valeurs...mais voilà...Il m'a mentit.  Alors, pour ma propre protection, je lui dis: Si tu veux de moi, tu dois devenir chrétien. je sais, que ça semble radicale, mais j'ai manqué d'expérience et croyez-moi, ce fut l'une des plus dures épreuves de ma vie. Et quand je lui ai dit un vrai :Non, je veux pas que tu me touche. Je veux que l'on soit plus amis, enfin d'apprendre à se connaître.» Il semblait pas du tout vouloir et il m'a dit que je devais oubliée mon Dieu un instant, car il se considérait supérieur, par la performance. Bref...On était pas du tout sur la même longueur d'onde...Il m'a dit ensuite, qu'il me promettait rien, mais qu'il allait essayé de lire la bible et de devenir chrétien. Pendant deux jours il en m'a pas écrit, j'étais terriblement mortifiée, je lui ai envoyé des messages, essayant de lui expliquer pourquoi j'avais agis comme ça, et mon dernier message était que peu importe ce qu'il décidait, je l'aimais quand même et j'espérais encore qu'il m'écrive...  Il m,a répondu que finalement, il ne croyait ni en Dieu, ni en Bouddha, que je devais continuée ma vie et que c'était pas bien de forcer quelqu'un à croire en une religion...C'est vrai, et jamais je n'aurais agis de cette manière s'il avait voulut m'aimer et que je me respecte dans mes valeurs...Avec lui, j'en étais incapable, et à la fin, je me sentais comme une vieille femme déchéssée.  Son message était très dure...très dure...Pendant deux mois, je m'en suis par remise, je pleurais, et encore aujourd'hui...Mais un jour, il m'a envoyé une invitation pour que je devienne son ami. J'ai accepté, mais je lui ai envoyé un message lui expliquant tout ce que j'avais vécu, mais que je lui pardonnais de m'avoir blessé...Car il m'a blessé malgré tout...Les ruptures ça se jouent à deux...Je l'ai blessé aussi, je le sais! Je le sais!  Il m'a répondu, deux semaines plus tard, qu'il était très en colère, que j'aurais due lui dire que je voulais un chrétien dans ma vie, que c'était injuste, qu'il se sentait trahit et qu'il voulait pas que je lui réplique, il ne voulait plus rien savoir de moi.  Que le pardon et la tristesse n'avait pas sa place...Je me sens si coupable. Voici ma question: Ai-je réellement agis injustement? J'aurais voulut m'excuser...Je l'aime encore, mais je sais que j'aime une illusion, car il m'a beaucoup mentit...Coupable...Ma culpabilité me ronge, j,arrive pas à voir comment il m'a manqué tout de même de respect...Ma famille me dit qu'il était manipulateur et que je devrais même pas y penser...Mais j'y arrive pas! J'y arrive pas! Voilà pourquoi je vous ai raconté tout ça....J'ai besoin de vos conseils...Je me sens vrm creuse au fond moi...Quelque chose est parti, mon innocence. C'est terrible!