bart — 04-12-2009 18:27

J'ai été condamné pour agression sexuelle.
On me demande de me soumettre à des mesures d'examen, de contrôle de traitement, de soins médicaux même sous le régime de l'hospitalisation, conformément à l'article 132-45 3° du code pénal.
J'ai été suivi par un psychiatre pendant les 4 années précédentes lors de mon contrôle judiciaire, et, n'ayant pas noté d'amélioration notable de mon état, j'ai décidé de suivre une psychanalyse.
Après deux consultations s'étant parfaitement bien passées, je signale au service pénitentiaire d'insertion et de probation mon désir de me faire suivre par ce psychanalyste et de leur fournir une attestation.
Réponse de ce service : nous ne pouvons pas prendre en compte ce type de traitement, seuls un psychologue ou un psychiatre sont habilités à fournir de telles attestations et un suivi.
Est-ce vrai?

georgesN — 04-12-2009 21:48

en effet la psychanalyse comme thérapie n'est pas acceptée, c'est hypocrite mais il vous faut trouver un psychiatre-psychanlyste (donc Docteur en médecine) qui seul pourra vous fournir les attestations exigées (de plus vous pourrez bénéficier de la sécu)

bart — 04-12-2009 23:08

Merci de cette réponse rapide