Rupic — 24-11-2009 01:49

Bonjour,

Je suis tombé par hasard sur ce forum et m'y suis inscrit sans attendre avec beaucoup de curiosité, n'ayant jamais cottoyé l'univers de la psychanalyse. Je suis un garçon de 17 ans.

Une fois que je me suis questionné, je ne trouve rien à dire, car j'ai le sentiment que tout raisonnement à son revers, son côté misérable. Face à un psy, faut-il parler de toute ce qui nous passe par la tête, ou bien faire une synthèse bien organisée du fond du problème?  (Je réalise que j'ai rarement autant pesé mes mots, pour peu qu'ils soient bien pesés, bien entendu.)

J'aimerai bien, par curiosité encore, avoir le point de vue d'un psy sur sa propre vie. Parce que dans le cliché je vois mal un psy sombrer dans une addiction ou n'importe quelle autre pathologie mentale.

Si l'on différencie catégoriquement le bien et le mal, tel qu'on peut le comprendre dans un dessin animé. La connaissance de la psychologie pourrait, à l'inverse d'aider, contrôler, influencer la pensée d'une personne?

J'en ai finit pour le moment,
J'espère pouvoir échanger un peu avec des "vétérans", merci à ceux qui répondront.

Diaz Carole — 30-12-2011 15:05

Bonjour,
Un psychanalyste ne diffère d'un non analyse que par le fait qu'il se connaît en profondeur et sait vivre dorénavant avec ce qu'il lui manque et ce sereinement. La vie prend alors un tout autre goût, la quête sans fin de l'impossible étant stoppée a  la fin de sa cure.
Carole Diaz, psychanalyste, Toulouse