C'est étonnant qu'il y ai si peu de témognages dans cette rubrique, car les drogues quelles qu'elles soient ont tendense à se banaliser.

Pour ma part, je dois avouer que dès l'age de15 - 16 ans, j'ai eu l'occasion d'en consommer, de toutes sortes, plus ou moins régulièrement, mais toujours de manière festive, et joviale, alors qu'autour de moi, plus d'un n'était pas dans cet état d'esprit...

Bref, malheuresement à la suite d'un événement boulversant, et bien qu'ayant eu une aide médicale, je n'ai pas réussi à trouver une sorte de "refuge"  éphémère, notament dans l'alcool, et la cocaïne.

Alors evidement mon médecin ne le sait pas, puisque c'est loin d'etre une fierté, je n'ose même pas lui en parler, mais je pense qu'il va finir par s'en douter, car à ma dernière visite, mon coeur battait à 140... je crois que jlui ai fait un peu peur. il sait que je bois baucoup, mais hors de question que je parle de la c.

En association avec un traitement médical, j'essaye de remedier à mon manque de motivation général par des excès, probablement dangereux.

Ca fait un peu Junki d'ecrir ca, pourtant je tien la route je travail, je vais en cours, l'air de rien! Jusqu'a quand, je ne sais pas;
Mais je pense que je me suis mise dans une situation délicate, et j'en suis consciente... et pourtant...

a écrit:

pourtant je tien la route

Toute la question pour vous serait de savoir précisément laquelle (route vous tenez) ... mais y tenez-vous vraiment (à le savoir) ?

Le problème c'est que je n'en ai aucune idée moi même. J'essaye juste de remédier au quotidien

avec en consommant des choses qui me permette de me sentir bien, comme avant.

a écrit:

me sentir bien, comme avant.

Comme avant quand ?

Joyeuse, et heureuse comme avant cet evenement malheureux, qui m'a démoli et que je n'arrive pas à supporter.
Car depuis, je n'ai plus envie de rien, je ne suis plus motivée à grand chose. Tout est devenu compliqué, Alors que j'était tout l'opposé. Donc dur a accepter, alors j'essaye de me retrouver grace a ca.

D'un autre de vos post :

a écrit:

j'ai arrêter les consultations

Les avez-vous reprises depuis ?

j'ai repris oui et non j'y sui retournée récement, mais impossible de parler de ma consommation... (j'emploi toujours ce mot sans prononcer le mot Cocaïne) je lui ai expliqué que je n'avais plus le gout de rien, et que je consommais pour aller mieux. Que je n'avais même plus envie de sortir voir des amis, mais je pense qu'elle crois que je parle de shit quand je lui parle de mes consommations.

a écrit:

même plus envie de sortir

Comme une manière de s'enterrer chez soi ? Comme une manière d'être fidèle au(x) disparu(s) ?

Non je ne pense pas. Je ne sais pas. Je n'ai plus la joie de vivre du tout, l'envie de sortir et de m'amuser car je n'y arrive plus, alors j'ai tendense a "preferer" rester seule à ne rien faire... alors que c'est quand je suis seule que plus rien ne va... Je n'ai pas vraiment d'issue.

a écrit:

j'ai repris oui et non j'y sui retournée récement,

Avez-vous l'intention de continuer ?

bonsoir,

a écrit:

malheuresement à la suite d'un événement boulversant,

puis plus bas..

a écrit:

comme avant cet evenement malheureux, qui m'a démoli et que je n'arrive pas à supporter

..
pourriez vous nous en dire un peu plus?

a écrit:

mais je pense qu'elle crois que je parle de shit quand je lui parle de mes consommations.

pas trop étonnant le shit depuis quelque temps est tellement "trafiqué" que certains des produits utilisés produisent les mêmes effets que la CC,  ou que peut être elle n'y connait pas grand chose..

Je vais probablement reprendre, mais je vais essayer de changer de psy. vraiment Pas évident..., et non je pense qu'elle ne s'imagine même pas que je consomme de la c puisqueje ne lui ai pas dis ouvertement, vu de l'exterieur, quelquun qui tape des drogues dur est tout de suite pris pour un fou.
Et pour l'origine de tout ca c'est la perte d'une personne très proche.. Les gens se relèvent mais moi je n'y arrive pas.

Le problème avec la cocaïne, c'est que c'est la seule chose qui permet de se sentir heureux, un ptit moment de bonheur ephemere, qui n'est malheuresement plus quelquechose de naturel et spontanné.