Bjr,
Mon pseudo me sert aussi de prénom. Jessika est mon prénom de transgenre.
J'ai 40a et je suis actuellement sous prozac. J'ai craqué, il y 1 mois suite à un acident de travail et un boulversement affectif dans ma vie. Je pense aussi que j'ai accumulé beaucoup de choses ces dernières années.
Mon problème est simple mais il faut que je le rêgle aussi. Dès que je ne suis plus en accord avec mon affectif tout s'écroule autour de moi. Heureusement et je l'espère, la personne qui vient d'entrer dans ma vie, devrait m'apporter un avenir plus agréable qu'il ne l'a été jusqu'à maintenant.
Ayant suivi une psychothérapie pour pouvoir reprendre un traitement hormonal, j'ai découvert par le biais du thérapeute que je vivais dans le shéma de la mère archaique. Il est vrai que je m'épanouis très bien dans mon corps à la fois "masculin" et féminin. Mes attributs sexuels ne m'influencent pas plus dans ma vie, puisque je suis né garçon et que ma poitrine ne m'indispose pas, je dirais même quelle fait partie intégrante de mon corps comme si j'avais donné un coup de pouce à la nature.
J'ai lu quelques infos concernant par contre le complèxe d'oedipe. Je ne m'y retrouve pas, je n'ai jamais rien ressenti de cette étape.
J'ai encore besoin de clés pour avancer dans la vie, je n'ai plus peur de suivre une psychothérapie, puisque je sais qu'elle ne change pas une personne mais lui apporte des ouvertures sur soi.
Avoir un thérapeute masculin ou féminin a t il une influence sur le travail à faire sur soi ? Je ne voudrais pas me retrouver confronter devant l'incomphérension d'un homme vis à vie de mon identité de genre, je ne veux pas être opérér.
Cordialement,
Jess/Jessika FAIRBANKS
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