Jpensetrop — 23-09-2008 05:15

Pour ma part, plus je lis sur le bonheur ,plus je me bute aux gens qui nient les lois du bonheur.
Pour pas qu'il n'y est de divergences d'opinions, je dois me brimer en fermant ma gueule. en fermant ma gueule, je ne peu pas mettre ce savoir en pratique.Ou je dois fuire les gens qui repousse cette ideal. Je finirai par me retrouver seul si ca continu comme ca. Et etre seul ,ca brise l'amour des gens que l'on puisse donner et recevoir.

Et pour conclure, l'amour est la première source du bonheur.
Mon grand père m'a déja dit cette expression : Mieux vaut etre seul qu'etre mal accompagné !!!                 

                                              Que faire ?

Bitoun — 23-09-2008 17:43

Le bonheur a cela d'avoir  toujours peu ou prou été une question - rarement une réponse. Sans doute cela vient t-il de sa contingence. Le "bon-heur" dit comme cela rime en effet avec l'imprévu, et avec le possible "mal-heur"... Pour Freud, le bonheur c'est le phallus. C'est à dire ce qui fait une histoire d'amour entre deux partenaires se considérant comme différent psychiquement (peu importe le point de vue biologique). Et même si ca va toujours un peu cahincaha, même si c'est un peu court, c'est un bonheur. Au delà Freud nous prévient, c'est l'au-delà du principe de plaisir, et nous n'y accédons que marquer par le sceau d'une répétition du mal-heur ! 
On ne peut donner tort à votre grand-père, mais il reste que le bonheur idéalisé, intellectuel est voué à une profonde insatisfaction du fait de sa promiscuité avec le fantasme qui, lui, doit rester le serviteur du désir et non son maître.
A vous!