Ca y est, comme pour le reste, mon inexplicable interet pour la psychanalyse s'est volatilise, ma comprehension, telle une amibe qui se serait deployee, jusqu'aux limites de son inertie, est maintenant mue par le phantome d'un espoir tari, autant dire, qu'une certaine activite ne se cache plus derriere elle, le marionnettiste ne peut plus s'exprimer que par sa propre voie. Panne de carburant, ou intoxication par trop de celui-ci, maintenant je me languis d'un rdv que je redoute, car avec lui, je n'ai plus peur de redouter, la confiance s'est instauree, que je me sente ingenieux ou ridicule, quand j'ai parle de ce qui veux, etre tu, transpire, fige, ou agit, .... rien "d'extraordinaire", ne s'est produit,... et la confiance s'est instauree, mais pas celle de l'ami sur qui on pourrait compter, plutot celle que les hommes prehistoriques pouvaient peut-etre eprouver autour du feu, alors que la promesse, ca n'existait pas.

a écrit:

car avec lui, je n'ai plus peur de redouter, la confiance s'est instauree, que je me sente ingenieux ou ridicule, quand j'ai parle

et vous trouvez que:

a écrit:

.. rien "d'extraordinaire", ne s'est produit,...

??

Aucune apparition divine ne m'a juge ou approuve, mes esperences et mes craintes cachees visaient pourtant ce quelque chose de fantastique qui ne s'est pas produit.... Alors, c'est sur, ce constat est une tres importante surprise pour moi, mais qui n'a pas l'irrealite du fantastique. pour moi le fantastique est ce qui ne peut se produire, et lorsque l'on qualifie une realite de "fantastique" c'est forcement une image pour dire a quel point elle est particuliere.