jocastre — 24-08-2008 13:29

Voila, je repondrais au blog en dessou de moi que ma reponse se trouve dans celui qui le precede.... A priori, avec les nerfs en plus! Et puis c'est la que je vois davantage l'expression de ce qui n'est que mon propre souci, plutot que la soit-disante rencontre avec ce qui a l'exterieur de moi serait le point de depart de ma colere. Parce que si je ne peux me pardonner d'etre content de lire un truc positif apres avoir lu qlq chose qui m'a "scotche" dans la peine, je me rend bien compte que ces 2 personnes pourraient meme communiquer entre elles et se preter l'oreille. Voila, juste pour dire sur une place publique virtuelle que je constate etre d'une nature "mauvaise langue"

penau xavier — 24-08-2008 14:57

a écrit:

si je ne peux me pardonner d'etre content

:)

jocastre — 24-08-2008 15:25

Oui vous avez raison, pourquoi je chercherais a me pardonner la ou il faudrait plutot que je "laisse venir" ma culpabilite pour pouvoir avoir une chance de la comprendre... Et que LA seulement le Pardon puisse se faire, de lui-meme...
merci
a quel point une nevrose peut-elle venir "s'epanouir" en "profitant" de la perte d'un etre chere?
J'ai ressentis un soulagemment a ne pas aller voir ma "meme" a l'hospital dans les derniers moments de sa vie... ma meme que j'aimais tant.... et lorsqu'elle est morte  a ma grande tristesse et venu directement se greffer ma sensation d'etre plus qu'abominable.... limite collaborateur puisque j'ai "prefere" le clan de ceux qui ferment les yeux, anticipant de ne pas affronter l'idee qui me serait venu sur ma propre mort, sans penser que elle, elle affrontait la realite de sa mort imminante et certaine et que ma simple presence l'aurait aide.... peut-etre meme que c'est elle qui m'aurait demande de lui promettre de ne plus venir...