bonjour,

j'aimerais savoir quels rapports doit on avoir ou son thérapeute?
je m'explique:
Je commence une thérapie et c'est loin d'être facile pour moi, ce qui me choque c'est devoir de moi même "raconter ma vie" à une personne qui face à moi reste de marbre et me pose trés peu de questions.

Je trouve que la demarche es assez difficile comme ça et que le thérapeute n'aide pas beaucoup au dialogue.

est ce que c'est la manière de prodecer?est ce que les entretiens vont evoluer?

quels genre de rapport avez vous avec avec votre psy?vous pose t'il beaucoup de questions?

j'ai l'impression de parler à un mur et ça me dérange, deja que je n'y vais pas de bon coeur et que j'evite de ma braquer...

merci pour vos réponses.

si vous supportez mal le silence du thérapeute (ce que je comprends: c'est très violant) vous avez deux solutions:
-lui dire et voir s'il change
-changer de thérapeute
On croit depuis l'enfance que plus un médicament a mauvais goût plus il est efficace.
C'est faux.
Pour les psys aussi.

merci pour votre réponse

les psys procédent tous de la même manière???

non, bien sûr!
Pourriez-vous nous dire quelle type de thérapie vous suivez? Dans quel cadre : libéral ou institutionnel ?
Comment avez-vous trouvé votre psy ? connaissez-vous ses "références" ?
Avez-vous une idée du temps que vous allez passer à votre thérapie?
Je crois que vos réponses intéresseront un très large public

dans le cadre institutionnel indiqué par mon medecin traitant.
je ne connais pas ses références et en ce qui concerne la durée, elle m'a dit que ça prendrait un certain temps et que ça dépendait de moi...

qu'en pensez vous?

Georges a écrit:

c'est très violant

homophone voulu ou lapsus calami ?
Le silence est parfois nécessaire, mais si il vous dérange, je pense qu'il serait bon que vous optiez pour la première "solution" que Georges vous a soumis :

a écrit:

-lui dire

pour la reste, peut-être serait-il plus favorable que vous regardiez ce qui vous dérange dans ce silence plutôt que de le fuir.
Bon courage à vous.

vous semblez peu encline au bavardage vous-même !...
Christelle a raison sur la "patience": le médicament a mauvais gout mais c'est peut-être les premières fois et ça ira mieux ensuite ! Votre psy a surement un but. (au fait, vous ne nous avez pas dit si elle se revendiquait de telle ou telle école? ni vos problèmes?)